Il lui donne un cours de psy avant de la fourrer

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Il lui donne un cours de psy avant de la fourrer
Ballade sur un divan / Parle à mon psy, ma tête est malade (AFP)
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PrincesseJulie a posté le 03 septembre 2017 à 20h59
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PrincesseJulie a posté le 02 septembre 2017 à 20h28
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Mylenos a posté le 31 août 2017 à 19h27
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Mylenos a posté le 31 août 2017 à 19h26
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lomig1 a posté le 30 août 2017 à 17h18
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Il y a une douzaine d'années, la gastro-entérologue Marion Lagneau s'est fait opérer de la thyroïde. Ses examens post-opératoires sont rassurants, mais peu de temps après, elle souffre terriblement.
Elle se souvient que le jour où elle a été envoyée aux urgences, un collègue lui a passé le bras autour de l'épaule et lui a demandé si tout ceci ne serait pas plutôt dans sa tête. A l'hôpital, des examens complémentaires sont réalisés. Diagnostic : hypocalcémie sévère, c'est-à-dire une baisse anormale du taux de calcium dans le sang.
"J'étais dans la zone de la mort", dit-elle aujourd'hui.
Pour toutes ces fois où les patients ont entendu "votre maladie est d'origine psychologique", la gastro-entérologue a lancé le hashtag #cpsy . 
Un jour, on m'a dit "c'est psy". c'était une hypocalcémie sévère. Et vous? Quelle maladie grave a été étiquetée #cpsy avant son diagnostic?
Point de départ de cette initiative : l'affaire Levothyrox . Comme toutes les personnes n'ayant plus de thyroïde, Marion prend régulièrement ce médicament (mais elle ne ressent pas d'effets secondaires). 
Sur Twitter, les patients ont suivi.
Entendre #cpsy pendant 1 an pour au final un diagnostic de sarcoidose pulmonaire + Hypothyroïdie d'hashimoto
Douleurs + luxations/entorses à répétition : "veut attirer l'attention", pendant 10 ans. C'était un syndrome d'Ehlers Danlos #cpsy
"Elle fait du nomadisme medicale et des faux malaises, #cpsy " c'etait une rupture de grossesse extrauterine, 3L de sang dans le bide...
Polyalgies attribuées à sd dépressif / sd paraneoplasique #cpsy
La réponse "C'est psy" peut être faite par les médecins face à des syndromes rares, des maux de tête ou de ventre (dont l'intensité est difficile à mesurer). Ou quand des symptômes dépressifs accompagnent la maladie : tout leur est finalement attribué.
Pour Baptiste Beaulieu , médecin, blogueur et romancier, évoquer une cause psychologique peut être "une solution de la facilité". 
Pour lui, le diagnostic psychique ne peut être posé que lorsque le praticien a éliminé toutes les "possibles atteintes organiques". Une étape parfois négligée. 
Au téléphone, le médecin dit regretter l'orgueil de certains soignants. En cause, la difficulté d'avouer leur méconnaissance face à des symptômes "bizarres". Mais aussi la peur que le patient se sente abandonné. 
La jeune femme souffre d'endométriose. Elle le sait depuis deux ans. Le diagnostic a été posé après un passage chez six gynécologues différents en l'espace de huit ans. 
Mon endométriose et son kyste de sang de 9cm sur l'ovaire qui me faisait m'écrouler de douleur. ???????? https://t.co/ZfC0j2l4yd
Selon EndoFrance , association française de lutte contre l'endométriose, "le diagnostic de l’endométriose est complexe car la maladie revêt des formes variées".
Quand à 16 ans, les premières douleurs liées aux règles apparaissent, Adeline ne pense pas consulter. "Pour moi, c'était normal", se souvient-elle. C'est après des rapports sexuels anormalement douloureux qu'elle décide de prendre un rendez-vous chez une gynécologue.
Elle consulte un autre spécialiste. Puis un troisième et un quatrième. Tous évoquent des causes psychologiques : 
Les maux d'Adeline, eux, augmentent de façon exponentielle. Elle souffre désormais aussi pendant l'ovulation. La douleur est parfois telle qu'elle ne peut plus sortir de chez elle pendant trois jours.
Un jour, la jeune femme fait un malaise en se rendant sur son lieu de travail. Hospitalisée, elle passe une IRM. Le chef de service détecte un kyste endométriosique sur son ovaire droit. Il lui conseille de voir un gynécologue en urgence. Dans le cabinet du médecin, les symptômes d'Adeline sont, une fois de plus, sous-estimés.
Lors d'une crise de douleur, son conjoint lui prie d'aller voir un énième gynécologue. Adeline accepte de prendre un rendez-vous chez un spécialiste qu'on lui a recommandé. La jeune femme est enfin écoutée. 
Des analyses supplémentaires sont effectuées. Le kyste détecté par la première IRM a atteint la taille de 9 centimètres sur 10. Adeline est opérée en urgence. 
Sur Twitter, Elsa Dechézeaux (un pseudo), étudiante en cinquième année de médecine à Paris-VII, dénonce de son côté "une forme de mépris de la douleur".
Il n'existe pas de "moyen objectif" de la mesurer, ce qui peut rendre le diagnostic difficile. Au téléphone, elle ajoute :
Mais c'est normal jusqu'à quel point ?
Et puis, de toute façon, si certaines douleurs sont effectivement d'origine psychologique, "la douleur est elle bien réelle car elle est ressentie".
"Pour ne pas affoler les patients", "Disciple_Neuro" (pseudo Twitter), neurologue dans l'est de la France, nuance. 
Dans mon expérience quand quelque un a dit "c'est psy" on ne trouve pas de dg somatique dans 80-95% des cas
Sur 100 patients venant en consultation de neuro pour rechercher une maladie neuro et chez qui une cause psy/non organique avait été évoquée
Auparavant par un autre médecin, après bilan et suivi neuro on restera sur l'absence de maladie somatique claire chez 80 à 95
La frontière entre la neuro et la psy est poreuse et les séparer est parfois illusoire dc possibilité de faux dg de l'un à l'autre augmentée
Aussi, des médecins se trouvent parfois désemparés face à certains symptômes. Ils préfèrent ainsi diriger le patient vers un autre spécialiste. Contacté par téléphone, le neurologue nous dit :
Bonjour! Quelle horrible dentiste, qui n'a pas fait son travail. Ce n'est pas dans ta tête, je te le confirme. Tu sembles souffrir, comme moi, de trouble de l'articulation temporo-mandibulaire (trouble de l'ATM) ou SADAM (appelé comme ça en France.) Ça peut être extrêmement douloureux, se rendre à l'oreille et causer des maux de tête ou migraines. Si tu serres ou grinces les dents la nuit, une plaque occlusale fait à partir d'un moule de tes dents peut être utile (bien que ça ne fonctionne pas dans tous les cas), et ce sont les dentistes qui font ça. Ici au Québec, on peut consulter un chirurgien maxillofacial pour ce problème. Aussi, il peut être utile de consulter un ostéopathe pour avoir un peu de soulagement. Moi je dois prendre de la morphine presque à tous les jours pour la douleur et ça me donne de grosses migraines. J'ai aussi mal à l'oreille du côté gauche régulièrement. J'ai de la difficulté à ouvrir la bouche, des fois c'est difficile d'entrer une fourchette pour manger. L'ostéopathe m'aide à ce niveau-là. Trouve un spécialiste qui traite ce trouble! Il y a différentes options de traitement qui dépendent de la manière dont tu es affectée. Chez certaines personnes, le trouble est plutôt articulaire, chez d'autres, comme moi, c'est plutôt musculaire (mais ça porte quand même le même nom.) Bonne chance!
Bonjour! Tu sembles souffrir de trouble de l'articulation temporo-mandibulaire (articulation de la mâchoire.) Je crois qu'en France, ça s'apelle SADAM, ici au Québec, c'est trouble de l'ATM. J'ai les mêmes symptômes et mes douleurs sont très violentes, je dois prendre la morphine. Évidemment, tu sais que ce n'est pas dans ta tête, mais je te le confirme! Moi aussi j'ai mal à l'oreille, du côté où ma mâchoire est plus douloureuse, et ça influe grandement sur mes migraines, donc oui tes maux de tête peuvent venir de ta mâchoire, car ça irrite le nerf trijumeau. Ici au Québec, c'est possible de voir un chirurgien maxillofacial pour ce trouble. Le dentiste peut aider si tu serres ou grinces des dents la nuit en te vendant une plaque occlusale (inutile dans mon cas, mais qui aide certaines personnes.) C'est possible que ton dentiste ne voie rien (ce qui n'excuse pas le comportement de celle que tu as vue, puisque elle ne t'a pas parlé de ce trouble.) Quelle horrible personne! En tout cas, essaie de trouver un spécialiste qui traite ce trouble. Ça peut aider de voir un ostéopathe, aussi. Bonne chance!!!
J'avais pris RV dans mon centre mutualiste car je souffrais de douleurs dentaires imprécises, allant de la mâchoire à l'oreille G avec maux de tête, qui me faisaient passer de très mauvaises heures. Mon dentiste était en vacances et c'est sa charmante remplaçante qui a appuyé puis cogné sur toutes les dents, y a envoyé des jets d'air froid, a pressé la gencive, sans succès. Impossible de préciser telle ou telle dent ; ma douleur restait diffuse mais réelle. Pour elle, il n'y avait aucun problème dentaire.
J'ai alors argumenté sur mes maux particulièrement vers l'oreille (sans être l'oreille), que je reconnaissais comme étant de vraies douleurs dentaires, vu ma longue expérience en ce domaine - hélas - et elle m'a conseillée alors d'aller voir un oto-rhino puis s'apprêtait à prendre congé de moi. Donc je devais quitter le fauteuil.
Face à cette perspective qui m'angoissait, je lui ai dit que sitôt sortie de son cabinet, j'irai à l'accueil prendre un autre RV urgent car mes douleurs n'allaient pas disparaître après cet entretien.
C'est alors qu'elle m'a dit que tout cela était dans ma tête et que je devais non pas aller voir un oto-rhino mais un psychiatre !
J'étais atterrée et désemparée à la perspective de nouvelles nuits blanches et de nouvelles pilules de paracématol à avaler en vain.
Hors du cabinet, dans son couloir, je me suis mise à pleurer tout en ayant honte, en marmonnant "Ce n'est pas possible, qu'est-ce que j'vais faire ?
J'avais pris RV dans mon centre mutualiste car je souffrais de douleurs dentaires imprécises, allant de la mâchoire à l'oreille G avec maux de tête, qui me faisaient passer de très mauvaises heures. Mon dentiste était en vacances et c'est sa charmante remplaçante qui a appuyé puis cogné sur toutes les dents, y a envoyé des jets d'air froid, a pressé la gencive, sans succès. Impossible de préciser telle ou telle dent ; ma douleur restait diffuse mais réelle. Pour elle, il n'y avait aucun problème dentaire.
J'ai alors argumenté sur mes maux particulièrement vers l'oreille (sans être l'oreille), que je reconnaissais comme étant de vraies douleurs dentaires, vu ma longue expérience en ce domaine - hélas - et elle m'a conseillée alors d'aller voir un oto-rhino puis s'apprêtait à prendre congé de moi. Donc je devais quitter le fauteuil.
Face à cette perspective qui m'angoissait, je lui ai dit que sitôt sortie de son cabinet, j'irai à l'accueil prendre un autre RV urgent car mes douleurs n'allaient pas disparaître après cet entretien.
C'est alors qu'elle m'a dit que tout cela était dans ma tête et que je devais non pas aller voir un oto-rhino mais un psychiatre !
J'étais atterrée et désemparée à la perspective de nouvelles nuits blanches et de nouvelles pilules de paracématol à avaler en vain.
Hors du cabinet, dans son couloir, je me suis mise à pleurer tout en ayant honte, en marmonnant "Ce n'est pas possible, qu'est-ce que j'vais faire ?
Le renvoi vers "c’est psy" est aussi ce qui arrive à nombre de malades atteints d’une forme disséminée et chronique de la maladie de Lyme (et co-infections).
Selon le Pr Perronne, infectiologue à l’hôpital de Garches, qui l’indique dans son livre "La vérité sur la maladie de Lyme" et le rappelle dans ses interviews, ses confrères psychiatres râlent de plus en plus en disant à propos de ces malades de Lyme : "Cessez de nous adresser des patients qui ne sont pas fous et dont vous ne prenez pas en compte les souffrances somatiques réelles."

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PrincesseJulie a posté le 03 septembre 2017 à 20h59
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PrincesseJulie a posté le 02 septembre 2017 à 20h28
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Mylenos a posté le 31 août 2017 à 19h27
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Mylenos a posté le 31 août 2017 à 19h26
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lomig1 a posté le 30 août 2017 à 17h18
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Il y a une douzaine d'années, la gastro-entérologue Marion Lagneau s'est fait opérer de la thyroïde. Ses examens post-opératoires sont rassurants, mais peu de temps après, elle souffre terriblement.
Elle se souvient que le jour où elle a été envoyée aux urgences, un collègue lui a passé le bras autour de l'épaule et lui a demandé si tout ceci ne serait pas plutôt dans sa tête. A l'hôpital, des examens complémentaires sont réalisés. Diagnostic : hypocalcémie sévère, c'est-à-dire une baisse anormale du taux de calcium dans le sang.
"J'étais dans la zone de la mort", dit-elle aujourd'hui.
Pour toutes ces fois où les patients ont entendu "votre maladie est d'origine psychologique", la gastro-entérologue a lancé le hashtag #cpsy . 
Un jour, on m'a dit "c'est psy". c'était une hypocalcémie sévère. Et vous? Quelle maladie grave a été étiquetée #cpsy avant son diagnostic?
Point de départ de cette initiative : l'affaire Levothyrox . Comme toutes les personnes n'ayant plus de thyroïde, Marion prend régulièrement ce médicament (mais elle ne ressent pas d'effets secondaires). 
Sur Twitter, les patients ont suivi.
Entendre #cpsy pendant 1 an pour au final un diagnostic de sarcoidose pulmonaire + Hypothyroïdie d'hashimoto
Douleurs + luxations/entorses à répétition : "veut attirer l'attention", pendant 10 ans. C'était un syndrome d'Ehlers Danlos #cpsy
"Elle fait du nomadisme medicale et des faux malaises, #cpsy " c'etait une rupture de grossesse extrauterine, 3L de sang dans le bide...
Polyalgies attribuées à sd dépressif / sd paraneoplasique #cpsy
La réponse "C'est psy" peut être faite par les médecins face à des syndromes rares, des maux de tête ou de ventre (dont l'intensité est difficile à mesurer). Ou quand des symptômes dépressifs accompagnent la maladie : tout leur est finalement attribué.
Pour Baptiste Beaulieu , médecin, blogueur et romancier, évoquer une cause psychologique peut être "une solution de la facilité". 
Pour lui, le diagnostic psychique ne peut être posé que lorsque le praticien a éliminé toutes les "possibles atteintes organiques". Une étape parfois négligée. 
Au téléphone, le médecin dit regretter l'orgueil de certains soignants. En cause, la difficulté d'avouer leur méconnaissance face à des symptômes "bizarres". Mais aussi la peur que le patient se sente abandonné. 
La jeune femme souffre d'endométriose. Elle le sait depuis deux ans. Le diagnostic a été posé après un passage chez six gynécologues différents en l'espace de huit ans. 
Mon endométriose et son kyste de sang de 9cm sur l'ovaire qui me faisait m'écrouler de douleur. ???????? https://t.co/ZfC0j2l4yd
Selon EndoFrance , association française de lutte contre l'endométriose, "le diagnostic de l’endométriose est complexe car la maladie revêt des formes variées".
Quand à 16 ans, les premières douleurs liées aux règles apparaissent, Adeline ne pense pas consulter. "Pour moi, c'était normal", se souvient-elle. C'est après des rapports sexuels anormalement douloureux qu'elle décide de prendre un rendez-vous chez une gynécologue.
Elle consulte un autre spécialiste. Puis un troisième et un quatrième. Tous évoquent des causes psychologiques : 
Les maux d'Adeline, eux, augmentent de façon exponentielle. Elle souffre désormais aussi pendant l'ovulation. La douleur est parfois telle qu'elle ne peut plus sortir de chez elle pendant trois jours.
Un jour, la jeune femme fait un malaise en se rendant sur son lieu de travail. Hospitalisée, elle passe une IRM. Le chef de service détecte un kyste endométriosique sur son ovaire droit. Il lui conseille de voir un gynécologue en urgence. Dans le cabinet du médecin, les symptômes d'Adeline sont, une fois de plus, sous-estimés.
Lors d'une crise de douleur, son conjoint lui prie d'aller voir un énième gynécologue. Adeline accepte de prendre un rendez-vous chez un spécialiste qu'on lui a recommandé. La jeune femme est enfin écoutée. 
Des analyses supplémentaires sont effectuées. Le kyste détecté par la première IRM a atteint la taille de 9 centimètres sur 10. Adeline est opérée en urgence. 
Sur Twitter, Elsa Dechézeaux (un pseudo), étudiante en cinquième année de médecine à Paris-VII, dénonce de son côté "une forme de mépris de la douleur".
Il n'existe pas de "moyen objectif" de la mesurer, ce qui peut rendre le diagnostic difficile. Au téléphone, elle ajoute :
Mais c'est normal jusqu'à quel point ?
Et puis, de toute façon, si certaines douleurs sont effectivement d'origine psychologique, "la douleur est elle bien réelle car elle est ressentie".
"Pour ne pas affoler les patients", "Disciple_Neuro" (pseudo Twitter), neurologue dans l'est de la France, nuance. 
Dans mon expérience quand quelque un a dit "c'est psy" on ne trouve pas de dg somatique dans 80-95% des cas
Sur 100 patients venant en consultation de neuro pour rechercher une maladie neuro et chez qui une cause psy/non organique avait été évoquée
Auparavant par un autre médecin, après bilan et suivi neuro on restera sur l'absence de maladie somatique claire chez 80 à 95
La frontière entre la neuro et la psy est poreuse et les séparer est parfois illusoire dc possibilité de faux dg de l'un à l'autre augmentée
Aussi, des médecins se trouvent parfois désemparés face à certains symptômes. Ils préfèrent ainsi diriger le patient vers un autre spécialiste. Contacté par téléphone, le neurologue nous dit :
Bonjour! Quelle horrible dentiste, qui n'a pas fait son travail. Ce n'est pas dans ta tête, je te le confirme. Tu sembles souffrir, comme moi, de trouble de l'articulation temporo-mandibulaire (trouble de l'ATM) ou SADAM (appelé comme ça en France.) Ça peut être extrêmement douloureux, se r
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