Il prend des vacances et baise son amant chez lui

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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage d’un film pornographique. Un extrait de ce chef-d’Ɠuvre olĂ©-olĂ© a Ă©tĂ© diffusĂ© hier Ă  la tĂ©lĂ©vision.
Au milieu des annĂ©es 70, alors jeune comĂ©dienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et n’importe quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la rĂ©veillait pour la promo de sa piĂšce Nelson sur MFM radio, la comĂ©dienne s’était souvenue de ce film porno auquel elle avait participĂ© malgrĂ© elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourd’hui. « A un moment donnĂ©, c’était une grande fĂȘte, ils ont dit : “Tout le monde Ă  poil main­te­nant !” » Totalement paniquĂ©e face Ă  cet ordre, Chantal Ladsou avait tentĂ© d’esquiver l’effeuillage et ce qui devait se passer aprĂšs. Impossible, elle avait signĂ© un contrat
 « Je pensais que c’était un gag, ajoutait-elle. Au final, j’ai Ă©tĂ© virĂ©e du travail, c’était l’hor­reur ! »
Ce fameux film, c’était Les maĂźtresses de vacances . Quelques images ont Ă©tĂ© diffusĂ©es hier aprĂšs-midi dans le tout premier numĂ©ro des E nfants de la tĂ©lĂ© prĂ©sentĂ© par Laurent Ruquier sur France 2. TrĂšs Ă  l’aise, Chantal Ladesou a redĂ©couvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. DĂ©couvrez cette sĂ©quence trĂšs drĂŽle dans la vidĂ©o ci-dessus.

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Il filme sa copine en vacance et leur vidéo devient virale 0
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PrĂšs de 600 000 vues pour une vidĂ©o de vacances, cela est assez remarquable. Johan Kaos et sa petite amie Ida Kvammen Mork ont rĂ©alisĂ© une vidĂ©o originale de leurs vacances en randonnĂ©e Ă  travers la Thailande, le Laos, le Vietnam, le Cambodge, Myanmar, Singapore, la Malaysie et l’Australie.
La vidĂ©o est trĂšs originale, elle est filmĂ© en camĂ©ra embarquĂ© et nous fait vivre les vacances de ce couple comme si nous Ă©tions Ă  la place de Johan Kaos. On voit le couple dans son appartement et la fille, invite son petit copain Ă  partir en randonnĂ©e. L’homme coupe alors la tĂ©lĂ©vision, enfile son sac Ă  dos et le couple s’en va Ă  l’aĂ©roport d’Oslo pour s’envoler vers la Thailande, ou dĂ©marrent les aventures de ce jeune couple. On les voit visiter des temples boudhistes, faire de la plongĂ©e, des randonnĂ©es Ă  dos d’élĂ©phant, visiter des lieux paradisiaques, faire des balades en canoĂ«, en bateau Ă  longue queue, faire du vĂ©lo au sein des temples d’Angkor au Cambodge, faire du jet ski, nager avec les dauphins, bref, profiter Ă  fond de la vie.
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Sexe dans une smart, cierge au SacrĂ©-CƓur ou chambre uniquement tapissĂ©e de miroirs en Argentine: neuf femmes nous livrent leur session cul la plus Ă©trange.
SEXUALITÉ - Les coups d’un soir, c’est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d’autres sur un·e partenaire qu’on aimerait bien oublier Ă  jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous Ă©tonne encore. Le genre de plans qu’on se raconte aprĂšs deux verres pour faire marrer l’assemblĂ©e.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémÚres les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au Quatorze Juillet comme avant.
“C’était en premiĂšre annĂ©e d’étude, via Tinder ou une plateforme du genre. Je parlais pas mal avec un mec et on a dĂ©cidĂ© d’aller boire un verre. En arrivant, dĂ©jĂ , il ne me plaisait pas du tout physiquement! Je me suis mĂȘme demandĂ© si je n’allais pas faire demi-tour. Et puis finalement je me suis dit ‘allez, vas-y!’.
Pendant tout le rendez-vous, j’étais persuadĂ©e que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir, je ne sais pas... Il a un peu insistĂ© pour qu’on poursuive la soirĂ©e et moi comme ça faisait longtemps que je n’avais pas couchĂ© avec quelqu’un, j’étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter!
Sauf qu’en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tĂŽt le lendemain. Du coup, on l’a fait dans sa Smart, la voiture. C’était complĂštement improbable. On a essayĂ© de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrĂ©e en RER. Mes collants Ă©taient trouĂ©s : une vraie Walk of Shame. On ne s’est plus jamais parlĂ© aprĂšs: emballĂ©, c’est pesĂ©!”
“C’était Ă  une soirĂ©e de boulot, oĂč on buvait beaucoup. C’était sympa, on rigolait bien. Et comme toutes les soirĂ©es de boulot, part une premiĂšre personne, puis une deuxiĂšme personne... Restent toujours ceux qui sont cĂ©libataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvĂ©e seule avec - on va l’appeler ‘Monsieur X’ - Ă  boire des coups. Quand, patatras!, il m’a embrassĂ©e. Pendant la soirĂ©e, j’avais dĂ» dire que je n’étais jamais allĂ©e Ă  la basilique de Montmartre, et que j’aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait Ă©tĂ© y faire du bĂ©nĂ©volat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendus en moto (pas bien, je sais). Il devait ĂȘtre sept heures du matin. Je crois mĂȘme qu’on a posĂ© un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allĂ©s prendre un cafĂ© et on est rentrĂ©s chez moi. Absurde”.
“J’étais en voyage post-Ă©tudes Ă  Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l’avion, on s’était promis de ne jamais se sĂ©parer ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s’est sĂ©parĂ©es et on est rentrĂ©es chacune avec un inconnu. Le sien Ă©tait un JamaĂŻcain en vacances dans la mĂȘme auberge que nous, le mien l’un des employĂ©s de ladite auberge.
Le deuxiĂšme soir, je suis sortie en boĂźte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c’est impossible car sa sƓur et son neveu y dorment, mais qu’on peut aller Ă  l’hĂŽtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall Ă©clairĂ© au nĂ©on rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures: ça annonce la couleur.
On y entre et Ă  la place du papier peint, sur les murs, il n’y avait que des miroirs. Partout, mĂȘme au plafond. On a fait l’amour en levrette et je l’ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi-heure, et quand je me suis rĂ©veillĂ©e, il Ă©tait en train de renifler ma culotte. Je crois qu’on n’a pas recouchĂ© ensemble aprĂšs ça.”
“C’était une soirĂ©e sur la plage, lorsque je voyageais Ă  Mancora, au PĂ©rou. J’avais bu du Pisco dans une noix de coco. J’étais saoule, forcĂ©ment. Avec mes copines on avait rencontrĂ© une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s’appelait Luis, il me semble. On a sympathisĂ©, et on a fini par coucher ensemble sur la plage. On est allĂ©s se baigner Ă  poil aprĂšs, mais rien de trĂšs romantique: je devais rester au sec au-dessus de la taille Ă  cause d’un eczĂ©ma attrapĂ© sur place.
Bref, je suis rentrĂ©e complĂštement saoule Ă  l’auberge de jeunesse oĂč je logeais, j’ai dormi en me disant que je n’en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a dĂ©barquĂ© au petit-dĂ©j’ en venant me chercher pour le cours de surf que j’avais apparemment acceptĂ© qu’il me donne la veille. Il m’a appelĂ©e ‘bĂ©bé’ devant tout le monde et j’ai cru mourir de honte”.
“J’avais rencontrĂ© ce mec Ă  une soirĂ©e d’échange linguistique et culturel - le genre d’évĂ©nement oĂč tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, tĂ©nĂ©breux, il a la mĂšche, les tatouages. Il est beau, on a l’impression qu’il sort d’une scĂšne de film. Je le croise en partant alors que j’allais au vestiaire, on commence Ă  se parler, Ă  flirter. On s’écrit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel Ăąge il a. J’avais 33 ans Ă  l’époque, il finit par me dire qu’il en a 23. Je me dis que c’est une trop grande diffĂ©rence d’ñge, je suis prĂȘte Ă  tout arrĂȘter; c’est un bĂ©bĂ©. Mais il me lance ‘tu vas voir Ă  quel point je ne suis pas un bĂ©bé’. J’ai des frissons d’excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu’il est fauchĂ©, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n’en peux plus, j’ai envie de lui et qu’on aille chez moi. Je lui propose, comme il n’a plus de sous, qu’on poursuive la soirĂ©e dans mon appartement car j’ai de quoi boire Ă  la maison. On y va.
C’était trĂšs caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j’étais hyper motivĂ©e. On s’embrasse, et lĂ  je me dis: mauvais signe. Il m’embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maĂŻs. C’était atroce, je n’ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu’il allait me pĂ©ter les dents, c’était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, Ă  poil, et lĂ  je dĂ©couvre qu’il s’est rasĂ© de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence Ă  l’embrasser un peu partout et Ă  lui tailler une pipe. Et lĂ , l’horreur: ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J’essaie vraiment de l’occulter, mais je n’arrive pas Ă  me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n’avait pas de prĂ©servatif, et le sexe Ă©tait nul. Il ne pensait pas du tout Ă  mon plaisir. Il a commencĂ© Ă  grogner, ça a durĂ© cinq minutes et c’était fini. C’était vraiment zĂ©ro.
ForcĂ©ment, j’avais envie qu’il parte, mais il voulait rester dormir, alors j’ai un peu cĂ©dĂ©. Grave erreur: il a pĂ©tĂ© toute la nuit j’ai mis 24 heures Ă  me dĂ©barrasser de l’odeur. Et en plus de ça, il n’a pas dĂ©campĂ© avant que je le dirige vers la porte Ă  13 heures le lendemain. Je ne l’ai Ă©videmment jamais revu, malgrĂ© ses relances”.
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Un été avec une cousine Je suis un jeune homme qui va découvrir sa sexualité avec ma cousine.


Votre note pour cette histoire Ă©rotique Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs Ă  poster leurs histoires Ă©rotiques.


ThĂšme: PremiĂšre fois Personnages: FH Lieu: A la maison, intime Type: Histoire vraie


Cette histoire, s'est déroulée il y a quelques années.
À l'Ă©poque j'avais 17 ans et nous Ă©tions en plein Ă©tĂ©.
J'ai la chance d'avoir eu une enfance heureuse et lors des vacances d'été, ma famille avait l'habitude de nous installer chez les grands-parents qui avaient une trÚs grande maison.
Nous occupions une aile de cette maison que mon pÚre avait aménagée pour que l'on puisse y vivre durant tout l'été.
DĂšs le premier jour des vacances, nous nous installions dans cette maison secondaire et nous attendions avec impatience nos cousins et cousines qui venaient eux aussi.


Cette année, l'ensemble de la famille avaient décidé de ne pas venir de suite chez les grands-parents.
Ils voulaient faire une escale en bord de mer.
Sauf un oncle et une tante qui avaient décidé de venir directement chez les grands-parents.


Cet été là, j'ai vu arriver dans une belle petite robe de lin ma cousine déjà toute bronzée.
J'en revenais pas tellement elle avait changé depuis l'été dernier.
La derniÚre fois, s'était une petite fille trÚs timide qui ne discutait pas beaucoup et qui s'amusait plus avec ses poupées qu'avec nous autres.
Et donc en là voyant, mon sang ne fit qu'un tour, elle avait pris de jolies formes et elle avait laissé pousser ses cheveux blonds.
Elle s'approcha de moi et me dit bonjour en posant un doux baiser sur ma joue avec un grand sourire.
Je repris mes esprits et la salua aussi.


Nous laissions les parents de leurs cotés et nous partions nous promener autour de la maison en discutant sur notre année de séparation.
Elle me confia qu'elle avait eu des soucis avec des mecs qui n'arrĂȘtaient pas de l'embĂȘter et qu'elle Ă©tait sortie avec un mec qui ne pensait qu'a une chose.
Enfin bref, elle m'expliqua que ce mec avec qui elle avait fait l'amour plusieurs fois lui avait fait découvrir une certaine jouissance et que de temps en
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