Il n'y a rien d'aussi bon qu'un trio

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MĂȘme sans amant dans le placard, on est souvent plus de deux dans un couple. Un ex oubliĂ©, une passion qui prend de la place
 le troisiĂšme n’est pas toujours facile Ă  repĂ©rer. Mais c’est souvent ce mĂ©nage Ă  trois qui cimente le couple. Et peut aussi le briser.
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MĂȘme sans amant cachĂ© dans le placard, on est souvent plus de deux dans un couple. Un ex pas vraiment oubliĂ©, une meilleure amie, un membre de la belle famille
 Et cette troisiĂšme personne n’est pas toujours facile Ă  repĂ©rer.
Dans les annĂ©es 60, le philosophe RenĂ© Girard* avait dĂ©fendu l’idĂ©e que la relation de dĂ©sir n’était pas binaire mais triangulaire. Si cette idĂ©e avait littĂ©ralement dĂ©frayĂ© la chronique (littĂ©raire), elle a depuis fait du chemin et les experts Ăšs dĂ©sir s’accordent aujourd’hui Ă  dire qu’il “ faut un mĂ©diateur, un autre qui dĂ©sire ”. Ainsi vont nos amours, nos ambitions, nos envies : seul ce qui est dĂ©jĂ  convoitĂ© nous attire. Nous ne dĂ©sirons pas, en rĂ©alitĂ©, nous envions celui qui possĂšde dĂ©jĂ  l’objet ou l’ĂȘtre aimĂ©. Et nous imitons son dĂ©sir. D’ailleurs, les publicitaires l’ont bien compris : ce qu’ils nous donnent Ă  dĂ©sirer, ce n’est pas tant un T-shirt, un parfum, une voiture, que celui ou celle qui les possĂšde ou dĂ©sire aussi les avoir.
Parfois, ça a le mĂ©rite d’ĂȘtre (trĂšs) clair. Inconditionnels de l’adultĂšre, partisans du "libre-Ă©changisme" , du mĂ©nage Ă  trois consenti
 Certains jonglent avec le chiffre trois comme la plupart d’entre nous avec le deux. Dans l’ombre ou en pleine lumiĂšre, ils intĂšgrent l’Autre au couple. Une maniĂšre de “mater” l’ennemi. DĂšs qu’il entre dans le couple, le troisiĂšme ne le menace plus, il le resserre, il le renforce : ce n’est plus un rival, celui par qui la rupture arrive. 
"C’est aussi une façon d’éviter trop de fusion, remarque une partisane des Ă©carts consentis. Nous sommes un couple jumeau, quand une ou un troisiĂšme se glisse entre nous, on redevient un peu Ă©trangers, on prend de la distance. De nouveau, on fait deux." Rien de tel qu’un brin de concurrence pour enflammer le dĂ©sir et renouer le lien. 
Rival et/ou mĂ©diateur, la “3Ăšme personne” d’un couple est en fait celui qui sĂ©pare pour mieux rĂ©unir, aimanter. Il peut prendre toute sorte de formes, pas toujours aussi Ă©videntes que celles de l’amant ou de la maĂźtresse. L’ex, l’ami(e) de coeur, un frĂšre, une soeur, une mĂšre, un pĂšre... Pas forcĂ©ment quelqu’un que l’autre voit souvent, mais Ă  qui l’on donne une place de choix. Un lien qui nous Ă©chappe, dont on se sent exclu . “Quand j’ai Ă©pousĂ© Pierre, j’ai Ă©tĂ© cooptĂ©e par Marie, se souvient MĂ©lanie. C’était sa premiĂšre femme, celle de ses 18 ans, la mĂšre de son premier fils, sa complice de barricades. Moi, je ne suis pas de leur gĂ©nĂ©ration, je n’avais pas encore de passĂ©, d’histoire commune avec Pierre. C’est d’ailleurs ce qu’elle m’enviait . Mais moi, je leur aurais bien volĂ© tous leurs souvenirs.”
Au palmarĂšs des “3Ăšme personne”, l’ex suit de prĂšs l’amant. Et pas besoin d’ĂȘtre aussi prĂ©sent que “Marie”. Il y a des ex qui hantent des couples alors qu’on n’en parle plus depuis des annĂ©es. Ce mĂ©nage Ă  trois, c’est juste un fantĂŽme qui rĂŽde, l’image de celui (ou celle) que l’on n’est pas et qui occupait notre place.
Notre couple n’a pas survĂ©cu Ă  ce mĂ©nage Ă  trois
" Christophe ne supporte pas que l’on Ă©voque ma vie d’avant, dĂ©plore StĂ©phanie, qui a pourtant divorcĂ© pour lui. Il a vĂ©cu avant moi, lui aussi
 Mais il ne supporte pas celle que j’étais ou plutĂŽt celle qu’il imagine que j’étais : Ă©pouse d’un homme cĂ©lĂšbre, vie facile, paillettes
 C’est une autre facette de moi, j’ai l’impression qu’il la dĂ©teste." 
Pas de pire fantĂŽme que “la face cachĂ©e” de l’autre ... Parfois, c’est juste une passion, un mĂ©tier, une cause... Rien de plus exaspĂ©rant et excitant Ă  la fois. Tout ce qui nous vole un peu de lui, l’emporte, le retient, le met Ă  distance. Tout ce qui, en fait, le rend heureux sans nous.
"Ma carriĂšre politique, c’est Ă  la fois ce qui fascinait JĂ©rĂŽme au dĂ©part et ce qui nous a sĂ©parĂ©s, rĂ©sume Julie. Pendant un temps, il y a participĂ©, en s’occupant des enfants quand je n’étais pas lĂ , en m’aidant au moment des campagnes... Puis c’est devenu sa hantise, sa rivale. Notre couple n’a pas survĂ©cu Ă  ce mĂ©nage Ă  trois."
Celui qui titillait, aimantait, soudait le couple, peut devenir l’ennemi, le ver dans le fruit. C’est souvent le cas lorsqu’il s’agit d’un combat, d’un vieux chagrin, d’une menace que le couple porte ou affronte ensemble. Jusqu’au moment oĂč l’un des deux se dĂ©solidarise. 
On peut par exemple porter Ă  deux l’alcoolisme de l’un, la drogue ou encore sa passion pour le jeu
 On partage le manque comme les moments d’euphorie. On devient complice. Ensemble pour le pire. Et on peut le rester toute une vie. Comme on peut soudain ĂȘtre rappelĂ© au monde, du cĂŽtĂ© des vivants, et abandonner la partie. Laisser l’autre Ă  son “troisiĂšme”. 
Faire mĂ©nage Ă  trois n’est sans doute qu’une Ă©tape dans une histoire d’amour
Mais il arrive aussi que l’on gagne la partie Ă  deux. Surtout quand le dĂ©mon est commun. Comme ce couple monstrueux, dĂ©formĂ© par la douleur, que forment AnĂ©mone et Richard Bohringer dans le film Le Grand Chemin , de Jean-Loup Hubert. On devine au fil des images que ce qui les ronge et les unit comme un vieux crime, c’est la mort de leur enfant, des annĂ©es auparavant. La chambre est restĂ©e intacte, fermĂ©e Ă  double tour. Intacte aussi leur haine contre le destin, tournĂ©e peu Ă  peu l’un contre l’autre
 Jusqu’au jour oĂč dĂ©boule dans leur vie un autre gamin, bien vivant. Qui chasse le dĂ©mon, les ramĂšne Ă  la vie. Et Ă  l’amour.
Elle est peut-ĂȘtre lĂ , la morale de l’histoire. MĂȘme quand le troisiĂšme est facile Ă  vivre, faire mĂ©nage Ă  trois n’est sans doute qu’une Ă©tape dans une histoire d’amour. Une phase "prĂ©-Ɠdipienne" du couple. Et si l’on rĂ©ussit, ensemble, Ă  tordre le cou au troisiĂšme, peut-ĂȘtre parvient-on enfin passer Ă  une histoire d’amour adulte. A deux. 
*René Girard, Mensonge romantique et Vérité romanesque (le Désir Triangulaire et mimétique)
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Voyageur compulsif, prĂ©sent dans la communautĂ© #avgeek française depuis la fin des annĂ©es 2000 et passionnĂ© de (longs) voyage depuis sa jeunesse, Bertrand Duperrin a cofondĂ© Travel Guys avec Olivier Delestre en mars 2015. On peut le retrouver aussi aussi sur http://www.duperrin.com oĂč il parle depuis plus de 10 ans de la transformation digitale des organisations, son mĂ©tier quand il est au sol.
MĂȘme si le sujet a disparu presqu’aussi vite qu’il est arrivĂ©, la France s’est Ă©mue du fait qu’à une Ă©poque le gouvernement ait activement agi pour favoriser l’arrivĂ©e d’Uber sur le marchĂ© français . Bien sĂ»r le dĂ©bat est empreint d’une certaine mauvaise foi et nos amis Ă©trangers ou expatriĂ©s nous diront qu’il n’y a qu’en France qu’on se pose ce genre de question (ce qui est d’ailleurs faux), mais c’est peut ĂȘtre l’occasion de s’interroger sur l’impact de Uber sur le marchĂ© français et se demander si cela valait la peine de favoriser son implantation.
Avec le temps on a peut ĂȘtre oubliĂ© ce qu’était la situation avant Uber alors autant rafraĂźchir les mĂ©moires. Avant Uber il n’y avait d’autres choix que les taxis et il faut se souvenir de ce qu’étaient les taxis Ă  l’époque.
PremiĂšrement l’offre Ă©tait ridiculement faible par rapport Ă  la demande . Je ne me souviens plus combien de fois j’ai du attendre des heures en fin de soirĂ©e Ă  Paris pour avoir un taxi pour rentrer chez moi ! Globalement parlant l’attente aux heures de pointes Ă©tait intolĂ©rable.
Je ne veux pas tomber dans les clichĂ©s mais force est de reconnaitre que le taxi, Ă  cette Ă©poque, proposait une expĂ©rience qui n’était pas du tout au niveau.
Voitures pas trĂšs propres et parfois odorantes, chauffeur dĂ©sagrĂ©able, obligation de supporter ce que le taxi Ă©coutait Ă  la radio, refus de fermer les fenĂȘtres et mettre la climatisation alors qu’on suffoquait de chaleur en plein Ă©tĂ©.
Ajoutons Ă  cela des pratiques commerciales discutables. Impossible de payer en carte bancaire (et ça l’a longtemps Ă©tĂ© mĂȘme lorsque ce moyen de paiement a Ă©tĂ© rendu obligatoire), itinĂ©raire Ă  rallonge tant pour la prise en charge que pour la course avec, Ă  la fin, une certaine inquiĂ©tude par rapport au montant Ă  avoir sur soi en liquide

Peut ĂȘtre que des chauffeurs de taxi qui liront ces lignes seront outrĂ©s par mes propos mais, en tant que client, c’est mon expĂ©rience de l’époque. Peut ĂȘtre que eux Ă©taient meilleurs mais l’expĂ©rience moyenne Ă©tait plus proche de ce que dĂ©cris que de quelque chose de satisfaisant.
Je ne vous raconterai pas la genùse de Uber, qui doit beaucoup d’ailleurs aux taxis parisiens, pour arriver aux premiùres impressions.
Voitures de luxe, propres, chauffeurs polis et stylĂ©s, bouteille d’eau et bonbons, prix prĂ©visibles et possibilitĂ© de payer en carte bancaire et, surtout, rĂ©servation et paiement dans une app.
Bien sĂ»r cela n’a pas durĂ© mais au dĂ©but ce fut un vrai choc.
Bien sûr cela a été une évolution majeure du marché, voire une révolution. Pour quels impacts ?
Une meilleure expérience client qui est devenu le nouveau standard désormais exigé par les clients.
Une augmentation significative de l’offre . Significative mais pas gigantesque. A l’époque seuls une catĂ©gorie de chauffeurs et de vĂ©hicules sont Ă©ligibles Ă  venir “Ubers” donc l’augmentation de l’offre, si elle a Ă©tĂ© rĂ©elle, n’a pas totalement bousculĂ© le marchĂ© non plus.
Quant Ă  l’impact sur l’emploi ? A ce moment il Ă©tait trĂšs faible. Il s’agissait surtout de chauffeurs privĂ©s qui ont augmentĂ© leur activitĂ©, pas de chauffeurs nouveaux qui se lançaient.
A ce stade les deux bénéficiaires étaient les clients et les chauffeurs en question . Quant aux taxis, le phénomÚne bien que médiatisé restait trop marginal pour leur faire du mal.
L’offre Uber Ă©tait excellente pour un certain marchĂ© mais certainement trop premium pour vraiment croitre sur le marchĂ© . C’est lĂ  qu’une offre d'”entrĂ©e de gamme”, Uber X est arrivĂ©e. Et c’est lĂ  qu’on a vu dĂ©ferler un nombre important de chauffeurs vers la profession. Et c’est lĂ  que les taxis ont vu rouge.
Concurrence déloyale ? Je ne suis pas qualifié pour le dire mais il est certain que certaines pratiques étaient trÚs limites.
ExpĂ©rience client ? La chute ! N’exagĂ©rons rien, un Uber X Ă©tait toujours meilleur qu’un taxi moyen de l’époque mais ça n’avait plus rien Ă  voir avec la promesse originelle qui, si elle Ă©tait maintenue par ailleurs, n’était pas Ă  la portĂ©e de tous. Mais plus le temps a passĂ© plus le chauffeur Uber devenait l’incarnation de ce qu’on reprochait aux taxis par le passĂ©.
Quoi qu’il en soit malgrĂ© la baisse de qualitĂ© Uber a continuĂ© Ă  croitre. Surprenant ? Non. Beaucoup ont cru que ce ça qui a fait son succĂšs au dĂ©part Ă©tait “le chauffeur en costume et la bouteille d’eau”. Et bien non. C’était juste la rĂ©servation et le paiement dans l’app.
Une chose est certaine : cet Ă©largissement de l’offre a mis de nombreuses personnes sur le marchĂ© du travail . Quant Ă  dire que ça leur a donnĂ© un travail
 Ils ont dĂ©couvert les joies et les vicissitudes de l’entrepreneuriat avec une plateforme qui leur impose des rĂšgles du jeu plus que dĂ©sĂ©quilibrĂ©es.
Il a aussi permis de vraiment augmenter l’offre sur Paris , d’oĂč la colĂšre a moitiĂ© comprĂ©hensible des taxis. A moitiĂ© car tout le monde ne jouait pas le jeu en termes de qualification. Mais d’un autre cĂŽtĂ© si les clients leur prĂ©fĂ©raient ce service, mĂȘme dĂ©gradĂ© depuis son origine, ils n’avaient qu’à s’en prendre qu’à eux mĂȘme.
Autant rappeler ici que le succĂšs d’Uber n’était pas inĂ©luctable contrairement Ă  ce que certains ont avancĂ©. Dans un pays comme le Japon son activitĂ© reste plus que marginale. Pourquoi ? Regardez la qualitĂ© de service proposĂ©e par un taxi Ă  Tokyo, voiture impeccable, gants blancs
il n’y a pas de place pour Uber. Sauf pour les Ă©trangers qui apprĂ©cient de rĂ©server par une app au lieu de parler Ă  un chauffeur qui la plupart du temps ne parle pas anglais.
Cela m’a fait drĂŽle d’un seul coup de trouver des files taxis qui attendaient des clients place de l’OpĂ©ra Ă  Paris des jeudis soirs alors qu’avant il fallait parfois attendre plus d’une heure pour qu’une voiture ne s’arrĂȘte

Je pense que beaucoup de chauffeurs de taxi sont trop fiers pour l’admettre mĂȘme si certains l’admettent de temps en temps : Uber a fait beaucoup de bien Ă  la profession car il l’a obligĂ©e Ă  se remettre en cause et s’amĂ©liorer.
Depuis plusieurs annĂ©es le meilleur service de transport en voitures Ă  Paris s’appelle
les Taxis G7 . Voitures impeccables, chauffeurs policĂ©s, une app qui permet une grande flexibilitĂ© car on peut Ă©galement hĂ©ler une voiture dans la rue et payer avec l’app.
Les bons chauffeurs sont restés, les autres se sont améliorés ou ont quitté la profession.
Le gagnant ? Encore une fois le client mais pas seulement. Je pense que le taxi a Ă©tĂ© Ă©galement rĂ©habilitĂ© par l’amĂ©lioration de son service. Je continue Ă  entendre parfois des blagues sur les taxis provinciaux mais Ă  Paris c’est bel et bien fini. MĂȘme les touristes ne se plaignent plus ni d’eux ni de leur niveau d’anglais. C’est dire

G7 se serait il remis en cause ainsi que ses chauffeurs aussi vite sans Uber ? SincĂšrement je ne le pense pas. L’effort a Ă©tĂ© consĂ©quent et n’aurait pas Ă©tĂ© justifiĂ© si aucune concurrence n’avait existĂ©.
En tout objectivitĂ© il faut reconnaitre, pour ceux qui ont des oeillĂšres, que le meilleur service Ă  Paris n’est plus Uber mais les taxis . Bien sĂ»r l’offre premium de Uber continue Ă  exister mais G7 a la sienne Ă©galement. Et en plus les taxis ont le droit d’emprunter les couloirs de bus et de circuler dans des endroits ou Uber et ses clones ne peuvent pas.
On reconnaitra toutefois Ă  Uber le fait d’avoir permis Ă  un certain nombre de personnes d’avoir une activitĂ© professionnelle (mĂȘme dans des conditions parfois discutables), d’avoir augmentĂ© l’offre de voitures sur Paris (sinon la situation serait invivable aujourd’hui) et d’avoir poussĂ© les taxis Ă  se rĂ©inventer.
Pour tout cela son arrivĂ©e en France a Ă©tĂ© une excellente chose et il faut qu’une concurrence continue a exister si on veut qu’un service de qualitĂ© perdure.
Si le modĂšle Uber est tout sauf parfait et n’a parfois pas Ă©tĂ© respectueux des lois (ni les chauffeurs respectueux des clients) il a eu le mĂ©rite de faire bouger les lignes.
Si aujourd’hui nous avons une offre variĂ©e et de qualitĂ© qui nous permet de nous passer d’Uber c’est aussi parce qu’Uber a obligĂ© les autres Ă  se remettre en cause.
A titre personnel je n’utilise plus Uber que dans un cas : quand je voyage Ă  l’étranger et que je ne suis pas encore familiarisĂ© avec les transports locaux ou que leur mode de fonctionnement ne me convient pas. Solution de facilitĂ©.
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Cynthia Bailey Ă©tait”un peu choquĂ©e”Todd Bridges a mentionnĂ© sa rencontre en prison avec Richard Ramirez sur”Celebrity Beef”Les amis sont briĂšvement devenus des ennemis aprĂšs que Bailey a votĂ© pour garder Teddi Mellencamp, ancien membre de Real Housewives et membre de l’alliance, dans la maison au-dessus du membre Bridges, qui Ă©tait un ajout de derniĂšre minute au bloc d’expulsion. MĂȘme si Mellencamp a Ă©tĂ© rejetĂ© par la majoritĂ© des invitĂ©s, Bridges s’est senti trahi par Bailey
 mĂȘme s’ils n’étaient pas dans la mĂȘme alliance ! Bridges a dit Ă  Bailey:”Dans la rue, tu m’as coupĂ© la gorge, je t’ai coupĂ© la tienne.”MĂȘme si Bailey et Bridges se sont finalement rĂ©conciliĂ©s dans la maison de Celebrity Big Brother, les fans de Bailey (et mĂȘme le mari de Bailey, l’animateur de tĂ©lĂ©vision/acteur Mike Hill) se sont rendus sur Twitter pour dĂ©fendre l’alun de RHOA, et les choses sont devenues un peu intenses pour Bridges aprĂšs qu’il a obtenu expulsĂ© de la maison. “DĂšs que je suis sorti, Todd m’a attrapĂ© et m’a dit :’S’il te plaĂźt, dis Ă  Mike que nous nous sommes rĂ©conciliĂ©s. Je ne veux pas qu’il veuille me combattre », se souvient Bailey. Bien que Bailey ait dit Ă  ses fans que les deux avaient fait la paix, elle avait hĂąte d’apparaĂźtre sur E! le plus rĂ©cent jeu tĂ©lĂ©visĂ©, Celebrity Beef , pour”montrer publiquement Ă  nos fans Ă  la tĂ©lĂ©vision que nous Ă©tions bons avec chacun autre.”ModĂ©rĂ© par E! Le favori Joel McHale, Bailey et Bridges ont participĂ© Ă  un dĂźner de poulet pour Ă©liminer toute animositĂ© persistante entre les deux et Ă©galement concourir pour gagner 10K pour l’organisme de bienfaisance de leur choix. Bailey a choisi la My Friend’s House Foundation , une organisation Ă  but non lucratif qui soutient les Los Angelenos actuellement sans abri dans le centre-ville. Sur Zoom, nous avons pu parler Ă  Bailey de son expĂ©rience sur Celebrity Beef, de son amitiĂ© avec Bridges, de sa carriĂšre d’actrice naissante et de sa participation au mariage de la copine de The Real Housewives Ultimate Girls Trip, Teresa Giudice. CYNTHIA BAILEY : La dispute entre Todd et moi Ă©tait quasiment terminĂ©e, mais le public ne s’en est pas rendu compte. Notre combat a Ă©tĂ© un moment assez important dans la maison de Celebrity Big Brother, mais nous nous sommes excusĂ©s et nous l’avons dĂ©passĂ©. Cependant, beaucoup de mes fans n’ont pas compris et Ă©taient tellement en colĂšre contre Todd que certains ont mĂȘme voulu le combattre ! Je suis arrivĂ© dans les trois derniers sur Celebrity Big Brother donc j’étais l’un des derniers Ă  partir. DĂšs que je suis sorti, Todd m’a attrapĂ© et m’a dit: «S’il te plaĂźt, dis Ă  Mike que nous nous sommes rĂ©conciliĂ©s. Je ne veux pas qu’il veuille me battre. Pouvez-vous faire savoir Ă  tout le monde que nous allons bien maintenant ? » Je me suis dit: « Attends, quoi ? Que ce passe-t-il? Qui veut te combattre ? Je n’avais aucune idĂ©e de la dĂ©mesure de notre combat sur les blogs. En tout cas, je pensais que Celebrity Beef Ă©tait juste un excellent moyen de montrer publiquement Ă  nos fans Ă  la tĂ©lĂ©vision que nous Ă©tions bons les uns avec les autres. Avant ce combat, vous et Todd vous entendiez trĂšs bien dans la maison de Celebrity Big Brother. J’ai rencontrĂ© Todd Ă  diffĂ©rents niveaux, en particulier nos compĂ©tences culinaires que beaucoup de gens ne rĂ©alisent peut-ĂȘtre pas. Todd est un excellent cuisinier, et je suis un excellent cuisinier. Notre vieux boeuf Ă©tait le cadet de mes soucis sur Celebrity Beef. Je n’ai rien gagnĂ©
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