Il ramène une petite bombe à la maison
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Il ramène une petite bombe à la maison
Un obus.
Photo DDM illustration
Publié le 06/07/2017 à 14:17
, mis à jour
à 14:37
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Un vent de panique a saisi une école maternelle du centre de l'Allemagne après la découverte d’une bombe incendiaire datant de la Seconde Guerre mondiale. C’est un enfant qui a ramené l’objet en classe après l’avoir trouvé lors d’une promenade en forêt, a rapporté la police locale à l'AFP. L'alerte a été donnée par des éducatrices de l'école, qui ont trouvé la bombe sur une étagère. Elles ont immédiatement prévenu la police
Les enfants et le personnel de l’école ont aussitôt été évacués vers une aire de jeux éloignée des bâtiments. L’angoisse qui avait saisi les enfants et enseignants a été dissipée par l'arrivée rapide des équipes de déminage. La bombe a été transportée en sécurité, permettant à l’école de reprendre son activité normale.
En Allemagne, la découverte d’engins explosifs datant de la Seconde Guerre mondiale est monnaie courante. Les bombes et obus largués par les alliés au début des années 1940 n’ont pas tous explosé, si bien qu’un grand nombre d’entre eux sont encore enfouis.
Les démineurs sont régulièrement amenés à intervenir sur des chantiers, mais aussi dans des forêts, des champs ou dans des jardins de particuliers. Les soixante-dix ans qui ont passé depuis les bombardements ont en effet fait disparaître de nombreuses bombes dans la nature, sans que leur capacité à tuer n’ait diminué.
Lorsque de tels engins sont découverts dans des zones habitées, les évacuations peuvent être spectaculaires. En mai, 50 000 habitants d’Hanovre ont ainsi été évacués pour permettre la neutralisation de trois bombes nouvellement découvertes.
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Une bombe???? Cela m'étonnerait beaucoup surtout si elle ressemble à celle de la photo!
J'ai envie de ramener une bombe à la maison: Jennifer Lopez.
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Au milieu d'une salle d'une cinquantaine de personnes, c'est à une marionnette représentant un petit garçon de 4 ans que Takako Kotami raconte son histoire. « C'est tellement difficile de parler qu'un prêtre m'a conseillé cette méthode », explique la vieille dame japonaise tirée à quatre épingles. « Quand j'avais 5 ans, mon père est décédé à la guerre, entame la militante pacifiste. Et quand j'avais 6 ans, la bombe atomique est tombée. » C'était il y a soixante-dix ans, le 6 août 1945, à Hiroshima. Takako est l'une de ces « hibakusha » (victimes de la bombe) qui portent une parole de paix à travers le monde. Cette année, ils ont quitté le Japon à bord du « Peace Boat » le 12 avril et sont rentrés le 25 juillet, après avoir fait escale dans 24 pays. En France, ils ont été invités par l'Association des maires pour la paix à l'occasion d'une escale du « Peace Boat » au Havre en mai dernier. Ils ont notamment livré leurs terribles récits devant des collégiens.
Takako se souvient parfaitement qu'elle courait avec d'autres enfants à la rivière quand la soif lui a fait faire demi-tour vers sa maison. « On entendait le brrrr du bombardier américain mais il est parti tout de suite. Pendant que je buvais, j'ai vu un éclair, entendu un gros bruit puis tout est devenu noir. » La fillette a perdu connaissance.
« Je ne sais pas combien de temps après, ma mère m'a sauvée. J'étais paralysée par la peur. Des gens brûlaient, demandaient de l'eau, certains mettaient leur tête dans le réservoir d'eau mais ils sont morts. D'autres se sont jetés dans la rivière, ils sont morts aussi. » Ses deux aînés et sa grand-mère rentrent en sang, « le corps complètement brûl?. Sa mère, partie chercher le petit dernier, le ramène enfin. « Il avait le visage tout noir, se souvient Takako. Avec son vêtement, elle l'a essuyé et la peau du visage s'est détachée. » Il n'y a rien pour le soigner : « On n'avait pas de médicament. Ma mère a dit : Si on ne peut pas le sauver, je veux au moins qu'il puisse boire, Quatre jours après, il s'est réveillé. Il a dit : Maman, l'avion fait peur mais l'eau est très bonne. C'était sa dernière phrase, il avait 4 ans. »
Puis sa mère s'occupe des « orphelins de la bombe », ces écoliers évacués à la campagne au cours de la guerre et revenus à Hiroshima après la reddition du Japon. « Ils n'avaient plus ni père ni mère », raconte Takako, et une maison a été créée sur une île pour les accueillir. « Puis quand j'étais en 6e, maman est décédée de la leucémie ». Il lui reste sa grand-mère, un frère et une soeur, rescapés de la bombe.
« J'ai travaillé dur et j'ai gardé pour moi que j'étais irradiée », poursuit Takako, qui a gardé le silence presque toute sa vie. « J'ai survécu parce que j'étais sous les décombres de ma maison, ce qui m'a causé une grande culpabilit?, explique la vieille dame, qui a vu ses deux filles développer des maladies de la thyroïde, à l'âge de 22 et 24 ans. « Même soixante-dix ans après, les gens souffrent de séquelles et j'ai décidé de témoigner pour que personne à l'avenir ne vive cette triste expérience qui est la mienne. »
Au Japon, l'article 9 de la Constitution précise qu'« aspirant sincèrement à une paix internationale fondée sur la justice et l'ordre, le peuple japonais renonce à jamais à la guerre ». « Il y a soixante-dix ans que personne n'est mort à cause du Japon, poursuit Takako. Aujourd'hui, je milite contre la bombe atomique, les centrales nucléaires. Le plus important et le plus difficile, c'est la haine qu'il faut exterminer, respecter la vie humaine pour que le monde soit en paix. »
« Little Boy » a fait 140 000 morts
Il était 8 h 15, le 6 août 1945, lorsqu'un bombardier américain B-29, baptisé « Enola Gay », a largué « Little Boy » (petit garçon) au-dessus d'Hiroshima, grande ville du sud du Japon. La bombe à uranium a explosé en une boule de feu, à 600 m du sol où la température a atteint 4 000 oC, l'énergie dégagée provoquant un gigantesque champignon nucléaire.
140 000 personnes sont mortes sur le coup ou dans les semaines suivantes. L'explosion d'une seconde bombe trois jours plus tard au-dessus du port de Nagasaki provoquait à son tour la mort de 74 000 habitants et des milliers d'autres blessés. Le Japon capitulera le 2 septembre suivant.
VIDEO. Il y a 70 ans, une bombe atomique est larguée sur Hiroshima
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Il ramène une grenade, panique au commissariat Un habitant de Nogent-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, a provoqué lundi une alerte à la bombe dans un commissariat de la ville en y ramenant une grenade qu'il avait trouvée. Une grenade chez sa soeur. C'est en vidant le logement de sa soeur décédée que l'homme, un ingénieur à la retraite, est tombée sur une grenade sans goupille. Il décide le lundi matin de se rendre au commissariat de Nogent avec l'arme. Branle-bas de combat au commissariat. A peine l'homme est-il arrivé au commissariat que l'agent de service fait évacuer les lieux. Un périmètre de sécurité est établi et une ligne de bus est déviée. Une Grenade "Inoffensive" Lorsque les démineurs arrivent sur place, ils constatent immédiatement que la grenade est inerte. "Quand une grenade n'a pas de goupille, elle ne peut pas exploser, c'est pas possible", explique Michel Barthélémy, commissaire central adjoint du commissariat de Nogent. "Maintenant qu'il n'y a plus de service militaire, les gens ne savent pas reconnaître les armes", ajoute-t-il. "Si vous n'avez jamais vu de grenade, vous ne pouvez pas savoir." Un connaisseur. L'homme qui a ramené la grenade au commissariat connaissait bien les armes, lui, et savait qu'elle était inerte. C'est pourquoi il a préféré la rapporter à la police au lieu de la jeter à la poubelle. "S'il y a un message à faire passer, c'est que si vous trouvez un objet dangereux, vous n'y touchez pas, vous appelez le 17", a déclaré le commissaire central adjoint du commissariat de Nogent. En 2012, le commissariat de Nogent avait déjà connu une alerte du même type. Un habitant avait rapporté un obus de Verdun qu'il avait transporté dans le coffre de sa voiture. Dormez , sans craintes , braves Gens La "Police nationale Veille"
y a bien des condés qui sont cons !!!!
Si je croise au supermarché une supposée moukère entièrement voilée de la tête aux pieds, ( qui pourrait être un terroriste mâle déguisé pour sa mission... ) dois-je faire aussi le 17 avant qu'il ne posât sa bombe dans un lieu public ? Je propose qu'on lance une opération de ce type sur toute la France, car ce sont des rencontres journalières... n'est-ce pas que ce serait une démarche civique ? On passe à l'acte quand ?
Sont capables de nous foutre en garde a vue , les "Rambos" du panier a salade
Ta raison COCOYE1er pas d'action bête et stupide.........Chacal voyons mon "cher ami" il faut te remplumer dans tes idées. S'il est encore impossible de faire une action ou des actions c'est que tout simplement ce n'est pas encore le moment.Les forces douces vaincront à la fin.
Mais avant de téléphoner au 17 je fredonnerai une chanson d'amour en arabe à ladite présumée nana déguisée... pour suivre ton conseil de douceur, Glaive ! Faut un début à tout, car si chacun attend du voisin l'entrée en action ça finira en long feu, comme toujours en France la spécialiste "d'une guerre en retard"
Quand une grenade n'a pas de goupille, elle ne peut pas exploser, c'est pas possible", explique Michel Barthélémy, commissaire central adjoint du commissariat de Nogent.
Il ramène une grenade, panique au commissariat .
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Il ramène une grenade, panique au commissariat .
Sujet: Il ramène une grenade, panique au commissariat . 2014-02-11, 18:03
Sujet: Re: Il ramène une grenade, panique au commissariat . 2014-02-11, 18:59
Sujet: Re: Il ramène une grenade, panique au commissariat . 2014-02-11, 19:22
Sujet: Re: Il ramène une grenade, panique au commissariat . 2014-02-11, 21:54
Sujet: Re: Il ramène une grenade, panique au commissariat . 2014-02-11, 22:23
Sujet: Re: Il ramène une grenade, panique au commissariat . 2014-02-11, 23:58
Sujet: Re: Il ramène une grenade, panique au commissariat . 2014-02-12, 10:14
Sujet: Re: Il ramène une grenade, panique au commissariat . 2014-02-26, 20:01
Sujet: Re: Il ramène une grenade, panique au commissariat .
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