Il se fait une Japonaise

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Comment fait-on pour ĂȘtre recruteur chez AKB48 ?

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Les moules sont fraĂźches car elles s'ouvrent.

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C'est que du bonheur d'ĂȘtre mariĂ© Ă  une Japonaise

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reste plus qu'à raccourcir les jupe et ça deviendra interessant...sinon c'est trés .....japonais!

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elles sont sympas les japonaises mais leur cries je n'en peux plus (si tu vois ce que je veux dire ^^)

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 En Europe (et ailleurs), elles Ă©cartent les cuisses sans sushi...

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La preuve que le kamasutra vient de lĂ 
Les meilleurs contributeurs du mois



mansail :
passage Ă  niveau avec composants chinois......


Mongolito :
Plouf la pouf


mansail :
et merde le portail ;il est fichu maintenant ,fallait sacrifier la tĂšte


mansail :
Beau geste....des 2


madmac :
Le chapeau me semble vrai






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Au Japon, des femmes piégées dans le monde du X prennent la parole


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Cinéma

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Publié le 8 avril 2017 à 10h33 Mis à jour
le 8 avril 2017 Ă  10h33

Clip de sensibilisation contre les piĂšges tendus aux femmes japonaises par l'industrie du X (capture d'Ă©cran)
Au pays du soleil levant, de plus en plus de femmes affirment avoir été bernées pour jouer dans des films pornos. Face au phénomÚne, le gouvernement japonais vient de lancer une campagne de prévention.
Un dimanche matin d’avril, dans le parc d’Ueno au cƓur de Tokyo. Sous les cerisiers en fleurs, des dizaines de passants tendent leur perche Ă  selfie pour se prendre avec les fameux « sakura » (des cerisiers ornementaux du Japon). A l’écart de la foule, assise Ă  la terrasse d’un Starbucks CafĂ©, celle qui se fait appeler « Kurumin Aroma » n’est pas vraiment d’humeur Ă  s’extasier devant les fleurs blanches et roses. Avec ses vĂȘtements amples et son bob colorĂ© sur la tĂȘte, elle ressemble Ă  n’importe quelle autre tokyoĂŻte passant Ă  cĂŽtĂ©. Mais sĂ»rement pas Ă  une actrice de films X.
La youtubeuse de 26 ans s’est pourtant retrouvĂ©e sur le tournage de vidĂ©os pornos il y a quatre ans, Ă  la suite d’une rencontre avec un « recruteur de talents », dans le quartier de Shinjuku, l’un des plus animĂ© de la capitale nippone. L’homme lui propose de faire des photos pour un magazine populaire au Japon et un petit rĂŽle de pin-up pour un film. A cette Ă©poque, la jeune Ă©tudiante rĂȘve de se lancer dans la chanson. Son interlocuteur lui promet alors de l’aider Ă  dĂ©buter sa carriĂšre avec des cours de chant. Kurumin Aroma se laisse convaincre.
« J’ai signĂ© un contrat oĂč il n’y avait pas de dĂ©tails sur le contenu du film », indique-t-elle.
« Je pleurais beaucoup. Du coup, j’étais obligĂ©e de rejouer les scĂšnes »
Une semaine plus tard, elle se retrouve dans le bureau du responsable d’une boĂźte de production, qui lui annonce qu’elle va jouer dans un film porno. L’homme se montre menaçant. Son contrat a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© signĂ©. Elle se sent coincĂ©e. « J’avais peur que si je refuse, ils annulent leur proposition pour m’aider Ă  dĂ©buter ma carriĂšre dans la musique » , raconte la jeune femme.
Quelques semaines plus tard, elle se retrouve sur l’üle de Saipan, au beau milieu du Pacifique, pour le tournage. « Nous Ă©tions 8 personnes. On m’a demandĂ© de me toucher devant la camĂ©ra. J’avais trĂšs peur, je pleurais beaucoup. Du coup, j’étais obligĂ©e de rejouer les scĂšnes. » Une premiĂšre expĂ©rience traumatisante.
A son retour sur l’archipel, la jeune fille indique Ă  la boĂźte de production qu’elle ne veut plus faire de films. « Le responsable m’a dit ‘maintenant que tu as tournĂ© dans un film x, ce ne sera ni la premiĂšre ni la derniĂšre fois’ » , rapporte la Japonaise. Dans son bureau, elle se met Ă  pleurer. Autour d’elle, une dizaine d’hommes font alors tout pour la persuader de rester. « Ils me disaient que le monde du porno Ă©tait merveilleux, que c’était un passage nĂ©cessaire pour faire de la musique » , se souvient-elle. Sentant qu’il lui est impossible de faire marche arriĂšre, elle finit par cĂ©der.
Lors du tournage du deuxiĂšme film, on l’oblige Ă  avoir des rapports sexuels avec trois hommes diffĂ©rents. « DerriĂšre la camĂ©ra, le chef voulait qu’on aille plus loin, que ce soit plus trash. Je voulais finir le plus vite possible pour que tout ça s’arrĂȘte » , raconte la jeune femme. Avait-elle alors conscience qu’il s’agissait d’un viol ? « Oui » , souffle-t-elle en baissant la tĂȘte.
Cette fois-ci, ce tournage sera le dernier pour elle. Juste aprĂšs, le patron de la sociĂ©tĂ© a pris la poudre d’escampette
 et le salaire qu’elle devait toucher.
« Kurumin Aroma » est loin d’ĂȘtre la seule jeune japonaise devenue actrice porno malgrĂ© elle. L’annĂ©e derniĂšre, des associations ont tirĂ© la sonnette d’alarme, devant la recrudescence de nombre de victimes qui venaient les consulter : +64% en l’espace de deux ans. Sur l’annĂ©e 2016, Lighthouse et PAPS (People Against Pornography And Sexual Violence) ont recensĂ© 100 nouveaux cas, dont quelques hommes. Depuis le dĂ©but de l’annĂ©e 2017, 20 personnes se sont manifestĂ©es.
« Ce n’est que la partie immergĂ©e de l’iceberg, s’inquiĂšte Aiki Segawa, la porte-parole de l’association, qui a rĂ©alisĂ© un clip de prĂ©vention. Comme c’est un sujet trĂšs tabou, beaucoup de victimes n’en parlent Ă  personne. Elles pensent que c’est de leur faute. Vous savez, dans la sociĂ©tĂ© japonaise, il y a un grand sens de la responsabilitĂ© personnelle. Elles pensent donc qu’elles y sont allĂ©es Ă  leurs risques et pĂ©rils. »
L’association reçoit ainsi des femmes qui ont jouĂ© malgrĂ© elles dans des films pornos il y a 5 voire 10 ans.
Des proies faciles pour des recruteurs véreux
Pour Kazuko Ito, avocate et fondatrice de Human Rights Now (HRN), les victimes ont des profils assez semblables : « Toutes sont japonaises, ont entre 18 et 25 ans. Elles sont au lycĂ©e, Ă©tudiantes ou font des petits boulots. Certaines sont originaires de zones rurales et dĂ©barquent tout juste Ă  Tokyo. Elles rĂȘvent de devenir cĂ©lĂšbres, comme mannequin, chanteuse, danseuse etc. » Des proies faciles pour des recruteurs vĂ©reux.
Ces derniers ne sont d’ailleurs pas toujours de petites productions inconnues, certains ont une certaine notoriĂ©tĂ© sur le marchĂ© du X. Au Japon, l’industrie pornographique pĂšse plusieurs milliards de dollars et produit 20 000 films par an. Les producteurs sont donc toujours Ă  l’affĂ»t de chair fraĂźche, surtout de trĂšs jeunes femmes, pour figurer dans leurs films.
Les recruteurs se montrent trĂšs persuasifs pour garder leurs nouvelles recrues. « Ils leur disent que si elles refusent de jouer, elles devront payer 1 million de yen (environ 8 400 €), qu’ils raconteront tout Ă  leurs parents, Ă  leurs proches, au responsable de leur lycĂ©e etc. » , poursuit l’avocate.
Stress post-traumatique, suicide, opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique Ă  rĂ©pĂ©tition

Un vrai lavage de cerveau, dont l’issue peut parfois ĂȘtre dramatique. Selon HRN, une jeune femme se serait suicidĂ©e aprĂšs s’ĂȘtre retrouvĂ©e contre son grĂ© dans plusieurs films x. D’autres souffrent de stress post-traumatiques ou font des opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique Ă  rĂ©pĂ©tition.
De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, trĂšs peu de victimes osent porter plainte. Mais en juin dernier, le responsable d’une cĂ©lĂšbre agence de recrutement de Tokyo a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© par la police. Il lui Ă©tait reprochĂ© d’avoir forcĂ© une femme Ă  jouer dans un film porno, en la menaçant de devoir payer des pĂ©nalitĂ©s si elle refusait. A la suite de cette affaire, le puissant lobby de l’industrie pornographique japonaise The Intellectual Property Promotion Association (IPPA) a prĂ©sentĂ© ses excuses et a encouragĂ© ses membres Ă  bannir ces pratiques.
Devant la mĂ©diatisation du phĂ©nomĂšne et la prise de parole en public de plusieurs victimes ces derniers mois, le gouvernement s’est aussi emparĂ© du sujet. Une campagne de prĂ©vention, avec un site et une hotline dĂ©diĂ©es, a Ă©tĂ© lancĂ©e en ce mois d’avril, qui correspond Ă  la rentrĂ©e scolaire et universitaire au Japon. Une pĂ©riode propice pour les recruteurs des fameuses « agences de talents », Ă  la recherche de personnes vulnĂ©rables fraĂźchement dĂ©barquĂ©es Ă  Tokyo.
« C’est trĂšs encourageant de voir que le gouvernement prenne ce problĂšme au sĂ©rieux » , rĂ©agit Aiki Segawa de Lighthouse. « Le gouvernement a rĂ©agi vite sur ce sujet. Sur nos autres sujets de campagne, ils le sont beaucoup moins » , remarque l’avocate Kazuko Ito. Pour prĂ©server l’image de l’archipel ? Selon les deux activistes, l’imminence des JO de Tokyo en 2020 n’y serait pas pour rien.
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Il a beau ĂȘtre rĂ©putĂ© le quartier le plus dangereux de la capitale, KabukichĂŽ n’en attire pas moins les touristes en quĂȘte de ses soap lands, salons de massage, boites de nuit, bar Ă  hĂŽtesses, Ă  strip-tease et autres Ă©tablissements de plaisir oĂč officient des prostituĂ©es (en dĂ©pit de l’interdiction) et dont nombre travaillent sous la coupelle des yakuzas. Mais si l’on y circule sans risque, le quartier chaud de Tokyo n’en cache pas moins des piĂšges qu’il faut savoir reconnaitre pour ne pas se retrouver dans une situation dĂ©licate. Le principal : les rabatteurs de rue qui alpaguent le client pour l’arnaquer mais qui, surtout, recrutent les futures hĂŽtesses parmi les jeunes filles qui circulent, leur faisant miroiter d’importantes sommes d’argent


À KabukichĂŽ, le quartier chaud de Tokyo largement reprĂ©sentĂ© dans le cinĂ©ma ou encore les jeux-vidĂ©os, le danger n’est pas dans la rue . Les conseils les plus importants Ă  retenir pour les touristes qui vont s’y encanailler Ă  la nuit tombĂ©e : laisser carte bancaire et papiers d’identitĂ© Ă  l’hĂŽtel et ne pas suivre un de ces rabatteurs de rue qui vante avec insistance les mĂ©rites de l’établissement pour lequel il travaille. D’une part, quoi qu’on pense de leurs services, les Ă©tablissements rĂ©putĂ©s n’ont pas besoin d’avoir recours Ă  ce genre de procĂ©dĂ©s . Et d’autre part, aller dans un tel endroit c’est trĂšs souvent prendre le risque de se retrouver avec en fin de soirĂ©e une facture astronomique pour le service payĂ©. La police n’est alors d’aucune aide. Le client, Ă  qui l’on avait fait miroiter le contraire, sera, sous couvert de menaces, fortement incitĂ© Ă  l’honorer et s’en tirera souvent aprĂšs « nĂ©gociations » en donnant tout l’argent qu’il a sur lui . Quand parfois, dans les Ă©tablissements les plus douteux et cas extrĂȘmes, le client n’est pas droguĂ© pour ĂȘtre dĂ©pouillĂ© plus aisĂ©ment de son argent et de ses cartes bancaires . Des pratiques visant principalement les touristes Ă©trangers en hausse (dix fois plus de plaintes pour escroqueries en 2015 sur une pĂ©riode de quatre mois par rapport Ă  2014) qui inquiĂštent les autoritĂ©s Ă  l’approche des Jeux Olympiques de Tokyo en 2020.
À ces fins, les autoritĂ©s ont dĂ©ployĂ© une patrouille qui sillonne le quartier pour avertir les touristes des risques et faire fuir les rabatteurs au moins temporairement. Car ces derniers, opiniĂątres et plus nombreux, se contentent de revenir une fois la patrouille passĂ©e. Une initiative aux rĂ©sultats en demi-teinte donc. KabukichĂŽ, dont le nom provient d’un thĂ©Ăątre de kabuki qui ne fut jamais construit , compte des milliers d’établissements plus ou moins lĂ©gaux, aux mains de la mafia japonaise et depuis quelques annĂ©es chinoise. Des mafias qui se sont faites plus discrĂštes et donc plus difficiles Ă  combattre. Un patron de bar et membre de la patrouille, nĂ© dans le quartier, estime Ă  40% le nombre d’établissements arnaquant les clients et rĂ©clame plus de moyens et de volontĂ© de la part des autoritĂ©s pour lutter efficacement contre ce flĂ©au. L’unique poste de police de KabukichĂŽ parait bien impuissant d’autant plus que les policiers Ă©vitent gĂ©nĂ©ralement de prendre parti lors des conflits opposant clients arnaquĂ©s et patrons vĂ©reux.
A post shared by Frankie Travels (@frantabina) on May 21, 2018 at 6:32am PDT
Comment les filles tombent dans les mains de la mafia
Un autre genre de rabatteur a pris de l’essor : ceux qui se chargent de recruter des hĂŽtesses pour les bars et les salons de « massage ». Dans les annĂ©es 2000, les autoritĂ©s tokyoĂŻtes ont donnĂ© un grand coup de balai dans le quartier : pose de camĂ©ras de surveillance, expulsion des mafias (qui ont nĂ©anmoins su rester en se cachant), fermeture des Ă©tablissements illĂ©gaux, sanctions contre les rabatteurs, interdiction de certaines prestations. Si le quartier est alors devenu plus sĂ»r, un nouveau type de rabatteur est apparu dans le sillage laissĂ© vacant par les yakuzas et les mafias Ă©trangĂšres dĂ©logĂ©es. Leur nombre n’a cessĂ© d’augmenter malgrĂ© les mesures prises ; de plus, l’organisation de ces dĂ©linquants moins structurĂ©e qu’auparavant les rend moins visibles et donc difficilement contrĂŽlables. Ils font dĂ©sormais preuve d’une grande discrĂ©tion et d’intelligence pratique.
Travaillant directement pour un Ă©tablissement, employĂ© par une agence ou indĂ©pendant, le rabatteur officie sur un territoire bien dĂ©fini. Il est rĂ©munĂ©rĂ© Ă  la commission selon le type d’établissement auquel il est affiliĂ© et selon le physique, l’expĂ©rience et le succĂšs de l’hĂŽtesse qu’il aura recrutĂ©e. Par contre, pour les Ă©tablissements qui proposent des services sexuels, le recruteur perçoit un pourcentage rĂ©gulier (10-15%) sur les gains de la fille tout au long de sa carriĂšre (Ă  l’image des pratiques de l’industrie pornographiques). Pourtant, peu de rabatteurs arrivent aujourd’hui Ă  gagner correctement leur vie tant ils sont nombreux s’arracher ce « marché » humain , et on ne va pas les en plaindre.
Devant les offres d’emploi officielles – donc lĂ©galement encadrĂ©es – qui n’ont jamais Ă©tĂ© aussi nombreuses , les filles dĂ©cident souvent de changer d’établissement, privant soudainement leurs rabatteurs de revenus. D’autant plus que les frais initiaux engendrĂ©s pour convaincre une future recrue en l’invitant au restaurant ou boire un verre pour discuter sortent de la poche des rabatteurs. Ainsi, son rĂŽle consiste le plus souvent Ă  sympathiser « l’air de rien » avec les filles pour tenter de les convaincre qu’une vie plus riche et plus libre s’offre Ă  elle dans le monde de la nuit. Une fuite qui peut parfois ĂȘtre diablement tentante dans la sociĂ©tĂ© japonaise dictĂ©e par les normes et un mode de vie centrĂ© sur le travail. Par ailleurs, on leur promet des revenus allant de 10 000 Ă  20 000 euros par mois , parfois plus. Une escorte « de luxe » au physique apprĂ©ciĂ© demandera Ă  son client entre 150 et 400 euros de l’heure !
A post shared by ăƒ€ăƒ«ă‚Ż (@darcjp666) on May 21, 2018 at 7:20am PDT
La manipulation : l’art dĂ©licat des rabatteurs
Mais les rabatteurs ne connaissent pas la mĂȘme situation. Aujourd’hui, seuls ceux qui sont dĂ©jĂ  bien implantĂ©s, Ă  peine un sur dix, continuent de se faire assez d’argent pour vivre. La majoritĂ© des autres reste peu de temps, de nouvelles tĂȘtes Ă©mergent alors quotidiennement et parmi elles, des individus louches ou dĂ©sĂ©quilibrĂ©s , souvent consommateurs de drogues qui finissent par causer des problĂšmes. Une tendance qui inquiĂšte mĂȘme les patrons et travailleurs du monde de la
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