Il filme sa femme être initiée au plaisir saphique

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Source : Enquête sur les fantasmes autour du sexe entre femmes, communiqué de presse et enquête Ifop, 25 avril 2018
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Publié par Anne Valois , le 25/04/2018 à 12:13
L'amour entre femmes figure parmi les thématiques les plus recherchées sur les sites spécialisés dans la pornographie . Mais qu'en est-il en réalité ? C'est la question qu'a posé l'Ifop à 2 001 personnes (1). En dehors des films X, il semble que le sexe lesbien n'affole pas la population féminine.
Environ une sondée sur six a déjà ressenti du désir pour une autre femme . Les jeunes sont un peu plus nombreuses à l'affirmer, mais le phénomène reste marginal. A peine davantage font preuve de curiosité à l'égard des rapports sexuels saphiques.
17 % des Françaises ont déjà regardé deux femmes faire l'amour, ou le souhaiteraient. Du côté de ces messieurs, deux tiers de la population proclame la même chose. Et il n'y a pas que sur ce plan que l'industrie du X diffère des désirs féminins.
Les pratiques qui font fantasmer les femmes varient largement de celles qui excitent les hommes … et encore plus de celles qui sont présentées à l'écran. Tout d'abord parce que ces messieurs expriment un enthousiasme bien plus élevé à l'égard des pratiques lesbiennes.
Mais alors qu'est-ce qui excite ces répondantes ? Plus d'une sondée sur deux se dit très vivifiée en imaginant deux amantes s'adonner au cunnilingus . Une pratique encore peu représentée dans les films pornographiques, comme le note l'Ifop dans un communiqué.
Ces réponses s'expliquent "sans doute parce qu’il est encore le parent pauvre des scènes de sexe entre hommes et femmes visibles dans les films X, films qui s’avèrent encore trop souvent le fruit d’une vision très phallo-centrée de sexualité".
Au second rang des gestes qui attisent la libido des sondées, la stimulation des seins – que ce soit en caressant, léchant ou suçant. 30 % des femmes interrogées aimeraient voir cela représenté – contre 52 % chez les hommes. Arrive ensuite l'échange de baisers entre deux amantes.
La pénétration est, en revanche, un geste qui ne suscite pas une excitation folle . Seule une sondée sur cinq se dit stimulée à l'idée d'une telle pratique. Les hommes, eux, sont 58 % à exprimer un désir avivé par cette image.
Autre sujet qui divise : les rapports anaux . Seuls 11 % des femmes interrogées expriment un intérêt, que ce soit pour la pénétration avec un objet ou avec ses doigts ou un anulingus. Du côté de la gent masculine, un peu plus d'un tiers des sondés tireraient du plaisir d'un tel visionnage.
(1) Étude Ifop pour le site Référence Sexe réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 27 au 28 mars 2018 auprès d’un échantillon de 2 001 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus
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Mariée à un homme depuis des années, Valérie n'a eu son premier orgasme qu'à 35 ans... Dans les bras de sa voisine.
Les premières lueurs du jour me réveillent doucement. Le corps engourdi, mais étrangement apaisé, je flotte entre le rêve et le sommeil. J'ai mal au crâne, j'ai un peu trop bu la veille. Des images de Marie me reviennent : Marie qui pleure, puis Marie qui sourit ; Marie qui a les yeux qui brillent, Marie qui est jolie ; Marie qui joue avec mes bracelets, Marie qui vient se blottir contre moi... Toutes les deux sur le canapé du salon. Une bouteille vide sur la table basse. Des braises dans la cheminée. Je ne sais plus quelle heure il était quand ça a basculé, ni comment ça s'est passé, ni qui a commencé réellement. Je revois juste nos corps nus, fébriles, ma bouche cherchant la sienne, ses mains serrant les miennes. Marie et moi avons fait l'amour, toute la nuit. Aussi simplement et naturellement que ça. Aussi formidablement que ça. Pour la première fois de ma vie, j'ai joui. Pourtant, je suis hétéro, je le sais. Et, même là, je n'en doute pas. En revanche, moi qui croyais que les joies du sexe étaient réservées aux autres... Ce matin-là, troublée et heureuse de l'être, j'ai su que je m'étais trompée. Moi aussi, je pouvais.
J'ai grandi dans une famille où le sexe n'était pas tabou : il n'était pas, voilà tout. Mes parents, artisans, bossaient comme des fous pour joindre les deux bouts, et seul le travail avait de la valeur à leurs yeux. Je ne les ai jamais vus se détendre, goûter le bonheur d'être à deux, encore moins s'embrasser. Pas une marque de tendresse entre eux ; pas plus pour nous, leurs enfants. D'ailleurs, ma mère ne nous lavait pas, elle nous briquait. Quand j'ai eu mes règles, elle m'a giflée : chez ses parents, paysans, c'était la tradition, paraît-il. En revanche, pas un mot sur mon corps qui change ou sur la puberté qui me tombe dessus... Ma grand-mère, catholique pratiquante, vivait chez nous. Avec le recul, je pense que c'est sa dureté qui étouffait tout ce qui aurait pu ressembler à du plaisir ou à de la sensualité.
Au lycée, j'ai eu la chance de vouloir suivre une option qui me contraignait à partir en internat. Loin des miens, j'ai découvert un monde que je ne soupçonnais pas. Mes nouvelles amies se racontaient le soir, sous la couette, comment elles avaient dragué celui-ci, embrassé celui-là... Et elles ne brûlaient pas en enfer pour autant ! Alors j'ai voulu essayer. C'était la boum de fin d'année, j'étais en seconde, lui terminait son CAP, mais il était plus âgé et plus expérimenté que moi. Il m'a invitée à danser et m'a embrassée. Plus précisément, il a enfourné sans aucun préalable sa langue dans ma bouche. Une limace aurait été plus appétissante. J'ai détesté et me suis enfermée dans les toilettes pour le reste de la soirée. Les mois passent, mon corps se transforme. Tant que je vivais chez mes parents, il se faisait, lui aussi, très discret. Mais l'internat lui fait du bien et me voilà nantie d'une belle poitrine et de fesses rebondies. Les garçons du lycée s'intéressent à moi, ça me met mal à l'aise. Le regard noir de ma grand-mère me l'a fait comprendre : j'ai raison d'avoir honte de mes formes. Mes copines, elles, me chahutent, me poussent à mettre des jupes, à me maquiller. J'envie leur légèreté, leur audace. Alors, quand elles me proposent de me joindre à elles pour fêter notre bac au bord de la mer, je fonce. À l'usure, je convaincs mes parents de me laisser partir. Officiellement, on travaille pour une association qui offre des vacances à des enfants défavorisés. Mais, quand les petits sont couchés, c'est la fête pour les animateurs. Un soir, je décide qu'il est temps de sauter le pas. Je prends l'un de mes camarades par la main et l'entraîne vers la plage. Pas anxieuse, déterminée : il me paraît inconcevable d'entrer vierge à la fac. Ma première fois n'est ni une bonne ni une mauvaise expérience. Je ne ressens pas un gramme du plaisir promis par mes copines, mais je me dis que ça viendra. Évidemment, de retour au camping, je fais comme elles et clame que j'ai joui à pleins poumons.
« Valérie, personne n'est fait ou pas pour le plaisir. Tu n'as pas encore rencontré celui, ou celle, qui te fera aimer ça. »
Les années de fac, de ce point de vue-là, ne sont pas celles que j'espérais : on ne change pas une équipe qui perd. L'amour, le sexe et moi, ce n'est toujours pas ça. J'ai honte en famille de paraître trop libérée ; honte avec mes amies de paraître trop coincée. Résultat, je ne parle de mes doutes à personne. Est-ce normal de ne pas aimer telle ou telle caresse ? Le jour où j'aurai un orgasme, je le saurai ? Et comment fait-on pour en avoir un ? Mais vous, jouissez-vous vraiment à chaque fois ? Ces questions me taraudent. Faute de pouvoir les poser, j'évacue une partie du problème (la rencontre amoureuse) en me mariant avec le premier venu. Il s'appelle Sylvain, il est flic, assez beau, et je me convaincs qu'il me plaît. Et que les hommes, les vrais, ne font pas de manières. Lui, visiblement, elles ne l'embarrassent pas. Passé les quelques mois de lune de miel, la sexualité avec Sylvain se réduit à la portion congrue... de son plaisir. Il me pénètre, il jouit. Point. Je le laisse faire, me force parfois un peu, pour avoir la paix. J'ai bien essayé de lui dire que je ne ressentais rien. Invariablement, il évacue : «Pas de ma faute si t'es frigide ! Regarde ta grand-mère, ça doit être de famille... » Je me demande comment j'ai pu supporter ça. Comment deux enfants ont pu naître de cette union boiteuse. Mais mes parents m'avaient inculqué le sens du devoir... À 35 ans, l'épouse et mère que j'étais ne pouvait pas se plaindre.
Et puis Sylvain est muté à l'autre bout de la France. Nous atterrissons dans un bled paumé, à des centaines de kilomètres de mes amies... À quelques mètres de Marie. Comme moi, elle est souvent seule le soir - son mari est commercial, toujours sur les routes. Comme moi, elle est timide et solitaire. Mais, entre elle et moi, le courant passe immédiatement. Le soir où elle frappe à ma porte, c'est parce que, sortie en trombe de chez elle pour faire une course, elle a oublié ses clés à l'intérieur... Évidemment, je lui propose de passer la nuit à la maison, en attendant que son mari rentre. Le mien a embarqué les garçons pour un week-end « entre mecs ». Je débouche une bouteille de vin, on trinque à nos solitudes. Quelques verres et quelques larmes plus tard, pour la première fois de ma vie, je me livre : « En fait, je n'ai jamais éprouvé le moindre plaisir à faire l'amour. Je crois que je ne suis pas faite pour ça. » Marie éclate de rire. Ce qui commence par me vexer... Mais je souris quand je l'entends me dire : « Valérie, personne n'est fait ou pas pour le plaisir. Tu n'as tout simplement pas rencontré celui qui fera suffisamment attention à toi pour te faire aimer ça. » J'ai très envie de la croire et j'en ai des frissons dans la nuque, quand elle ajoute : « Enfin, je dis 'celui', ça peut être 'celle', peu importe. » C'est là qu'elle joue avec mes bracelets. Là qu'elle tend la main vers moi. Là qu'elle se blottit dans mes bras. Je me sens étrangement libre, comme je ne l'ai jamais été. De la caresser, de la laisser me caresser. En totale confiance, je me laisse aller... et je suis allée au bout de mon plaisir.
Le lendemain matin, il était clair, pour Marie comme pour moi, que nous en resterions là. Tout aussi tacitement que nous avions exprimé notre envie l'une de l'autre, nous nous sommes dit adieu. Les mois qui ont suivi ont été infernaux et délicieux à la fois. Infernaux à force de me triturer les méninges pour tenter de comprendre qui j'étais, et ce que je voulais faire de moi. Délicieux, parce que je savais que ce qui s'était ouvert en moi cette nuit-là ne se refermerait jamais. J'ai mis une petite année avant de quitter Sylvain. Et deux de plus avant de rencontrer Matthieu, mon amoureux d'aujourd'hui. Le plaisir, avec lui, a été immédiat. Dix ans plus tard, il est toujours là. Si fort que ma grand-mère s'en retourne certainement dans sa tombe... Tant pis pour elle !
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En l’occurrence, rien n’a été gâché, au contraire. J’ai aimé son histoire : elle a envie de femmes, elle en parle à son conjoint et il lui laisse carte blanche. En toute transparence et complicité. J’ai envie d’être cette femme-là. On se donnera rendez-vous au Love Hôtel, pour une première fois haute en sensations fortes et émotions. ladyerell.com/plaisir-saphique… #saphisme #initiation #triolisme #libertinage #ladyerell

Je sais depuis nos premiers échanges ce que je pense depuis toujours : « aider l’autre c’est s’aider ». Mais ma sagesse pense aussi « deux aveugles peuvent-ils s’aider sans risquer de tomber dans le même trou ? ».

https://ladyerell.com/le-bonbon-a-la-menthe-partie-2-j11/

#confession #confidence #bdsm
  Mia drove around the block in her Chevy Malibu another time, taking note that the parking lot for the bar didn’t seem to appear that full. The moon had come out this Monday night. As she came around the corner again she pulled into a parking space on the side of the building nearest to entrance. Far away enough that no one would know one would notice her shoveling French fries from Mcdonalds into her mouth, but close enough that if she changed her mind, she had a short distance to run.

  She turned up the radio in the car and turned on the air conditioning. Still having a single French fry in her mouth she checked in her mirror t
- L'Autel Du Sacrifice - Regardant la Scène Depuis Un Ciel Ensanglanté... Les Yeux Baignés Dans L'Enfer des Enfers... Je Vois L'Homme Civilisé En Tunique Blanche, Faire... ...Il Sort Sa Dague Soi Disant Magique... ...Pour Faire Jaillir Le Sang des Vierges... Dans ses Incantations Perverses, il en fait le Sang de la Culpabilité... La Promesse d'Un Paradis Sexué Pour Des Hommes Obsédés... Mais L'Excision N'est Pas Seulement Physique, Elle est Surtout Psychique... ...Le Viol n'est pas encore terminé...Et Cela Ne S'attaque Pas Qu'Aux Féminins Corps... ...Il faut Aussi Achever Les Esprits, et s'assurer de leurs Parfaites Soumissions... ...Les Faire Mourir Avant Même Qu'ils ne Vivent leurs propres Vies... Le Croyant Ne Doi
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