Il mange sur le corps nu de son epouse

Il mange sur le corps nu de son epouse




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Il mange sur le corps nu de son epouse
À lire aussi : Douze secrets des couples heureux
A travers le monde, vous ĂȘtes des millions Ă  lire Aleteia, pour y trouver quelque chose d'unique : une vision du monde et de votre vie inspirĂ©e par l’Évangile. On prĂ©tend qu'il est de plus en plus difficile de transmettre les valeurs chrĂ©tiennes aux jeunes d'aujourd'hui.
Et pourtant, savez-vous que plus de la moitiĂ© des lecteurs d'Aleteia sont des jeunes de 18 Ă  35 ans ? C'est pourquoi il est si important que Aleteia demeure un service quotidien, gratuit et accessible Ă  tous. Cependant, un journalisme de qualitĂ© a un coĂ»t que la publicitĂ© est loin de couvrir. Alors, pour qu'Aleteia puisse continuer Ă  transmettre les valeurs chrĂ©tiennes au cƓur de l'univers digital, votre soutien financier demeure indispensable.
La rédaction des commentaires est réservée aux membres Aleteia Premium
Vous ĂȘtes dĂ©jĂ  membre ? Connectez-vous
Creuse : un moine s’installe dans une abbaye, des artistes dĂ©nonc...
« Quand est-ce que je verrai mon Seigneur ? », s’interroge le pap...
Pourquoi les cloches de toutes les Ă©glises de Paris vont-t-elles ...
Moine contemplatif et psychologue, l’étonnant cheminement de frĂšr...
Il a sculpté le plus grand visage du Christ au monde
[REPORTAGE] Une marĂ©e de servants d’autel français dĂ©ferle sur Ro...
Un Ă©vĂȘque indien renonce Ă  sa charge
pour devenir ermite
Recevez Aleteia chaque jour. Abonnez-vous gratuitement
Je souhaite recevoir les informations des partenaires d’Aleteia
© Copyright Aleteia SAS tous droits réservés.
Paul Habsburg - publié le 15/06/20 - mis à jour le 20/10/21
Le cƓur humain est capable de rĂ©vĂ©ler de grandes vĂ©ritĂ©s. Essayez d’imaginer la diffĂ©rence entre les mouvements de votre cƓur quand vous contemplez les fresques de la crĂ©ation d’Adam et Ève de Michel Ange dans la chapelle Sixtine , et quand vous regardez une image pornographique. Le cƓur va rĂ©agir trĂšs diffĂ©remment. MĂȘme si les deux rĂ©alitĂ©s reprĂ©sentent une certaine nuditĂ©, leur finalitĂ© est totalement diffĂ©rente. Alors que l’image pornographique est souvent regardĂ©e en secret, et qu’elle transforme le spectateur en consommateur, la nuditĂ© d’Adam et Ève est exposĂ©e dans un lieu public. Elle Ă©veille en nous des pensĂ©es plutĂŽt nobles comme la confiance, la vie, la tendresse et le don de soi. L’une des nuditĂ©s nous relie Ă  Dieu, tandis que l’autre risque au contraire de nous Ă©loigner de Lui. Ici, c’est le cƓur qui parle, pas l’Église ou une prohibition morale quelconque. Le cƓur est une incroyable boussole.
Les couples me disent que ce n’est pas facile d’accueillir le regard de l’autre sur sa propre nuditĂ©. Et ce n’est pas facile de regarder la nuditĂ© de l’autre sans ressentir une pointe de dĂ©sir ou de convoitise.
Si certaines personnes se sont pas complĂštement Ă  l’aise avec leur propre nuditĂ©, ce n’est pas parce que celle-ci est mauvaise. Notre cƓur nous alerte plutĂŽt que quelque chose en nous n’est pas totalement Ă  sa place, comme si un Ă©lĂ©ment important s’était perdu. Mais si le cƓur nous fait une telle remarque, c’est finalement pour nous inviter Ă  lui faire confiance et Ă  chercher ce quelque chose . Car la Bible nous dit qu’Adam et Ève « Ă©taient nus, et ils n’en Ă©prouvaient aucune honte l’un devant l’autre » ( Gn 2,25 ). Au lieu de sentir la honte du fait d’ĂȘtre nus l’un devant l’autre, leur nuditĂ© mutuelle provoque en eux une immense joie, Ă  tel point qu’Adam s’exclame :
« Cette fois-ci, voilĂ  l’os de mes os et la chair de ma chair ! » ( Gn 2,23 ).
Pourquoi cette joie chez Adam ? Comme son Ăąme est naturellement habitĂ©e par Dieu, son regard sur la nuditĂ© de l’autre n’est pas habitĂ© par la concupiscence. Tout au contraire, cette nuditĂ© rĂ©vĂšle que l’un et l’autre sont faits pour le don. Cette nuditĂ© mutuelle permet au couple de se donner et de s’accueillir pleinement. Adam et Ève peuvent finalement devenir un vrai don-de-soi et ainsi rĂ©aliser leur vocation d’ĂȘtre dans le monde l’image de Dieu qui se donne. Dans les origines, la relation amoureuse entre Adam et Ève a dĂ» ĂȘtre vĂ©cue dans une paix immense.
Depuis la chute des origines, la nuditĂ© est un thĂšme difficile. Elle reste un challenge . Les couples me disent que ce n’est pas facile d’accueillir le regard de l’autre sur sa propre nuditĂ©. Et ce n’est pas facile de regarder la nuditĂ© de l’autre sans ressentir une pointe de dĂ©sir ou de convoitise. Il y a parfois un certain combat entre l’idĂ©al et la rĂ©alitĂ©. Le rĂ©cit de la CrĂ©ation nous apprend qu’Adam et Ève ont ressenti le besoin de s’habiller des feuilles du figuier justement aprĂšs la chute, donc aprĂšs avoir perdu la proximitĂ© avec Dieu. Cela veut donc dire qu’en nous rapprochant du CrĂ©ateur, le regard sur l’autre et sur soi-mĂȘme pourrait Ă  nouveau s’apaiser.
Regarder la nuditĂ© de l’autre avec un regard pur, c’est un peu comme marcher sur l’eau
 C’est seulement en prĂ©sence de JĂ©sus que cela devient vraiment possible.
En fait, le CrĂ©ateur s’est dĂ©jĂ  approchĂ© de nous en JĂ©sus-Christ. JĂ©sus est venu entre autres pour guĂ©rir notre regard, pour nous redonner le regard des origines. Dans ce sens, je trouve que la rencontre de JĂ©sus avec la pĂ©cheresse ( Jn, 8,1-11 ) est trĂšs significative. Les scribes lui amĂšnent une femme qu’ils ont surprise en train de commettre l’adultĂšre . Ils veulent voir si JĂ©sus consent de la condamner Ă  mort selon la loi de MoĂŻse. Et lui, que fait-il ? Il se baisse et Ă©crit sur le sol, en signe de respect pour cette femme. Je suppose qu’elle n’était probablement pas trĂšs habillĂ©e

En se baissant, JĂ©sus veut guĂ©rir la convoitise et le jugement des scribes. Il veut Ă©duquer leur regard sur la nuditĂ© et sur la faute de l’autre. AprĂšs un instant, les scribes repartent. Il n’y a plus personne pour juger la femme. C’est ainsi : d’innombrables scĂšnes de l’Évangile rĂ©vĂšlent qu’en prĂ©sence de JĂ©sus, le regard des disciples comme celui des scribes est plus droit et plus vrai. Regarder la nuditĂ© de l’autre avec un regard pur, c’est un peu comme marcher sur l’eau : c’est seulement en prĂ©sence de JĂ©sus que cela devient vraiment possible. Celui qui regarde sans JĂ©sus ne voit pas bien, ou il voit trop peu.
Quand un couple s’unit uniquement au niveau des corps sans unir aussi les Ăąmes, alors l’union est trop fragile, elle dĂ©pend trop de la qualitĂ© du corps. TĂŽt ou tard, cette union ne sera plus suffisante, car l’homme est largement plus que son corps !
J’ai expĂ©rimentĂ© cette rĂ©alitĂ© dans l’histoire de François et Clothilde que j’avais prĂ©parĂ©s au mariage . AprĂšs Ă  peine quelques annĂ©es de mariage, ils me disaient que leur vie intime Ă©tait devenue assez vide, qu’elle manquait de sens. Pourtant, c’est un couple top, l’un de ces couples dont tout le monde croit que les difficultĂ©s glissent sur eux sans les atteindre. C’est d’ailleurs ce que je pensais moi-mĂȘme
 AprĂšs m’avoir dit cela, François et Clothilde ont immĂ©diatement ajoutĂ© dans le mĂȘme souffle, qu’ils avaient cessĂ© de prier ensemble depuis la naissance de leur premier enfant. Intuitivement, ils ont devinĂ© que cela avait quelque chose Ă  voir avec leur problĂšme. Et ce n’est pas faux : si la sagesse de Dieu n’habite pas le regard mutuel, alors « le sens esthĂ©tique s’appauvrit, et ainsi la joie s’éteint. Tout est fait pour ĂȘtre achetĂ©, possĂ©dĂ© ou consommĂ© ; les personnes aussi » ( pape François, Amoris Laetitia, 127 ).
Quand un couple s’unit uniquement au niveau des corps sans unir aussi les Ăąmes, l’union est trop fragile, parce ce qu’elle dĂ©pend trop de la qualitĂ© du corps seulement. Quand les Ăąmes ne sont pas unies, le don est incomplet parce que chacun ne donne qu’une partie de lui-mĂȘme. TĂŽt ou tard, cette union ne sera plus suffisante, car l’homme est largement plus que son corps !
En revanche, quand un couple prie ensemble, quand les Ă©poux regardent ensemble vers Dieu en lui ouvrant leur cƓur en toute simplicitĂ©, alors le CrĂ©ateur leur rend visite. Il unit en eux ce que Lui seul peut unir. Et ainsi, au lieu d’unir seulement leurs corps, leurs gestes d’amour et de tendresse deviennent une vraie communion des personnes. Dans ce sens, plus un couple prie ensemble, plus les Ă©poux partagent tout en commun, plus ils deviennent semblables, et plus leur communion se renforce, au point de devenir presque invulnĂ©rable.
Quand les Ă©poux apprennent Ă  prier vraiment ensemble, leur nuditĂ© n’est plus une occasion de honte ou de concupiscence. Elle rappelle qu’ils sont faits pour aimer comme Dieu aime.
J’observe chaque annĂ©e avec une immense joie les fiancĂ©s qui commencent Ă  prier en couple. Ils grandissent dans le respect mutuel. Dans toute leur relation avec le(la) fiancĂ©(e), ils expĂ©rimentent « la sacralitĂ© de sa personne, sans l’impĂ©rieuse nĂ©cessitĂ© de la possĂ©der » ( pape François, Amoris Laetitia, 127 ). Et j’en suis sĂ»r : le jour oĂč ils vivront une pĂ©riode difficile au niveau du corps ou de l’esprit, leur priĂšre en couple aura crĂ©Ă© une complicitĂ© considĂ©rable. L’union de leurs Ăąmes sera toujours plus forte que leurs fragilitĂ©s, parce que Dieu y habite. Sainte MĂšre Theresa disait qu' »une famille qui prie ensemble reste ensemble. »
Jean Paul II appelle la priĂšre en couple la nuditĂ© de l’ñme. Quand les Ă©poux apprennent Ă  prier vraiment ensemble, Ă  se dĂ©vĂȘtir au niveau de l’ñme, à permettre Ă  l’autre de contempler l’intimitĂ© de son cƓur, alors ils apprennent aussi Ă  se regarder avec une attitude de don-de-soi . Quand ils contemplent alors la nuditĂ© du corps de l’autre, cette nuditĂ© n’est plus une occasion de honte ou de concupiscence. Elle est le rappel qu’ils sont faits pour se donner l’un Ă  l’autre, pour aimer comme Dieu aime.
La nuditĂ© de l’ñme donne tout son sens Ă  la nuditĂ© du corps.
François et Clothilde ont recommencĂ© Ă  prier. En fait, ils ont souvent recommencĂ© Ă  prier. Chaque fois leur communion de couple s’est stabilisĂ©e, chaque fois leur regard l’un sur l’autre s’est un peu amĂ©liorĂ©. Ils ont redĂ©couvert la nuditĂ© de l’ñme qui donne tout son sens Ă  la nuditĂ© du corps.
Je vous invite Ă  vous laisser regarder par ce JĂ©sus du chapitre 8 de saint Jean. Demandez-Lui de venir habiter ces lieux en vous qui ont le plus besoin d’ĂȘtre visitĂ©s et guĂ©ris : le domaine des regards, des pensĂ©es, des dĂ©sirs qui souffrent parfois sous le poids de la concupiscence. Avec Lui, essayez de poser un regard pur sur votre conjoint. Avec JĂ©sus, le regard change, il devient plus vrai. Et n’hĂ©sitez pas, comme François et Clothilde, de commencer et recommencer à prier en couple , et de laisser ainsi entrer chez vous Celui qui pourra vous unir Ă  un niveau si haut et si fort, tellement fort que votre union en deviendra invincible.
Confiez vos intentions de priÚre à notre communauté de plus de 550 monastÚres




Publié le 09/08/2017 à 11h10




copy url


facebook


twitter


linkedin


mail


partage


imprimer






Je m'abonne

Tous les contenus du Point en illimité


Vous lisez actuellement : Le tour du monde du sexe : les Papous Sambia buveurs de sperme



Par VIVE 2022 le 10/10/2017 Ă  18:06




Par Le Québécois le 15/08/2017 à 01:27




Par Pierre l'Alpin le 09/08/2017 Ă  15:48


Vous avez déjà un compte LePoint.fr ?
Vous ĂȘtes abonnĂ© au magazine dans sa version papier ?
Soutenez notre journalisme libre et exigeant


Je m'abonne pour 1€


J'accepte les cookies


Comment transformer un jeune garçon tétant le sein de sa mÚre en homme accompli ? En lui inculquant la peur des femmes et en lui faisant boire du « lait masculin », autrement dit du sperme au cours d'une trÚs longue initiation à connotation homosexuelle.
Dans les années 1970, l'anthropologue américain Gilbert Herdt a séjourné longuement chez les Sambias vivant d'agriculture et de chasse, en Papouasie-Nouvelle-Guinée . Il raconte que l'initiation des jeunes garçons débute entre six et dix ans quand ils sont séparés de leur mÚre pour vivre ensemble dans une maison commune.
Cette sĂ©paration est marquĂ©e par une cĂ©rĂ©monie de sept jours au cours de laquelle tous les jeunes garçons concernĂ©s doivent affronter 18 rituels, certains relevant carrĂ©ment du supplice. Les hommes de la tribu les entraĂźnent trĂšs loin du village pour rejoindre le terrain d'initiation. Pour commencer, chaque garçon est menĂ© prĂšs d'un cours d'eau oĂč un guerrier lui fiche un bĂąton pointu dans les narines pour le faire saigner abondamment. Pendant ce temps, les autres adultes entonnent des chants guerriers. Si un mĂŽme effrayĂ© tente de s'Ă©chapper, il est traitĂ© avec encore plus de cruautĂ©.
Il est maintenant temps de passer à la cérémonie dite le « manger du pénis ». Selon les Sambias, la seule façon pour un garçon de perdre sa part de féminité et de devenir viril, c'est de boire du sperme. Le donneur est un « bachelier », c'est-à-dire un jeune guerrier qui est sur le point d'achever sa propre initiation. Souvent, c'est un oncle du jeune garçon. La fellation s'effectue dans les fourrés et peut se reproduire à plusieurs reprises durant la cérémonie.
Quelques mois plus tard, cette cérémonie se répÚte, mais avec la nécessité de boire le plus de sperme possible, toujours histoire de devenir le plus valeureux des guerriers. Lors de la puberté des apprentis guerriers, une troisiÚme cérémonie fait d'eux des bacheliers. De buveurs de spermes, ils deviennent des donateurs. Ils sont sévÚrement battus et fouettés pour s'endurcir. Le sang doit pisser à flots, du nez, en signe de purification de toute contamination féminine. Enfin, les bacheliers doivent capturer une femme ennemie, et tuer un guerrier étranger aprÚs lui avoir fait avaler sa propre semence.
Cette Ă©tape franchie avec succĂšs, le jeune guerrier a le droit d'Ă©pouser une jeune fille, mais celle-ci doit ĂȘtre tout juste pubĂšre. Et pas question de lui faire l'amour aussitĂŽt. Durant les premiĂšres annĂ©es du mariage, le seul acte sexuel permis est la fellation avec la croyance que la semence favorisera la production de lait de l'Ă©pouse aprĂšs ses futurs accouchements. Quand, enfin, le jeune homme a l'autorisation d'introduire son sexe Ă  l'endroit que la nature a prĂ©vu, il devra nĂ©anmoins se garder absolument de sentir l'odeur gĂ©nitale de son Ă©pouse. Ce qui l'oblige Ă  n'introduire que l'extrĂ©mitĂ© de son pĂ©nis dans le vagin de celle-ci, sous peine de tomber malade. De mĂȘme, doit-il boucher son nez avec des feuilles de menthe. Alors, ne parlons pas d'amours anales... Avant de faire l'amour, le guerrier ne doit pas oublier de demander une fellation Ă  sa femme toujours pour que son sperme se transforme en lait maternel. TrĂšs important, enfin, Ă  chaque menstruation de sa partenaire, le mari doit se faire saigner du nez pour ne pas ĂȘtre polluĂ© par le sang menstruel.
Le jeune Sambia devient un guerrier à part entiÚre quand il devient pÚre pour la premiÚre fois. Le problÚme, c'est qu'il ne doit plus fréquenter son épouse jusqu'au sevrage de l'enfant, vers trois-quatre ans.
Entre 20 % et 30 % des tribus de Papouasie-Nouvelle-GuinĂ©e pratiquaient autrefois cette initiation des jeunes guerriers avec le sperme. Par fellation et mĂȘme par sodomie. L'aimable donateur est parfois appelĂ© le « pĂšre-anus ». Certaines tribus pensent mĂȘme qu'un jeune garçon ne peut Ă©mettre sa premiĂšre semence qu'aprĂšs avoir Ă©tĂ© insĂ©minĂ© oralement ou analement.
Dans toutes ces tribus, dÚs son plus jeune ùge, les garçons sont élevés dans la peur des femmes. Certains ethnologues pensent qu'il faut y voir un lien avec le fait que les époux sont en général bien plus vieux que leurs conjointes. Craignant que celles-ci les trompent avec des jeunes gens vigoureux pour assouvir leurs besoins sexuels, ils auraient donc mis en place cette stratégie de la peur.
Aujourd'hui, sous l'influence des missionnaires, cette belle tradition du sperme virilisant a quasiment disparu. Elle ne se maintient plus que parmi de rares populations isolées.
Consultez notre dossier : Le tour du monde du sexe
EnquĂȘtes, dĂ©cryptages, portraits, tendances
 Recevez chaque mercredi l’actualitĂ© culturelle de la semaine Ă  ne pas manquer.

Une''manif''et pas de France Insoumise.

Mon pere m'a raconté que l'epouse de mon vieil, grand oncle Jacob l'oblgeait à couch er au pied du lit lorsqu'elle croyait ne pas etre féconde. Imaginez apres qu'elle furt ménaposée... Ca se passait à la campagne dans les années 20. Et on se croit civilisés.

Cette rafale d'articles du Point sur la sexualité de par le monde - et à travers les ùges - est des plus intéressantes. Car au delà de détails anatomiques qui passionneront le lecteur et la lectrice, on réalise surtout l'étendue prodigieuse de la diversité sexuelle du monde humain, si bien représentative de ce bas monde. Nos missionnaires ont mis le holà, mais ils ne furent pas les seuls à vouloir imposer leur vision du sexe. La pensée unique actuelle est encore plus obscure en occident, et en France. Nous ne sommes pas les seuls à nous reproduire ? Ouf !
Vous devez renseigner un pseudo avant de pouvoir commenter un article.
un brouillon est déjà présent dans votre espace commentaire.
Pour conserver le précédent brouillon , cliquez sur annuler.
Pour sauvegarder le nouveau brouillon , cliquez sur enregistrer
Erreur lors de la sauvegarde du brouillon.
Y aura-t-il de l'électricité à Noël ?

Consultez les articles de la rubrique Culture ,
suivez les informations en temps rĂ©el et accĂ©dez Ă  nos analyses de l’actualitĂ©.



Créez un compte afin d'accéder à la version numérique du magazine et à l'intégralité des contenus du Point inclus dans votre offre.



Pour ce faire, renseignez
votre numĂ©ro d’abonnĂ© dans les paramĂštres de crĂ©ation de compte.
Vous avez un compte Facebook ? Connectez-vous plus rapidement
Vous avez un compte Facebook ? Créez votre compte plus rapidement
Veuillez saisir l'adresse mail qui a servi à créer votre compte LePoint.fr
Cet article a été ajouté dans vos favoris.

Vous avez refusé les cookies. Soutenez Le Point en acceptant la
publicité personnalisée, ou abonnez-vous.







Accepter tout
Refuser tout
GĂ©rer les paramĂštres


Yahoo fait partie de la famille de marques Yahoo .

En cliquant sur Accepter tout , vous consentez Ă  ce que Yahoo et nos partenaires stockent et/ou utilisent des informations sur votre appareil par l’intermĂ©diaire de cookies et de technologies similaires, et traitent vos donnĂ©es personnelles afin d’afficher des annonces et des contenus personnalisĂ©s, d’analyser les publicitĂ©s et les contenus, d’obtenir des informations sur les audiences et Ă  des fins de dĂ©veloppement de produit.

En cliquant sur Refuser tout , vous refusez tous les cookies non essentiels et technologies similaires, mais Yahoo continuera à utiliser les cookies essentiels et des technologies similaires. Sélectionnez Gérer les paramÚtres pour gérer vos préférences.

Pour en savoir plus sur notre utilisation de vos informations, veuillez consulter notre Politique relative à la vie privée et notre Politique en matiÚre de cookies . Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en consultant vos paramÚtres de vie privée .


Oups, ce service est momentanément indisponible.
Dans le jargon informatique, cela s’appelle un code erreur 500. Mais essayez de recharger, nous allons tout rĂ©parer !

Esp wineparty lucy bell and donna bell - Free xxx sex porn video streaming
Amateure Ă  gros seins et son gode
Il démonte la chatte étroite d'une petite chinoise

Report Page