Il est temps de s’informer sur le sexe

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Il est temps de s’informer sur le sexe
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On a fait avaler à un logiciel le texte complet de ce document « Accros au sexe ». Grâce aux algorithmes de son programme, il est capable de reconnaître les mots les plus utilisés et les a assemblés graphiquement pour générer cette création 2011 sur ordinateur !


© DR



Jessica Azoulay

03/07/2011 à 14:44








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Depuis l’affaire DSK, l’addiction au sexe monopolise les débats, et suscite la gaudriole. Pourtant, c’est une souffrance et une maladie dont on met longtemps à se débarrasser. Et pas si rare : 6 % de la population en seraient affectés en France. Pour Paris Match, des dépendants témoignent tandis que médecin et conseiller expliquent.
Paris Match. Qu’est-ce que l’addiction sexuelle ? Marc Rioufol. C’est le besoin physique d’assouvir une pulsion sexuelle qu’on ne contrôle pas. Séances répétitives au cinéma porno, peep-show, massages, recours aux services de prostitués (hommes ou femmes), sex-clubs dans l’idée de faire le maximum de rencontres en un minimum de temps, bref pour “avoir sa dose” : c’est exactement le même système que n’importe quelle toxicomanie.
Comment devient-on dépendant ? Les addictions dont on parle le plus sont celles qui vous poussent à consommer des substances. Avec danger de mort à la clé. Mais derrière l’alcool, l’héroïne, la cocaïne , il peut y avoir l’addiction au sexe . Quand on est addict, la substitution, c’est comme changer de place sur le “ Titanic ” : on coule quand même. L’addiction devient un monstre ­insatiable.
En quoi consiste le cybersexe ? Le cybersexe, apparu en 1990, implique une communication virtuelle avec quelqu’un, via la webcam. C’est jouer avec l’autre qui est de l’autre côté de son ordinateur.
Peut-il passer d’une activité récréative à une activité maladive ? Absolument, les sex-addicts sont paralysés des heures face à leurs ordinateurs, ils pratiquent une activité sexuelle en ligne avec des inconnus. A la différence de la pornographie qui est la consommation de films X.
Quelle est la cause de la maladie ? C’est l’affectif. Il y a une volonté de remplir un vide abyssal par quelque chose d’extérieur à soi. Le cybersexe et la pornographie provoquent de l’isolement.
La pornographie joue-t-elle un rôle dans ces dépendances ? Bien sûr, car elle est associée à l’habitude de se masturber qui est souvent la pierre angulaire des dépendances sexuelles. L’apparition de la pornographie gratuite (comme sur le site Internet You Porn) a multiplié le nombre d’accros au sexe. De plus, elle renvoie une image dégradante et fausse de la femme.
La masturbation peut-elle aussi entraîner une dépendance ? Freud disait que la première addiction était la masturbation. Quand cet acte autoérotique devient excessif, la perte de contrôle est dangereuse.
Quel pourcentage d’hommes et de femmes trouve-t-on parmi les accros au sexe ? Tout cet univers très sexualisé de sex-shops fait que la pornographie concerne des hommes à plus de 95 %. La sexualité féminine nécessite plus de stimuli, se nourrit plus d’affectif, d’un désir d’être aimée.
Comment soigner ces personnes ? C’est compliqué car on ne peut pas demander une abstinence de sexe, cela serait ridicule. On limite l’addiction en prônant l’abstinence de l’activité sexuelle avec support, c’est-à-dire avec images.
Peut-on guérir complètement ? Oui. Avec le temps et de la volonté. Il y a plusieurs voies : la thérapie comportementale, la psychanalyse et aussi le soutien très efficace des réunions de Dasa (Dépendants affectifs et sexuels anonymes), par exemple, avec un échange entre personnes qui partagent cette même souffrance. Elles sont ainsi accompagnées pendant leur rétablissement.
Comment réussir à sevrer une personne sans lui supprimer toute sexualité ? Dans les réunions Dasa, chacun définit son propre état “clean”. Chez les hommes c’est une abstinence de support, car ces derniers encouragent les masturbations compulsives. La grande victoire c’est d’arrêter la masturbation suscitée par le porno, les journaux, Internet. Avec les périodes safe-sex où la paranoïa du sida a favorisé les pratiques de masturbation, celle-ci devient aussi une manière d’éviter l’amour. L’autosuffisance supprime le risque d’être abandonné : on n’a plus besoin d’une présence ou d’une relation affective.
Dans l’addiction au sexe, les fantasmes ont-ils une grande importance ? Oui, et leur réalisation est dangereuse. Une fois le fantasme réalisé, un autre apparaît. On transgresse les tabous. Cette absence de limites peut mener vers des sites pédophiles et des réseaux criminels. Avec, au final, un risque de passage à l’acte.
Comment définir la normalité en matière sexuelle ? Si on met de côté les toxicomanes, les joueurs, les alcooliques, etc., il ne resterait que 2 % à 3 % de la population que l’éminent psychanalyste Jung nomme : “les normopathes”. Jung refusait de les analyser car ils seraient pires que les addictifs ! On passe tous par des étapes de nos vies où on se trouve face à nos propres comportements compulsifs obsessionnels. En matière de sexe, il faut trouver son propre équilibre.
Paris Match. En quoi consiste cette addiction ? Jean-Benoît Dumonteix. Pour définir l’addiction, il faut parler de fréquence et de souffrance. Je traite des ­personnes atteintes d’addiction au sexe à travers la thérapie ­comportementale : on apprend à gérer ses pulsions. La ­psychanalyse complète : le patient cherche l’origine de cette compulsion.
Quelles en sont les racines ? En général des blessures de l’enfance, centrées sur l’abus.
En l’absence de traitement, faut-il craindre l’escalade ? Absolument, et comme dans toute addiction, elle devient chronique et progressive.
Pourquoi le porno a-t-il explosé sur Internet ? Le Net offre la possibilité de laisser libre cours à ses ­instincts. L’anonymat, l’accessibilité et la variété stimulent la dépendance au cybersexe et à la pornographie.
Une relation sexuelle virtuelle peut-elle être à l’origine d’une dépendance sexuelle ? Internet serait surtout une partie de la panoplie de moyens, de tactiques pour s’adonner à cette activité sexuelle. Un style de vie en quelque sorte.
La dépendance sexuelle est-elle reconnue comme une maladie ? Oui, elle est reconnue aux Etats-Unis, même si elle n’est pas présente dans le DSM (livre qui répertorie les maladies psychiatriques). En France, on commence tout juste à en parler et pourtant des milliers de personnes en souffrent. Cette problématique est essentiellement masculine, 95 % des patients qui consultent sont des hommes.
Quelles autres manifestations peuvent apparaître ? L’exhibitionnisme, le sadomasochisme, le voyeurisme peuvent être aussi apparentés à des troubles psychosexuels.
Quels sont les risques que comportent ces conduites ? Il y a d’abord des risques pour la santé à cause des multiples ­rencontres sexuelles anonymes et parfois sans protection. Les conséquences sur la vie personnelle, familiale et professionnelle dépendent du degré de compulsion. Ces comportements sont générateurs de souffrance pour le sexoolique comme pour autrui. Les dommages psychologiques tels que la dépression sont la conséquence de ce cycle infernal.
Existe-t-il une relation entre l’addiction au sexe et le viol ? Cela dépend des individus. En général, il y a un lien entre les sex-addicts et la situation d’abus. Un inceste ou une atmosphère incestueuse peuvent déclencher sur la personne abusée l’addiction au sexe, objet de sa souffrance. Les consommateurs de pornographie ressentent une excitation toujours plus forte. Les dépendants sont parfois stimulés par la résistance au viol et par des situations extrêmes.
Pour s’informer sur l’addiction et dépendance sexuelles : www.ladependancesexuelle.fr.
«Au début, j’empruntais les DVD de mon père, en cachette (je crois que lui aussi a un problème, mais on n’en parle jamais). C’était mon jardin secret, je faisais quelque chose de totalement défendu, d’interdit, et bien sûr je trouvais cela très excitant. Je dois aussi dire que j’étais quelqu’un de très timide. Je n’ai jamais eu de copine jusqu’à l’âge de 22 ans, et la fille avec qui je suis sorti a été ma première fois pour tout. Première fois qui ne s’est d’ailleurs pas très bien passée, parce que je n’avais comme connaissance de l’acte sexuel que ce que j’en avais vu dans les films...
Pour moi, la consommation de porno est un moyen d’assouvir mes pulsions sans avoir de rapports directs avec les filles, qui me font extrêmement peur. Je crains de les décevoir, de ne pas être à la hauteur. Socialement, je donne l’image de quelqu’un de sain, d’équilibré, à qui on peut se fier. S’ils savaient ! Dès que je rentre chez moi, le rituel commence : j’allume l’ordinateur et je me lance à corps perdu dans la consommation de porno. Je ne peux pas m’arrêter. J’ai le sentiment de vivre ou plutôt de revivre, après ma journée de travail qui m’a semblé longue et morne. Je vais voir toujours les mêmes films, et j’y passe des heures entières. Le temps n’existe plus ! Je peux commencer à 18 heures et découvrir qu’il est déjà minuit en regardant ma montre ! C’est très chronophage, et ça m’empêche de vivre ce que je voudrais !
Quand tu “pulsionnes”, plus rien n’existe ! C’est pour ça que c’est si difficile de s’en sortir. Je n’ai pas de petite amie, je n’ai pas de vie sociale (sauf mon travail) et je n’ai aucun loisir. Pas de sport, rien. Tous les soirs c’est Internet et porno. Je ne sais faire que ça. Lorsque je me masturbe, lorsque je suis excité et que je ressens cette sensation incroyable à l’arrière de mon cerveau, cette décharge d’adrénaline, je sais que je suis vivant, que je tiens debout. Le reste du temps, je me sens plutôt mort, entre parenthèses. J’aimerais arrêter, mais c’est plus fort que moi. Le problème, c’est que je souffre de cette dépendance et de mon isolement, et je sais que ça ne pourra plus durer longtemps comme ça. Tout seul je sais que je n’y arriverai pas, alors je pense sérieusement à aller voir un spécialiste. On verra plus tard pour les groupes de parole, je veux d’abord en parler à quelqu’un et me sentir capable d’affronter le regard des autres. »


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Remarquez si vous pensez très rarement au sexe. Réfléchissez à la fréquence à laquelle vous avez des pensées d'ordre sexuel et combien de temps celles-ci durent. En tant que personne asexuelle, vous pourriez en effet remarquer que le sexe ne présente pas d'intérêt pour vous. Des jours, des semaines ou même des années pourraient s'écouler sans que vous ayez de pensées sexuelles  [1]
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