Il lui prépare le fion avec un jouet

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Source : What did we get stuck in our rectum last year ?, Adequate Man National Electronic Injury Surveillance System Insertion of Foreign Bodies (polyembolokoilamania): Underpinnings and Management Strategies, Brandon T. Unruh et al, The Primary Care Companion for CNS Disorders
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Publié par Rédaction E-sante.fr , le 29/12/2017 à 10:41
Ecouteurs, savons, baguettes magiques… Les médecins urgentistes sont parfois amenés à extraire des objets inhabituels des orifices de leurs patients . En témoigne la liste des corps étrangers retrouvés dans le vagin de femmes américaines en 2017. Publiée par le blog Adequate Man , elle suscite autant le sourire que la perplexité.
Cette liste s'appuie sur la base de données de la Commission américaine pour la sécurité des consommateurs. Et en 2017, les Américaines ont su se montrer créatives . L'une d'entre elles s'est présentée aux urgences avec… un téléphone et de l'argent dans le vagin . Interrogée par les médecins, la patiente a expliqué que son partenaire avait inséré les objets au cours d'un rapport sexuel.
D'autres femmes se sont débrouillées par elles-mêmes, s'aidant de bougies, réflecteurs de vélo, d'écouteurs et même d'une baguette magique pour enfants. Prenant parfois des risques inconsidérés, puisqu' un bout de métal rouillé a été extrait par les médecins.
La perle des maladresses revient tout de même à cette patiente qui a décidé d'utiliser des pierres de massage intime . Le fil reliant les 15 cailloux entre eux s'est brisé. L'un d'entre eux n'a pas pu être retrouvé.
Certains rapports évoquent plus la naïveté. C'est le cas d'une femme qui a voulu se rendre à la piscine en période de règles. Dédaignant le tampon, elle a choisi de s'insérer une éponge de cuisine dans le vagin .
Les explications sont rarement données par la base de données. Il faut tout de même saluer la franchise d'une patiente. Consultant à cause d'une balle en silicone coincée dans son vagin, elle a choisi l'honnêteté : le jouet lui servait quand son mari était en déplacement professionnel.
Les hommes ne sont pas épargnés par ces accidents. Trombones, fourchettes et câbles ont dû être retirés des membres virils de plusieurs Américains.
Le vagin mesure 8 à 12 centimètres en moyenne. Ces insertions excèdent donc, de loin, les capacités du corps humain. Ce qui expliquerait peut-être pourquoi ces mésaventures ont fini aux urgences. Mais qu'est-ce qui pousse les gens à tenter de telles expériences ?
Une étude réalisée en 2012 par des chercheurs de l'hôpital général du Massachussetts (Etats-Unis) apporte une piste de compréhension. Plusieurs pathologies mentales peuvent provoquer la polyembolokoilamanie (la manie de s'insérer des corps étrangers dans les orifices), comme une dépression ou un trouble borderline... mais aussi une simple curiosité.
Les chercheurs soulignent donc que, face à ces étranges expériences, les professionnels de santé feraient bien d' afficher un visage impassible . Seule la compassion peut aider à identifier le trouble et le prendre en charge. Les aventurières auraient, de leur côté, tout intérêt à se rappeler que si un objet n'est pas fait pour être insérer dans le vagin, mieux vaut s'abstenir .
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Publié par La Rédaction E-Santé , le 30/11/2018 à 17:00
Cela semble une évidence, mais une évidence qu’il est bon de rappeler ici : la pratique du sexe anal doit se faire avec le consentement des deux partenaires et non par obligation ou peur d'exprimer son refus. Par ailleurs, le couple doit s’entendre au préalable sur le déroulement de la sodomie, convenir de pouvoir l’interrompre en cas de douleur ou de gêne de l’un ou de l’autre.
Une des craintes du couple est que la sodomie soit une pratique « sale », c’est-à-dire que des selles maculent le sexe de l’homme quand il pénètre la femme, ou qu'elles maculent le doigt, voire le jouet sexuel de la femme quand elle l’introduit dans l’anus de son partenaire. Or, soyez pleinement rassurés : les selles ne sont pas stockées dans le rectum mais dans le gros intestin. Elles ne font que transiter par le rectum lors de l’évacuation et donc, sauf problème de diarrhées par exemple, le rectum reste propre. C’est pourquoi un lavement anal n’est pas indispensable, une douche externe suffit.
Si toutefois vous souhaitez vous rassurer, vous pouvez vous procurer une poire de lavement en pharmacie et faire un lavement anal à l’eau tiède. Mais ce genre de lavement peut affecter l’équilibre de la flore anale et intestinale, aussi doit-il être fait avec parcimonie.
Contrairement au vagin, l’anus ne se lubrifie pas naturellement. Il est donc essentiel, à la fois pour éviter la douleur lors de la pénétration et pour limiter le risque de blessures (fissures anales), de lubrifier abondamment l’anus avant la sodomie. Un lubrifiant comme la vaseline est tout à fait adapté, mais la salive peut aussi tout à fait convenir pour lubrifier l’anus.
Il faut envisager la sodomie de façon détendue, sinon les sphincters seront très fermés et la pénétration douloureuse. Pour détendre les sphincters, il ne faut pas lésiner sur les préliminaires, les caresses sur les zones érogènes du corps, que ce soit avec la main ou avec la langue. Enfin, quand l’excitation est à son comble, il faut que la pénétration se fasse progressivement.
Avec un doigt tout d’abord, puis deux, ou avec un jouet intime, pour permettre une dilatation de l’anus en douceur. Il est essentiel d’être à l’écoute de son partenaire, de régler la profondeur de la pénétration et la vitesse des va-et-vient à ce qu’il ressent. 
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Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 06/11/17 à 10h03
— Mis à jour le 06/11/17 à 12h57

A l'occasion de «Movember», mouvement dédié à la sensibilisation des cancers masculins, «20 Minutes» se penche sur le plaisir prostatique. Une pratique encore taboue et source de clichés Tous les hommes sont éligibles à ce plaisir, sans exception. Certains nous détaillent cette «quête»
VIDEO. «Ejaculer au moins vingt fois par mois participe à la bonne santé de la prostate»


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mercredi 07 septembre

Société VIDEO. Plaisir prostatique, «il faut s’affranchir des clichés»

«POINT P» A l’occasion de « Movember », « 20 Minutes » s’intéresse au plaisir prostatique. Des hommes racontent leur « exploration » après avoir cassé le tabou autour de cette pratique….
C’est l’une de ses premières petites amies qui lui avait montré la voie. « Au début, quand elle m’a rentré un doigt dans l’anus durant l’acte, j’ai été surpris, mal à l’aise. En réalité elle venait de m’ouvrir les portes du plaisir prostatique », affirme Baptiste, aujourd’hui trentenaire. Depuis, cette sensation est devenue une véritable « exploration », une « quête » souvent personnelle, mais loin d’être isolée. Si l’accès à cette jouissance ne s’obtient « pas en un claquement de doigts », précise-t-il, elle reste à la portée de tout être masculin. Et pour cause.
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« Tous les hommes sont éligibles à ce plaisir, sans exception. C’est organique. A l’instar des femmes qui ont toutes un clitoris et peuvent donc accéder au plaisir clitoridien. Après, le sexe est aussi une question de psychologie », analyse Alain Héril, psychanalyste et sexothérapeute . Et dans le cas de la prostate – glande de l’appareil reproducteur masculin située à 5-7 centimètres de l’anus et principalement associée au cancer –, le tabou sexuel est encore très fort. Accéder au plaisir du « point P » demande en effet une déconstruction mentale des schémas sociaux et un certain lâcher prise.
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« La prostate est là, au bout de l’index ou du majeur », illustre Alain Héril. Ce Graal s’obtient donc en « se glissant un doigt dans l’anus, en le remontant très légèrement vers cette glande, afin de la masser », poursuit-il. A la différence de sa cousine « masturbatoire », cette pratique davantage « cérébrale » oblige l’homme – notamment dans le cas d’un plaisir solitaire – à une attitude « plus douce, lente et attentionnée » et s’obtient en grande partie par la respiration, décortique le spécialiste. A un détail près.
« Beaucoup d’hommes ne sont pas habitués à cela et doivent surtout changer leur mode de penser s’ils veulent y parvenir. Si cette pratique est taboue en Occident, elle est courante dans des cultures orientales et extrême-orientales depuis plusieurs millénaires », rappelle le psychanalyste. Seul ou en couple, « il faut en effet tout déconstruire », note Baptiste. Alors, où se situe le blocage dans notre structure sociale ?
« Notre société a construit l’homme comme étant le pénétrant, le dominant, le puissant. Et la femme comme la pénétrée, la dominée, la vulnérable. Et nous sommes prisonniers de la puissance de ces structures », débite Baptiste. Se faire toucher la prostate, via quelques phalanges, dans un cadre de plaisir, remettrait donc en cause pour certains, la fierté, la virilité, la masculinité . « Il faut s’affranchir de ces clichés confortés en plus par beaucoup d’insultes et de termes péjoratifs », note Baptiste. « A travers le plaisir prostatique, qui passe par l’anal, on touche à la représentation dans l’inconscient collectif que l’homme pénétré est dans un état de soumission, qu’il se féminise, qu’il n’est plus viril », expose Alain Héril. « C’est faux ! Ce n’est pas du tout le cas », s’exclame-t-il.
« La prostate, c’est le siège du plaisir masculin. Notre anatomie est faite comme ça. Par ailleurs, ça ne remet absolument pas en cause l’orientation sexuelle », martèle Baptiste. En recevant un doigt dans l’anus « la femme prend surtout le pouvoir », exalte-il. Mais pour parvenir à ce bien-être, l’homme qui accepte de « renverser les rôles » doit aussi oublier son outil de « dominant » : Le pénis.
Un atelier sur le plaisir prostatique le 8 octobre. Découvrez la puissance du point P. https://t.co/ZY3OFCi5rb pic.twitter.com/757m1NVe7T
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« Il faut accepter que le pénis ne soit pas au centre du débat. Les hommes ne sont pas habitués à ça. Ils sont familiarisés à quelque chose qui jaillit de leur corps, alors que là c’est en interne, sans éjaculation », indique Alain Héril. D’autant, qu’il est même déconseillé de faire deux choses à la fois.
« Il est absolument nécessaire de ne pas toucher votre pénis durant une session car cela réoriente et écrase au niveau du cerveau les sensations subtiles venant de votre prostate par celle venant du pénis. Même si vous en avez très envie, toucher votre pénis est la meilleure solution pour ne pas avancer sur le chemin de l’orgasme prostatique », prescrit Adam, 43 ans, à la tête du site NouveauxPlaisir.fr. Car une fois les « codes » cassés, le plaisir semble alors en libre accès. Intense.
« Un plaisir différent », « des vagues surprenantes », « des sensations vertigineuses », « des étincelles », « une machine à jouir », « l’impression de dévaler une piste de ski », « c’est un peu ressentir en tant qu’homme un orgasme féminin »… Les témoignages d’hommes contactés par 20 Minutes ne tarissent pas d’éloges sur cette jouissance qui « secoue l’ensemble du corps » et « dure plus longtemps ». « C’est comme si cette châtaigne assez ridicule se transformait en un soleil. Tout ce que j’avais vécu avant c’était presque de la simulation », reprend Baptiste qui a acheté depuis peu un masseur prostatique afin de poursuivre son exploration. Pour Adam, aussi, la recherche s’est construite par étapes, pour ce plaisir si « puissant ».
« J’ai découvert ce plaisir, il y a huit ans, par curiosité. Je suis tombé sur un article en anglais sur le sujet, alors qu’en France, il n’y avait rien sur cet orgasme non-conventionné, qui est encore différent de l’orgasme anal », rembobine-t-il. Dès lors, il a essayé : « Au bout de quelques séances, j’ai découvert ce plaisir et cet orgasme que l’on peut répéter plusieurs fois ». Aujourd’hui, il veut partager une connaissance « décomplexée » sur le sujet et a écrit sur son site un texte : Le Traité d’Aneros , du nom du célèbre masseur prostatique imaginé initialement par des médecins pour traiter des maladies de la prostate. Dans cette bible, cette « carte au trésor » gratuite, il distille des tips , conseils et méthode.
Son but : « Je veux partager ma découverte du plaisir prostatique. Ma vision est que la sexualité doit être positive et ludique et la découverte de l’orgasme prostatique a été pour moi à la fois une révélation mais aussi un déclic dans la compréhension du plaisir et des orgasmes ». Mais comment illustrer celui de la prostate ?
« Un orgasme éjaculatoire, c’est un orgasme de la montagne : il monte vers le point culminant et ça redescend ensuite. L’orgasme prostatique est celui de la vallée : il est plus doux, plus long, par vagues », décrit Alain Héril. Une vague qui pourrait même faire évoluer la société.
« Les hommes ne connaissent pas leur corps. Pourtant, il est important de s’informer sur ce qu’est la prostate, à quoi elle sert, ce qu’elle génère. Bref, prendre le truc en main. Car on peut arriver du jour au lendemain devant la chose avec un cancer et être totalement désarmés », analyse Christian, 65 ans, membre de l’association de lutte contre les cancers masculins, CerHom . Olivier, 46 ans, président de l’association, enchérit. « A cause de notre côté macho-masculin, le plaisir prostatique est passé sous silence. Pourtant, si cette pratique n’est un jour plus taboue, alors le toucher rectal, médical, sera aussi désacralisé ». Enfin, si tous les hommes étaient à l’aise avec leur prostate et le plaisir lié, cela pourrait-il faire baisser les propos et actes homophobes ? Baptiste, Alain Héril ou encore Adam y croient.
« Plus on est équilibrés dans sa vie et plus on comprend la sexualité d’autrui, plus on respecte les autres. En fait, quand on ne connaît pas, on ne comprend pas et on ne respecte pas », déplore Adam. Pour lu
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