Il plonge dans son rectum
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Il plonge dans son rectum
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Publié le 11 septembre 2021 à 23:46 par Loïc Durand
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Aux États-Unis, des spécialistes ont mis en avant un cas médical extrêmement rare que l'on va vous détailler ici.
C'est le journaliste médico-scientifique Marc Gozlan, qui tient le blog Réalités Biomédicales sur le site du Monde , qui partage ce fait médical "rarissime" . De quoi s'agit-il ? D'une éjaculation par le rectum . Le patient qui a souffert de cela est un Américain. Son cas a été étudié par des spécialistes de l’université du Centre médical de l’université du Texas à Galveston, qui ont tout expliqué dans le numéro du mois d'août 2021 de la revue Cureus .
Tout d'abord, il faut savoir que ce patient est un ancien toxicomane (et cela a son importance). Il se rend à l'hôpital pour une douleur testiculaire. Des examens sont faits, un œdème est découvert, puis une fistule entre la prostate et le rectum l'est également. Résultat, les deux organes communiquent anormalement entre eux.
Cette fistule est apparue après un coma survenu deux ans auparavant, le patient étant resté hospitalisé plus de trois semaines après une intoxication à la cocaïne et à une drogue hallucinogène. Une sonde vésicale lui avait été posée et c'est pendant cette opération qu'une émission de sang avait été faite dans les urines.
Un cas rarissime d’éjaculation par le rectum. À lire sur 'Réalités Biomédicales' https://t.co/mfPSTwxpV7 pic.twitter.com/nvKwKu9PZ1
Pour résumer, cet Américain présentait des quantités importantes de sperme et d'urine dans le rectum et de gaz et de matières fécales dans les urines . Tout ceci à cause d'une fistule (autrement dit, une brèche) recto-urétrale (entre la prostate et le rectum) et une fistule colo-vésicale (entre le colon et la vessie). Les médecins ont pu opérer le patient, qui s'en est sorti sans séquelles, si ce n'est une production moindre de sperme pendant plusieurs mois .
Le spécialiste Marc Gozlan ne se souvient que de deux cas identiques d'éjaculation par le rectum dans l'histoire récente, dans les années 80.
Société Faits divers Politique Monde Santé Justice
Publié le 11/04/13 à 00h00
— Mis à jour le 11/04/13 à 16h57
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Société Agen: Il dit aux contrôleurs avoir mis de l'héroïne dans son rectum
Un homme de 22 ans qui voyageait mercredi entre Verdun et Cahors a annoncé aux contrôleurs du train qu'il avait placé de l'héroïne dans son rectum, rapporte ce jeudi Sud Ouest .
Interpellés, les contrôleurs l'ont fait descendre en gare d'Agen, où il a été conduit à l'hôpital. Après administration d'un laxatif, l'homme a expulsé 1,8 gramme d'héroïne, une dose potentiellement mortelle, précise le quotidien.
Il a été laissé libre, alors que son dossier a été transmis au parquet de Verdun, où il réside, révèle le quotidien régional.
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243 g de cocaïne dans le rectum : un an de prison pour la "mule"
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Publié le
14/05/2018 à 21:45
| Mis à jour le
14/05/2018 à 21:54
Le jeune Guyanais a été maintenu en détention à l'issue de l'audience.
© (Photo NR d’illustration)
Un Guyanais de 27 ans a été condamné à trois ans de prison dont deux avec sursis ce lundi par le tribunal correctionnel. Il avait été interpellé à Niort le 12 avril 2018 avec 243,69 g de cocaïne dans son rectum.
En gare de Niort, le 12 avril dernier, les douaniers ont contrôlé un jeune homme de 27 ans. Constatant qu'il arrivait tout juste de Guyane où il réside, sans pouvoir en dire plus sur ses motivations pour venir à Niort, les douaniers ont décidé de pousser le contrôle un peu plus loin. A l'hôpital, les tests urinaires et la radio de l'abdoment confirment qu'il transporte des stupéfiants, dans son organisme.
Plus de 243 g de cocaïne, conditionnés dans 17 capsules seront détectés dans son rectum. 20.000 € de valeur marchande. Présenté en comparution immédiate devant la justice quatre jours plus tard, il avait demandé un délai pour préparer sa défense. Accordé de droit mais avec un maintien en détention.
Ce lundi 14 mai, le prévenu est donc revenu devant le tribunal correctionnel de Niort. Mais le mois de réflexion accordé n'a pas vraiment permis au prévenu de gagner en persuasion. Phrases en point de suspension, explications alambiquées, naïveté affichée peu crédible... Le Guyanais a eu le don d'agacer le tribunal et le procureur, laissant même croire qu'il ne savait pas ce qu'il transportait. "Et vous pensiez que c'était quoi ? Du sucre en poudre ? De la vanille ?"
Pas très clair non plus sur son point de chute à Niort. Son contact, le "Paris boy" (garçon de Paris) qui devait l'attendre à Orly n'était pas là. Rien à Montparnasse non plus, deuxième lieu de rendez-vous possible en cas d'échec du premier. "C'était grand et j'avais froid" avance-t-il pour toute réponse à la présidente qui insiste pour comprendre le terminus Niort. "Bien sûr, donc vous êtes allés vers Niort, vers le sud, pour trouver de la chaleur... Et vous avez dit venir chez votre soeur mais vous êtes incapable de nous dire où elle habite, de nous donner des indications..."
Une absence d'éléments qui a laissé les juges penser qu'il s'agissait bien de la destination finale du Guyanais, chargé d'amener les stupéfiants pour alimenter le trafic local. "Niort est l'une des dix villes identifiées dans l'Hexagone comme plaques tournantes d'un trafic de cocaine avec le Suriname, la Guyane et le Vénézuela !"
Le jeune Guyanais espérait toucher "un millier d'euros" en jouant le rôle de "mule" dans ce trafic. Il risque plutôt d'être indésirable en Guyane pour avoir perdu les 20.000 € de "marchandise", détruite. De toute façon, pour l'heure, il est retourné directement en maison d'arrêt, condamné à trois ans de prison dont un an ferme. Il devra aussi s'acquitter d'une amende douanière de 10.000 €.
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