Il travaille dur pour sa patronne

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Il travaille dur pour sa patronne

Par Didier Lacombe . Actualisé: 16 janvier 2017
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1-Le respecté (exemple : Montrer lui ce qu'il dit est intéressant et pris en compte...)
2-soigner son comportement , soyez respectueux et poli pour imposer le respect : (Choisir les bonnes paroles, sourire, maĂźtriser ses Ă©motions, Ă©viter surtout la colĂšre et soyez patient).
3-MaĂźtriser son travail et ses taches.
( en améliorant notre niveau 'instruction, de formation et tous ce
qu'il y a en relation avec notre mission) car on respecte toujours celui qui sait faire son travail.
Il est le Roi sur le terrain.
4-Faire les taches correctement : se sentir heureux et avoir une conscience tranquille.
5- Ignorer le en se concentrant seulement sur votre travail et sur votre joie de faire les taches.
6- s'il est agaçant malgré toutes ces qualités citées ci-avant alors il faut passer à autre chose : contacter les supérieurs et leur expliquer le problÚme.
généralement ils rentrent dans l'ordre et deviennent nos amis malgré eux.
BriĂšvement

Les relations entre les ĂȘtres humains ne sont pas simples et si celles-ci se trouvent dans le milieu professionnel, ajoutez du stress, des personnalitĂ©s complexes et un patron qui, loin d'ĂȘtre un bon patron et mĂ©diateur, est plutĂŽt une personne compliquĂ©e, le rĂ©sultat peut ĂȘtre une bombe Ă  retardement.
Personne n'est exempt de ce scénario et vous avez certainement vécu cette situation dans votre carriÚre ; sur ToutComment.com, nous vous donnons quelques conseils afin de savoir comment gérer un patron difficile sans ruiner votre vie
Un patron difficile se caractérise par une personnalité dans laquelle prédominent le mauvais caractÚre , l'impulsivité, l'intolérance, l'obstination et le manque de flexibilité et de compression.
Il y a trois choses importantes à considérer pour faire face à un patron difficile : maturité, patience et tolérance. La clé est de savoir si cet emploi vous permet de grandir et de vous développer en tant que professionnel, si la réponse est affirmative, concentrez-vous sur cela et obviez la désagréable attitude de votre supérieur, ce n'est pas simple, mais c'est possible.
Face à un patron difficile, il est important que l'employé connaisse sa propre valeur et qu'il cherche à stimuler son développement professionnel sans attendre que quelqu'un le conduise sur cette voie car ce type de supérieurs ne donne aucune stimulation à ses employés.
Ne centrez pas vos objectifs professionnels sur la mauvaise attitude de votre patron, mais plutÎt sur les objectifs de la société , ainsi vous travaillerez mieux.
Évitez d'ĂȘtre le responsable d'un climat organisationnel nĂ©gatif , forcez-vous Ă  rĂ©aliser un bon travail de la maniĂšre correcte, soyez attentif aux dĂ©tails et devenez un bon professionnel. MĂȘme les patrons difficiles finissent par remarquer qu'ils ont dans leur Ă©quipe des employĂ©s compĂ©tents.
Montrez-vous comme un employĂ© capable, proactif, responsable, que ce soit votre bonne attitude et les rĂ©sultats de votre travail qui parlent d'eux-mĂȘmes.
Souvent, un patron difficile nécessite à ses cÎtés une équipe ayant la capacité de mitiger les peurs et les insécurités qui le font se comporter ainsi, cela réduit une partie de sa tension, tenez-en compte.
Si malgrĂ© le fait de vous concentrer sur votre travail et d'avoir une bonne attitude, votre supĂ©rieur vous pousse Ă  bout et fait que vous dĂ©testiez votre travail, la meilleure chose Ă  faire pour votre santĂ© est de demander une mutation dans un autre dĂ©partement ou de trouver un nouvel emploi, votre bien-ĂȘtre mental Ă©tant prioritaire.
Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables à Comment gérer un patron difficile , nous vous recommandons de consulter la catégorie Emploi .

Cassie était la plus fidÚle travailleuse que Peter DeRosa ait jamais eue. Quand elle ne s'est pas présentée au travail un jour, Peter s'est inquiété. Il s'est rendu chez elle pour vérifier ce jour-là - tu ne vas pas croire ce qu'il a trouvé!
Nous avons tous entendu parler des douzaines de cas de Domino's, Pizza Hut, Papa John's et d'autres pizzerias qui vont vĂ©rifier le bien-ĂȘtre de leurs meilleurs clients aprĂšs qu'ils n'ont pas passĂ© de commandes qu'ils ont soumis jour aprĂšs jour aprĂšs jour Ă  leurs pizzerias prĂ©fĂ©rĂ©es. La plupart d'entre eux impliquent des livreurs de pizzas curieux qui trouvent leurs clients les plus rĂ©guliers en mauvaise santĂ©, cherchent l'aide des ambulances et des salles d'urgence pour les soigner.
Beaucoup d'entre nous sont également familiers avec les histoires d'employés fiables qui ne se présentent pas au travail pour recevoir la visite de leur employeur à la maison. Dans les cas qui se terminent bien, les employeurs sont en mesure de demander de l'aide en matiÚre de soins de santé qui, en bout de ligne, remettront leurs travailleurs vedettes en pleine forme.
L'histoire de Cassie Camilo, une mÚre qui a occupé de façon fiable deux emplois pendant prÚs de deux décennies consécutives, est semblable.
Cassie Camilo est nĂ©e au BrĂ©sil. Incapable de trouver un emploi durable auprĂšs d'un employeur fiable qui lui verse un salaire respectable, Cassie a Ă©migrĂ© aux États-Unis peu aprĂšs ĂȘtre devenue adulte.
MĂȘme si Mme Camilo avait deux enfants au moment de son dĂ©part, elle a pris la dĂ©cision difficile de chercher du travail aux États-Unis pour pouvoir envoyer assez d'argent Ă  sa famille au BrĂ©sil. Cassie avait l'intention d'emmener ses enfants aux États-Unis dĂšs qu'elle aurait Ă©conomisĂ© assez d'argent pour le faire.
Peter DeRosa, un citoyen amĂ©ricain, a croisĂ© le chemin de Cassie peu aprĂšs son arrivĂ©e aux États-Unis. DeRosa, un entrepreneur, l'a engagĂ©e pour travailler dans son restaurant. Il l'a mĂȘme aidĂ©e Ă  trouver un autre emploi.
Cassie a travaillĂ© dur au restaurant de Peter et n'a jamais a manquĂ© un jour de travail. DeRosa a appris qu'elle s'Ă©tait dĂ©vouĂ©e de la mĂȘme façon Ă  son deuxiĂšme emploi, refusant de cesser de travailler, mĂȘme lorsqu'elle Ă©tait malade.
AprĂšs que Cassie ne se soit pas prĂ©sentĂ©e au travail un jour, Peter lui a rendu visite chez elle et a trouvĂ© une Cassie Camilo souffrante. Si Peter ne l'avait pas emmenĂ©e chez le mĂ©decin, elle serait peut-ĂȘtre morte, dit le mĂ©decin qui a vu Cassie aprĂšs que Peter l'ait trouvĂ©e mourante Ă  la maison.
As-tu dĂ©jĂ  eu un mauvais pressentiment Ă  propos de quelque chose qui t'a fait suivre ton intuition? Si oui, fais-nous part de ton histoire dans les commentaires. N'oublie pas de faire connaĂźtre l'histoire de Cassie pour que les autres voient qu'il y a encore des employeurs qui ont un bon cƓur!
Have you ever had a bad feeling about something that made you follow your intuition? If so, let us know your story in the comments. Don't forget to spread Cassie's story to let others see that there are still kindhearted employers out there!
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Publié le 27 mars 2018 à 14:19 par La rédaction
À lire plus tard SauvegardĂ© Suivre #humour #humour Suivi
© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Payée pour venir faire le ménage chez un homme, cette trÚs jolie fille n'est visiblement pas dotée d'une trÚs grande conscience professionnelle. Regardez plutÎt à quoi celle-ci passe ses heures de boulot

En contrÎlant derniÚrement ses caméras de surveillance placées un peu partout dans sa maison, un homme s'est aperçu que sa femme de ménage n'était pas une adepte du travail acharné. Au lieu de se mettre rapidement au boulot sitÎt arrivée chez lui, celle-ci préfÚre en effet prendre son temps et vaquer à d'autres occupations.
Alors qu'elle cassait tranquillement la croĂ»te en se servant dans le frigo de son patron, la jolie fille a malencontreusement tĂąchĂ© ses vĂȘtements. Se croyant chez elle, elle s'est alors dĂ©shabillĂ©e pour faire une lessive. Le temps que ses habits sĂšchent, elle s'est ensuite baladĂ©e dans toute la maison en soutien-gorge et petite culotte , en daignant tout de mĂȘme passer un peu l'aspirateur et laver quelques carreaux histoire de dire qu'elle n'Ă©tait pas restĂ©e inactive.
En dĂ©couvrant ces images, son patron n'a pas Ă©tĂ© trĂšs content, mĂȘme si la plastique parfaite de cette femme de mĂ©nage n'a pas dĂ» le laisser insensible.

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Accueil » Chez mon patron avec sa femme
Résumé : Invité par mon patron à un dßner chez lui, je ne pensais pas passer, grùce à sa femme, une soirée aussi chaude.
– François, vous n’avez pas oubliĂ© notre dĂźner, demain soir chez moi.
– Non, bien-sĂ»r. Cependant, ma femme ne pourra ĂȘtre des nĂŽtres. Un empĂȘchement de derniĂšre minute

– C’est bien dommage. J’aurais tant aimer faire sa connaissance. Quoi qu’il en soit, demain, 20 heures !
Je me prĂ©sentai au domicile de mon patron le lendemain, Ă  l’heure prĂ©vue, un bouquet de fleurs et une bouteille de vin Ă  la main. Sa femme m’ouvrit.
– Bonsoir ! Vous devez ĂȘtre François. EnchantĂ©e. Moi mĂȘme, c’est Sonia.
– EnchantĂ©.
– Entrez ! Alain n’est pas encore là, mais il est sur le chemin.
J’entrai. L’appartement Ă©tait charmant, meublĂ© avec goĂ»t.
Sonia m’entraüna au salon.
– Je vous propose un apĂ©ro en attendant. Un kir royal, cela vous convient ?
– Parfaitement, bien volontiers.
AprĂšs m’avoir servi, elle s’absenta un instant pour aller en cuisine. J’en profitai pour pour jeter un coup d’Ɠil Ă  leur bibliothĂšque, trĂšs bien fournie. Classiques, modernes, auteurs contemporains, livres d’art, je note mĂȘme, dans les rayons du haut, une section de rĂ©cits Ă©rotiques. Apollinaire, Sade, je devine mĂȘme une bande dessinĂ©e coquine.
Sur la table basse oĂč Sonia a posĂ© la flĂ»te de champagne et quelques apĂ©ritifs se trouvait un album photo. Je me mis Ă  le feuilleter nĂ©gligemment : Des photos du couple, essentiellement prises en vacances. DĂ©cidĂ©ment cette femme a une plastique superbe, les photos en maillots de bain me dĂ©voilent son corps aux courbes parfaites.
Je tournai les pages, et me sentis tout Ă  coup gĂȘnĂ© : La voilĂ  seins nus, ils sont trĂšs beaux. Je ne pus m’empĂȘcher de m’attarder dessus, jetant de temps Ă  autre un regard vers la cuisine.
– Elle est belle, hein ?
C’est mon patron qui m’a surpris. J’en rougis, et refermai l’album.
– Je vous en prie, continuez, vous lui ferez plaisir.
– ChĂ©ri, tu es lĂ  ? La voix de Sonia se fit entendre de la cuisine.
– Oui ma puce.
– Tu t’occupes de notre invitĂ© ?
– Bien-sĂ»r, mais il s’est occupĂ© tout seul : Il regarde tes photos.
– Qu’il continue !
– François, vous n’avez plus le choix : Ceci ressemble fort à un ordre. Et si au bureau c’est moi le patron, ici c’est elle qui commande.
Il m’envoya une Ɠillade.
– Allez-y, reprenez.
Timidement je rouvris l’album. Je retrouvai rapidement la page oĂč elle est seins nus, tournai vite pour ne pas ĂȘtre gĂȘnĂ©, mais les photos suivantes Ă©taient du mĂȘme tonneau. Les photos ont Ă©tĂ© prises au bord d’une piscine. Sur les photos, la femme de mon patron prend des poses lascives, se caressant les seins, pointant sa langue au travers de ses lĂšvres. Deux pages plus loin la voilĂ  qui retire le bas, et la photo d’aprĂšs, je pus admirer sa toison.
– C’est beau, n’est-ce pas ?
– O.. Oui

Ja balbutiai.
– N’ayez pas honte, admirez !
C’est Sonia qui s’adressait à moi, de retour de la cuisine.
Je tournai encore les pages. Allongée sur un transat, les cuisses écartées, Sonia laisse admirer son sexe. Sur la photo suivante elle y a porté la main et manifestement se masturbe intensément.
– Mon dieu !
Je n’ai pu retenir ma surprise : Sur les pages suivantes, c’est Alain, mon patron, qui est allongĂ© sur le transat. Une photo avec la verge au repos, sur l’autre il bande et se masturbe, le gland dĂ©calottĂ©.
Tout ceci finit par m’exciter. Si peu de temps aprĂšs notre partie carrĂ©e avec nos amis AgnĂšs et Gilles (et la fin de soirĂ©e), me voilĂ  une fois de plus avec des personnes un tantinet exhibitionnistes.
Les photos suivantes les réunissent. Une fellation, un cunnilingus, une pénétration en levrette.
Une derniĂšre page de photos dĂ©taille la lente pĂ©nĂ©tration de la queue d’Alain dans l’anus de sa femme.
– Visiblement vous aimez vous exhiber. Vous seriez capable de la faire en direct, devant moi ?
Sans un mot, elle saisit le pantalon de son mari, fit glisser la braguette, passa sa main dans le slip pour en tirer une bite visiblement dĂ©jĂ  bien vigoureuse. Elle la caressa. TrĂšs vite, ils se dĂ©shabillĂšrent l’un l’autre pour se retrouver nus devant moi. Elle Ă©carta les jambes, fourra un doigt bien profond dans son vagin, le retira et vint l’essuyer sur ma main pour que je puisse constater Ă  quel point elle mouillait. Puis ils reprirent devant moi les poses qu’ils avaient sur les photos : Elle le prit en bouche et le suça longuement, il l’allongea sur le dos et vint lui Ă©carter les cuisses pour plonger le nez dans son vagin puis y placer sa langue. Quand elle eut joui une fois, elle lui ordonna de la pĂ©nĂ©trer, ce qu’il fit, puis elle se retourna et il la prit en levrette. Elle se retrouva face Ă  moi et me regarda.
– À poil.
La phrase a rĂ©sonnĂ© comme un ordre, et mon patron eut Ă  peine le temps de me rappeler qu’ici c’est elle la patronne : J’obĂ©is.
– Masturbe-toi.
Je pris ma bite en main et actionnai mon dard déjà bien dur. Elle sembla jouir alors.
– Approche.
Je m’approchai. Elle prit ma bite, la mena Ă  sa bouche et me suça avec empressement. Ce fut l’extase. Je sentais que la jouissance approchait, mais elle arrĂȘta alors la succion, et me dit d’aller prendre la place de son mari. J’obĂ©is, et l’instant d’aprĂšs me voilĂ  occupĂ© Ă  la limer avec dĂ©lectation pendant qu’elle se gavait de la pine imposante de son mari.
À nouveau je sentis la jouissance approcher, mais elle interrompit le tout et nous proposa de passer à table.
Je me sentis frustrĂ©, mais comme nous allions souper dans le plus simple appareil, je me dis que la fĂȘte n’était pas finie.
Effectivement vers la fin du repas, Sonia disparut sous la table et bientĂŽt je sentis une main redonner de la vigueur Ă  mon membre, puis une bouche.
– Alors François, me lança Alain, satisfait de votre soirĂ©e ?
– Je mentirai à dire le contraire.
– Et le meilleur est encore à venir, vous pouvez m’en croire.
Les caresses manuelles et buccales se sont tues. Sonia ressortit de sous la table, Ă  l’opposĂ© d’oĂč elle Ă©tait entrĂ©e. Elle marcha Ă  quatre pattes jusqu’au fauteuil, s’y cala, les reins cambrĂ©s et le cul en l’air, et oscilla du derriĂšre.
– C’est une invitation, me dit Alain. Allons l’honorer.
Il se leva, vint se placer derriĂšre elle, la pĂ©nĂ©tra et la lima. Il m’expliqua la rĂšgle du jeu :
– Quand on sent que l’on risque de jouir, on se retire, et on laisse la place à l’autre.
Et nous voilĂ  l’un aprĂšs l’autre Ă  la pĂ©nĂ©trer, la limer, jusqu’à la limite de l’éjaculation, et Ă  laisser la place Ă  l’autre. Je me dĂ©lectais du spectacle de la bite d’Alain s’enfonçant dans le con de Sonia, j’admirai les va-et-vient qui m’excitaient, et quand Alain sentit la limite atteinte, il se retira sagement pour me laisser disposer Ă  nouveau du fourreau. Il vint alors caresser les seins de son Ă©pouse pendant que je la pĂ©nĂštre, et m’invite Ă  en faire autant quand c’est Ă  son tour de limer.
Je ne saurais dire combien de temps ce manĂšge a durĂ©, ni combien de permutations Alain et moi avons effectuĂ©es. Sonia passait d’orgasme en orgasme, visiblement jamais rassasiĂ©e.
– Sodomise-moi. Dit-elle à Alain.
Il se plaça pour obĂ©ir Ă  l’ordre. Comme sur les photos, je vis le gland se poser sur la rondelle, et sous le coup de pression d’Alain, la rosette se dilata pour laisser entrer la bite, qu’Alain enfonça jusqu’aux couilles, le tout avec beaucoup de prĂ©caution. Il fit quelques mouvements de va-et-vient durant lesquels je pus voir la hampe glisser dans l’anus. Je me mis Ă  me masturber, mais Sonia m’en dissuada d’une tape sur la main. Je crus qu’Alain allait jouir, mais il se retira et m’invita d’un geste Ă  prendre sa place.
– Allez, à votre tour !
Le ton Ă©tait impĂ©rieux, ce qui ne fit que rajouter Ă  mon excitation. J’opĂ©rai comme Alain, plaquant mon gland sur l’anus et le faisant pĂ©nĂ©trer doucement, ce qui se fit sans difficultĂ©. Je notais que mon patron ne perdais pas une miette de cette sĂ©ance de sodomie, lui aussi se mit Ă  se masturber, mais Sonia le laissa faire, probablement trop prise par l’excitation pour prendre conscience de la branlette de son mari. Il me sembla qu’elle jouit Ă  nouveau. J’avais une trĂšs forte envie de jouir, mais me retins : Je sentais que le moment n’était pas encore venu.
Sonia se dégagea et se retourna vers nous, toujours à genoux. Elle prit une bite dans chaque main et nous caressa. Son doigt passait sur le gland puis allait aux testicules. Puis elle délaissa nos bites et se mit à se caresser les seins et à se mettre un doigt sur le clitoris et dans le vagin.
– Maintenant.
C’est une invitation que manifestement Alain comprenait. Il se mit Ă  se masturber frĂ©nĂ©tiquement et je ne tardai pas Ă  l’imiter, devinant l’issue que nous rĂ©clamait Sonia. Sa caresse Ă  elle sur son sexe se fit aussi plus pressante et rapide. Moi, une main sur la bite, l’autre sur mes couilles, je regardai Alain se masturber, nos deux pinnes dirigĂ©es vers le visage de Sonia. Trop excitĂ© pour me retenir encore, j’éjaculai sur le visage de Sonia, et l’instant d’aprĂšs je vis le sperme d’Alain jaillir du bout de son gland, La bouche entrouverte de Sonia avait recueilli un jet p
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