Il ne parvient pas à se retenir

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Il ne parvient pas à se retenir


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19/05/2011 à 17:56 Aucun commentaire

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Moment difficile pour le e-commerçant français Fnac , victime d’un vraisemblable debug sauvage de la part d’un de ses développeurs web. En effet, certains bas de page se voyaient durant quelques heures agrémentés d’un mot quelque peu étonnant pour une boutique e-commerce : prout .
Pour ceux qui chercheraient à trouver une explication à cet écart, il ne s’agit pas du livre Prout de Mammouth ou autre La poudre à prout du professeur Séraphin en vente dans la boutique.
La correction a désormais été apportée mais un rapide tour dans le cache de Google fait ressortir bien des pages de catégorie sur lesquelles le message était visible.
Sans surprise, l’information n’a évidemment pas manqué de circuler sur les réseaux sociaux comme Twitter.
J’en connais un qui va passer un mauvais quart d’heure…

Ingénieur développeur web dans le secteur du e-commerce et du tourisme mais avant toute chose passionné par internet et ses intarissables ressources.






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Publié le 16/08/2022 à 11h18
- Modifié le 19/08/2022 à 13h38




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Guns N' Roses en décembre 1992 avant un concert en Argentine.  
© STR / AFP
À l'ouverture des portes du Roskilde Festival, près de Copenhague, avant un concert des Guns 'N Roses en 2006.  
© KAARE SMITH / SCANPIX / AFP


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Vous lisez actuellement : Guns N' Roses, 13 millions de dollars et un album maudit



Par Polyme le 17/08/2022 à 08:13




Par honnête homme le 16/08/2022 à 18:39




Par Le requin du Douron le 16/08/2022 à 17:29


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C hinese Democracy a coûté 13 millions de dollars et signé l'arrêt de mort des Guns N' Roses, au sommet de leur gloire, après avoir vendu 100 millions d'albums en seulement six ans d'existence. Mais comment se sont-ils si vite fracassés ? C'était le groupe le plus toxique de la fin des années 1980, des titres inoubliables alternant ballades et morceaux agressifs, « Sweet Child O'Mine » puis « Welcome to the Jungle », des pochettes au design explosif, des pluies de dollars, l'invention du short cycliste porté avec des baskets montantes et un bandana sur cheveux longs, du haut-de-forme sur tignasse crépue…
« Quand les Guns ont débarqué à Los Angeles en 1983, ils étaient différents. Ils étaient dangereux. Les voir jouer, c'était comme regarder un train dérailler, on ne pouvait pas regarder ailleurs », raconte au Point Vicky Hamilton. « Ils m'ont dit qu'ils allaient devenir le plus grand groupe de Hollywood. Et en écoutant sur un magnétophone volé les cinq chansons de leur démo, dont certaines figureront sur leur album Appetite for Destruction , j'ai compris que c'était vrai. J'ai accepté d'être leur agent. » C'est ainsi qu'à Los Angeles, au royaume du fric et des corps bronzés, musclés et épilés, avec cinq prolos sales, mal nourris et constamment saouls, Guns N' Roses est devenu le plus grand groupe de rock du monde. Unis par une tournée désastreuse, ils sont au début comme une vraie famille. La famille, un cocon que la plupart d'entre eux n'ont jamais connu.
Le chanteur Axl Rose , un rouquin au visage d'ange originaire de l'Indiana, a été abandonné – et probablement violé – par son père à l'âge de 2 ans. Sa mère, qui n'avait que 17 ans quand elle est tombée enceinte, se remarie avec un pentecôtiste puritain. Il élève le garçon entre offices religieux et coups de ceinturon. Le jour de sa rentrée en troisième, il rencontre le guitariste rythmique Jeff Isbell, alias Izzy Stradlin, un garçon calme aux traits émaciés, qui vit à l'autre bout de Lafayette. Leur passion pour la musique et le skate les rapproche. Ils laissent pousser leurs cheveux, montent des groupes et ne pensent qu'à quitter l'Indiana et ses champs de maïs.
Izzy part le premier pour Los Angeles. Axl, emprisonné cet été-là pour délits mineurs, le rejoint en stop à la fin de l'année. Il vit dans des taudis, dans la rue, chez des filles, chez Izzy, qui vend de l'héroïne au Tout-Los Angeles, dont Joe Perry, le guitariste d'Aerosmith. Ils montent un groupe, Hollywood Rose, enregistrent cinq titres composés par Izzy, où Axl chante déjà avec une voix de tête presque animale.
La réputation sulfureuse du groupe remplit les salles. Avec eux, on ne savait jamais ce qui allait se passer. À quelle heure arriveraient-ils sur scène ? Six heures après ? Jamais ? Les Guns sniffent de la coke, se piquent à l'héro, boivent beaucoup, cassent tout sur leur passage. Ils se servent des femmes sans pitié, volent des strip-teaseuses, couchent avec des groupies mineures, sans protection, alors que le sida vient de faire son apparition… Ils font même l'amour en studio pour enregistrer des gémissements pour une chanson.
Malheureusement, ce groupe qui ne connaît aucune limite implose rapidement. Steven Adler s'est fait virer du groupe : il était tellement défoncé qu'il s'écroulait sur sa batterie. Matt Sorum l'a remplacé pour enregistrer Use Your Illusion I & II , fantastique double album qui déclencha des émeutes dans les magasins de disques le jour de sa sortie en 1991. Axl, prisonnier de ses terribles angoisses et diagnostiqué bipolaire, arrive des heures en retard aux concerts, entraînant des pénalités de plusieurs millions de dollars. Sur ses riders (liste d'équipements et agréments fournis à la demande du groupe par la salle de concert), il réclame des choses de plus en plus étonnantes, dont des melons carrés (oui, ça existe !).
Fâché avec la moitié de l'univers, Axl Rose vit seul et reclus dans sa villa de Malibu, entouré de sa gouvernante brésilienne (ex-nounou du fils du top-modèle Stephanie Seymour , avec qui Axl a eu une liaison orageuse) et les fils de celle-ci, qui sont ses actuels manageurs. En 1997, après avoir racheté le nom « Guns N' Roses » aux autres membres du groupe, il entre en studio avec Dizzy Reed (qui accompagne les Guns au clavier depuis 1990) et une dizaine de nouveaux musiciens, dont Brian May de Queen, ou le basketteur Shaquille O'Neal . On n'entendra ni l'un ni l'autre sur les prises retenues. L'album n'est pas prêt. Ils déménagent, tentent de renouer avec leurs premières inspirations en s'installant dans le studio de leurs débuts, celui d' Appetite for Destruction (30 millions d'exemplaires vendus), redécoré et rééquipé pour l'occasion. Le chanteur n'y met presque jamais les pieds, malgré le coût faramineux de la location (salaires compris, le New York Times l'a estimé à 244 000 dollars par mois). Rose ne fait que réenregistrer son premier album – entreprise totalement vaine. Ses musiciens, désœuvrés, finissent par monter des groupes en parallèle.
Alors, Geffen Records met le paquet et ne recule devant aucune dépense : les sommes investies sont déjà énormes, il leur faut un album. En sept ans, ils louent quinze studios, embauchent quatre producteurs, versent des millions de dollars à leur diva, et promettent des bonus astronomiques à qui peut aider à finir ce disque. Pour le guitariste Buckethead (qui porte un seau KFC sur sa tête masquée), ils font construire un poulailler grandeur nature, où il gratouille son instrument (de musique) en regardant des films pornos. Ça ne suffit pas. En 2004, le label stoppe l'hémorragie et cesse de financer ce fiasco. Ils ont investi 13 millions de dollars, c'est au chanteur de finir le travail – et à ses frais. Des chansons fuitent. Rose retourne en studio. On estime ses dépenses à 7 millions de dollars. Enfin, Chinese Democracy sort… en 2008 ! L'album de rock le plus cher à enregistrer de l'histoire, le deuxième au monde après Invincible de Michael Jackson, est un échec commercial et critique. Axl Rose, rose et gonflé, a perdu la tessiture de sa voix et sa souplesse de chat.
Malgré cette douche froide (glacée ?), en 2016, le groupe s'est reformé, avec Slash et Duff. Avec humour, ils baptisent leur tournée « Not iin This Lifetime », soit « Jamais de la vie », les mots employés par Axl quand on lui parlait de reformer les Guns… Cette touchante réunion leur rapporte 563,3 millions de dollars. De quoi enregistrer un nouvel opus ?
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Qui n’a jamais réfléchi à l’ascension du populisme devant un épisode des machiavéliens Game of Thrones ou Baron Noir ? Ou au bien-fondé – ou pas – de la transparence en politique en visionnant Borgen ? Quant au succès planétaire de La Casa de papel, ne reflète-t-il pas la montée de la pensée « antisystème » dans nos démocraties ? Plus pragmatiquement, que nous enseignent, du pouvoir, de ses enjeux et de ses jeux, sur la manière dont on le conquiert et dont on le garde, les grands récits contemporains que sont les séries ?

J’ai toujours trouvé Guns & Roses assez pauvres musicalement. Gros son, grosse guitare et voix éraillée ne suffisent pas. Quand je compare à Ac/Dc, Scorpions et même Rammstein (!), c’est très moyen. Je décèle un manque d’humilité puérile qui s’est transformée en une quête interminable de maturité. Ax’l n’est certainement jamais devenu adulte.

Bien sûr, c’est avant tout l’album d’Axl, ce n’est plus du Gn’R, mais on y retrouve tout le sens mélodique de Rose (un peu boursouflé à la Nov Rain, mais grandiloquent et émouvant), avec même des morceaux bien musclés. Les solos de guitare sont efficaces.
Pour ceux qui sont tentés, écoutez-le sans a priori : les titres préférés : Better, Catcher in the Rye, Madagascar, Sorry… and This I love, avec son finish fatal.
Et puis, rien qu’avec son oxymore en guise de titre, cet opus vaut l’écoute…
Un dernier truc marrant : avec mon oreille formaté par le son Guns, il m’a fallu plusieurs écoutes pour vraiment en’apprécier totalement l’écoute.
Mais quel kiff qd même en 2008, quand j’ai entendu à nouveau la voix de Rose…. Heureux d’avoir ressenti le frisson à l’époque.
Bonne écoute !
Après, il y a quand même des exceptions...

AC/DC et ZZ Top en sont.

AC/DC, c'est musicalement génial grâce à leurs bonne bases de blues et puis il y a un humour incroyable qui submerge le tout. Réécoutez-donc le son (de cornemuse) de "It's a Long Way to the Top (If You Wanna Rock'N'Roll". Tout simplement génial !

ZZ Top ont fait de sacrés tubes également : "Give Me All Your Lovin", "Sharp Dressed Man", etc.

Bon, j'ai encore dit une bêtise... M'enfin, M'sieur Gaston !
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