Il se tape la fille de sa petite amie

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Il se tape la fille de sa petite amie


Publié le 15/08/2022 à 11h00
- Modifié le 19/08/2022 à 13h38




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Pete Doherty avec sa petite amie Kate Moss , en septembre 2005. 
© SCOTT WINTROW / Getty Images North America / Getty Images via AFP
Pete Doherty et Charlotte Gainsbourg dans Confession d'un enfant du siĂšcle .
© Allstar/SODA PICTURES / MAXPPP/TEAMSHOOT / SPORTSPHOTO/TEAMSHOOT


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Vous lisez actuellement : The Libertines : drogue, cadavres et « concerts guérillas »



Par Mimi1058 le 15/08/2022 Ă  21:28




Par Fred&Rick le 15/08/2022 Ă  16:39


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L a relation de Pete Doherty et Carl BarĂąt , les chanteurs et guitaristes du groupe post-punk anglais The Libertines, est tellement intense qu'elle peut vite devenir explosive. Leur ex-manageur Alan McGee n'a jamais pu oublier le sĂ©jour que les deux musiciens ont passĂ© en 2003 dans son cottage du pays de Galles pour travailler sur leur deuxiĂšme album. Un lieu bucolique, parfait pour Ă©crire des chansons. « Je suis parti me coucher, les laissant ensemble en train d'Ă©couter “ Don't Look Back in Anger” d'Oasis sur la chaĂźne stĂ©rĂ©o, en finissant une bouteille de whisky », Ă©crit Alan dans son autobiographie dĂ©jantĂ©e, Creation Stories .
« Le lendemain matin, à 9 h 45, j'étais assis dans le salon, au téléphone avec mon bureau, quand Carl est entré. Pendant cinq secondes, j'ai cru qu'il portait un masque d'Halloween pour me faire une blague. Et puis, tout à coup, j'ai réalisé que ce n'était pas un masque, mais son visage ! » Quand nous rencontrons McGee prÚs de quinze ans plus tard à Londres et lui rappelons cet épisode, il frissonne d'effroi. Il ne peut oublier la figure du guitariste, couverte de sang séché, et surtout, horreur, un de ses yeux pend en dehors de son orbite.
Que s'est-il passé ? La veille, Pete et Carl se sont disputĂ©s Ă  propos d'une fille. Ils se sont dit des choses horribles : aprĂšs des annĂ©es d'amitiĂ©, chacun sait exactement avec quels mots blesser l'autre. Avant de retourner dans sa chambre pour se coucher, Carl s'est tapĂ© la tĂȘte contre le lavabo en marbre, vingt ou trente fois. « Je ne voulais tout simplement plus ĂȘtre dans mon corps », expliquera-t-il au journal The Independent . Il a alors 25 ans.
Alan dĂ©cide de se rendre aux urgences avec Carl, laissant Pete chez lui. Ce dernier sort de prison, mieux vaut rester discret sur sa prĂ©sence dans la maison ce soir-lĂ . Mais, Ă  l'hĂŽpital, personne ne croit que BarĂąt puisse s'ĂȘtre blessĂ© lui-mĂȘme et les docteurs essayent de lui faire admettre que c'est Alan qui l'a frappé ! En tout cas, ce jour-lĂ , le rockeur a vraiment failli perdre son Ɠil. Alors, pour Ă©viter un nouveau drame quand ils sont finalement entrĂ©s en studio quelques semaines plus tard, Alan a engagĂ© deux immenses gardes du corps pour les empĂȘcher de s'entretuer. « Chaque fois qu'une dispute Ă©clatait, chacun des gardes du corps saisissait son Libertine et le portait de l'autre cĂŽtĂ© de la piĂšce. Les pieds de Pete et de Carl remuaient dans les airs, en essayant de frapper l'autre », se souvient-il.
Un tĂ©moin clĂ©ment confirme : « C'est du fĂ©tichisme de souvenirs  » « PlutĂŽt une maladie ! » rĂ©agit McGee. « Un jour, nous Ă©tions ensemble dans un taxi. Tout Ă  coup, il a fait arrĂȘter la voiture, a dit : “Attendez-moi un instant”, il est entrĂ© chez un pĂ©piniĂ©riste, a pris un Ă©norme cactus, l'a emportĂ© sans payer, l'a dĂ©posĂ© entre nous et a demandĂ© au chauffeur de redĂ©marrer. J'Ă©tais sonnĂ©, je ne savais pas quoi dire », se souvient-il. « Ce n'Ă©tait mĂȘme pas une jolie plante : c'Ă©tait un cactus ! » s'Ă©tonne-t-il encore.
En septembre 2003, son petit pĂ©chĂ© le fait totalement dĂ©raper. Pete est carrĂ©ment condamnĂ© pour avoir cambriolĂ© l'appartement de Carl BarĂąt Ă  Londres. À 24 ans, il venait de se faire virer des Libertines, qui ne pouvaient plus supporter la consommation excessive de crack et d'hĂ©roĂŻne de leur chanteur. Le 25 juillet, alors que le groupe est en tournĂ©e au Japon – sans lui –, il force la porte du guitariste et emporte un ordinateur portable, une guitare de collection, un lecteur CD, un magnĂ©toscope, un harmonica et des livres. Il Ă©cope de six mois de prison. Il en purgera deux, son avocat ayant convaincu les juges de l'envoyer en cure de dĂ©sintoxication. Pas rancunier, Carl l'attendra Ă  la sortie. Devant la grille de sa geĂŽle, ils sont tombĂ©s dans les bras l'un de l'autre et se sont rĂ©conciliĂ©s.
« Pete est totalement klepto quand il est sous hĂ©roĂŻne », constate Alan McGee. Le problĂšme, c'est qu'il est rarement clean. Alan devait mĂȘme le faire surveiller en permanence pour savoir oĂč il Ă©tait. Ainsi, Ă  la veille de leur dĂ©part en tournĂ©e en mars 2004, il extirpe Pete d'une fumerie de crack en le roulant dans un tapis. VĂȘtu d'une chaussette et sans pantalon, le jeune homme ne pouvait plus marcher. Toute la tournĂ©e se dĂ©roulera ainsi. Chaque soir, Alan se demande si Pete pourra jouer. À la fin, Pete est tellement maigre et drogué  C'est une question de vie ou de mort, il faut le dĂ©sintoxiquer. « Je l'ai rĂ©cupĂ©rĂ© dans un lit avec une fille, dans une autre fumerie de crack. Il a brĂ»lĂ© tout un tas d'hĂ©roĂŻne, l'a aspirĂ©e, et l'a recrachĂ©e, droit sur mon visage. Pendant quinze minutes, j'ai Ă©tĂ© incapable de bouger. Et puis je suis redescendu sur terre, et on l'a emmenĂ© direct au Priory, un centre de dĂ©sintoxication », raconte McGee au Mirror . LĂ , Pete tient une semaine avant qu'Alan ne le retrouve Ă  nouveau dans un hĂŽtel en train de fumer du crack. De retour au Priory, il s'Ă©chappe encore huit jours plus tard
 C'est sans fin.
En 2004, Carl et Pete s'installent Ă  l'hĂŽtel Albion, rue Notre-Dame-de-Lorette, Ă  Paris, pour Ă©crire des chansons (tous deux sont fascinĂ©s par la mythologie de l'Albion, ancienne dĂ©nomination de l'Angleterre). Alan s'en souvient : « Carl est venu me voir, et il avait l'air trĂšs anxieux. Lui-mĂȘme Ă©tait sur le point de tomber sĂ©rieusement dans la drogue et il avait peur de basculer de l'autre cĂŽtĂ© Ă  force de traĂźner avec Pete Ă  Paris. Je lui ai donc proposé d'ĂȘtre leur chaperon. » Pete ne semble pas spĂ©cialement ravi de son nouveau sigisbĂ©e d'un soir
 La nuit se conclura tout de mĂȘme dans une fĂȘte mĂ©morable, chez des copines de Pete, une bande de top modĂšles. « Il y avait un plateau qui circulait avec absolument toutes les drogues possibles », se souvient McGee. Le lendemain, ambiance silencieuse dans l'Eurostar qui les ramĂšne Ă  Londres
 « Quand on est entrĂ©s dans le tunnel, j'ai remarquĂ© une drĂŽle d'odeur. Je me suis retournĂ© et j'ai vu Pete, avec sa pipe Ă  crack allumĂ©e. Je me suis dit que ce n'Ă©tait pas gagné  »
Pete finit par s'installer Ă  Paris. Il loue un appartement Ă  Pigalle, au-dessus du tabac qui fait l'angle du Mansart, en colocation avec deux danseuses. Il vend ses chaussures, ses guitares, et tout ce que ses fans sont prĂȘts Ă  lui acheter, pour pouvoir payer ses doses d'hĂ©roĂŻne. Son intĂ©rieur est dĂ©gueulasse. Quand il n'est pas au bar Le Bergerac (oĂč il finira par donner un concert pour payer sa note), il dessine sur les murs avec son sang. En 2005, Doherty finance sa drogue en organisant des « concerts guĂ©rillas » dans des appartements. Le principe : poster l'adresse et l'heure du rendez-vous sur un forum, jouer les chansons, prendre l'argent et les drogues. MĂȘme si ce n'Ă©tait pas le but, cette proximitĂ© a contribuĂ© Ă  souder sa communautĂ© de fans
 Mais cela rend Carl hystĂ©rique. Pour rendre impossibles ces « concerts guĂ©rillas » chez lui, Alan installe Pete dans un appartement minuscule, infect, avec de la poĂ©sie Ă©crite avec du sang sur les murs et des seringues sales traĂźnant par terre. « Il n'y avait la place que pour un lit, et presque rien d'autre. Et pourtant, il arrivait Ă  y faire entrer jusqu'Ă  cinquante personnes. En faisant deux concerts par soir, il gagnait 1 000 livres sterling, et dĂ©pensait tout en crack », se dĂ©sespĂšre Alan.
Si Pete s'en sort toujours miraculeusement vivant, on trouve plusieurs cadavres dans son sillage. En dĂ©cembre 2006, Mark Blanco, 30 ans, Ă©tudiant en philosophie Ă  Cambridge, fait la fĂȘte avec Doherty, avant d'ĂȘtre retrouvĂ©, agonisant, sur le trottoir. Selon les enquĂȘteurs, il aurait Ă©tĂ© portĂ© puis jetĂ© du balcon du premier Ă©tage, aprĂšs s'ĂȘtre disputĂ© avec le chanteur. Quand Pete Doherty et ses amis quittent la scĂšne du crime et passent Ă  cĂŽtĂ© de lui, douze minutes plus tard, ils l'observent, puis partent en courant. Mark Blanco est mort le lendemain Ă  l'hĂŽpital. Trois ans plus tard, en janvier 2010, c'est Robin Whitehead, la fille aĂźnĂ©e de l'hĂ©ritiĂšre Dido Goldsmith et du cinĂ©aste Peter Whitehead, qui meurt Ă  27 ans d'une overdose dans un appartement de l'est de Londres, alors qu'elle filmait Doherty pour un documentaire.
« Un des plus grands challenges de ma vie a Ă©tĂ© de manager les Libertines », admet Alan, qui en a pourtant vu d'autres. « Pete a tout pour lui. Les chansons, les paroles, l'attitude. Il est tellement pointu, rapide. Il pourrait ĂȘtre monumental. Mais c'est l'homme le plus nihiliste que j'aie jamais rencontrĂ©. » The Libertines n'ont pas survĂ©cu aux frasques du rejeton le plus terrible du rock. MĂȘme s'ils sont toujours officiellement ensemble et ont fait une tournĂ©e en 2019, ils sont restĂ©s sĂ©parĂ©s entre 2004 et 2014 (Ă  part une courte rĂ©union en 2010), et n'ont pas sorti d'album depuis 2015.
Mais n'enterrez jamais Peter Doherty ! Il ressurgit toujours lĂ  oĂč on ne l'attend pas ! Le chantre de la « perfide Albion », acteur aux cĂŽtĂ©s de Charlotte Gainsbourg dans Confession d'un enfant du siĂšcle , vit aujourd'hui Ă  Étretat, oĂč il a composĂ© avec FrĂ©dĂ©ric Lo (Daniel Darc, Alex Beaupain
) un album nourri des aventures d'ArsĂšne Lupin, le personnage de Maurice Leblanc, un dandy connu pour ses dĂ©lits et sa capacitĂ© Ă  s'extraire des plus improbables situations
. Ça vous rappelle quelqu'un ?
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Qui n’a jamais rĂ©flĂ©chi Ă  l’ascension du populisme devant un Ă©pisode des machiavĂ©liens Game of Thrones ou Baron Noir ? Ou au bien-fondĂ© – ou pas – de la transparence en politique en visionnant Borgen ? Quant au succĂšs planĂ©taire de La Casa de papel, ne reflĂšte-t-il pas la montĂ©e de la pensĂ©e « antisystĂšme » dans nos dĂ©mocraties ? Plus pragmatiquement, que nous enseignent, du pouvoir, de ses enjeux et de ses jeux, sur la maniĂšre dont on le conquiert et dont on le garde, les grands rĂ©cits contemporains que sont les sĂ©ries ?

Je ne juge pas mais je l’ai dĂ©couvert par hasard avec les libertines et ses propres chansons. J’adore. Peut-ĂȘtre que le personnage n’est pas du tout sympathique je n’en sais rien et je n’ai pas besoin de le savoir. Ce que j’aime c’est sa musique un peu dĂ©jantĂ©e rock ses mĂ©lodies sa voix. Comme dit mon fils c’est mon pote avec un autre chanteur Adam Green. Je ne sais pas pourquoi pour moi ils vont ensemble tous les deux. Mes potes
J'ai vu Doherty en concert solo et...

... C'Ă©tait pitoyable... Quel ennui !
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