Il se fait une Japonaise
đ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đđ»đđ»đđ»
Il se fait une Japonaise
Play Mute Fullscreen Fluid Player 3.5.0
Pour laisser un commentaire vous devez vous connecter ! Cliquez ici pour vous inscrire
1
2
Comment fait-on pour ĂȘtre recruteur chez AKB48 ?
3
5
Les moules sont fraĂźches car elles s'ouvrent.
2
4
C'est que du bonheur d'ĂȘtre mariĂ© Ă une Japonaise
0
7
reste plus qu'à raccourcir les jupe et ça deviendra interessant...sinon c'est trés .....japonais!
0
7
elles sont sympas les japonaises mais leur cries je n'en peux plus (si tu vois ce que je veux dire ^^)
1
8
⊠En Europe (et ailleurs), elles écartent les cuisses sans sushi...
1
2
11
2
La preuve que le kamasutra vient de lĂ
Les meilleurs contributeurs du mois
mansail :
passage Ă niveau avec composants chinois......
Mongolito :
Plouf la pouf
mansail :
et merde le portail ;il est fichu maintenant ,fallait sacrifier la tĂšte
mansail :
Beau geste....des 2
madmac :
Le chapeau me semble vraiâŠ
Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accĂ©der Ă des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basĂ©s sur l'intĂ©rĂȘt lĂ©gitime Ă tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialitĂ© sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Analyser activement les caractĂ©ristiques du terminal pour lâidentification , CrĂ©er un profil personnalisĂ© de publicitĂ©s , CrĂ©er un profil pour afficher un contenu personnalisĂ© , DĂ©velopper et amĂ©liorer les produits , Exploiter des Ă©tudes de marchĂ© afin de gĂ©nĂ©rer des donnĂ©es dâaudience , Mesurer la performance des publicitĂ©s , Mesurer la performance du contenu , Stocker et/ou accĂ©der Ă des informations sur un terminal , SĂ©lectionner des publicitĂ©s personnalisĂ©es , SĂ©lectionner des publicitĂ©s standard , SĂ©lectionner du contenu personnalisĂ© , Utiliser des donnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises
En savoir plus â Refuser Accepter & Fermer
Au Japon, des femmes piégées dans le monde du X prennent la parole
Abonné
Cinéma
AccĂ©dez Ă lâintĂ©gralitĂ© des Inrockuptibles
Publié le 8 avril 2017 à 10h33 Mis à jour
le 8 avril 2017 Ă 10h33
Clip de sensibilisation contre les piĂšges tendus aux femmes japonaises par l'industrie du X (capture d'Ă©cran)
Au pays du soleil levant, de plus en plus de femmes affirment avoir été bernées pour jouer dans des films pornos. Face au phénomÚne, le gouvernement japonais vient de lancer une campagne de prévention.
Un dimanche matin dâavril, dans le parc dâUeno au cĆur de Tokyo. Sous les cerisiers en fleurs, des dizaines de passants tendent leur perche Ă selfie pour se prendre avec les fameux « sakura » (des cerisiers ornementaux du Japon). A lâĂ©cart de la foule, assise Ă la terrasse dâun Starbucks CafĂ©, celle qui se fait appeler « Kurumin Aroma » nâest pas vraiment dâhumeur Ă sâextasier devant les fleurs blanches et roses. Avec ses vĂȘtements amples et son bob colorĂ© sur la tĂȘte, elle ressemble Ă nâimporte quelle autre tokyoĂŻte passant Ă cĂŽtĂ©. Mais sĂ»rement pas Ă une actrice de films X.
La youtubeuse de 26 ans sâest pourtant retrouvĂ©e sur le tournage de vidĂ©os pornos il y a quatre ans, Ă la suite dâune rencontre avec un « recruteur de talents », dans le quartier de Shinjuku, lâun des plus animĂ© de la capitale nippone. Lâhomme lui propose de faire des photos pour un magazine populaire au Japon et un petit rĂŽle de pin-up pour un film. A cette Ă©poque, la jeune Ă©tudiante rĂȘve de se lancer dans la chanson. Son interlocuteur lui promet alors de lâaider Ă dĂ©buter sa carriĂšre avec des cours de chant. Kurumin Aroma se laisse convaincre.
« Jâai signĂ© un contrat oĂč il nây avait pas de dĂ©tails sur le contenu du film », indique-t-elle.
« Je pleurais beaucoup. Du coup, jâĂ©tais obligĂ©e de rejouer les scĂšnes »
Une semaine plus tard, elle se retrouve dans le bureau du responsable dâune boĂźte de production, qui lui annonce quâelle va jouer dans un film porno. Lâhomme se montre menaçant. Son contrat a dĂ©jĂ Ă©tĂ© signĂ©. Elle se sent coincĂ©e. « Jâavais peur que si je refuse, ils annulent leur proposition pour mâaider Ă dĂ©buter ma carriĂšre dans la musique » , raconte la jeune femme.
Quelques semaines plus tard, elle se retrouve sur lâĂźle de Saipan, au beau milieu du Pacifique, pour le tournage. « Nous Ă©tions 8 personnes. On mâa demandĂ© de me toucher devant la camĂ©ra. Jâavais trĂšs peur, je pleurais beaucoup. Du coup, jâĂ©tais obligĂ©e de rejouer les scĂšnes. » Une premiĂšre expĂ©rience traumatisante.
A son retour sur lâarchipel, la jeune fille indique Ă la boĂźte de production quâelle ne veut plus faire de films. « Le responsable mâa dit âmaintenant que tu as tournĂ© dans un film x, ce ne sera ni la premiĂšre ni la derniĂšre foisâ » , rapporte la Japonaise. Dans son bureau, elle se met Ă pleurer. Autour dâelle, une dizaine dâhommes font alors tout pour la persuader de rester. « Ils me disaient que le monde du porno Ă©tait merveilleux, que câĂ©tait un passage nĂ©cessaire pour faire de la musique » , se souvient-elle. Sentant quâil lui est impossible de faire marche arriĂšre, elle finit par cĂ©der.
Lors du tournage du deuxiĂšme film, on lâoblige Ă avoir des rapports sexuels avec trois hommes diffĂ©rents. « DerriĂšre la camĂ©ra, le chef voulait quâon aille plus loin, que ce soit plus trash. Je voulais finir le plus vite possible pour que tout ça sâarrĂȘte » , raconte la jeune femme. Avait-elle alors conscience quâil sâagissait dâun viol ? « Oui » , souffle-t-elle en baissant la tĂȘte.
Cette fois-ci, ce tournage sera le dernier pour elle. Juste aprĂšs, le patron de la sociĂ©tĂ© a pris la poudre dâescampette⊠et le salaire quâelle devait toucher.
« Kurumin Aroma » est loin dâĂȘtre la seule jeune japonaise devenue actrice porno malgrĂ© elle. LâannĂ©e derniĂšre, des associations ont tirĂ© la sonnette dâalarme, devant la recrudescence de nombre de victimes qui venaient les consulter : +64% en lâespace de deux ans. Sur lâannĂ©e 2016, Lighthouse et PAPS (People Against Pornography And Sexual Violence) ont recensĂ© 100 nouveaux cas, dont quelques hommes. Depuis le dĂ©but de lâannĂ©e 2017, 20 personnes se sont manifestĂ©es.
« Ce nâest que la partie immergĂ©e de lâiceberg, sâinquiĂšte Aiki Segawa, la porte-parole de lâassociation, qui a rĂ©alisĂ© un clip de prĂ©vention. Comme câest un sujet trĂšs tabou, beaucoup de victimes nâen parlent Ă personne. Elles pensent que câest de leur faute. Vous savez, dans la sociĂ©tĂ© japonaise, il y a un grand sens de la responsabilitĂ© personnelle. Elles pensent donc quâelles y sont allĂ©es Ă leurs risques et pĂ©rils. »
Lâassociation reçoit ainsi des femmes qui ont jouĂ© malgrĂ© elles dans des films pornos il y a 5 voire 10 ans.
Des proies faciles pour des recruteurs véreux
Pour Kazuko Ito, avocate et fondatrice de Human Rights Now (HRN), les victimes ont des profils assez semblables : « Toutes sont japonaises, ont entre 18 et 25 ans. Elles sont au lycĂ©e, Ă©tudiantes ou font des petits boulots. Certaines sont originaires de zones rurales et dĂ©barquent tout juste Ă Tokyo. Elles rĂȘvent de devenir cĂ©lĂšbres, comme mannequin, chanteuse, danseuse etc. » Des proies faciles pour des recruteurs vĂ©reux.
Ces derniers ne sont dâailleurs pas toujours de petites productions inconnues, certains ont une certaine notoriĂ©tĂ© sur le marchĂ© du X. Au Japon, lâindustrie pornographique pĂšse plusieurs milliards de dollars et produit 20 000 films par an. Les producteurs sont donc toujours Ă lâaffĂ»t de chair fraĂźche, surtout de trĂšs jeunes femmes, pour figurer dans leurs films.
Les recruteurs se montrent trĂšs persuasifs pour garder leurs nouvelles recrues. « Ils leur disent que si elles refusent de jouer, elles devront payer 1 million de yen (environ 8 400 âŹ), quâils raconteront tout Ă leurs parents, Ă leurs proches, au responsable de leur lycĂ©e etc. » , poursuit lâavocate.
Stress post-traumatique, suicide, opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique Ă rĂ©pĂ©titionâŠ
Un vrai lavage de cerveau, dont lâissue peut parfois ĂȘtre dramatique. Selon HRN, une jeune femme se serait suicidĂ©e aprĂšs sâĂȘtre retrouvĂ©e contre son grĂ© dans plusieurs films x. Dâautres souffrent de stress post-traumatiques ou font des opĂ©rations de chirurgie esthĂ©tique Ă rĂ©pĂ©tition.
De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, trĂšs peu de victimes osent porter plainte. Mais en juin dernier, le responsable dâune cĂ©lĂšbre agence de recrutement de Tokyo a Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© par la police. Il lui Ă©tait reprochĂ© dâavoir forcĂ© une femme Ă jouer dans un film porno, en la menaçant de devoir payer des pĂ©nalitĂ©s si elle refusait. A la suite de cette affaire, le puissant lobby de lâindustrie pornographique japonaise The Intellectual Property Promotion Association (IPPA) a prĂ©sentĂ© ses excuses et a encouragĂ© ses membres Ă bannir ces pratiques.
Devant la mĂ©diatisation du phĂ©nomĂšne et la prise de parole en public de plusieurs victimes ces derniers mois, le gouvernement sâest aussi emparĂ© du sujet. Une campagne de prĂ©vention, avec un site et une hotline dĂ©diĂ©es, a Ă©tĂ© lancĂ©e en ce mois dâavril, qui correspond Ă la rentrĂ©e scolaire et universitaire au Japon. Une pĂ©riode propice pour les recruteurs des fameuses « agences de talents », Ă la recherche de personnes vulnĂ©rables fraĂźchement dĂ©barquĂ©es Ă Tokyo.
« Câest trĂšs encourageant de voir que le gouvernement prenne ce problĂšme au sĂ©rieux » , rĂ©agit Aiki Segawa de Lighthouse. « Le gouvernement a rĂ©agi vite sur ce sujet. Sur nos autres sujets de campagne, ils le sont beaucoup moins » , remarque lâavocate Kazuko Ito. Pour prĂ©server lâimage de lâarchipel ? Selon les deux activistes, lâimminence des JO de Tokyo en 2020 nây serait pas pour rien.
Je veux enregistrer ce contenu pour le lire plus tard
Je n'ai pas encore de compte pour alimenter ma bibliothĂšque
Bienvenue ! Connectez-vous Ă votre compte :
Faites le plein de cadeaux sur Tipeee
15 réalités perturbantes sur le Japon qui donnent à réfléchir⊠Modernité 10 août 2022
Mangaka : les dessous dâun mĂ©tier infernal qui fait rĂȘver Arts 9 aoĂ»t 2022
Japon : ce qui a sauvĂ© le Shiba de lâextinction Traditions 15 aoĂ»t 2022
Le nouveau zapping des publicités japonaises du mois Blog 14 août 2022
Pourquoi le Parc Ghibli ne sera PAS un parc dâattractions Blog 8 fĂ©vrier 2022
Une piscine de pĂ©tales de cerisiers vient dâouvrir Ă Tokyo ! Wow ! 16 fĂ©vrier 2019
Les bloc-notes les plus cools du monde sont au Japon ! Arts 16 janvier 2018
LâĂ©trange magie des bains chauds japonais rĂ©vĂ©lĂ©e par la photographie Arts 30 dĂ©cembre 2021
20 photographies dâHalloween au cĆur de Tokyo ModernitĂ© 1 novembre 2016
Visite de lâincroyable festival de la neige Ă Sapporo Arts 12 fĂ©vrier 2017
© Japanization - Tous droits réservés
Il a beau ĂȘtre rĂ©putĂ© le quartier le plus dangereux de la capitale, KabukichĂŽ nâen attire pas moins les touristes en quĂȘte de ses soap lands, salons de massage, boites de nuit, bar Ă hĂŽtesses, Ă strip-tease et autres Ă©tablissements de plaisir oĂč officient des prostituĂ©es (en dĂ©pit de lâinterdiction) et dont nombre travaillent sous la coupelle des yakuzas. Mais si lâon y circule sans risque, le quartier chaud de Tokyo nâen cache pas moins des piĂšges quâil faut savoir reconnaitre pour ne pas se retrouver dans une situation dĂ©licate. Le principal : les rabatteurs de rue qui alpaguent le client pour lâarnaquer mais qui, surtout, recrutent les futures hĂŽtesses parmi les jeunes filles qui circulent, leur faisant miroiter dâimportantes sommes dâargentâŠ
Ă KabukichĂŽ, le quartier chaud de Tokyo largement reprĂ©sentĂ© dans le cinĂ©ma ou encore les jeux-vidĂ©os, le danger nâest pas dans la rue . Les conseils les plus importants Ă retenir pour les touristes qui vont sây encanailler Ă la nuit tombĂ©e : laisser carte bancaire et papiers dâidentitĂ© Ă lâhĂŽtel et ne pas suivre un de ces rabatteurs de rue qui vante avec insistance les mĂ©rites de lâĂ©tablissement pour lequel il travaille. Dâune part, quoi quâon pense de leurs services, les Ă©tablissements rĂ©putĂ©s nâont pas besoin dâavoir recours Ă ce genre de procĂ©dĂ©s . Et dâautre part, aller dans un tel endroit câest trĂšs souvent prendre le risque de se retrouver avec en fin de soirĂ©e une facture astronomique pour le service payĂ©. La police nâest alors dâaucune aide. Le client, Ă qui lâon avait fait miroiter le contraire, sera, sous couvert de menaces, fortement incitĂ© Ă lâhonorer et sâen tirera souvent aprĂšs « nĂ©gociations » en donnant tout lâargent quâil a sur lui . Quand parfois, dans les Ă©tablissements les plus douteux et cas extrĂȘmes, le client nâest pas droguĂ© pour ĂȘtre dĂ©pouillĂ© plus aisĂ©ment de son argent et de ses cartes bancaires . Des pratiques visant principalement les touristes Ă©trangers en hausse (dix fois plus de plaintes pour escroqueries en 2015 sur une pĂ©riode de quatre mois par rapport Ă 2014) qui inquiĂštent les autoritĂ©s Ă lâapproche des Jeux Olympiques de Tokyo en 2020.
Ă ces fins, les autoritĂ©s ont dĂ©ployĂ© une patrouille qui sillonne le quartier pour avertir les touristes des risques et faire fuir les rabatteurs au moins temporairement. Car ces derniers, opiniĂątres et plus nombreux, se contentent de revenir une fois la patrouille passĂ©e. Une initiative aux rĂ©sultats en demi-teinte donc. KabukichĂŽ, dont le nom provient dâun thĂ©Ăątre de kabuki qui ne fut jamais construit , compte des milliers dâĂ©tablissements plus ou moins lĂ©gaux, aux mains de la mafia japonaise et depuis quelques annĂ©es chinoise. Des mafias qui se sont faites plus discrĂštes et donc plus difficiles Ă combattre. Un patron de bar et membre de la patrouille, nĂ© dans le quartier, estime Ă 40% le nombre dâĂ©tablissements arnaquant les clients et rĂ©clame plus de moyens et de volontĂ© de la part des autoritĂ©s pour lutter efficacement contre ce flĂ©au. Lâunique poste de police de KabukichĂŽ parait bien impuissant dâautant plus que les policiers Ă©vitent gĂ©nĂ©ralement de prendre parti lors des conflits opposant clients arnaquĂ©s et patrons vĂ©reux.
A post shared by Frankie Travels (@frantabina) on May 21, 2018 at 6:32am PDT
Comment les filles tombent dans les mains de la mafia
Un autre genre de rabatteur a pris de lâessor : ceux qui se chargent de recruter des hĂŽtesses pour les bars et les salons de « massage ». Dans les annĂ©es 2000, les autoritĂ©s tokyoĂŻtes ont donnĂ© un grand coup de balai dans le quartier : pose de camĂ©ras de surveillance, expulsion des mafias (qui ont nĂ©anmoins su rester en se cachant), fermeture des Ă©tablissements illĂ©gaux, sanctions contre les rabatteurs, interdiction de certaines prestations. Si le quartier est alors devenu plus sĂ»r, un nouveau type de rabatteur est apparu dans le sillage laissĂ© vacant par les yakuzas et les mafias Ă©trangĂšres dĂ©logĂ©es. Leur nombre nâa cessĂ© dâaugmenter malgrĂ© les mesures prises ; de plus, lâorganisation de ces dĂ©linquants moins structurĂ©e quâauparavant les rend moins visibles et donc difficilement contrĂŽlables. Ils font dĂ©sormais preuve dâune grande discrĂ©tion et dâintelligence pratique.
Travaillant directement pour un Ă©tablissement, employĂ© par une agence ou indĂ©pendant, le rabatteur officie sur un territoire bien dĂ©fini. Il est rĂ©munĂ©rĂ© Ă la commission selon le type dâĂ©tablissement auquel il est affiliĂ© et selon le physique, lâexpĂ©rience et le succĂšs de lâhĂŽtesse quâil aura recrutĂ©e. Par contre, pour les Ă©tablissements qui proposent des services sexuels, le recruteur perçoit un pourcentage rĂ©gulier (10-15%) sur les gains de la fille tout au long de sa carriĂšre (Ă lâimage des pratiques de lâindustrie pornographiques). Pourtant, peu de rabatteurs arrivent aujourdâhui Ă gagner correctement leur vie tant ils sont nombreux sâarracher ce « marché » humain , et on ne va pas les en plaindre.
Devant les offres dâemploi officielles â donc lĂ©galement encadrĂ©es â qui nâont jamais Ă©tĂ© aussi nombreuses , les filles dĂ©cident souvent de changer dâĂ©tablissement, privant soudainement leurs rabatteurs de revenus. Dâautant plus que les frais initiaux engendrĂ©s pour convaincre une future recrue en lâinvitant au restaurant ou boire un verre pour discuter sortent de la poche des rabatteurs. Ainsi, son rĂŽle consiste le plus souvent Ă sympathiser « lâair de rien » avec les filles pour tenter de les convaincre quâune vie plus riche et plus libre sâoffre Ă elle dans le monde de la nuit. Une fuite qui peut parfois ĂȘtre diablement tentante dans la sociĂ©tĂ© japonaise dictĂ©e par les normes et un mode de vie centrĂ© sur le travail. Par ailleurs, on leur promet des revenus allant de 10 000 Ă 20 000 euros par mois , parfois plus. Une escorte « de luxe » au physique apprĂ©ciĂ© demandera Ă son client entre 150 et 400 euros de lâheure !
A post shared by ăă«ăŻ (@darcjp666) on May 21, 2018 at 7:20am PDT
La manipulation : lâart dĂ©licat des rabatteurs
Mais les rabatteurs ne connaissent pas la mĂȘme situation. Aujourdâhui, seuls ceux qui sont dĂ©jĂ bien implantĂ©s, Ă peine un sur dix, continuent de se faire assez dâargent pour vivre. La majoritĂ© des autres reste peu de temps, de nouvelles tĂȘtes Ă©mergent alors quotidiennement et parmi elles, des individus louches ou dĂ©sĂ©quilibrĂ©s , souvent consommateurs de drogues qui finissent par causer des problĂšmes. Une tendance qui inquiĂšte mĂȘme les patrons et travailleurs du monde de la
Une petite coquine se fait baiser
Pousse des godes géants pour cette salope
ScÚne sexuelle capturée par une caméra de sécurité