Il nique sa petite stagiaire

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Une vlogueuse spécialisée dans le jardinage a fait le buzz sur le web grâce à l'une de ses vidéos en tenue très sexy. Non Stop Zapping vous fait découvrir la séquence.


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Vu la tête qu'elle a fait, elle a pas du apprécier .... Bien fait pour elle, elle y réfléchira la prochaine fois ... B*tch !!!
Why bitch ?, je trouve au contraire que le geste du livreur est plein d'affection sans arrière pensée, bande de vieux cochons !
lol "52" c'était "bitch" purée j'essayais de traduire "b*tch" avec une étoile je ne comprenais pas !! tsss
Ben ça sent surtout la gonzesse qu'a voulu jouer à l'allumeuse sauf que le livreur était plus entreprenant qu'elle l'aurait pensé, et donc comme j'ai dit, vu la tête qu'elle a fait au moment où il lui touche la foufe, elle a pas du apprécier ....

Donc, rien que pour le fait d'ouvrir à un livreur en tenue sexy comme ça, c'est une bi*tch ....
Franchement,c'est un fake,même si elle le cherche,le type lui touche la chatte voir lui colle un doigt et la fille fait mine de serrer les jambes,en temps normal,le type se serai retrouver avec les burnes partagées en deux surtout que c'est qui qui filme? Son mec? A moins qu'il soit voyeur,un type vient toucher la chatte de ma femme,je lâche tout et lui colle une praline dans sa face.
Ha jeune fille, tu as voulu jouer la pétasse mais regarde ce qui t’arrive. Faut pas qu'après qu'elle vienne se plaindre.
Oui , c'est une crevette : tout est bon sauf la tête ...
Petite conne va
Vous allez me traiter de pute mais sa doit être marrant quand sa t arrive

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Elle emploie trois personnes et élève sa fille seule. Chloé a 43 ans et elle est tombée amoureuse d'un homme de 13 ans de moins qu'elle. Elle raconte.
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Je suis heureuse en couple, mais parfois le célibat me manque
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Pas mal comme histoire mais c'est un coup à se venger ! http://albatard.fr/

C'est drôle en lisant ce texte j'ai vraiment eu l'impression de me reconnaître ! Je suis une femme forte voir trop, j'aime bien dominer et contrôler la situation ! Professionnellement je suis plutôt dur à côtoyer, j'ai la lucidité de le reconnaître... Evidemment coté coeur c'est pas la panacée non plus du coup j'erre de rencontre en rencontre ( http://www.macougaramoi.fr/ ) assumant le statut de cougar de plus en plus difficilement.

Le regard des gens me fait mal, ils voient une femme mature avec un jeune homme pouvant être mon fils et ne comprennent pas la relation intense et sincère qui peut exister dans une rencontre cougar... Que faire ? me conformer un mode de vie plus classique mais plus saint ou bien continuer dans ce vice qui me rend heureuse ?

C'est drôle en lisant ce texte j'ai vraiment eu l'impression de me reconnaître ! Je suis une femme forte voir trop, j'aime bien dominer et contrôler la situation ! Professionnellement je suis plutôt dur à côtoyer, j'ai la lucidité de le reconnaître... Evidemment coté coeur c'est pas la panacée non plus du coup j'erre de rencontre en rencontre (http://www.macougaramoi.fr) assumant le statut de cougar de plus en plus difficilement.

Le regard des gens me fait mal, ils voient une femme mature avec un jeune homme pouvant être mon fils et ne comprennent pas la relation intense et sincère qui peut exister dans une rencontre cougar... Que faire ? me conformer un mode de vie plus classique mais plus saint ou bien continuer dans ce vice qui me rend heureuse ?

Du plus loin dont je me souvienne, j'ai toujours eu en moi ce que l'on appelle communément "l'esprit d'entreprise". Mes parents tenaient la seule boulangerie du village, autant dire que chaque habitant connaissait le boulanger, sa femme et ses enfants. Avec mon frère on a monté notre première "boîte" a 10 ans : nettoyage de voiture, intérieur-extérieur, moins de 2h, moins de 50 francs (oui, c'était en francs à l'époque). J'ai pensé, créé et dirigé ma première entreprise 100% girly au lycée : mutualisation de baby-sitters, CV impeccables, tarifs imbattables.

Aspirer à être fonctionnaire ou salariée, travailler pour un autre patron que moi-même, ce ne sont pas des concepts que j'assimile facilement. Depuis maintenant 8 ans que j'ai bouclé mes études, j'ai créé une entreprise de rédaction de contenu sur internet. Certains diront que je suis une véritable "control freak". C'est un peu exagéré... mais ce n'est pas complètement faux. J'aime gérer un progrès de A à Z, connaître les tenants et les aboutissants de mes décisions et assumer mes réussites et mes échecs. Alors oui, ma petite boîte devenue grande représente tout à mes yeux : c'est mon enfant, c'est ma vie. Je lui consacre sans sourciller mes congés, mes week-ends et mes (longues) journées. Et je m'éclate. Et je ne regrette rien.

J'avoue que je conserve une petite partie de mes nuits pour autre chose que mon entreprise. Tout de même, il faut bien vivre un peu ! Tout mon entourage me considère comme une business cougar qui collectionne les jeunes amants fougueux. C'est parfois vrai. J'aime la vitalité sans engagement de la vingtaine. J'apprécie le sentiment d'ascendant sur eux qui me permet de maîtriser la relation de A à Z. Comme au boulot en réalité. J'ai "l'esprit d'entreprise" dans ma vie sentimentale aussi ( http://www.bonjourmaman.net/ ).
[Mais pas seulement. Je sais aussi profiter des hommes de mon âge, et même parfois de collègues entrepreneurs de l'âge de mon boulanger de papa. Il faut savoir varier les plaisirs, et parfois apprécier de lâcher prise et de se laisser porter par l'inconnu et l'inattendu.]

Cougar une jour, cougar toujours......
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"J'ai toujours voulu créer mon entreprise . Et surtout rester indépendante. Ado, je ne veux pas me marier. Et pas plus avoir des enfants. Rien que le mot "maman" m'est insupportable. Je le trouve ringard. Je suis l' aînée de trois frères parfaits et hyper-brillants à l'école. Moi je suis le cancre. Je fais toutes les conneries. Je m'habille en jean troué mais, dans mon petit film intérieur, je me vois bien plus tard diriger ma petite équipe. Mon père répète que je ne suis pas comme les autres. Ma mère, universitaire, docteure en sciences de l'éducation, veille à ne pas employer certains mots qui pourraient me dévaloriser. Ils s'adorent. 
Mais, justement, je les trouve trop gentils. Je n'aime pas voir mon père se faire "bouffer" par des collègues qui veulent prendre sa place. Mes trois frères ont beau être têtes de classe, ils sont comme lui. En réaction, je me sens une vocation de "défenseure des opprimés". Dans ma vie personnelle, j'aime aussi les amoureux sans trop de bagages, qui n'ont pas encore une véritable vie derrière eux, j'aime les conseiller, les aider, les diriger. Un peu comme je mène ma vie professionnelle.
Aujourd'hui, à 43 ans, j'ai trois salariés. Je viens de racheter les locaux de mon agence à Biarritz. Et je ne compte pas en rester là. Après un BTS dans les assurances, à 21 ans, j'ai tout de suite commencé à travailler. Puis j'ai gravi tous les échelons. Très vite j'ai géré une grosse agence à Bordeaux. Des inspecteurs de la compagnie me repèrent et me disent : "Toi tu vas passer les tests pour être agent général . "
Pendant ces années je bosse beaucoup. Priorité à ma carrière. Mais je sors quand même pas mal. 
Un jour, mon gynéco m'annonce : "Vous ne pourrez pas avoir d'enfants." Je réponds du tac au tac : "En voilà une bonne nouvelle !" J'arrête la pilule. Deux ans plus tard, je me retrouve enceinte. Je n'y crois pas. Test. Et re-test. C'est pourtant vrai. Et tellement incroyable que je décide de garder le bébé. C'est une fille. On l'appelle Océane. Le père est aussi heureux que moi. Il veut qu'on se marie. Un an après la naissance, je dis oui. Ce n'était pas une bonne idée.
Nous nous séparons. Ma fille, je l'adore. Je l'élève seule. J'ai des amoureux qui passent. Mais aucun ne s'installe. Je ne veux pas d'autre enfant. Avec mon agence, je cours toute la journée. Entre la crèche, les clients, les relances... je suis un peu débordée. 
On me propose de prendre en stage un étudiant bac + 5 en finances. Je me dis : "Pourquoi pas ? il va nous aider dans l'organisation." Le premier jour, Stéphane arrive en costume-cravate. Il est très beau. Un peu grande gueule. Très efficace. Tout de suite, le courant passe. Lorsqu'on déjeune ensemble, avec l'équipe, je suis surprise par sa maturité. Il n'a que la vingtaine, et pourtant, il a des idées originales sur tout. Je sens à certains signes que, sexuellement, je ne lui suis pas indifférente. Il est intimidé quand il me parle, il rougit... Depuis trois mois, je ne sors avec personne. Mais j'arrête vite mon cinéma. Je me dis qu'à mon âge je suis ridicule, qu'il pourrait passer une soirée avec moi - le fantasme de coucher avec la chef -­, mais que cela ne durerait pas.
Les deux mois passent comme un éclair. Le dernier jour, je dois faire un aller-retour à Paris. Je vais rentrer tard et j'ai peur de ne plus avoir de taxi à la gare. Tout à coup, il lance : "Vous en faites pas, patronne, je viendrai vous chercher !" C'est une magnifique soirée d'été, je l'invite à prendre un verre. Puis on se promène sur la plage. Et comme je le taquine, il me prend dans ses bras et me jette dans les vagues. Cela finit en bagarre amoureuse. On passe ensemble une nuit extraordinaire.
Son stage est fini. Pendant six mois, il poursuit ses études, et très vite il trouve un poste dans une banque. On se voit les week-ends. Je profite de ces moments merveilleux. Le futur, je n'y pense pas. A l'agence, j'ai un employé qui adore tirer les cartes. Un matin, je lui lance : "Tiens, je suis avec un petit jeune !" Il étale son jeu : "Ça va être l'homme de ta vie. Vous allez avoir des enfants ensemble. ­Gilles, c'est pas possible. Qu'est-ce que tu me racontes ?"
A 37 ans, je ne me vois pas de nouveau enceinte. Ma fille grandit. Elle me suffit. Mais je sais que pour Stéphane, les enfants c'est très important. Ils jouent ensemble. Il lui parle, l'écoute, il est patient. Et très doux. A l'appart, il bricole. Et chez moi il y a du boulot ! Justement, je veux déménager. Au printemps, je commence à regarder les annonces et lui demande de m'accompagner pour les visites. Mais aucun appart ne lui plaît.
Je le soupçonne d'avoir envie d'une maison pour qu'on y emménage tous ensemble. Je fais l'autruche. Un soir, il me lance un ultimatum : "Je suis très bien avec toi, mais je veux construire une famille. Si tu ne veux pas d'enfant avec moi, je ne vais pas rester."
Je tombe enceinte, on se cherche une maison. Pour la financer, il vend son appart. Il veut aussi voir grandir sa fille. Le calcul est vite fait. Il gagne beaucoup moins que moi. A la banque, son boulot ne le passionne pas. Il demande un congé parental de trois ans. Avec le prix de la nounou, on est largement gagnants. Moi, cela ne me déplaît pas. Le matin, je pars à 8 heures, lui, il donne les biberons, fait les courses... En même temps, il retape entièrement la maison. La plomberie, l'électricité, il apprend tout sur Internet. Il m'épate. 
Rebelote avec notre deuxième enfant, Jules. Nouveau congé parental de trois ans. On revend la maison pour une autre, plus grande. Il est heureux, et ce que pensent les autres il s'en contrefout. Tous les deux, nous avons eu des parents soixante-huitards, engagés en politique, très bobos, qui nous ont appris à casser les codes. D'ailleurs, je trouve que tout a changé, même en province. Et ses copains l'envient plutôt. 
En fait, nous avons trouvé l'équilibre.
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Bonjour, je vais vous raconter comment C'est à la halle aux J'ai fait mon stage à la halle. Tout d'abord, une initiations sur les ocnditions d'hygiène et de travail à été de mise, iformé par une jolie jeune femme répondant au doux nom de Marie Pothier. Cette dernière m'a appris à ranger des habits arrivant directement de grandes caisses, tout doit se faire dans un rayon de 80cm, une main prend un cintre, l'autre se saisie d'un habit, et le tout doit être soigneusement déposé sur une barre en fer. ( jusque là rien d'interessant .. ) L'essentiel de ma première matinée s'est donc faites dans le rangement d'arrivage d'habits, alors que durant l'après-midi qui précedait ma très large demi-heure de pause, je me retourvais avec Nicolas moreau, qui dans son extrême bonté, m'a appris à découper des cartons, travail très peu répétitif mais néanmoins fatiguant. Après avoir découpé et plié les robustes cartons avec Nicolas qui surveillait en Fumant une cigarette à bout de souffle ( regarder quelqu'un travailler, peu, contre toute attente, fatigeur..) nous les avons jettés dans le conténaire à carton. C'est ainsi que s'acheva ma première journée mouvementée, sans oublier de remercier les employés de m'accorder 30 longues minutes de pause pour seulement 8h de travail, je me dirige donc vers le magnifique bus, qui me transporte chez moi, impatient de revenir le lendemain. C'est par un joli jour de pluie que débute cette deuxième journée, où je me précipite vers le magasin en courant avec mes 25 minutes d'avance quotidiennes. Par chance, le balai n'a pas été passé ce matin, et les employés offrent, à moi, simple stagiaire, l'honneur de dégager le somptueux sol de la halle aux vêtements de tout parasites aux formes non désirées sur ce magnifique parquet. Cette matinée s'est poursuivie sur pleins de petits travaux enrichissant, tel que l'aspirateur, qui, moi, modeste paysan d'une contrée lointaine ai eu l'honneur d'être enseigné le maniement. L'après-midi quant à lui, à été bien plus mouvementé (je sais qu'il peut paraître difficile de faire plus mouvementé que le balai, mais vous allez être surpris!) en effet, car j'ai pu poser des gommettes sur certains produits!! Ces derniers étant en solde, j'ai pu ajouter 10%!! La deuxième journée s'est donc achevée sur divers petits travaux, sans oublier les 30 minutes de pause qui, je trouve, étaient d'un ennui mortel. La troisième journée n'a pas pu être remplie.. En effet, atteint d'une terrible maladie qu'aucun diagnostic de médecin ne pourrait soigner, je n'ai pas pu remplir ma tache... J'ai eu beau supplier ma tendre mère de me laisser y a
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