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Afghanistan: un an après le retour des talibans, "il n'y a plus de liberté pour les femmes"
Salomé Vincendon Journaliste BFMTV
En un an, les droits des femmes en Afghanistan ont fortement régressé, les talibans leur coupant l'accès à l'éducation, au travail et même aux voyages seules. Tout ce qu'elles avaient réussi à obtenir "a été mis à terre".
Salomé Vincendon Journaliste BFMTV
Afghanistan: un an après le retour des talibans, "il n'y a plus de liberté pour les femmes"
Une femme portant la burqa à Kaboul, le 28 avril 2022. - WAKIL KOHSAR / AFP
Il y a un an, les talibans s'installaient au pouvoir après avoir pris Kaboul . Dès la mise en place de leur gouvernement les interdictions se sont multipliées à l'encontre des femmes, leur retirant toujours plus de droits: elles ont été écartées des postes de fonctionnaires, des collèges et des lycées, interdites de voyager sans accompagner un homme... etc. Dernièrement, le port du voile intégral en public a été rendu obligatoire pour elles .
"Les cibles premières des talibans ont été les femmes" déclare à BFMTV.com Myriam Benraad, professeure en relations internationales à la Schiller International University, auteure de Terrorisme, les affres de la vengeance (2021). "Ils veulent les réduire à la domesticité."
Avant le retour des talibans au pouvoir, "on avait quand même une situation très dégradée" pour les femmes afghanes explique Myriam Benraad. Le régime taliban avait été renversé en 2001 par l'intervention américaine, mais "depuis 10 ans ils se réimplantaient dans les régions rurales où ils avaient réimposé leur idéologie". Elle souligne que ces territoires ruraux sont plus conservateurs, plus aptes à entendre le discours des talibans, que les zones urbaines.
Globalement dans le pays, "on voyait de plus en plus de violences conjugales et la remise en cause d'un certain nombre de lois" pour les femmes déclare la professeure. Myriam Benraad parle elle aussi d'une "détérioration progressive" ces cinq dernières années, il y a eu une "remise en cause des droits des femmes dans l'indifférence des autorités afghanes".
La situation des femmes restait toutefois bien meilleure en ville avec une "progression du nombre des élèves femmes dans les écoles, à l'université , beaucoup de femmes journalistes, avocates, juges...", souligne Fahimeh Robiolle. Elle rappelle par exemple que l'armée afghane avait ouvert ses portes aux femmes. "À Kaboul, les femmes avaient réussi à s'imposer sur la scène culturelle, sociale, politique", abonde Myriam Benraad.
Avant même le retour des talibans, la population sur place était préoccupée par l'accord de Doha, signé en février 2020 entre les États-Unis et les talibans, qui actait le retrait des troupes américaines du sol afghan. "L'inquiétude existait depuis la signature de l'accord de paix à Doha", explique Fahimeh Robiolle, rappelant les explosions, les attentats ciblés et attaques qui ont précédé août 2021, visant parfois clairement les femmes : journalistes, juges, défenseurs de droits humains... "Il y a eu pendant plusieurs mois avant une ambiance de terreur à Kaboul et dans les autres grandes villes."
Et peu après l'arrivée officielle des talibans au pouvoir, les premières interdictions pour les femmes sont tombées: les femmes sont exclues des postes de fonctionnaires, de l'école et le ministère des femmes est remplacé par celui de la "prévention du vice" .
La France avait condamné en mai dernier l'annonce du port du voile intégral obligatoire dans l'espace public, écrivant que "cette nouvelle restriction extrêmement préoccupante s'ajoute à plusieurs autres interdictions édictées par les talibans depuis leur prise de pouvoir par la force le 15 août dernier, en particulier l'interdiction de l'enseignement secondaire aux filles afghanes et l'interdiction pour une femme de voyager seule".
La raréfaction de l'aide humanitaire et les situations extrêmement précaires dans lesquelles se sont retrouvées des familles a entrainé, en plus, un accroissement de comportements qui nuisent particulièrement aux femmes, notamment dans certaines régions pauvres: l'esclavagisme sexuel, la prostitution ou même la vente d'enfants , pour les familles en grande détresse.
Dans un rapport sur les violences faites aux femmes par les talibans , l'ONG Amnesty International écrit également que "le nombre de mariages d’enfants, de mariage précoces et de mariages forcés en Afghanistan est en forte hausse sous le régime des talibans" notamment en raison de "la crise économique et humanitaire" mais aussi de "l'absence d’opportunités sur le plan scolaire et professionnel pour les femmes et les jeunes filles", sans compter la pression exercée par les talibans.
Dès les premiers jours des talibans, des Afghans et Afghanes ont clamé leur désaccord avec le nouveau pouvoir en manifestant. En mai, certaines sont descendues dans la rue à l'annonce de l'obligation du port du voile intégral en public pour les femmes. Et pas plus tard que samedi, des talibans ont violemment dispersé à Kaboul une manifestation d'une quarantaine de femmes pour le droit au travail et à l'éducation.
Mais celles qui sont arrêtées payent cher leurs protestations.
"Il y a des femmes manifestant dans la rue qui ont été arrêtées, qui ont été violentées, violées dans les prisons des talibans", déclare Fahimeh Robiolle. Certaines ont été "libérées pour sauver l'image des talibans, qui leur ont dit 'de toute façon on va vous tuer une fois que la communauté internationale vous oubliera'".
Cette violence, cette répression des droits des femmes, si elles ne sont en réalité pas surprenantes, vont toutefois à l'encontre de ce que les talibans ont promis à la communauté internationale. Après avoir fermé les écoles pour filles, ils ont à plusieurs reprises assuré qu'elles allaient rouvrir. En mars dernier, les collégiennes et lycéennes ont pu retourner quelques heures en classe avant que les talibans décident finalement de leur en interdire l'accès .
"Ils ont dit qu'ils n'avaient pas les moyens", alors que "les écoles religieuses pour les garçons poussent comme des champignons partout", pointe Fahimeh Robiolle. "Quand les talibans étaient en face des délégations politiques et diplomatiques des pays occidentaux, ils disaient ce que l'on voulait entendre", mais "tout ce qu'ils ont dit était de purs mensonges pour essayer d'avoir la reconnaissance" de la communauté internationale, explique l'universitaire.
Elle rappelle qu'aujourd'hui beaucoup de femmes militantes se cachent en Afghanistan, sont entrées dans la clandestinité car elles sont menacées de mort par le régime. "On a des femmes qui ne peuvent même pas arriver à une frontière", souligne également Fahimeh Robiolle, car elles seraient arrêtées. Beaucoup n'ont de toute façon pas les moyens de traverser le pays, et n'ont parfois pas de passeport.
Difficile de voir comment la situation de ces femmes pourrait s'améliorer dans les mois à venir. "Cela va continuer de se dégrader pour tous les Afghans, à commencer par les femmes", selon Myriam Benraad. "Aujourd'hui il n'y a plus de liberté pour les femmes" abonde Fahimeh Robiolle.
Pour renverser la situation, il faudrait "un mouvement de révolte, les femmes seules auront beaucoup de mal à regagner un statut, il faut une révolte globale", explique Myriam Benraad. Mais la population afghane est désarmée, et n'a pas les moyens de lutter aujourd'hui face à un mouvement taliban armé qui n'hésite pas à tirer, à réprimer.
Les ONG réclament une intervention de la communauté internationale "comme des sanctions ciblées ou des interdictions de voyager" visant des talibans, écrit par exemple Amnesty International. "Si la communauté internationale s’abstient d’agir, elle abandonnera les femmes et les filles d'Afghanistan, et fragilisera les droits partout ailleurs", écrit la secrétaire générale de l'ONG.
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Un amour qui n’est pas partagé est une situation extrêmement douloureuse , certainement l’une des plus douloureuses que nous pouvons vivre au cours de notre existence. Ceux qui l’ont vécu le savent, cela génère beaucoup de souffrance.
Mais, de façon très logique, c’est aussi l’une des meilleures occasions que nous avons d’apprendre des leçons de vie.
Le fait d’être en état d’ouverture sentimentale, d’être très fragiles et hypersensibles, nous permet de découvrir de nombreuses choses sur nous-mêmes.
Vivre une situation pareille peut être très traumatisant et angoissant , mais aussi enrichissant et éclairant.
Nous avons la chance d’avoir une perspective unique sur tout ce que nous vivons , et sur toutes les choses de notre vie que nous croyions avoir.
La mélancolie est la compagne fidèle de l’amour qui n’est pas partagé. C’est la maladie de l’amoureux insatisfait, qui ressent du désir et une envie constante de fusion envers une personne qui ne l’aime pas.
Tout ce que nous vivons, nous souhaitons le partager avec une personne en particulier, et tout ce à quoi nous pensons nous ramène à elle.
T ous les lieux par lesquels elle est passée deviennent sacrés. Nous nous exaltons et nous la contemplons dès que nous la voyons, même s’il ne s’agit que d’un fantasme .
Nous recherchons le moindre contact avec elle, et cela provoque une certaine nostalgie en nous. En effet, un sentiment de tristesse s’installe au plus profond de notre cœur.
C’est à ce moment-là que nous ressentons la véritable solitude, celle qui naît lorsque nous ne pouvons pas être avec la personne que l’on aime.
Cette maladie, la mélancolie de l’amour, a été chantée par les troubadours médiévaux, et continue de se répandre à travers le monde. Elle trouve sa source dans la seule chose qui pourrait en être le remède : l’être aimé.
A travers ce processus dans lequel nous ressentons un profond amour envers une personne qui ne nous aime pas, il est inévitable de ressentir de la frustration, à cause de nos attentes, de nos illusions et de nos fantasmes qui ne se réalisent pas comme nous l’avions prévu.
La non-réciprocité de l’amour se présente lorsqu’une personne que l’on aime ne nous correspond pas, ou lorsqu’une personne qui nous a aimé nous rejette et nous abandonne.
Dans les deux cas, le sentiment de frustration peut générer des problèmes, tant sur le plan physique que sur le plan psychologique , à cause de l’auto-destruction que génère le fait de maintenir éternellement des illusions et des espoirs insatisfaits.
A quel moment perdons-nous l’espoir et le désir d’être avec quelqu’un ? La réponse à cette question ne peut nous être apportée que par des personnes qui ont déjà vécu cette situation. Mais la réponse et la résolution du problème est différente pour chacun d’entre nous.
Tout ce processus de maturité et de connaissance de soi doit se conclure par l’acceptation.
Nous devons être capable d’assimiler et de comprendre que l’amour n’est pas contrôlable, qu’il ne dépend pas de notre volonté, et que l’autre personne ne peut pas le ressentir uniquement parce qu’elle en a envie.
De la même manière, nous ne pouvons pas cesser de ressentir ce que nous ressentons tout simplement en le désirant . Nous pouvons juste observer la modification de la relation que nous vivons avec l’autre personne.
L’amour fait partie des ressorts spirituels de notre esprit, et ne peut pas être intellectualisé. C’est une jouissance profonde qui nous envahit et qui nous remplit de désir envers l’être aimé. A ce moment, rien n’importe plus que le bien-être de l’autre personne.
Seule la personne qui aime sait où sont ses limites. Elle sait, au fond d’elle-même, à quel moment elle devra accepter la réalité.
Lorsque le désespoir, le mal-être et la mélancolie ont été ressentis vivement par une personne, et qu’ils n’ont pas été réprimés, ils vont lentement mourir en elle, même si la non-réciprocité se maintient. Ce processus n’est pas une rupture, il s’agit simplement d’une évolution de la relation.
Se plaindre d’avoir aimé et de ne pas avoir été aimé en retour, c’est faire preuve d’une grande ingratitude, car le fait de savoir ce qu’est l’amour est l’un des plus grands bonheurs de la vie .
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