Il nique très fort l'institutrice de son fils
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30 janvier 2014
Choc , Sexy
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2 avril 2010, 18 h 45 min
Hedi, un petit garçon de 7 ans, est fan de football.
Scolarisé en CE2 dans une école du XIIème arrondissement de Paris, il a l’habitude de porter les maillots de ses équipes de foot préférées: « PSG, France, Espagne, Angleterre, etc. », raconte au Post, Sonia, sa maman.
Mardi 23 mars dernier, Hedi va à l’école avec le nouveau maillot que « son oncle vient de lui acheter: celui de l’équipe de foot d’Algérie ».
Mais ce maillot n’aurait pas été au goût de l’institutrice.
Au moment où Hedi rentre dans la classe, au début de la matinée selon le petit garçon, à la fin de la récréation selon l’enseignante, « la maîtresse s’est emportée contre lui », rapporte Sonia.
« Mon fils m’a raconté que, devant toute la classe, elle lui a dit: ‘Tu enlèves ce maillot immédiatement. Ici, c’est la France. Tu le porteras quand tu seras chez toi, en Algérie’. »
Hedi s’est alors exécuté, il a rangé son maillot dans son cartable. « Heureusement qu’il avait un t-shirt en dessous » confie sa maman.
En rentrant à la maison, Hedi raconte l’incident à sa maman. Sonia décide alors de s’expliquer avec la maîtresse du petit garçon ainsi que la directrice de l’école.
« Elles étaient toutes les deux très gênées et elles se sont excusées », explique la maman. « L’institutrice a reconnu qu’elle avait dérapé ».
Mais Sonia reste marquée par les paroles de l’institutrice. « Mon fils a été humilié. On est choqués. Cette histoire est très blessante. Chez nous, c’est la France. Mon fils est français, pas algérien. Je ne comprends pas qu’on ne lui dise rien quand il porte n’importe quel maillot de foot, mais quand c’est l’Algérie, ce n’est pas possible… », regrette Sonia.
Pour la maman, le dérapage de l’institutrice d’Hedi est « discriminatoire et raciste ». « Mon fils a 7 ans, il ne comprend pas d’où vient le problème avec un maillot de foot. D’autant plus que ce n’est pas un signe religieux. Le sport n’a pas de frontière, alors je ne vois pourquoi on reproche à mon fils ses origines ».
Contacté par Le Post, Gérard Duthy, inspecteur d’académie du premier degré de Paris, confirme cet incident. « Nous avons interrogé l’enseignante, elle a tout de suite reconnu les faits. Elle s’en veut et elle se sent mal. »
L’inspecteur décrit une institutrice « sans hsitoire ». « Elle n’est pas coutumière de ce genre de fait. A mon avis, c’est un dérapage verbal ». Selon Gérard Duthy, « le contexte reste encore à éclaircir, mais la maîtresse aurait répondu à une provocation, ce qui n’excuse en rien ce dérapage ».
Quelles suites vont être données à cette affaire? « Nous avons ouvert une enquête administrative pour avoir tous les éléments avant de prendre des mesures appropriées, une sanction éventuellement » poursuit l’inspecteur d’académie.
Pour Pierre-Emmanuel Charon de la FCPE (fédération des parents d’élèves) du XIIème arrondissement, « c’est une affaire regrettable ». « L’institutrice a manqué à ses devoirs mais des excuses ont été présentées à la maman. Pour nous, l’affaire est close » indique Pierre-Emmanuel Charon, contacté par Le Post.
Sonia ne porte pas plainte mais elle a décidé de saisir la Halde et des associations de lutte contre le racisme et les discriminations. La maman n’en veut « pas personnellement à l’institutrice ». Mais elle estime « qu’on ne peut pas laisser dire des choses pareilles et ne rien faire ». Source: Le Post
IL FAUT PORTER PLAINTE DIRECT OUé C UNE TRAFIQUANTE
allez vite les professionnels de l’indignation , c partis , on vous écoutes !
question cruciale mais je pense qu’il faut pas la punir mais plutôt informer les gens par les médias que le sport na ni couleur ni origine.
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Le curé, le maire, l`instituteur et l`institutrice Les luttes intestines de
Le curé, le maire, l'instituteur et l'institutrice
Les luttes intestines de 1866 à 1870
Vers 1866 Mosset ne connaissait pas l'actuel Opéra de fin juillet mais les événements de cette époque
sont dignes des meilleures tragédies-comédies qui illustrent les luttes entre les pouvoirs en place au milieu du XIXe siècle.
Les rumeurs ont dû faire gloser sur la place publique, même si, très peu, voire aucun des Mossetayres
d'alors n'en connaissait tous les tenants et aboutissants. La consultation des archives permet d'en reconstituer une version précise, sachant que c'est, avant tout, celle du curé desservant. Le sacrement de la
confession lui donnait une crédibilité inégalable. La défense acharnée de la bonne conduite de ses paroissiens, ses goûts pour l'écriture, son souci d'informer les plus hautes autorités départementales l'ont
conduit à une production épistolaire importante. Elle nous permet de reconstituer le déroulement de
quelques affaires.
Interviennent les personnages pivots des institutions locales de la fin du second Empire : le curé, le maire, l'instituteur et l'aubergiste. Le premier est Antoine Trilles, le second Gaspard Palol, le troisième
Jean Montal et enfin le quatrième Marie Parent, la femme de l'aubergiste Sébastien Abadie. La dernière entrée en scène sera celle d’Adèle Cantié, institutrice.
Le curé Antoine Trilles (1823-1892)
Né le 4 décembre 1823 à La Llagonne et ordonné
en 1848, Antoine Trilles est issu d'une famille
profondément chrétienne : son frère Bonaventure (1813-1886) a été curé de
Saint Mathieu à Perpignan et son neveu Gilles desservant à Lesquerde.
Il est successivement curé à Bages, à Caudiès puis à Mosset où il arrive en mars 1866. Sa
mutation dans un village de plus de 1200 paroissiens est une promotion. " Il avait été jadis professeur au petit séminaire de Prades où il se plaisait à collaborer à la rédaction de la petite revue
" A la Courdille " où certains de ses articles furent justement remarqués."
A Mosset, " il se montra sévère pour la tenue des
fidèles à l'église, exigeant le silence le plus absolu
et un extérieur convenable. Les simples blouses
étaient impitoyablement bannies et il fallait assister aux offices en veste très propre. Ses discours
empreints d'un zèle tout apostolique dépassaient
peut-être la mesure dans l'expression et parfois il
blessa sans le vouloir quelques-uns de ses paroissiens," explique, en termes mesurés, Benjamin
Vernet (1863-1935), un de ses successeurs de
1917 à 19351.
1
Le maire Gaspard Palol (1815-1900)
Né le 4 janvier 1815 à Prades, Gaspard Palol est
le fils de Narcisse Palol négociant et de Thérèse
Bès, ancienne famille aisée de Prades. Il est à Mosset en 1838 à la
suite de son mariage avec Marie
Biscaye, fille de Joseph Biscaye,
meunier à farine, propriétaire du moulin
du ravin de las Fabres. Les Biscaye sont originaires de Couiza dans l’Aude.
Gaspard Palol habite la maison du 2 Carretera
de Prada achetée en 1845 aux héritiers d'Isidore
Pompidor.
Gaspard Palol se manifeste pour la première fois
dans la vie publique locale aux élections
municipales des 30 et 31 juillet 1848. Il n'a que 33
ans et il marquera la vie municipale de la seconde
partie du XIXe siècle. Il est souvent membre du
conseil, parfois arrivant en tête des suffrages,
comme en 1860 et en 1865. En 1860, il est
nommé adjoint et Isidore Ruffiandis (18221884) est nommé maire, comme l’écrit le souspréfet : "Les élections municipales, qui ont eu
lieu... ont donné une majorité éclatante à un
nommé Palol Gaspar, qui est sorti le premier du
Journal des mossétans n°81
scrutin et qui est demandé par toute la commune
comme adjoint.
Ce choix est d'autant plus important que je ne
vous dissimulerai pas que M. Ruffiandis, maire
actuel, et M. Palol Gaspard sont les deux
hommes les plus intelligents de la commune de
Mosset et que, les associer ensemble, est
prévenir, pour longtemps, les dissidences locales
qui ont affligé la commune de Mosset pendant
plusieurs années. D'ailleurs M. Palol mérite, sous
tous les rapports la bienveillance et le choix de
l'Administration."
En 1855 cependant, il s'était fait remarquer par la
sous-préfecture. Son nom figurait sur la "liste des
individus, non condamnés politiques, qui doivent
être particulièrement surveillés à raison de la
part qu’ils pourraient prendre à un mouvement
insurrectionnel dans un moment donné."
Son opposition devait être très singulière : le 21
novembre 1852, avec un taux de participation2 de
94%, la totalité des 336 électeurs de Mosset qui
ont voté, se sont prononcés en faveur de l’Empire.
Suspecté en 1855, Gaspard Palol est en 1860
partisan déclaré du régime et le poulain du Souspréfet. En 1865, une pétition des opposants à sa
personne, comportant 67 signatures en faveur du
Docteur Sébastien Bazinet, n'a aucun effet alors
que 98% des suffrages se sont portés sur le
médecin et 82% sur lui.
Palol, qui a bien identifié ses "ennemis," les
présente au Préfet dans une lettre du 4 septembre
1865 :
1 - Monsieur Sébastien Bazinet (1810-1882),
maire en 1848, dût être révoqué à l'avènement de
l'Empire puisqu'il s'opposa ouvertement à cette
institution qui est la grandeur de la France. Nous
avons au moins toujours vécu en bonne
intelligence. Aux élections municipales Louis
Lavila et Isidore Ruffiandis, maire révoqué [lui
aussi], lui firent promettre
d'accepter l'écharpe que lui ferait
obtenir Monsieur Jacomy. Ils lui
feront entendre que ce serait un
moyen infaillible d'obtenir au
moins une demie-bourse pour son
fils [Léon Bazinet (1855-1925)]
qui, cette année, entre au collège
de Perpignan. Comme l'intérêt est
la passion dominante de Monsieur
Bazinet, il ne résiste à une
pareille perspective et, à partir de
ce moment, il est devenu leur Léon Bazinet
devenu colonel
docile créature !
Voici
une
preuve
de
désintéressement de Monsieur
Bazinet et qui promet pour
l'avenir. A l'époque de la
transaction
avec
Monsieur
Jacomy, le maire et le Conseil
devaient consacrer à cette
opération
[délimitation
du
territoire forestier communal]
plusieurs journées qui ont été
toutes
gratuites.
Monsieur
Bazinet accompagna pendant six
jours Monsieur Billes qui
délimitait la lisière de la forêt et a
réclamé 90 francs qui devaient lui
être payés.
D'un autre côté je dois vous informer que nous
avons deux médecins : Monsieur Bazinet et
Monsieur Cantié. Ce dernier a refusé de signer
la pétition ce qui prouve que la nomination de
Monsieur Bazinet ne peut que diviser la
commune.
2 - Lavila Louis (1826), beau-frère de Monsieur
Bazinet et employé de Monsieur Jacomy, trouve
dans cette circonstance l'occasion de faire
nommer une créature qui professe la même
opinion politique, que lui-même peut lui rendre
au besoin, et, en même temps, il se fait valoir
auprès de son patron qui par le moyen de
Monsieur Bazinet obtiendra toujours des
concessions au détriment de la commune.
3 - Ruffiandis Isidore (1821
-1884), qui, de son propre
aveu, n'est pas impérialiste
a toujours combattu les
candidats de l'administration tant qu'il a été
maire. On en a eu raison : il a été révoqué en mai
1864. C'est alors que j'ai pris la direction des
affaires de la commune profondément
bouleversée par les récentes luttes
électorales. Ruffiandis ne peut
pas me pardonner l'apaisement
des esprits. Il voudrait la tempête
et nous avons le calme le plus
parfait
malgré
toutes
les
insinuations malveillantes."
Toutes ces personnes seraient
manipulées par Rémy Jacomy
(1818-1889) celui qui a acheté en
1861 les forêts des descendants du
marquis d'Aguilar.
Sébastien Bazinet (1810-1882)
Journal des mossétans n°75
2
C'est avec lui que le maire, Isidore Ruffiandis, a
signé la transaction.
" Jacomy a toujours été dans un camp ennemi à
l'Administration et je n'ai jamais consenti à l’y
suivre dans les luttes électorales.
Il est redevable à la commune d'une somme de
16.700 francs. Des mesures de sûreté pour cette
somme ont été prises par l 'Administration et il a
toujours cru que ce n'avait été fait qu'à mon
instigation, ce qui est faux puisque j'ai appris le
fait après coup ; il s'oppose à ma nomination pour
retarder le paiement de ce qu'il doit."
Mais, en 1866, ceux qu'il désigne comme ses
"ennemis" ne sont pas les plus puissants et les plus
efficaces. Le danger est plus fort du côté du curé
Antoine Trilles et de l'instututeur Jean Montal.
Ils vont le pousser à la démission.
Crise de moralité en 1866
Dans un premier temps instituteur et curé sont alliés contre le maire et c’est Montal qui a déclenché les hostilités. En effet, le 3 décembre 1866,
Trilles écrit au préfet : "La confiance que vous
m'avez inspirée lorsque j'ai eu l' honneur de vous
présenter mes très humbles hommages, me porte à
vous prier de prendre en considération l'enquête
demandée par M. Montal, instituteur de Mosset,
contre M. Palol, maire de la même commune."
Trilles poursuit par l'analyse de l'état moral du village : " Non ce n'est pas l'instituteur seulement,
mais le sens moral public indigné du drame hideux qui se joue depuis si longtemps dans certaines maisons et jusque dans la rue, que vous demande la dite enquête.
L'état actuel des choses est la ruine complète de
toute morale dans Mosset. De grâce, Monsieur le
Préfet, n'oubliez pas la mauvaise réputation de
cette population importante. Veuillez donner une
réflexion à son passé si lamentable et vous verrez
poindre un avenir plus triste encore.
Pauvre jeune génération, trouvez-vous Monsieur
le Préfet, que des enfants de 11 à 13 ans, puissent
inscrire, sur les pierres des maisons, le nom affreux de ces scandales que les chrétiens devraient
ignorer. "
Et, sûr de lui, il menace : "M. le préfet, la même
confiance que vous m'avez inspirée, me fait ajouter que si ladite enquête n'était pas écoutée à Perpignan, elle serait demandée en haut lieu et je
peux vous garantir, elle serait autrement accusatrice3."
Démission du maire
Et le mois suivant Gaspard Palol donnait sa dé-
3
mission. Que lui est-il reproché ?
Trilles, qui connaissait tous les détails les plus intimes de la vie de ses paroissiennes, nous le révèle, incidemment, lorsqu’il écrit , deux ans plus tard
dans une lettre du 5 décembre 1867 : "La femme
Abadie, maître du café, n'avait-elle pas avoué, à
son adultère amant, qu'en l'absence de son mari..." ce qui signifie en clair : Marie Parent (1830
-1897), femme de Sébastien Abadie (1823-1870)
cafetier, n'avait-elle pas avoué, à son adultère
amant Palol, qu'en l'absence de son mari...
Ce qui est indiscutable, est que Palol est veuf depuis 1861 et qu'il a 5 enfants dont une fille d' Emma Cadas.
Sans autre élément, il est très probable que Palol a
été la victime de la calomnie. En 1875, le sous
préfet l'affirmera : " Monsieur Palol a été maire
de Mosset du 26 septembre 1865 au 29 janvier1867. Un incident regrettable sans doute, mais qui
n'entachait en rien son honorabilité (il s'agissait
de prétendues relations coupables dans une famille), lui fit donner, à cette époque, sa démission."
L'instituteur, nouvelle cible
Le cas Palol étant réglé, Trilles se préoccupe de
l'instituteur : même enjeu, même faute et même
punition.
Il écrit à l'Inspecteur primaire, qu’avec son administration et le maire de la commune, ils sont tous
d’accord pour proclamer "que Monsieur Montal,
l'ogre des gourmets, fréquentait trop le café. Car
le maître du café, mis en suspicion sur l'immoralité de l'instituteur par rapport à sa femme, a failli
troubler de nouveau son ménage, en faveur duquel
l'administration civile a forcé notre ex dernier
maire [Palol Gaspard] à donner sa démission.
Or ce ménage est toujours dans le danger imminent d'être troublé, vu que le Sieur Montal, qui a
su en imposer une fois par de hauts cris au maître
du café, redouble d'audaces, de visites et de gentillesses même envers la femme du cafetier."
En effet, " le Sieur Montal avait violé sa chambre
et sa couche en se jetant sur elle en disant : Voici
enfin ma proie ! "
L'instituteur Jean Montal (1832)
Né à Ille sur-Têt, élève de l'école normale, breveté
en 1851, Jean Montal arrive à Mosset en 1863.
Instituteur à Joch en 1852, il y épouse Thérèse
Gensane (1823). Nommé à Nyer l'inspecteur le
note positivement comme : " un bon instituteur . Il
peut diriger une école plus importante et il demande son changement. M. le maire et M. le curé
de Nyer le verraient, avec satisfaction, en charge
Journal des mossétans n°81
de l'école communale."
Il passe successivement à Ria et Palalda puis rejoint, à 30 ans, l'école publique de Mosset. Il y
trouvera 2 collègues : un certain Catala à l'école
privée et Adèle Cantié lors de la création de l'école libre des filles en 1865. Son traitement, en
1865, est de 700 francs.
nantes de l'instituteur devaient cesser.
Donc, du consentement de Monsieur le maire, le
Docteur Bazinet, sa femme mit à la porte le Sieur
Montal.
Le Docteur Bazinet avait épousé Thérèse Lavila
en 1839 après l’enlèvement et la séquestration du
jeune médecin par les Corcinos, les Mayens et les
Matheu qui voulaient le marier à Clotilde MaLe rapport de l'instruction publique indique que theu4.
Mosset, avec ses 1214 habitants, a une école laï- "J'abandonne, Monsieur l'inspecteur, à votre apque de garçons qui reçoit 22 élèves âgés de moins préciation les suites de ce fait et la continuation de
de 7 ans, 4 élèves âgés de plus de 13 ans, 31 élè- certaines relations de l'inculpé avec l'une des deux
ves "payants", 12 "gratuits" soit au total 43 élèves. demoiselles en question.
On y remarque une élève fille de plus de 13 ans Voilà ce que cette intéressante et infortunée femn'ayant jamais fréquenté l'école et 16 élèves filles me, revenue à des sentiments religieux et réconciexercées aux travaux de l'aiguille. L'instituteur, liée avec son mari, a avoué à moi-même et est disMontal Jean, dirige bien son école " ...mais dont posée à soutenir devant n'importe quelle autorité
le zèle n'a pas toujours été soutenu. Il a organisé compétente. Une chose si grave serait encore plus
un groupe qui for
J'ai réalisé le fétichisme de ma copine
Mon beau-père a une affaire avec cette blonde de 18 ans
Ce gars chanceux baise cette belle blonde pendant le massage