Il la punit à longueur de temps

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Devant un enfant qui hurle et que rien ne semble calmer, comment réagir ? Les magicmamans oscillent entre lourdes sanctions et douces paroles.
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j'ai trouvé le truc avec le mien tu cries j'enlève un jouet que je donnerai à un autre enfant ou dans un hopital sa marche très bien . Il apprend à respecter les choses et comprends quand criant on a rien

j'ai trouvé le truc avec le mien tu cries j'enlève un jouet que je donnerai à un autre enfant ou dans un hopital sa marche très bien . Il apprend à respecter les choses et comprends quand criant on a rien

mon fils vient de fêter ses 12 mois, et je sens qu'il est un peu nérveux. il n'arrête pas de donner des coups de pieds et de crier si on ne lui donne pas ce qu'il veut. je ne sais pas comment lui enlever ces mauvais gestes


J'ai 3 enfants, et seul le 2 nd crie surtout quand il joue avec son ainé....je parle avec eux, et je n'aime pas etre en conflit avec eux, ni les punir....mais quand la discussion ne rencontre aucune écoute, couper court et séparer les enfants reste ma seule solution....car je ne suis pas d'un tempérament calme et cela^pourrait prendre de l' ampleur négative...du coup, mon gars va dans le garage, avec son accord, et revient quand il se sent calmé!....au bout de 20 sec...mais il se tait quelques minutes ensuite...
Lors d'un moment calme; nous lui avions déjà expliquer que ce n"est pas une punition mais l'isoloir le plus probant de notre petite maison.( mal isolée).



mon fils a bientot 11 mois et il ne fais que d'hurler de faire mal (pincer, donner des coups de pieds quand il est sur la table a langer) je sais pas comment lui enlever ces mauvais gestes?
Quand un enfant hurle à longueur de journée, il faut réagir. C’est alors que la situation se complique, car les méthodes applicables sont aussi nombreuses que les enfants sont différents. Quelques magicmamans témoignent de leurs difficultés et de leurs réussites.
Au secours ! Il hurle comme si c’était un jeu. Lucile : « J'ai un souci avec mon 2e enfant, un petit homme de 3 ans et demi. Il passe une grande partie de son temps à hurler à plein poumon. On ne sait pas pourquoi. Je ne sais quoi faire pour qu'il arrête. J'ai bien essayé de lui demander pourquoi il hurlait, mais il ne sait pas et se contente de hurler de nouveau, comme si c'était un jeu. J'ai essayé de le mettre au coin, mais s'il arrête de crier, j'obtiens en échange un enfant qui se roule par terre et refuse d'obtempérer. Avez-vous des idées ou des suggestions à me soumettre ? »
Les prendre entre quatre yeux Caroline : « J’ai un truc qui marche avec ma fille : je la regarde bien en face, je lui dis qu'elle peut hurler, et qu’elle fasse signe quand elle aura fini. Je reste stoïque face à elle : en général elle ne crie pas plus d'une minute. Quand je vois qu'elle commence à en avoir assez, je lui demande si elle a fini. Je lui dis, bien dans les yeux, qu’elle peut continuer à jouer, mais sans hurler… Et ça marche. Ce qui amuse ton garçon, c'est peut-être de te voir t'énerver. »
Ne pas empêcher les cris, au contraire Delphine : « Plus tu vas essayer de l'empêcher de crier, plus il voudra le faire. Quand ma fille commence à crier très fort, sans raison, plutôt que de le lui interdire, je l'encourage à crier plus fort. On en fait un jeu dans lequel chacune d'entre nous passe un bon moment à se défouler. On joue sur l'intonation de notre voix. Crier dans les aigus ou dans les graves... Reproduire les cris des animaux... Faire la sirène... Ca libère notre énergie et ça calme tout le monde. Après, elle n'a plus envie de crier ! »
Ne pas hésiter à punir Antoinette : « Tu pourrais faire un contrat très solennel avec ton fils. Une feuille de papier sur laquelle tu écris qu'il est interdit de crier et que dorénavant, s'il crie, il sera puni dans telle pièce pendant 3 minutes. Vous discutez bien du contrat tous les deux et vous le signez. Il sera ensuite affiché sur le frigo. L'effet solennel de tout ça est important, ça marque le coup autant pour l'enfant (qui comprend que c'est vraiment important) que pour le parent (qui se retrouve maintenant obligé de sanctionner chaque cri consciencieusement) Si chaque cri est interdit, chaque cri doit être sanctionné. Si on ne sanctionne qu'un cri sur deux, c'est qu'un cri sur deux est autorisé, donc ça continue. Le premier jour, il sera punis 20 fois : il va tester ta détermination. Le secret, c'est d'être constant. Le coté automatique de la sanction fait comprendre à l'enfant qu'il ne sert à rien de continuer : il n'y coupera pas. Ne choisis pas une sanction dure mais au contraire une sanction douce facile à imposer, que tu n'hésiteras pas à utiliser 20 fois de suite s'il le faut. »
Dans l'opposition pure et irraisonnée Clémence : « Quand Théo hurle, il n'est plus dans la communication : inutile de lui parler. Il a juste besoin de voir que le monde ne s'arrête pas de tourner à cause de lui, mais qu'on réagit : on l'isole, et il peut revenir quand il est calmé, c'est simple ! »
Les priver de leurs moments privilégiés Virginie : « Grégoire adore prendre le bain avec son grand frère. Les jours où il est infernal, il prend une douche seul. Pas le temps de jouer, pas de grand frère pour faire rire… rien que de l'eau et du savon. Rien de folichon, quoi. Pour le grand, c'est l'histoire du soir. S'il est allé trop loin dans la journée, il lit son histoire tout seul. Il aime beaucoup ce moment privilégié, alors je lui explique qu'il m'a fait crier toute la journée et que je ne suis plus assez disponible pour un moment calme avec lui. Il boude, mais ça fonctionne. »
L’importance du lien de cause à effet Mireille : « L'inconvénient de la privation, c'est qu'on voit moins le lien de cause à effet : quand Etienne tapait sa soeur à l'aide de son nounours, on lui confisquait le nounours. Ca semble logique, puisque c'est avec ça qu'il tapait. Mais quand il hurle, l'isolement est bien plus cohérent que la privation, car hurler, c'est une chose qu'on fait pour enquiquiner l'auditoire. Supprimer l'auditoire est donc la réaction la plus logique. »
La menace inutile Elise : « La menace au moment même du problème ("si tu continues, tu seras puni de telle manière" ), ça ne sert à rien. C'est surtout un moyen pour le parent de ne pas appliquer immédiatement une sanction qu'il faudrait pourtant appliquer. C'est un moyen pour lui de repousser son boulot d'éducateur ("j'ai la flemme, je te punirai tout à l'heure"). C'est donc tout à fait logique que l'enfant repousse son boulot d'enfant sage ("j'obéirai tout à l'heure aussi !") »
Parler raisonnablement Marie : « Vous êtes nombreuses à pratiquer toutes sortes de punitions. Je suis assez étonnée. Personnellement, je déteste punir, et si je l'ai fait un tout petit peu avec mon aînée, je n'ai pas du tout aimé et je ne le fais plus. Tout va très bien avec nos trois enfants sans pratiquer de punition. Je trouve que le plus facile est de leur parler raisonnablement : ils ont une très grande capacité de compréhension et au fond, ils ont aussi très envie que tout se passe bien. A mon goût, les punitions gâchent vraiment la relation avec son enfant. En tant qu'adulte qui punit, je me sentais comme quelqu’un qui abusait de son pouvoir. » Une vaste palette de solutions, très différentes les unes des autres. Pourquoi ne pas les essayer une à une avec les enfants les plus récalcitrants, jusqu’à trouver celle qui marchera avec votre petit "hurleur" ? Pour lire plus de témoignages et participer à cette discussion, cliquez ici !
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François Bégaudeau : Punitif, disent-ils...

Par François Bégaudeau
, publié le 22 octobre 2021

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NUMÉRO 53 : AOÛT - SEPTEMBRE 2022:
Punir les écocidaires


François Bégaudeau est écrivain, critique littéraire, scénariste et réalisateur. Auteur de plusieurs romans dont La Blessure, la vraie (Verticales, 2011) et En guerre (Verticales, 2018), il a récemment signé l’essai Histoire de ta bêtise (Pauvert, 2019) où il interpelle la bourgeoisie. Il tient une chronique régulière pour Socialter et livre deux fois par mois un podcast de critique de cinéma, La gêne occasionnée.

Chacun aura observé qu’un riche n’est pas spontanément enclin à partager ses biens. Cela se comprend ; cela se pardonne. On serait pareil à sa place, et c’est bien pour ça qu’on la lui laisse volontiers. Par définition, le riche possède (des maisons, des parts dans des boîtes...) et en tant que possédant, il n’est pas en grande amitié avec l’idée du commun ni avec le courant qui la porte, dûment nommé communisme. C’est une lapalissade, et pourtant le possédant la dissimule. Il ne dit pas : moi je ne partage pas, j’ai mérité ce que j’ai, il y a eu une compétition et je l’ai gagnée ; désolé, les déshérités n’avaient qu’à bosser à l’école, bon courage à eux et longue vie à mes enfants méritants qui hériteront de mes biens. Autant de choses qu’il pense... mais qu’une particule de mauvaise conscience, une peur de froisser certaines valeurs progressistes admises, une stratégie de communication, une ruse marketing l’empêchent d’exprimer directement, comme un possédant impénitent du xix e siècle l’aurait fait en se grattant les testicules. Le possédant contemporain la joue profil bas. Son argumentaire pro domo progresse en crabe. Il prend l’adversaire de classe par le flanc. Il ne s’insurge pas contre le partage en tant que tel, mais contre les crimes du communisme réel. Le possédant a été viscéralement anticommuniste bien avant les goulags ou les famines sous Mao, mais c’est sur ces horreurs qu’il appuie son refus de la mise en commun – voyez où ça mène ! Dès lors, sa défense de la propriété passe pour une défense de la démocratie. Bien joué. Analogiquement, on le voit fustiger non l’égalité – ce serait là piétiner notre devise – mais l’ é galitarisme qu’une éditorialiste de garde qualifiait récemment de « passion triste » (d’où il s’infère que la passion de posséder est une passion joyeuse). De même que son voisin de droite conspue non l’antiracisme, mais les d é viances de l’antiracisme ou le racialisme qu’il instaure – oui, ce qui chagrine le voisin de droite raciste dans l’antiracisme, c’est le racisme. Qu’on le comprenne bien : le possédant est pour l’égalité, hier encore il parrainait le programme « Égalité des chances », initiative portée par HEC ; en outre, il n’aime pas le racisme, d’ailleurs sa femme adore Beyoncé. Simplement, il condamne les exc è s de l’antiracisme (qu’il appelle indigénisme sans bien comprendre ce qu’il dit) et les exc è s de l’égalité. 
Forcé d’admettre que l’option écologique est désormais un horizon indépassable, le possédant – un temps campé sur un climato-scepticisme devenu intenable – ne peut plus décemment la combattre. Ne peut plus en tout cas la combattre ouvertement. Il la combat donc de biais. De son épée de châtelain, il pointe les excès de l’écologie . Les excès sont portés par les Khmers verts , les ayatollahs de la cause environnementale – et voici réalisé l’amalgame avec les deux autres repoussoirs du copropriétaire : le communisme et l’islam radical. Dans le même temps, le possédant injecte dans l’espace public un élément de langage redoutable, un parfait contre-feu idéologique : lui qui a l’écologie chevillée au corps – jure-t-il la main sur le cœur –, ce qu’il n’aime pas c’est l’écologie punitive. Le mot est lâché. Comme un chien dressé pour sauter sur le premier écolo qui bouge. Une taxe sur les dividendes ? Punitif. Une taxe sur les véhicules de plus de 1,4 tonne ? Punitif. L’infraction pénale en cas d’usage abusif de produits phytosanitaires ? Punitif.
On n’avait pas cru le propriétaire doté d’une si grande fibre libertaire. On ne l’avait pas cru si rétif aux coercitions. On l’avait vu, par exemple, fiévreusement demandeur de peines lourdes pour les terroristes ou leurs complices, les assassins d’enfants, les violeurs et, à vrai dire, contre tous les individus susceptibles de perturber son confort. On l’avait vu déplorer que des proviseurs laxistes laissent les collégiens de certains quartiers faire la loi. On l’avait vu exiger que les chômeurs et autres allocataires assistés soient mieux contrôlés et plus fermement invités à accepter des jobs de merde. Oui, en général, le possédant ne craint pas la sévérité, qu’elle s’exerce en amont du forfait – surveiller – ou en aval – punir. Punir pour l’exemple et faire que la société tienne. Et sa société par la même occasion.
Aucun paradoxe là-dedans. On sait bien où commence et finit la sacro-sainte liberté que le libéral porte en étendard : liberté pour lui, chaînes pour les autres. Liberté pour qui possède l’entreprise, cadences infernales pour ceux qui y travaillent. On sait bien que dans le panel des libertés auxquelles prétendre, le possédant marchand n’en brigue qu’une : non pas la liberté de penser, dont il n’aurait pas l’usage, non pas la liberté d’expression – le marchand ne parle pas, il communique –, mais celle de commercer. Qu’on le laisse faire des affaires, c’est tout ce qu’il demande. Que l’État
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