Il lui faut la queue de son voisin

Il lui faut la queue de son voisin




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Il lui faut la queue de son voisin

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Il ne faut point juger les gens sur l'apparence, le conseil en est bon mais il n'est pas nouveau.

Jamais maxime de La Fontaine ne m'a parue plus appropriée que dans le cas de mon voisin. Il a débarqué récemment avec sa femme et ses trois gosses et a pris possession de la villa contiguë à la mienne libérée pour cause de décès du propriétaire précédent.

C'est la famille Valentino et son patronyme rend justice à la beauté de mon voisin. Qui ne sait que Rudolph Valentino fut une icône hollywoodienne vers les années 1920 et qui ne sait qu'il était gay à l'époque où le mot n'existait encore pas. Sa mort en 1926 a causé une vague de suicides au sein de ses admiratrices et il demeure toujours le symbole de la beauté à l'italienne.

Mon voisin s'appelle Florian et il n'a pas l'air gay du tout. Quand il s'est présenté à moi il m'a tendu une main virile et m'a demandé mon prénom pour sceller notre voisinage. J'ai répondu Barthélémy, il m'a dit qu'il était enchanté et que c'était un prénom rare. Il souriait de toutes ses dents et je l'ai détaillé plus à fond.

Il a environ 35 ans et 1 m 80 au plus mais sa silhouette élancée le fait paraître plus grand qu'il n'est. Son visage est très jeune et très mat, avec de beaux traits réguliers. Ses mains sont longues et délicates, c'est ce que j'aime surtout chez un homme car tout commence avec les mains. Quant à moi je suis un ado proche de sa majorité, j'aurai 18 ans dans deux mois et je pourrai faire ce que je veux. Je suis un jeune homosexuel qui n'a que très peu d'expérience et j'aimerais en avoir plus.

Les Valentino, Florian et Cécile, forment un couple inséparable et on les voit tous les deux ensemble à la maison comme à la ville. Sauf au travail naturellement. Florian est attaché commercial et Cécile est institutrice, ils ont des horaires différents et Florian rentre assez tard le soir. Le reste du temps et particulièrement le weekend, on peut les voir main dans la main faire les courses au supermarché ou se rendre avec leurs enfants dans le grand parc municipal.

C'est souvent que je mate Florian quand il se met au jardinage. J'aime voir son torse musclé et ses biceps gonflés par l'effort lorsqu'il passe le motoculteur ou qu'il utilise la tondeuse. J'aime le voir aspirer en speedo les impuretés de sa piscine et se prélasser sur son transat avant de piquer une tête dans l'eau. Une haie de thuyas nous sépare dans laquelle il y a comme une niche et je le mate en me branlant. Mais voici que Cécile arrive et Florian la prend dans ses bras. Elle pose sa tête sur son épaule et il l'enlace étroitement. Leurs ventres sont collés l'un à l'autre et je distingue clairement une érection chez son mari. La mienne cesse immédiatement, Cécile a mis fin au fantasme.

Mon fantasme c'est précisément que Florian me prenne dans ses bras et que j'aie la place de Cécile, mon ventre collé au pubis de ce voisin pour qui je bande. C'est l'été et la grande chaleur, les tenues sont légères et les corps presque dénudés. Comme tous les homos de la Terre, le moindre centimètre carré de la peau nue d'un beau garçon avive mon désir sexuel. Je passe des heures dans les thuyas à rêvasser et me branler et ruminer ma frustration : Florian est hétérosexuel et je fantasme en pure perte.

J'ai filmé avec mon iPhone Florian en train de faire des paniers sur son panneau de basket-ball. Le ballon au-dessus de la tête, le ventre rentré par l'étirement de son buste, il offre le ravissant spectacle de son paquet protubérant à l'intersection de ses cuisses. Le speedo est plein à craquer et quand je le vois de profil je distingue la bosse de son gland qui pousse l'élastique vers le haut. C'est alors que je sors ma bite et je me branle lentement en faisant arrêt sur image.

Excepté la masturbation que je pratique depuis mes 13 ans, j'ai eu deux expériences sexuelles, les deux fois avec des garçons. La première l'année dernière et la deuxième tout récemment. Celui qui m'a initié à la fellation est un copain de mon grand frère qui s'appelle Aymeric Lecerf. C'est un étudiant de 20 ans qui travaille souvent avec lui sur ordinateur chaque fois qu'il ont une dissert à rendre. Il était arrivé en avance et mon frangin n'étant pas là je l'ai invité dans ma chambre.

Il s'est mis à me draguer sec en jetant des regards explicites sur ma bosse et en se caressant la bite. Il faut dire que j'avais la gaule, je l'ai toujours trouvé beau gosse et il l'était particulièrement ce jour-là avec son catogan relevé et ses petites lunettes rondes qui lui donnent un air intello. Il m'a touché à l'entrejambe et m'a dit que j'avais de quoi. Je lui ai rendu sa caresse et alors il m'a embrassé. Puis il m'a baissé mon calbute et sucé pendant cinq minutes et moi je l'ai sucé après. Ensuite mon frère est arrivé. On s'est renculottés très vite et on a fait comme si de rien n'était.

Je voudrais que Florian me suce et j'adorerais le sucer. Depuis que j'ai fait une fellation je rêve d'avoir une queue en bouche et je sais que je suis pédé. J'aimerais que ses doigts délicats poussent ma nuque vers l'avant et que mes lèvres soient écartées par cette bite que je devine énorme et qui déforme son speedo. J'aimerais être une nuit sa femme.

Elle est vraiment très jolie Cécile et je ne peux pas rivaliser. C'est probablement idiot ce que je dis, mais ça m'a effleuré l'esprit. Elle a toujours la bouche humide comme les nanas des magazines et elle a un battement de cils que je trouve très aguichant. Je m'exerce devant le miroir de la salle de bains et je vois le reflet d'une pute. Non, ça ne marche pas avec moi. Pourtant j'ai comme elle une chatte puisque je me suis fait enculer.

C'était il y a six mois dans un bois. J'étais allé aux champignons. Notre maison est à la lisière d'une vaste forêt domaniale et il y a des coins à girolles. J'en avais rempli mon panier et je revenais tranquillement sur le petit chemin vicinal quand une voiture s'est arrêtée. Un gars m'a demandé sa route parce qu'il était un peu perdu. Il avait une veste en cuir, un chien sur la banquette arrière, et la quarantaine bien sonnée. Il était surtout très viril. Je lui ai dit qu'il fallait rebrousser chemin et quand il a reculé dans le bois il a rencontré une ornière et ses roues ont tourné à vide. J'ai posé mon panier de girolles et je l'ai aidé à pousser et, comme il transpirait beaucoup, il a quitté sa veste en cuir.

Il la portait à même la peau et avait un torse musclé et des tatouages sur les épaules. Il me les a fait admirer parce que je les trouvais géniaux maïs il m'a dit que le plus beau c'était celui sur sa grosse bite. Je venais d'avoir 17 ans et bien que mon attirance pour les hommes ait été confirmée par l'expérience de la fellation, l'invite me parut si directe que je rougis jusqu'aux oreilles.

— Puceau ? me demanda-t-il, j'aime ça. Alors, tu me montres ton cul et je te fais voir mon tatouage. Ça m'étonnerait que tu sois déçu.

Ce faisant il m'attire à lui et me plaque sa main sur les fesses. J'ai un petit cul rebondi et son jean me moule la raie. Il enfonce carrément un doigt et le denim, sous la pression, me pénètre un peu dans l'anus. Je sens ma braguette se gonfler sous une gaule irrésistible.

— Ça te fait de l'effet on dirait. Alors, on passe aux choses sérieuses ?

Il défait la ceinture de mon jean et quand il le baisse à mi-cuisses, il se trouve face à ma queue raide. Mais c'est mon cul qui l'intéresse et il me fait vite pivoter. Je suis totalement imberbe et ma rosette est un point rose au milieu du sillon fessier. Je me retourne et je lui dis :

Il y a un cœur percé d'une flèche au milieu de sa bite molle et ça me donne envie de rigoler, mais rapidement sa queue se gonfle et elle devient un gros braquemard. Du coup la flèche elle est immense et elle indique la direction. Pas besoin de me faire un dessin, elle va se pointer sur mon trou. Le quadra ouvre la boîte à gants et il en retire un tube de jell-o, la gelée à l'américaine.

— C'est parfumé à la vanille, il va adorer ça, Navajo. Au fait, mon prénom c'est Tony.

Il siffle Navajo et le chien approche en frétillant de la queue. Le type m'en a enduit la raie et le clébard y met la langue. Elle est râpeuse et efficace et mon trou commence à s'ouvrir. Tony en met une deuxième couche en poussant la jell-o au fond et Navajo va la chercher avec sa langue de 20cm. C'est extraordinairement bon et je bande comme un malade. Tony prend la place de son chien et met son gland sans crier gare. Il se fraye un passage facile, aidé par une troisième noisette de jell-o, ça y est, le plus gros a passé et bientôt je suis enculé. C'est extraordinairement bon.

Quand il se retire de mon trou, il laisse la place à Navajo et le clébard monte sur mon dos mais je ne suis pas psychologiquement prêt à me faire sauter par un chien. N'empêche que c'est une possibilité. Je n'exclus rien pour l'avenir, j'ai vécu tant de choses en une demi-heure.

— Tu ne sais pas ce que tu perds, garçon, me dit Tony, Navajo est un bon amant et il est vachement endurant. Des fois il m'encule plus d'une heure et je prends plusieurs fois mon pied.

On dirait que le chien a compris, il s'agrippe à la jambe de son maître et il donne des coups de boutoir contre son mollet comme le font les clebs en rut.

— Ok Navajo, dit Tony, je vais te finir par une branlette

Il s'accroupit et le masturbe. La pine du chien est longue et mince, c'est un berger allemand de trois ans en pleine maturité sexuelle. Il jute un sperme jaune et très clair et sa hampe se rétracte dans le fourreau, après quoi il se lèche les couilles. Finalement tout le monde a joui, moi le premier, en abondance. Je reprends mon panier de girolles et je retourne à la maison.

Les Valentino nous ont invités à dîner pour faire plus ample connaissance. Cécile a fait un repas succulent et c'est Florian qui sert à table. Cette collaboration harmonieuse fait l'admiration de ma mère, mon père est moins attentionné et partage rarement les tâches domestiques. Sans en faire le reproche à mon père parce que ce n'est pas le moment, elle ne peut s'empêcher de féliciter les voisins pour leur efficacité complice. Ils se sourient avec amour et montrent un peu d'embarras, sans doute vis-à-vis de mon père qui s'est légèrement renfrogné.

Florian passe derrière chacun pour remplir nos verres et il s'arrête derrière ma chaise pour répondre à une question de papa concernant son job commercial. La bouteille dans la main droite, il s'appuie contre mon dossier et je sens sa bite qui durcit contre mon épaule. Je reste d'abord immobile car le voisin m'a pris de court, puis je me penche imperceptiblement en arrière pour mieux jouir de ce contact. Je lui signifie par ce fait que loin d'être choqué, non seulement je consens mais j'approuve. Florian continue de parler d'un air complètement naturel et il accentue la pression. Avec mon épaule je commence un léger mouvement de masturbation sur sa bite qui est maintenant dure comme du bois. La mienne va bientôt exploser, je me raidis droit sur ma chaise et je décharge dans mon slip.

— Qu'est-ce qui se passe, Barthélémy ? Tu es tout rouge, me dit ma mère.

— J'ai dû croquer un grain de poivre. C'est rien du tout, ça va passer.

— Ça va passer avec ce Bourgogne, dit Florian. Goûte-le, c'est un 2013.

Il me remplit mon verre aux trois-quarts et s'éloigne de mon épaule. Lui sait ce qui s'est passé dans mon slip et ça a l'air de le réjouir. Le dîner se passe dans les rires et j'apprécie que le beau Florian ne me fasse pas la causette. J'ai besoin de me ressaisir et je ne serais guère capable de cacher mon trouble s'il me regardait dans les yeux. Il semble éviter mon regard mais Cécile, elle, le contemple avec un sourire indulgent. C'est elle qui, au moment où nous nous séparons, me remercie pour les girolles que je lui ai apportées.

— Florian adore les champignons, la prochaine fois que tu y retournes, sois sympa, emmène-le avec toi. Il est toujours fourré dans mes basques et ça lui oxygènera le cerveau. Il a un boulot très stressant.

Je suis rentré à la maison en chantonnant tant l'avenir me semblait prometteur. J'aurais le meilleur prétexte du monde pour être avec Florian seul à seul avec la bénédiction de sa famille et de la mienne, et les girolles c'est tellement bon. J'ai aussi pensé à Tony et à sa grosse tige dans mon trou. Qu'est-ce que j'aime me faire enculer !

Je me suis fabriqué un plug avec un gros barreau de chaise, je l'ai sculpté pendant trois jours, je l'ai graissé à l'huile d'olive et maintenant il est dans mon trou. Quand je m'assieds il épouse à la perfection la cavité de mon rectum et je me sens possédé. C'est extraordinairement bon. J'attends avec une grande impatience de le remplacer par un cylindre de chair chaude et vibrante et ce sera celle de Florian. Nous sommes maintenant début octobre, c'est le moment où les champignons poussent partout en abondance.

Il a appelé hier soir pour me dire que son panier était prêt et que si, demain par exemple, je me sentais d'aller dans les bois, il m'accompagnerait volontiers. J'ai répondu " Avec plaisir " et je me suis branlé à mort. Je graisse mon plug avec mon sperme et c'est reparti pour un tour car un ado ne débande jamais quand son cerveau lui fait voir des bites.

Je me suis mis mon plug dans le cul et je suis passé prendre Florian. Nous avons suivi un sentier et je lui ai montré les coins à girolles au fond d'anciennes carrières à ciel ouvert d'où l'on extrayait le minerai de fer à l'époque de Louis XIV. Elles sont en plein milieu des bois et peu de gens les connaissent. Je n'y ai jamais vu personne. Je lui apprends à écarter les feuilles sous lesquelles poussent les pleurotes car au début il ne voit rien. Je remplis un peu son panier parce que j'ai l'oeil mieux exercé, j'ai appris avec mon grand-père. Florian n'a pas connu le sien, il me raconte un peu sa vie.

Il me dit qu'il est bisexuel et que sa femme est au courant. Tous les deux s'aiment à la folie mais leur couple ne tiendrait pas s'il n'y avait pas les garçons. Son équilibre en a besoin, elle en est parfaitement consciente et lui permet des escapades. S'il est là aujourd'hui avec moi, c'est qu'elle a su immédiatement qu'il me voulait, dès les premiers jours où nous avons été voisins. Il m'a énormément dragué et quand il faisait du basket, il savait que je l'observais, caché dans la haie de thuyas. C'est pourquoi il bandait si fort car il savait que je matais. Quand il a appuyé sa queue contre moi et que je suis entré dans son jeu, il a su que nous ferions l'amour. Étais-je prêt, ici, maintenant ?

J'ai collé ma bouche sur la sienne et nous nous sommes embrassés. Ses doigts délicats ont tiré mon zip vers le bas et je me suis retrouvé nu du nombril jusqu'à mes chevilles. Il s'est emparé de mon sexe et il l'a sucé longuement, puis ses doigts ont trouvé le plug et il a éclaté de rire.

— Je savais que tu m'attendais, m'a-t-il dit en le retirant. Tu mérites mieux que ça, chéri.

Il a sorti cette grosse bite dont j'avais si souvent rêvé. Elle était telle que dans mes rêves, longue et charnue avec un gland d'un rose pâle qu'il a placé entre mes lèvres. Je m'y suis abouché aussitôt et l'ai sucé avec ferveur. Puis il m'a fait pivoter et je l'ai eue enfin dans mon trou. J'avais aimé celle de Tony, j'ai adoré celle de Florian, sa pénétration douce et tendre, et j'ai compris qu'un bisexuel a une façon délicieuse de s'activer dans les muqueuses. Il s'est montré soucieux de moi et au lieu de me dire " Je jouis ! " il a attendu que je vienne à l'unisson de son plaisir. Puis il m'a embrassé et m'a dit :

— Merci de t'être donné à moi. Ça a été une escapade dont je me souviendrai toujours. Merci aussi de me comprendre. Cécile admet une escapade mais n'accepterait pas une liaison. Nous avons trois enfants ensemble et nous formons un couple heureux. À partir de cette minute nous sommes redevenus voisins, des voisins sympa et rien d'autre. Dis-moi, est-ce que tu peux le comprendre ?

Eh bien non, ne pouvais pas, et je l'ai laissé dans le bois avec son panier de girolles. Je lui ai fait la gueule une semaine et nous sommes de nouveau copains mais pour moi, les bisexuels, c'est fini. Je m'attache aux mecs, pas aux bites, même si ça compte quand même un peu.


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