Il regrettera son immersion

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Il regrettera son immersion



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Humour Regardez le résultat !il fait son show sur des fils en Voulant impressionner


Posted about 7 years ago | Comments Off on Regardez le résultat !il fait son show sur des fils en Voulant impressionner


Voulant impressionner le public, il fait son show sur des fils électriques.

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VIDEO: Voulant impressionner le public, il fait son show sur des fils électriques. Une scène inattendue se produit à la fin…

Un acte qu’il regrettera toute sa vie par adakarsenegal



Théodora SY SAMBOU  |  
Publication 28/05/2015
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C’est un auteur passionné qui a tenu le micro devant un public composé entre autres de jeunes élèves du Lycée Maurice Delafosse. Ismaïla Diagne connaît Sembène Ousmane quasiment sur le bout des doigts : l’homme aussi bien que son œuvre d’ailleurs...En 2014, il lui consacrait encore un ouvrage, avec un titre plutôt explicite : «Lire et relire Sembène», comme s’il ne s’en lassait pas… L’auteur, qui est aussi professeur de lettres, était dans la soirée d’hier mercredi 27 mai l’invité du Goethe-Institut, autour du concept «Au cœur de la littérature».
Voilà un homme qui n’hésite pas à avouer à quel point sa quête est interminable pour ne pas dire insatiable, et que même après les deux ouvrages qu’il a lui-même déjà consacrés à quelqu’un comme le cinéaste et écrivain Sembène Ousmane, il est bien loin d’en avoir fini avec lui. En 2004, Ismaïla Diagne, publiait chez L’Harmattan un texte intitulé « Les sociétés africaines au miroir de Sembène Ousmane ». Puis rebelote, en 2014 cette fois, avec ce livre qui paraîtra chez le même éditeur : « Lire et relire Sembène ». C’est justement ce texte qui était à l’honneur de la soirée littéraire d’hier mercredi 27 mai au Goethe-Institut, où l’on a eu droit à une immersion « au cœur de la littérature ». 
Lorsqu’il en parle, on a d’ailleurs comme l’impression qu’Ismaïla Diagne n’a pas vraiment l’intention de mettre un terme à cette histoire qui le lie à Sembène Ousmane, surtout quand on apprend que leur rencontre a quelque chose d’assez improbable. Il raconte comment, après un bac scientifique, il décidera tout simplement d’étudier les lettres modernes. Ismaïla Diagne ne s’arrête pas là, puisqu’il raconte aussi toute sa frustration au début, lui que l’on avait gavé de littérature étrangère pour ne pas dire occidentale, au nom d’un « enseignement élitiste inadapté aux réalités socio-économiques et culturelles ». 
C’est alors qu’il découvre, un peu par hasard, des textes d’auteurs africains, et le seul d’entre eux à avoir retenu son attention, c’est Sembène Ousmane. Sans hésitation. Peut-être parce que comme il dit, ils avaient des atomes crochus. Marxistes tous les deux, avec aussi la « même sensibilité et les mêmes préoccupations », et sans doute aussi avec le même franc-parler. De Sembène, Ismaïla Diagne dit d’ailleurs qu’il ne se cachait derrière aucun paravent quel qu’il soit, se contentant d’ « asséner ses vérités ». L’auteur cite à ce sujet le fameux conflit qui l’opposa au président Senghor en personne, autour du titre de ce film (Ceddo) qu’il avait décidé d’écrire avec deux « d », envers et contre tous, et quoique le Président puisse trouver à y redire. Sembène refusera « tout compromis avec sa langue ». Une obstination qu’il paiera cher, puisque le film sera « interdit pendant 8 ans ».
Ismaïla Diagne est intarissable sur le sujet et on ne s’en lasse pas. Il explique d’ailleurs que ses nombreuses re-relectures de Sembène ont souvent le goût de la première fois, et qu’à chaque nouvelle lecture, il débusque quelque détail insoupçonné. Peut-être parce que ce n’est pas le genre d’auteur que l’on pourrait lire en « diagonale » ou en « lecteur passif ». Sembène, dit-il encore, était un « fin observateur de sa société », et c’est sans doute cela qui fascine Ismaïla Diagne. Et par-dessus tout, « il avait horreur de l’injustice », lui qui n’hésitera pas à voler au secours de la « France envahie par l’Allemagne nazie », en pleine seconde Guerre mondiale. Sembène avait lui aussi vécu « le calvaire des migrants », une part de son histoire qu’il raconte d’ailleurs dans « Le docker noir ». 
Ismaïla Diagne revient aussi sur cet épisode de la vie de Sembène, alors qu’il est encore à l’école. Un objet qui disparaît mystérieusement, le maître qui accuse aussitôt «son élève le plus turbulent», et Sembène en prend pour son grade. On le renvoie, mais voilà que l’objet réapparaît, comme par magie…Plus ou moins honteux, l’enseignant demande à pouvoir le récupérer. Le gamin se pointe comme convenu, mais tout ne se passe pas vraiment comme prévu, et c’est le moins que l’on puisse dire : une « gifle retentissante » flanquée au maître, et c’est là que le jeune Sembène décide qu’il ne restera pas plus longtemps que cela dans une « institution injuste ». 
Sembène, ajoute Ismaïla Diagne, c’est aussi ce « travailleur infatigable…rigoureux…exigeant vis-à-à vis de lui et vis-à-vis des autres…réparateur…débrouillard…un homme aux 12 métiers », ce fils de pêcheur qui « avait le mal de mer » et qui s’improvisera maçon, mécanicien etc. 
Et lorsqu’il décidera d’étudier le cinéma, la France ne lui tendra pas vraiment la main, et c’est de cette façon qu’il se retrouvera à apprendre le métier à Moscou. L’explication d’Ismaïla Diagne est toute simple : son CV se résumait à « J’ai failli faire le CM2 », et «il était noir comme le fond de la marmite ». Et entre sa dizaine de films et sa dizaine d’ouvrages, le cinéaste et écrivain est sans doute parti avec quelque regret : celui de n’être pas allé jusqu’au bout de son rêve de faire un film sur Samory Touré, « mais à chaque fois qu’il parvenait à boucler son budget, un conflit survenait, et les frontières de tel ou tel pays devenaient infranchissables ».
Dans cette salle, on regrettera surtout que même après sa mort, il soit encore victime d’injustices, victime d’une sorte d’amnésie dans son propre pays.

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