Il se donne à fond pour ces deux femmes

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Il se donne à fond pour ces deux femmes
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Être beauf, c’est tout un art. Il ne s’agit pas que de porter un bob Ricard et une coupe mulet en hurlant « J’ai le cigare au bord des lèvres » ou tout autres phrase de beauf . Non, être beauf, c’est plus que ça. C’est aussi donner aux femmes des petits surnoms pour leur donner envie de copuler sans attendre. Voilà donc quelques-unes des expressions à utiliser pour charmer ces demoiselles et les mettre dans votre lit en trente secondes. Si avec ça, elles ne donnent pas tout pour devenir votre petite femme et vous cuisiner des bons plats en vous attendant à la maison, je comprends R.
Degré de beaufitude : 110% car ça parle de nénés mdr, les grosses loches.
La pire utilisation possible : Bon, les petites nénettes, elles nous servent un café ou elles continuent de bayer aux corneilles ?
Degré de beaufitude : 50% car ça revient en force à cause de la Gen Z. Ils se prennent pour qui les jeunots là ??
La pire utilisation possible : Oh les zoulettes, vous participez au concours de tee-shirt mouillé du camping j’espère !
Degré de beaufitude : 70%, trop utilisé et rappelle beaucoup la marque de serviettes hygiéniques.
La pire utilisation possible : Alors les nanas, on se bronze les meules au soleil ?
Degré de beaufitude : 1000%, on est clairement sur le surnom le plus beauf de toute l’histoire des surnoms.
La pire utilisation possible : Non mais laisse J-P, les bonnes femmes vont s’occuper de débarrasser la table.
Degré de beaufitude : 140%, un surnom qui respire bon le féminisme.
La pire utilisation possible : Bon les greluches, on va pas y passer la nuit, on vous ramène chez nous ou pas ?
Degré de beaufitude : 60%, trop donné à des chiens franchement.
La pire utilisation possible : Alors les pépéttes, ça part en ptite séance shopping ?
Degré de beaufitude : 75%, c’est vrai qu’elles piaillent fort les ptites femmes quand même hein ?
La pire utilisation possible : Elles vont se la fermer les dindes dans le fond là, on aimerait bien entendre le match !
Degré de beaufitude : 130%, un classique efficace et indémodable.
La pire utilisation possible : Alors les gonzes, y a du monde au balcon ?
Degré de beaufitude : 100%, rendu d’autant plus angoissant quand il est utilisé sur des ados.
La pire utilisation possible : Salut les miss, alors ça fait quoi ce soir, on se boit un petit coup entre copines quand les mecs sont pas là ?
Degré de beaufitude : 150%, un surnom qui donne pas du tout envie de devenir activiste chez les Femen, évidemment.
La pire utilisation possible : Oh mais faut se calmer les grognasses, avec votre féminisme de merde !
Degré de beaufitude : 10%, pas celui qui donne le plus envie de s’acheter des lunettes en forme de teub.
La pire utilisation possible : Oklm, posé à la piscine avec les raclis.
Degré de beaufitude : 135%, expression préférée d’Éric Dupont-Moretti, un homme bon et plein de sagesse, à prendre en exemple 24h/24.
La pire utilisation possible : Hé bobonne, tu m’ouvres une ptite binouze ?
Degré de beaufitude : 65%, y a comme un goût d’appropriation culturelle gitane non ?? Faites plus original que ça.
La pire utilisation possible : Ça te dirait petit date au Courtepaille ma gadji ?
Degré de beaufitude : 120%, expression qui faisait déjà son petit effet au Moyen-Âge.
La pire utilisation possible : Eh les donzelles, virez du terrain, y’en a qui voudraient jouer pour de vrai.
Degré de beaufitude : 95%, un surnom qui donne envie d’enfanter à tout va.
La pire utilisation possible : Ah bah Emily Ratajkowski c’est une bonne pouliche hein, je te le dis !
Degré de beaufitude : 75%, ça inspire clairement le respect de la femme. À deux doigts de leur filer l’égalité salariale tsais.
La pire utilisation possible : Regarde-moi ça les pépés avec leurs lunettes de soleil là et leurs poses Insta ! Tout pour attirer l’attention, j’te jure…
Degré de beaufitude : 45%, fonctionne encore mais trop entendu, c’est presque un surnom normal maintenant.
La pire utilisation possible : Fait chaud aujourd’hui, on a sorti la ptite jupe à ce que je vois les poulettes !
Degré de beaufitude : 180%, une objectification de la femme comme on l’aime, bravo à tous.
La pire utilisation possible : Et les poupées, elles prendront quoi en plat, de la salade ?
La science ne trompe pas, si tu utilises une de ces expressions ou l’un de ces diminutifs beaufs , c’est que tu es beauf . CQFD.
T'as quelque chose à dire, une réaction ? C'est ici. Oui, c'est bien fait hein ?
Si tu aimes ce Top,
tu aimeras ça aussi. Puisqu'on te le dit.
On sait bien que t'as encore 5 minutes...


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Source : Enquête sur les fantasmes autour du sexe entre femmes, communiqué de presse et enquête Ifop, 25 avril 2018
Publié par Anne Valois , le 25/04/2018 à 12:13
L'amour entre femmes figure parmi les thématiques les plus recherchées sur les sites spécialisés dans la pornographie . Mais qu'en est-il en réalité ? C'est la question qu'a posé l'Ifop à 2 001 personnes (1). En dehors des films X, il semble que le sexe lesbien n'affole pas la population féminine.
Environ une sondée sur six a déjà ressenti du désir pour une autre femme . Les jeunes sont un peu plus nombreuses à l'affirmer, mais le phénomène reste marginal. A peine davantage font preuve de curiosité à l'égard des rapports sexuels saphiques.
17 % des Françaises ont déjà regardé deux femmes faire l'amour, ou le souhaiteraient. Du côté de ces messieurs, deux tiers de la population proclame la même chose. Et il n'y a pas que sur ce plan que l'industrie du X diffère des désirs féminins.
Les pratiques qui font fantasmer les femmes varient largement de celles qui excitent les hommes … et encore plus de celles qui sont présentées à l'écran. Tout d'abord parce que ces messieurs expriment un enthousiasme bien plus élevé à l'égard des pratiques lesbiennes.
Mais alors qu'est-ce qui excite ces répondantes ? Plus d'une sondée sur deux se dit très vivifiée en imaginant deux amantes s'adonner au cunnilingus . Une pratique encore peu représentée dans les films pornographiques, comme le note l'Ifop dans un communiqué.
Ces réponses s'expliquent "sans doute parce qu’il est encore le parent pauvre des scènes de sexe entre hommes et femmes visibles dans les films X, films qui s’avèrent encore trop souvent le fruit d’une vision très phallo-centrée de sexualité".
Au second rang des gestes qui attisent la libido des sondées, la stimulation des seins – que ce soit en caressant, léchant ou suçant. 30 % des femmes interrogées aimeraient voir cela représenté – contre 52 % chez les hommes. Arrive ensuite l'échange de baisers entre deux amantes.
La pénétration est, en revanche, un geste qui ne suscite pas une excitation folle . Seule une sondée sur cinq se dit stimulée à l'idée d'une telle pratique. Les hommes, eux, sont 58 % à exprimer un désir avivé par cette image.
Autre sujet qui divise : les rapports anaux . Seuls 11 % des femmes interrogées expriment un intérêt, que ce soit pour la pénétration avec un objet ou avec ses doigts ou un anulingus. Du côté de la gent masculine, un peu plus d'un tiers des sondés tireraient du plaisir d'un tel visionnage.
(1) Étude Ifop pour le site Référence Sexe réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 27 au 28 mars 2018 auprès d’un échantillon de 2 001 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus
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Publié le
23/09/2017 à 21:00 , mis à jour le

30/07/2018 à 10:37








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Faire l'amour à plusieurs était un fantasme de longue date pour Geoffrey.
"Faire l'amour à plusieurs a toujours été l'un de mes fantasmes, sans pour autant que je cherche à sauter le pas à tout prix. Mon scénario idéal est d'être entouré de deux femmes, mais maintenant que je suis passé à l'acte, je réalise que c'est la seule configuration que je n'ai pas connue. 

J'avais 22 ans lors de ma première expérience. J'étais en Erasmus, je vivais en Italie et je m'entendais très bien avec mon colocataire, Erwan, un Français. Mon ex-petite amie, Amandine, est venue me rendre visite une semaine. Nous étions restés en bons termes, nous partagions une relation de sex friends , légère et agréable, faisant l'amour régulièrement mais sans exclusivité. 

Je ne sais pas si mon colocataire lui a plu au premier regard mais elle m'a rapidement soufflé l'idée que l'on pourrait tenter ça tous les trois. Elle connaissait mon fantasme et je la savais complètement libre sur le sujet. Amandine était curieuse, elle n'avait jamais fait l'amour à plusieurs. Peut-être que cela nous rassurait de nous lancer ensemble. Après tout, nous étions très complices sexuellement sans être un couple, il n'y avait donc aucun risque de jalousie . J'ai fini par répondre: 'Pourquoi pas'. 

J'avais tout de même quelques doutes: mon coloc était un homme et je ne me sentais pas d'attirance physique pour lui. Pourtant, j'étais prêt à dépasser cela, mon envie prenait le dessus. Un soir, nous sommes sortis avec Erwan et Amandine. Des amies américaines se sont jointes à nous. Avec Amandine, on leur a montré comment faire un french kiss . Elle est ensuite allée plus loin en les embrassant. Quant à mon coloc, il était toujours là. L'alcool aidant, toutes les langues ont commencé à se mélanger. On a décidé de rentrer à quatre, avec une des Américaines, mais au dernier moment, cette dernière a fait marche arrière. 

Arrivés à la chambre, mon coloc et moi hésitions encore un peu mais Amandine nous a vite ordonné de nous occuper d'elle. On a commencé à la caresser. C'est là que le fou rire a débuté. La situation était si inhabituelle qu'Erwan et moi étions hilares et incapables de faire quoi que ce soit. Je suis finalement allé faire une pause cigarette à la fenêtre pour me calmer. Erwan et Amandine ont commencé à faire l'amour sous mes yeux. Je me suis empressé de les rejoindre. 

On a fini par y arriver. Je ressentais du plaisir 'cérébral' car je réalisais mon fantasme mais mon plaisir était identique aux autres fois où j'avais fait l'amour avec Amandine. Je ne touchais pas Erwan. Cette expérience a démythifié à mes yeux le plan à trois. Dans les pornos , c'est toujours très organisé, presque chorégraphié, tout le monde s'emboîte et se synchronise. Là, c'était beaucoup plus brouillon. Je n'imaginais pas les choses comme ça. Je n'y voyais pas d'homme, j'imaginais davantage de sérieux et un plaisir extatique. 

Pourtant, malgré les 'ratés', j'en garde un souvenir dingue. C'est comme si nous avions couru nus dans la rue. Un mélange de rire, d'intimité, de nudité, d'interdit. Un an plus tard, j'ai rencontré ma compagne actuelle, Léa. On a discuté de faire l'amour à plusieurs de manière très naturelle. Au bout de deux mois, nous avons sauté le pas, à quatre. C'était la suite logique des choses. 

Après une soirée arrosée avec deux amis, Antoine et Max, dont je suis très proche et qui sont tous les deux bisexuels, nous nous sommes allongés sur mon lit. On s'embrassait, on se caressait. J'étais saoul, donc pas très réactif, mais je n'ai pas été dur à convaincre. On a commencé en couples, avec quelques mains baladeuses sur les corps des deux autres. C'était très sensuel, comme naviguer dans un océan de câlins. 

Je n'ai fait l'amour qu'avec Léa. Le reste du temps, je caressais mes amis, mais avec une certaine retenue. Quelque part, j'aimerais être bisexuel. J'ai d'ailleurs une affection infinie pour Antoine et Max, mais je ne ressens pas de réel désir. Ce plan à quatre aurait pu être une occasion de surpasser mon éventuel blocage, mais même dans ces circonstances qui me semblaient parfaites, cela ne s'est pas fait. Nous avons recommencé une seconde fois une semaine plus tard. C'était toujours très sensuel, mais j'avais encore les mêmes freins. Cela ne m'empêche pas d'aimer les plans à plusieurs, même s'il y a des hommes. On n'est pas obligé de se toucher tous. Il n'y a pas de règles à suivre absolument quand on fait l'amour à plusieurs. 

Je suis ravi d'avoir vécu ces expériences. Cela a enrichi ma vision du sexe. Quand on est deux, on fait l'amour à l'autre, on essaye de lui donner du plaisir et on espère en recevoir. À plusieurs, il y a quelque chose de plus diffus, on peut faire des pauses pendant que les autres se touchent, les caresser du bout des doigts, puis retourner dans l'arène. 

On sort du schéma sexuel classique en duo: préliminaires, pénétration , bouquet final. Là, on prend le temps, on savoure. On accueille mieux son désir, ses besoins, ses sensations. Personne ne se sent délaissé, c'
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