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Figaro Etudiant •

Publié le 21/09/2021 à 10:17
• Mis à jour le 21/09/2021 à 13:49

Il a été condamné à trois mois de prison avec sursis après avoir caressé une femme de 19 ans après une soirée étudiante, à Nice.
C’est une nuit qui tourne au cauchemar. À l’époque où le couvre-feu était encore en vigueur, une bande d’étudiants organise une soirée dans une villa niçoise. Tout se déroule bien, les invités restent dormir sur place pour ne pas déroger à la règle instaurée par le gouvernement. Mais très vite, la fin de soirée prend un autre tournant, selon Nice Matin .
Alors qu’un étudiant âgé de 22 ans s’endort sur l’un des lits mis à disposition, une jeune fille de 19 ans qu’il connaît peu s’allonge à ses côtés. À son réveil, le lendemain matin, elle découvre la main du jeune homme posée sur sa poitrine avant de se réfugier dans la salle de bains.
Quelques jours plus tard, elle dépose plainte. Ce lundi 20 septembre, le parquet a poursuivi l’étudiant pour agression sexuelle en correctionnelle. Il estime que le garçon aurait profité du sommeil de la jeune femme pour la caresser sans son consentement.
L’étudiant a admis les faits auprès des policiers. Mais au tribunal, il a indiqué avoir seulement mis sa main sur le ventre de la jeune fille. La victime a quant à elle expliqué que le comportement déplacé et abject avait perturbé son lien de confiance envers autrui.
Quelques minutes après, l’étudiant a finalement été condamné à trois mois de prison avec sursis. Il est par ailleurs inscrit au fichier des auteurs d’infractions sexuelles. Il dispose de dix jours pour faire appel.
À VOIR AUSSI - Quels sont les vrais chiffres des violences faites aux femmes?
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MARIANNE MONDIALE DE FRANCE le 23/09/2021 à 08:13
Dormir tous ensemble après une fête est assez commun et bon enfant. Et il y a une différence entre la main nocturne et les caresses sexuelles. Attouchement sexuel sans consentement ? Il ne paye pas cher. ° MMF
J'ai un peu de mal à comprendre car ils dormaient sur le même lit, et Dame Nature aidant... Entre le trop et le trop, il y a un iequilibre judiciaire à trouver. Agression sexuée ?????? Je suis perplexe et je suis une vieille dame qui se souviens d'avoir été jeune.
Entrer de son plein gré dans le lit d un mec, c est pas une provocation? De mon temps quand on se mettait au lit avec un mec c est qu on était consentante sinon on allait dormir ailleurs. Mais ça c était avant...



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Par Rédaction Meaux
Publié le 9 Juin 22 à 7:23 



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Attirée par la promesse de revenus mirobolants, Emma s'est livrée à la prostitution pendant un mois. Le 1er juin 2022, ses proxénètes ont été condamnés au tribunal de Meaux.
Trois jeunes hommes de 19 à 22 ans ont été jugés pour proxénétisme aggravé, mercredi 1er juin 2022 au tribunal de Meaux ( Seine-et-Marne ). La victime est une adolescente de 15 ans, qui a contacté la police quand elle a voulu arrêter. Deux d’entre eux ont été déclarés coupables et sont repartis sous escorte après l’audience pour purger leur peine de prison.
Tout a commencé mercredi 16 février, par un appel au commissariat de Noisiel. Une jeune fille qui est alors à la gare de Torcy, se dit « en danger » . Aussitôt arrivés sur place, les policiers ont pris Emma* en charge et écouté son histoire. Une enquête a été ouverte.
A l’audience, aux côtés de sa mère sous le choc, la jeune fille de 15 ans réitère ses propos. Si elle a initialement dit avoir été séquestrée, elle explique avoir volontairement travaillé comme Escort-girl pendant près d’un mois. Ayant décidé d’arrêter sa scolarité, il lui fallait de l’argent : « 8000€ », évoque-t-elle « pour faire la fête, se faire plaisir et mettre des sous de côté ». 
Elle s’est alors confiée à un ami qui l’a mise en relation avec Djamal. Après quelques échanges sur Snapchat et une rencontre, le jeune homme lui parle de la prostitution et promet des gains bien supérieurs à ses besoins. Elle accepte. Profitant de l’absence de sa mère, partie plusieurs semaines, elle ment à sa tante pour sortir.
Dans un premier temps, les passes avaient lieu au domicile de clients. Djamal, toujours accompagné de deux copains, la déposait et l’attendait. Ensuite, dans un hôtel de Saint-Thibault-des-Vignes. Et à la fin, les rendez-vous étaient pris dans un logement étudiant à Torcy, toujours sous la surveillance et protection de l’un d’eux.
La jeune fille évoque en moyenne « 25 à 30 clients par jour » au cours des six semaines écoulées. Puis elle décide d’arrêter. Elle « ne veut plus trop le faire ». En fin de compte, elle a gagné peu et veut son argent, mais à la place, elle reçoit des coups.
Grâce aux renseignements fournis par l’adolescente, corroborés par l’enquête, les policiers ont pu identifier et interpeller le proxénète. En perquisitionnant le logement étudiant d’où Emma est partie, les enquêteurs ont trouvé des papiers au nom d’une autre personne et tout le nécessaire à la prostitution – préservatifs, lubrifiants – ainsi que 560€ en espèces.
Aux côtés de Djamal dans le box, il y a ses deux complices. Le propriétaire de l’appartement à Torcy, qui a affirmé qu’il avait perdu ses clés et qu’on avait profité de son absence pour utiliser sa chambre d’étudiant sans convaincre, et le « chauffeur », qui a reconnu qu’il conduisait mais a affirmé qu’il ignorait la raison des déplacements.
Tous les trois ont nié avoir contribué à la prostitution d’Emma. Djamal l’a qualifiée de « menteuse » et de « nymphomane » . Mais avec beaucoup d’assurance et malgré la présence de sa mère dans la salle, Emma a maintenu ses déclarations et répondu aux questions. Notamment quand une des magistrates s’est étonnée du nombre de clients : « C’était peut-être 20 clients maxi par nuit. Souvent c’était des fellations, c’est rapide ». Elle a décrit la colère de son proxénète quand elle lui a dit qu’elle voulait arrêter : « Il m’a mis une patate ». 
Dans ses réquisitions, le procureur de la République a présenté le proxénétisme sur mineurs(es) comme « un véritable fléau de notre société » engendrant « une atteinte à la dignité humaine ». Il a demandé aux juges d’infliger des peines lourdes : cinq ans pour Djamal, dépeint comme « le personnage central », et trois ans pour les deux autres, pour avoir « joué un rôle secondaire ».
Tour à tour, les avocats des prévenus ont pointé les failles du dossier : des déclarations fluctuantes de la victime, son refus d’aller aux UMJ (Unités Médico-Judiciaires), un manque de preuves et d’éléments matériels notamment.
« Monsieur le procureur vous demande d’envoyer un message parce qu’il s’agit encore d’un dossier de proxénétisme sur mineure. Mais présenter un dossier comme celui-ci et requérir des années de prison pour des gamins, c’est scandaleux ! Là, on ne fait plus de justice, seulement de l’abattage. On aura passé l’après-midi ensemble, mais on aura mal jugé. L’erreur judiciaire, c’est aussi de mal juger un coupable ! ».
Les juges ont prononcé la relaxe du « chauffeur ». Ils ont condamné Djamal à 36 mois de prison et le propriétaire de l’appartement à 30 mois , avec 12 mois de sursis probatoire pour chacun. Durant cette période, les condamnés devront se soumettre à différentes obligations et interdictions.
Pour la partie ferme de la peine, un mandat de dépôt a été délivré. Leur nom ira s’ajouter à la longue liste du fichier des délinquants sexuels (FIJAIS). Les compensations financières pour le préjudice subi par Emma seront évaluées lors d’une audience sur intérêts civils, en janvier 2023.
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Sophie de Tarlé •

Publié le 04/10/2017 à 17:00
• Mis à jour le 29/01/2018 à 17:17

INTERVIEW - Dans son livre «Les nouvelles courtisanes», la journaliste Nadia Le Brun a mené une enquête fouillée sur ces sites spécialisés qui mettent en relation des hommes mûrs avec des étudiantes.
«Améliorez votre style de vie, sortez avec un “sugardaddy”». La semaine dernière, un site de rencontres d’un genre très particulier a fait polémique en Belgique . Le principe? Il met en relation des hommes âgés, de préférence riches, avec des étudiantes, de préférence jeunes et jolies. Une pratique sulfureuse répandue dans le monde entier, mais qu’il est difficilie de quantifier.
La journaliste Nadia Le Brun a mené l’enquête auprès de ces hommes d’âge mûr et auprès de ces étudiantes afin de connaître leurs motivations et la teneur de leurs relations. Les nouvelles courtisanes, publié le 4 octobre chez Kero, est un livre sans tabou sur un sujet qui l’est hautement.
Le Figaro - Comment avez-vous eu l’idée d’enquêter sur les «sugar babies»?
Nadia Le Brun - J’ai eu l’idée de faire cette enquête parce que les jeunes et jolies étudiantes sont entrées dans
ma vie personnelle et ont mis à mal ma féminité de quadra. Un soir, où je retrouve un homme à une soirée, il me présente sa «sugar baby». Une étudiante en sciences po qui préparait l’Ena. Une jeune fille ravissante, sans aucun attribut d’escort, à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession. Il l’entretenait. Autrement dit, il était son protecteur et subvenait à tous ses besoins financiers, le temps de ses études. En échange de rendez-vous réguliers et intimes avec elle, il lui payait le loyer de son appartement, ses factures, ses frais quotidiens, l’invitait dans des grands restaurants ou en voyage…
Quand il m’apprend cela, je suis mal à l’aise, mille questions me traversent l’esprit et le champagne aidant, j’interroge l’étudiante sans passer par quatre chemins. ‘Comment à 20 ans, peux-tu coucher avec un mec de 60 ans passés? Pourquoi te fais-tu entretenir, plutôt que de chercher un job d’étudiant? As-tu conscience que tu te prostitues? Y en a-t-il beaucoup comme toi?’ Elle me répond en toute transparence. J’oscille entre incompréhension, stupéfaction et indulgence. Bref, ça attise ma curiosité et me donne l’idée de réaliser ce livre sur les relations tarifées entre ces étudiantes qui font de grandes écoles ou de hautes études et ces hommes aisés et bien plus âgés.
Dans quelle mesure cette pratique s’apparente-elle à de la prostitution?
Les sites de mise en relation entre ces jeunes filles et ces hommes ne sont pas condamnables par la justice pour proxénétisme. Ils contournent les lois en revendiquant qu’ils ne sont qu’une plateforme de mise en relation et profitent du vide juridique qui entoure le web. Jamais, le mot prostitution n’est évoqué. Le succès de ces sites est basé sur la force de leur marketing: ils sont déculpabilisants! Ils vantent des relations romanesques et hédonistes.
Quoi de mal pour les jeunes filles désargentées de trouver un arrangement financier pour leur permettre de faire de grandes écoles ou de hautes études avec un protecteur, présenté comme altruiste et philanthrope? Ainsi, les jeunes filles ne se voient pas prostituées, et les hommes ne se considèrent pas comme des clients. C’est un jeu de dupe, un jeu de rôle, un double jeu où chacun trouve son compte.
Mais l’argent est tout de même le moteur de ces rencontres?
Oui, bien sûr. Ce phénomène sociétal vient des Etats-Unis, royaume des «babies», où les frais de scolarité sont très élevés. Il a pris son essor via Internet. C’est ainsi qu’il y aurait 679.407 babies au Royaume-Uni, 49.637 en Allemagne, et 40.000 françaises sur le seul site le plus important. En France, plus d’un quart des étudiants déclarent avoir connu de grandes difficultés à se nourrir, à se loger ou régler leurs factures. Face à cette précarité, certains opportunistes ont crée ces sites de rencontres, il y a plus d’une dizaine d’années. Ce qui permet à certaines jeunes filles d’avoir recours à ce genre de liaisons suivies et tarifées… sans pour autant se considérer comme des prostituées.
Quels sont les dessous de ces relations tarifées?
Au fil de mon enquête, je me suis rendue compte que ces jeunes filles avaient, pour la plupart, un passé ponctué de violences physiques ou psychologiques. Et en même temps une farouche détermination de s’en sortir et de réussir. Pour cela, elles jouent le jeu de la séduction qui n’est pas sans rappeler les codes des courtisanes des siècles passés. Elles flattent, elles admirent, elles écoutent et donnent l’illusion aux hommes qu’ils sont des pygmalions.
Sont elles amoureuses de leur sugar daddy? Parfois elles les aiment bien. Quid aussi de la sexualité qui est au cœur de cette relation rémunérée? A tous et à toutes, j’ai posé la question et ils m’ont répondu sans tabous. Beaucoup de ces jeunes filles m’ont dit qu’elles prenaient du plaisir et qu’elles se révélaient sexuellement avec ces hommes mûrs. Ce qui n’est pas le cas avec les garçons de leur âge, trop influencés par les films pornos et qui les déçoivent. S’agissant des hommes, en dépit de leur position sociale élevée, je les ai trouvés souvent étonnement crédules: ils idéalisent leur relation avec une sugar baby, et minimisent le rôle de l’argent dans leur relation.
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Chacun y trouve son compte. En quoi est-ce dérangeant? Si j’avais les moyens je prendrais une sugar baby et peut-être même plusieurs!
bertrand barbet le 05/12/2020 à 15:08
Ce qui est dommage, c'est qu'elles préfèrent vendre leurs corps, plutôt que d'essayer de faire autrement. Il y a le marché de l'emploi, certes fermé et bouché, d'autant plus vrai qu'aujourd'hui avec la crise du Covid, mais il y a un marché en plein essor, comme le marketing de réseau, avec des sociétés légales faisant parti intégrante de la Fédération de la Vente Directe (au même titre que EDF, Engie, KparK, Bonduelle...) Que, malheureusement, en France, beaucoup s'imaginent un système pyramidal à effet boule de neige ou système de Ponzi qui eux, sont illégaux. C'est dommage que les personnes fassent encore la confusion. Car mal compris par les médias qui influencent les gens. Certes il y a des '' faux'' qui ne sont pas référencés par la FVD. Mais il y en a des honnêtes. Ce n' est pas de l'argent facile et rapide comme certains se l'imaginent (vendre du rêve), mais c'est possible d'avoir des compléments (une centaine d'euros) supplémentaires par mois et pourquoi pas plus.
Le Comte de MAQUENS le 27/10/2017 à 20:33
Bonjour, Il s'agit bien d'une entreprise qui incite à la prostitution. Elle commet donc un délit puisque cela est interdit en France. Cela dit, 2 choses : 1). si c'est un délit, il faut interdire et sanctionner. Comment ? La Justice devrait communiquer là-dessus. 2). dans certains quartiers "spécifiques" de Paris, Lille, Marseille, Lyon, Toulouse, etc...on se prostitue au nez et à la barb
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