Il y a quelque chose de spécial avec elle

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Il y a quelque chose de spécial avec elle

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Le blog de l'Art-de-Changer par André de Châteauvieux

« Comment l'intimité avec ma psy respecte-t-elle la fidélité à ma compagne de vie ? Quelle différence avec l'intimité du couple ? Comment s'assurer que la conscience des événements ne nous fasse pas défaut ? » Ce sont les questions de Laure, coach en devenir, à la lecture du billet « Ça va être long ! » Ces questions sont rarement abordées dans notre métier. Elles pointent pourtant ce que Laure nomme ce « quelque chose de spécial qui doit se tenir au cœur de vos rencontres … » Au cœur, je crois, de tout métier d'accompagnement, au cœur de chaque relation. Sinon, il n'y a pas de relation. Alors, plutôt qu'une réponse en commentaire, je partage ici différents regards et échos sur ces thèmes.
Ce « quelque chose de spécial » dans chaque relation est ce que nos aînés, les psys, appellent les « jeux transférentiels » : le patient projette sur son thérapeute une figure passée ou présente, désirée ou détestée, aimable ou rejetante. C'est le transfert. Et, face à ces demandes d'amour ou ces attaques, implicites ou explicites, le psy réagit, interagit, en conscience, à partir de ce qu'il est. C'est son contre-transfert. Ce double mouvement est naturel. C'est le moteur de l'alliance et du travail : le thérapeute accompagne le patient dans la prise de conscience de ses scénarios répétés, anachroniques, pour qu'il s'en libère et crée du nouveau dans la rencontre avec soi, avec l'autre. « Si la relation véritable implique que chacun aime l'autre en tant que ce qu'il est , selon l'expression de Ricœur, alors le chemin qui y mène sera probablement long mais n'est-il pas le but même de la psychothérapie ? » Alain Delourme, La distance intime. Transfert et contre-transfert sont aussi présents en coaching. Je raconte, ici et là, comment ces matériaux sont précieux pour le coach et son client : Etre l'ami du coach ? ou Qu'y a-t-il dans le sac d'une femme J'ai eu envie d'aller un pas plus loin : écrire ce qui se passe pour un coach , pour moi, de l'autre côté, quand je suis accompagné. J'ai d'abord raconté mon cheminement sur la différence entre la passion et l'amour : A la folie… Pas du tout ! La passion c'est la dynamique du manque, de la fusion, du désir de posséder l'autre. Quête douloureuse et sans fin, impossible et épuisante. J'ai alors mieux compris mon côté tragico-romantique ! L'amour c'est donner et recevoir, c'est l'accueil joyeux et serein de l'autre, de la vie. C'est ce que je découvre avec cette femme en thérapie. Et j'ai pris conscience que, depuis des années, patiemment et malgré moi (!), la douce compagne de ma vie m'initie aussi à cette forme d'amour. En écho à l'intimité du couple et des liens avec la thérapie, j'ai aimé retrouver ces lignes de Christiane Singer : « Dans le cas des époux c'est l'intimité des corps et des vies, les nuits et les jours partagés, qui donnent accès à la vérité de l'autre. […] Cruellement en apparence, et avec une intuition souveraine, l'autre (j'ose dire à son insu même) travaille à ma délivrance ! […] Ce qui rend le mariage si lumineux et si cruellement thérapeutique, c'est qu'il est la seule relation qui mette véritablement au travail. Toutes les autres relations aventureuses et amicales permettent les délices de la feinte, de l'esquive, de la volte-face et de l'enjouement. » Eloge du mariage, de l'engagement et autres folies Heitor O'Dwyer de Macedo, un auteur que j'évoque ici , considère que la qualité du lien thérapeutique est de l'ordre de l'amitié : « La matrice de l'amitié est la même que celle du transfert, et cette matrice est une relation qui permet d'éprouver la solitude comme un lieu où il fait bon être. » Il évoque aussi le plaisir du travail sur soi : « Ce qui procure du plaisir et de la joie, c'est la victoire sur les processus de destruction (Thanatos) qu'obtient toute pensée formulée sur la cause psychique des souffrances. Voilà pourquoi, selon moi, toute vision tragique de la cure, faisant l'impasse sur cette jubilation de la pensée, aboutit finalement à une conception doloriste, sentimentale, religieuse de la psychanalyse. » Lettres à une jeune psychanalyste . Alain Delourme parle de tendresse, de « tendresse partagée » : « La véritable mutualité se rencontre essentiellement en amitié et en amour. […] Mais les mots amitié et amour, et les sentiments qu'ils désignent ne me semblent pas pouvoir être utilisés directement et au sens plein pour qualifier la relation entre patients et thérapeutes. C'est alors la tendresse qui constituerait l'étayage sentimental de ce lien particulier. C'est la tendresse réciproque qui transformerait la neutralité du lien professionnel en alliance véritablement thérapeutique, c'est-à-dire favorable au changement. […] Ce qui est demandé au psychothérapeute n'est pas seulement une relative neutralité mais aussi un engagement affectif clair et réfléchi, sans confusion avec un quelconque copinage ou un désir amoureux. » La distance intime , Tendresse et relation d'aide. Enfin, pour comprendre comment le psy s'assure que « la conscience des événements ne lui fait pas défaut », lire l'incontournable Irvin Yalom : Le bourreau de l'amour, Mensonges sur le divan… Voir aussi le film de Patrice Leconte Confidences trop intimes . Quand une femme, pour confier ses déboires conjugaux à un psy, se trompe de porte…

A ndré de Chateauvieux est économiste de formation et psychanalyste. Titulaire d'un DEA d'économie à la Sorbonne en 1986, il a été consultant puis manager pendant plus de 15 ans en cabinet conseil. Il accompagne des équipes projet qui cherchent à repousser ou transgresser les limites. Drastiquement.
Il se forme à l'analyse systémique avec un thérapeute familial et apprend à enquêter dans les coulisses des groupes humains, là où chacun rejoue à son insu une part de son histoire intime, entre pulsion de vie et destructivité.
Il crée son activité d'accompagnement en cabinet libéral au début des années 2000. En psychanalyse depuis plus de dix ans et titulaire d'un Diplôme Universitaire de psychanalyse à Paris-Diderot en 2018, il accompagne les personnes et les groupes sur la question des pulsions sexuelles, violentes, créatrices. Enseignant à l'université de Paris 2, il est un acteur clé de la diffusion de l'approche analytique dans le monde du coaching. Il a publié Dans l'intimité du coaching (Démos, 2008) et plusieurs ouvrages collectifs dont Érotiser l'entreprise , co-écrit avec Eva Matesanz (L'Harmattan, 2018).

Publié chez L'Harmattan Septembre 2021 

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Sous la direction de Eva Matesanz

Interview Octobre 2021 : dans mon bar à podcast  
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"Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ?" Matthieu 5.13 Avez-vous déjà entendu dire de quelqu'un : "Il a quelque chose de spécial" ? C'est une expression que l'on emploie parfois quand on n'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui fait qu'une personne est différente, qu'elle sort du lot. Je me réjouis lorsqu'elle s'applique à un chrétien. En effet, lorsque nous sommes dirigés par le Saint-Esprit et que l'amour de Dieu coule de nous, nous attirons forcément l'attention. La Bible dit que les chrétiens sont le sel de la terre et la lumière du monde. Au travail, à l'épicerie, même parmi des amis ou des proches non croyants, les enfants de Dieu sont là pour apporter de la saveur à une situation insipide. Même si cela fait longtemps qu'on nous le dit, il est évident que nous vivons dans les derniers temps dont Jésus a parlé dans Matthieu 24 . Les valeurs morales sont en chute libre. La vie de nos contemporains n'est que ténèbres et bouleversements. Et ils sont en quête d'une raison d'espérer. En tant que chrétiens, nous pouvons les aider à trouver ce qu'ils cherchent en les invitant à entrer dans une relation avec Dieu. Dans Matthieu 5 , Jésus demande à quoi sert le sel s'il perd sa saveur. Il semble que la limite entre le bien et le mal se soit estompée au fil du temps. Ce qui était considéré comme mauvais il y a 20 ou 30 ans ne l'est plus tellement aujourd'hui. Je me demande ce que nous réservent les 20 années à venir si cette décadence se poursuit. Peut-être devrions-nous nous poser un certain nombre de questions : Que montrons-nous au monde ? Qu'est-ce qui nous garde "salés" ? Mis à part les autocollants sur nos voitures, qu'est-ce qui nous différencie des autres ? Je suis convaincue que c'est la sainteté. Je ne veux pas parler de la religion, d'une liste d'obligations et d'interdits, ni du fait d'aller à l'église le dimanche matin pour remplir notre devoir de chrétiens au moins un jour par semaine. Le légalisme religieux nous fixe des règles, mais ne nous apporte aucune aide réelle pour les respecter. Par "sainteté", je veux parler d'un comportement qui découle d'une relation authentique et intime avec Dieu ; d'une qualité de consécration qui nous rend obéissants au Saint-Esprit dans notre vie de tous les jours ; d'une force qui nous aide à marcher dans l'amour, cherchant des façons d'être en bénédiction à autrui. Être saint, c'est être plutôt que faire. C'est ce "quelque chose" que le monde doit voir en nous. Il ne nous appartient pas de sermonner tous ceux qui nous entourent et de dénoncer tout ce qui ne va pas dans leur vie. Dieu nous demande simplement d'être des lumières dans les ténèbres environnantes pour permettre aux autres de trouver le chemin vers Jésus. Hébreux 12.14 nous exhorte à rechercher la sanctification. Certaines versions de la Bible parlent de "poursuivre la sainteté", de nous "efforcer de mener une vie sainte". La sainteté est le résultat d'une œuvre de consécration que Dieu accomplit en chacun de nous au travers de notre relation personnelle avec lui. C'est un processus de brisement et d'abaissement. Nous apprenons à coopérer avec Dieu ; à nous débarrasser de notre orgueil et de notre égoïsme ; à nous oublier nous-mêmes et, dans l'obéissance au Saint-Esprit, à faire en sorte que nos vies soient en bénédiction à autrui. J'aime à dire : "fleurissez là où vous êtes planté". Une action pour aujourd'hui Nous pouvons faire du bien à autrui à tout moment. L'important est d'être vrai, de parler de nos victoires comme de nos luttes. Où que nous en soyons dans le processus de sanctification, le monde nous regarde. Et il a besoin de voir quelqu'un qui n'est peut-être pas parfait, mais "qui a quelque chose de spécial". Joyce Meyer  





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Psaumes 139:14 "Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, Et mon âme le reconnaît bien".



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# Posté le mardi 29 octobre 2013 23:15

Au début de la comédie romantique, Quelque chose de nouveau, quatre femmes professionnelles afro-américaines sont assises dans un restaurant chic en train de se griller pour célébrer la Saint-Valentin. La célébration est familière pour les quatre car ils sont tous célibataires. Cependant, la comptable Kenya McQueen est convaincue qu'elle et ses amis finiront par trouver des relations enrichissantes avec leurs partenaires idéaux.
Son amie Suzette, est un peu sceptique. Elle connaît une étude selon laquelle 42,1% des femmes afro-américaines ne trouvent pas leur partenaire idéal. La plupart d'entre elles sont des femmes afro-américaines professionnelles comme le quatuor.
Ainsi, les femmes décident de contrer leur quête de leur IBM (Ideal Black Man) en suivant les conseils d'un auteur d'auto-assistance : « Lâchez prise et laissez couler. Ils promettent tous d'être plus ouverts aux types d'hommes qu'ils envisageraient de sortir avec eux.Le Kenya se joint au toast pour sceller l'accord même si elle cite toujours sa « liste ». Ses amis lèvent les yeux au ciel alors qu'elle exprime ses exigences en matière de compagnon (plus grand, diplômé de l'université, pas fou, pas d'enfants, et ainsi de suite).
Le Kenya est ouvert à l'idée en théorie, mais saura-t-il la mettre en pratique ?
Elle dit souvent à son collègue naïf mais sympathique qui veut la soigner qu'elle « ne fait pas de rendez-vous à l'aveugle », mais elle décide de franchir le pas. Le résultat ne ressemble en rien à ce qu'elle rêvait. Son collègue l'installe avec Brian qui est « parfait » pour le Kenya. Elle enfreint sa règle et va rencontrer Brian et est déconcertée de découvrir qu'il est la seule chose à laquelle elle ne s'attendait pas – il est blanc. Après l'une des premières rencontres les plus embarrassantes que vous ayez jamais vues, elle s'excuse et s'enfuit. Mais ce n'est pas fini.
Lorsque le Kenya exprime son admiration pour le magnifique aménagement paysager d'une amie, celle-ci lui présente le talentueux architecte paysagiste qui a réalisé le travail. Soudain, elle se retrouve à nouveau face à Brian.
Il semble n'avoir aucune rancune contre elle et après avoir entendu ses plans incroyables pour l'aménagement paysager de son jardin, elle accepte de l'embaucher. Le Kenya prévoit d'apporter quelques changements à sa nouvelle maison, mais des changements majeurs dans sa vie devraient suivre.
Finalement, elle se rend compte qu'elle est attirée par Brian, et il s'intéresse sans aucun doute à elle, mais il ne ressemble en rien à l'IBM qui a toujours fait partie de son plan.
Saana Lathan est vraiment convaincante en tant que Kenya. Son personnage est une comptable accomplie et talentueuse, et cela se voit dans ses interactions avec ses collègues de travail. Elle est aussi presque douloureusement obsédée par le fait de vivre sa vie d'une certaine manière. Elle porte ses cheveux lissés en arrière en un chignon serré. Le décor de sa maison est presque uniformément beige. Quand elle marche dans une toile d'araignée, elle perd complètement son sang-froid. Elle semble incapable de se détendre complètement dans sa propre maison.
Principalement, le Kenya a l'impression que sortir avec un homme blanc l'éloignerait de sa propre race. Elle est certaine qu'elle a besoin d'un partenaire qui a vécu avec des relations raciales problématiques. Une partie de ce qu'elle recherche chez un partenaire est quelqu'un qui comprend cet aspect de sa vie. Comme elle le dit à Brian, « il se trouve que je préfère les hommes noirs. Ce n'est pas un préjugé, c'est une préférence.
"Bien sûr", répond Brian, "c'est votre préférence d'avoir des préjugés."
Le film montre très bien pourquoi elle est comme ça. Elle raconte à Brian une histoire sur son enfance restrictive à un moment donné. Alfre Woodard apparaît comme sa mère condescendante, autoritaire et snob, et elle n'apprécie certainement pas un style de vie "lâcher prise, laisser couler". « Kenya, regarde cet endroit », lance-t-elle lorsque sa fille ajoute enfin quelques touches de couleur à son décor beige. « Tu es devenu tout bohème, ma chère, qu'est-ce qui t'a pris ? » Il est important de noter que les parents du Kenya sont des Afro-Américains qui ont réussi et qui sont très fiers de leur héritage, et le Kenya pense qu'elle a la responsabilité de défendre cela.
Au travail, le Kenya est la seule femme noire dans une profession à prédominance masculine blanche, et elle en est parfaitement consciente. Lorsqu'elle est au milieu d'un projet de carrière, leur client est visiblement mal à l'aise avec elle. Il demande la personne responsable lorsqu'il la rencontre pour la première fois et essaie de poser à l'assistant masculin blanc du Kenya des questions auxquelles elle peut répondre. Elle doit faire face à l'idée qu'une femme noire doit souvent travailler deux fois plus dur pour aller de l'avant. Lorsque le Kenya rencontre Mark (Blair Underwood), un bel avocat fiscaliste à qui sa famille la présente et que sa mère approuve, elle commence à soupçonner qu'elle a enfin trouvé l'IBM parfait pour elle. Peut-être qu'il peut s'avérer être son antidote à son intérêt pour Brian.
Il ne pouvait pas y avoir de meilleur choix pour Brian que Simon Baker. Il est doux, doux et facile à vivre. Ensoleillé d'apparence et de personnalité, il contraste avec le Kenya par plus que la race. Alors qu'il transforme sa nature sauvage en arrière-cour, en faisant sortir des fleurs de la terre, il encourage la transformation au Kenya. Il ne l'impose pas, mais en persistant doucement et en posant des questions perspicaces, il commence à semer des suggestions dans son esprit selon lesquelles sa vie n'a peut-être pas à suivre le chemin rigide qu'elle a choisi. Il a quelque chose à apprendre et essaie de compre
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