Il est marié mais il s'amuse avec deux autres femmes

Il est marié mais il s'amuse avec deux autres femmes




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Il est marié mais il s'amuse avec deux autres femmes
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles.


Je souhaite recevoir des offres du site et ses partenaires

























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

C’est parfois les enfants qui font le lien, parfois juste les souvenirs communs, souvent la tendresse, le respect, la complicité… Trois femmes racontent comment d’un couple devenu impossible, elles sont passées à un duo fort et serein.
Questions à l'expert : Tout savoir sur l'attirance
Ils se détestaient, maintenant ils s'aiment profondément
En couple, notre santé mentale "se synchronise" avec celle de notre partenaire
Elles ont pris un amant (beaucoup) plus jeune
Pas peur de souffrir, elles ont renoncé à l'amour
L'ultimatum amoureux, un coup de poker risqué pour l'avenir du couple
Je suis tombée amoureuse de mon meilleur ami
Quels sont les ingrédients indispensables au bonheur en couple ?
Peut-on vraiment tout quitter par amour ?
Lequel de ces cinq profils de couple formez-vous ?
Pouvez-vous avoir confiance en lui ?
Sans sexe, le couple peut-il survivre ?
Compatibilité amoureuse : y a t-il un secret pour bien s'entendre ?

J espère que le mari trompé à une maîtresse. Comment peut-on vivre une relation seine en étant amoureuse de son ex? Vous allez dire que c'est dans l'air du temps, qu 'il faut vivre ainsi dans notre société...et blablabla. Il est vrai quels plaisirs d'être dans les bras d'un autre ou une autre...et pourquoi? Mieux vaut vivre seul et être en accord avec soi-même que de vivre dans une relation amoureuse trompée...peur de la solitude..du vide...en pour complaisance matérielle ou financière?
Je suis un homme célibataire et mon ex(en couple) vient régulièrement se faire culbuter. Elle me dit : C'est de cette façon que je profite de la vie...tu es mon soutient..tu es mon plus grand amour...alors je comprends votre situation.
Perso je suis comblé de ne plus être avec cette femme :)

Oui je trompe mon Mari en couchant avec mon ex dans une petite chambre mais c'est merveilleux ! Non mais serieux cest grave

Entièrement d'accord avec certains commentaires sur l'individualisme et l'égoïsme. Une société dans laquelle l'individu reste essentiellement tourné vers lui (avec comme illustration flagrante le nombre incalculable de selfies qui tournent sur les réseaux sociaux) est une société malade.

Nombreuses sont les personnes à avoir une liste interminable d'attentes et d'exigences auxquelles l'autre doit se soumettre pour trouver grâce à leurs yeux, une liste aussi importante qu'est faible le nombre de concessions qu'elles-mêmes sont prêtes à faire dans le couple. La plupart d'entre nous savent très bien "ce qu'ils veulent et ce qu'ils ne veulent plus" (cette simple formule, devenue un mème redoutable en quelques années, me semble plus parlante que toutes les explications du monde), mais combien se sont déjà posés la question : "Et moi, que suis-je capable de donner ?".



Le problème c´est que la plupart des mère de cette génération élèvent des filles qui deviennent des adultes très égocentriques, se trouvent des hommes à leurs pieds, qui doivent se faire traiter comme des serpillères et tout payer. Ensuite elle se laissent et au non du dévelepement personnel divorcent. Elles exigent une bonne pension alimentaire, la maison etc.. en même temps il faut que l´ex deviennent encore le complice, le meilleur ami mais plus de sexe. Bref, messieurs, soyez plus naif, chercher bien et trouvez la bonne personne! fuyez les narcissiques sinon c´est perpétuité ;-)

"J'avais l'impression de me renier..." qu'elles disent...
C'est l'ère de l'individualisme et de l'égoïsme. Vivre à deux suppose des compromis et un travail parce que l'amour tout seul ne fait pas tout. Nous n'acceptons plus ce travail alors nous divorçons. Il faut se centrer sur soi, vous comprenez, donc ni le temps ni l'envie de s'occuper de l'autre et d'essayer de le comprendre... Vive le kleenex.
Nos enfants commenteront lorsqu'ils seront en âge de le faire.
Merci à Marie-Claire et aux sociologues et autres psychologues du système pour légitimer l'égoïsme ambiant avec des petits articles expliquant que c'est normal de le faire parce que c'est dans l'ère du temps...
Ne changez rien, tout est parfait !
Nos partenaires et nous utilisons des données non sensibles comme des cookies ou des identifiants électroniques pour afficher des publicités personnalisées, mesurer le nombre de visiteurs ou encore adapter notre contenu.
Cliquez sur le bouton pour donner votre consentement à ces opérations et profiter d'une expérience personnalisée. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site.
“Je ne me suis jamais sentie aussi proche de Paul que depuis que nous nous sommes quittés”, lance Charlotte 35 ans. Pour la trentenaire, le divorce a permis à ses ex de devenir plus complices, et plus légers aussi, débarrassés de la peur de faire foirer leur couple. “Nous ne sommes plus ensemble mais nous nous aimons toujours, et sans doute pour de meilleures raisons”, ajoute-t-elle.
Ces quelques mots de Charlotte résument bien les choses : une rupture amoureuse n’est pas toujours synonyme de la fin des sentiments. Parfois, c’est une métamorphose. Les ex débutent alors une relation plus sereine, plus adaptée que celle du couple. Avec des sentiments nouveaux et inclassables : complicité fraternelle pour les uns, amitié amoureuse pour d’autres, solidarité parentale, liens charnels libérés du quotidien…
“Il y a des partenaires de vie qui le restent, même s’il ne s’agit plus de la même vie”, explique la psychanalyste Sophie Cadalen*. Une séparation peut être riche, à condition que l’histoire ait été respectable, car on se sépare souvent comme on s’est aimés. Aussi, il faut parvenir à être au clair avec soi-même. “Beaucoup de ruptures sont encore polluées par le fait qu’on reste aliéné à l’autre, qu’on le considère comme fautif de l’échec de la relation”, ajoute la spécialiste. “Mais se séparer est moins compliqué qu’avant, et même si on n’est plus ensemble dans le couple, on fait toujours couple”, explique-t-elle.
L’ex, quand il n’est plus considéré comme un ennemi, permet de relier le passé au présent. Il devient un repère, le témoin de notre existence. “Et à une époque où on peut se permettre de cumuler plusieurs vies, ce “ compagnonnage ” prend tout son sens… Quitte à déranger l’entourage, qui juge souvent suspects ces duos insolites”, renchérit Sophie Cadalen.
Une séparation peut être riche, à condition que l’histoire ait été respectable, car on se sépare souvent comme on s’est aimés
“On est encore trop souvent dans un raisonnement binaire, commente-t-elle. Il faut en sortir. On reproche à ces binômes de remettre en question l’idée qu’on se fait du couple, on ne peut pas les inscrire dans un tableau. Cet aspect simplificateur de la norme rassure, on voudrait conserver quelques petites certitudes.” Mais rien de moins certain que le couple. Rien de moins figé et réductible à une norme. Comme le prouvent par exemple ces trois femmes qui ont fait de leur ex un partenaire à part entière de leur présent et qui ont accepter de partager leur histoire.
La première, Marion est séparée de Vincent depuis 10 ans déjà. A 45 ans, elle revient sur cette rupture. “Avec Vincent, ce n’est pas parce qu’on ne s’aimait plus qu’on s’est séparés. Il a toujours su que je ne voulais pas d’enfant, et au début lui-même ne tenait pas à devenir père. Mais c’est en perdant son frère dans un accident de voiture qu’il s’est mis à ressentir le besoin viscéral d’assurer la lignée de la famille”, raconte-t-elle. Mais pour elle, hors de question de se trahir en devenant mère alors qu’elle n’en avait pas envie. Elle a aussitôt compris que leur histoire était condamnée et après six ans de vie commune, ils ont décidé de mettre fin à leur couple.
Notre correspondance est aujourd’hui notre jardin secret. Je suis une sorte de maîtresse platonique. Nous ne sommes pas un couple mais un binôme.
Même si elle était sûre de ce choix, elle ne peut s’empêcher de culpabiliser de ne pas pouvoir combler l’homme qu’elle aimait. Finalement, Vincent se vite recase, avec une amie qui avait toujours été plus ou moins amoureuse de lui. “Je suis allée à leur mariage avec le sentiment d’assister à la vie que je nous avais refusée. Leur fils est né presque neuf mois plus tard, Vincent était fou de joie. Je savais qu’il réalisait son rêve, et j’étais heureuse pour lui”, continue Marion, qui de son côté, a du mal à s’autoriser à profiter de cette nouvelle liberté.
Et puis un jour, Vincent lui écrit. Un mail bref mais si tendre, qui aide la jeune femme à se réconcilier avec elle-même. “Notre correspondance est aujourd’hui notre jardin secret. Je suis une sorte de maîtresse platonique . Nous ne sommes pas un couple mais un binôme. Je suis devenue le témoin de sa vie. C’est à moi qu’il confie ses fragilités, il sait qu’entre nous il y a une liberté de parole absolue”, confie-t-elle en souriant. Dix ans après cette rupture, Marion ne regrette rien. Elle voyage, elle peint. “Je vis des histoires plus ou moins réussies, mais Vincent reste mon grand amour. Je suis fière d’avoir connu ça, quand d’autres passeront à côté de l’amour toute leur existence… Notre lien a survécu à la rupture, plus rien ne peut désormais nous atteindre”, conclut-elle.
Aude, 39 ans et mère de deux enfants, s’est séparée de Bruno il y a sept ans déjà. “Bruno, c’est mon alter ego. On se connaît par cœur, il termine mes phrases et est le premier à anticiper mes coups de blues. Lorsque je l’ai quitté, il y a sept ans, j’ai dû endosser le rôle de la méchante, celle qui brisait ce couple que tout le monde nous enviait”, résume-t-elle, un peu pensive. Ce qui a poussé la trentenaire à la rupture à l’époque, c’est la volonté de se protéger et de protéger celui qu’elle aimait tant. “On était devenus incompatibles”, lache-t-elle. “Nous ne regardions plus l’avenir avec les mêmes yeux. Lui voulait tout planifier, épargner, nous construisant un cocon balisé et sécurisé à l’excès. Et moi, j’étouffais. J’aimais toujours cet homme, mais j’ai compris avant lui que nous ne nous faisions plus du bien”.
Et puis Bruno finit par se mettre en ménage avec Sophie, qui comprend vite la place d’Aude dans la vie de son compagnon. “Elle a été formidable : elle a laissé Bruno devenir « l’ex idéal », celui qui venait me consoler lorsque j’avais un chagrin d’amour, le seul qui réussissait à m’arracher un sourire dans mes moments de déprime”, poursuit la trentenaire. Des années plus tard, l’ex-couple forme un couple parental. Certains proches trouvent leur lien presque malsain, d’autres pensent qu’ils finiront par se remettre ensemble. “Je crois que notre lien dérange car on s’entend mieux que beaucoup de couples”, s’amuse Aude. La rupture n’a pas tué leur amour, bien au contraire. Elle lui a permis de se transformer et, surtout, de ne pas s’abîmer. “Bruno est la famille que je me suis choisie. C’est une chance inestimable de l’avoir dans ma vie”, conclut-elle.
A 37 ans, Marie est maman d’un enfant. Elle s’est séparée de Diego, le père de son fils, depuis 5 ans, et pourtant il fait toujours partie de sa vie. “Je me dis souvent que Diego c’est l’ex de ma vie. Il est là, toujours dans mes pensées, même lorsqu’il est absent. On a essayé mille fois de vivre ensemble et de faire durer cette électricité qui passe entre nous”, raconte-t-elle. Mais rien n’y fait, et les disputes l’emportent sur leurs sentiments. “On s’attire, on s’aimante, on s’adore mais on se fait du mal. Il a fallu beaucoup de souffrances et de temps gaspillé à se déchirer avant d’en arriver à cette conclusion. Et de cesser de s’entêter à former un couple comme les autres”, poursuit-elle.
On dit que les contraires s’attirent , c’est sans doute un peu ce qui pourrait résumer cette histoire d’amour. Mais il ne s’agit pas juste d’une passion destructrice. Car il y a aussi beaucoup d’humour et de tendresse entre eux. “On s’estime et on se respecte, on ressent une vraie bienveillance réciproque. Mais, au quotidien, ça ne fonctionne pas”, lance Marie.
“Aujourd’hui, je sais que Diego et moi ne sommes pas faits l’un pour l’autre, mais cette incompatibilité n’empêche pas les sentiments”, continue-t-elle. “C’est un lien à part et très pur, qui ne nous interdit rien. Je suis heureuse dans ma vie, j’aime mon mari et mon fils, je ne me sens ni frustrée ni dans le fantasme d’un amour passé. Diego réapparaît par intermittence. Un SMS s’affiche, qui sonne l’heure des retrouvailles. [...] C’est une sorte de parenthèse secrète et sans conséquences, un instant de bonheur volé, rien qu’à nous, hors du temps, hors de tout”, conclut-elle.
(*) Auteure d’« Inventer son couple,Préserver le désir au quotidien », éd. Eyrolles.
Article et témoignages publiés initialement dans le magazine Marie Claire, mai 2012 - réédité en mai 2019
Toute l'actu Marie Claire, directement dans votre boîte mail

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à des informations personnelles comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur "En savoir plus" ou dans notre politique de confidentialité sur ce site.
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal


Mode


Actualité


Beauté


Astro


Minceur


Culture


Equilibre


Famille


Newsletter


B&P


Codes promo



Les champs marqués d'un * sont obligatoires.
Avec une façon unique de défricher les tendances, le magazine marie france et mariefrance.fr s'adressent à toutes les femmes d'aujourd'hui. Comme elles, marie france et mariefrance.fr s'intéressent aussi bien à la beauté, la mode, la santé/forme, la psycho, qu'à la culture, la déco, la cuisine ou l'évasion. Conseils, proximité, sincérité, marie france et mariefrance.fr posent un regard vrai sur la société contemporaine.
Pourquoi les hommes sont-ils infidèles ? Comment peuvent-ils aduler et trahir ? Forte de son expérience de femme et de psychologue, Maryse Vaillant avait répondu à Marie France avant de disparaître. Et, comme toujours, ses réponses valaient le détour. Prêtes à encaisser la vérité ?
marie france : Selon vous, il est plus facile d’être une femme fidèle que d’être un homme fidèle. Pourquoi ?
Maryse Vaillant* : Contrairement à nous qui résistons souvent à la tentation de l’adultère du fait de notre construction psychologique et de notre éducation, la fidélité est un défi pour les hommes . La raison tient au fait que, même s’ils essaient de rester dans le rang, ils sont si souvent habités par la crainte de ne pas être viril qu’ils ont du mal à se calmer. C’est un peu comme s’ils avaient en permanence besoin de se rassurer.
Estimer que les femmes sont « naturellement » fidèles, n’est-ce pas un peu simpliste ?
Je suis persuadée qu’il y a dans le mot « femme » et dans le mot « fidélité » une espèce d’accord implicite, une harmonie secrète. J’assume d’autant plus ce discours que, issue de la génération soixante-huitarde, j’ai moi-même voulu goûter à la liberté des hommes en privilégiant très longtemps le désir. Mais c’est un fait, et ma pratique clinique me le confirme : alors que les femmes ont du mal à tromper, notamment par culpabilité, les hommes , eux, ont souvent du mal à se satisfaire d’une seule femme.
À quoi est dû ce besoin d’infidélité ?
Il tient à deux raisons: la spécificité de leur construction identitaire et le parcours de vie de propre à chacun. Entre donc en jeu une histoire de « genre » – c’est-à-dire un rapport particulier au désir et à la peur de la castration – qui amène nombre d’entre eux à s’imaginer que « les vrais hommes ne s’attachent pas et ne sont jamais dépendants ». Mais aussi l’histoire personnelle de chacun, à savoir le lien établi avec la mère, le père, les bandes de copains… Ainsi, il n’est pas rare que, s’étant sentis soumis ou humiliés durant l’enfance ou l’adolescence, certains tentent, à l’âge adulte, de se s’approprier une virilité en collectionnant les aventures.
Rester fidèle est donc un défi pour chacun d’entre eux ?
Je crois que les hommes peuvent être fidèles sur le tard, lorsqu’ils sont devenus vraiment eux-mêmes, qu’ils se connaissent bien et ne cherchent plus à démontrer quoi que ce soit. Mais tant qu’ils sont habités par la peur de perdre, le besoin de paraître ou d’être devancés par les autres mâles, cela leur est extrêmement difficile.
Les hommes d’aujourd’hui sont-ils moins fidèles que ne l’étaient nos pères ? 
Non. Les hommes ont toujours trompé leur femme plus ou moins discrètement et ils continuent de la même façon. Idem en ce qui concerne la manière dont ils vivent l’adultère : il y a toujours ceux qui sont malades comme des bêtes parce qu’ils ont trompé leur femme une fois. Et ceux qui trompent à tour de bras sans éprouver la moindre culpabilité… Si l’évolution des mœurs a joué un rôle dans les histoires d’adultère, c’est surtout à la faveur des femmes. Elles s’autorisent désormais un peu plus à passer à l’acte quand, dans le passé, elles se contentaient de tromper en pensées…
Vous distinguez, deux catégories d’hommes adultères. Le premier est le monogame infidèle. Qui est-il ?
Il s’agit évidemment d’une caricature, mais il n’en reste pas moins que cette figure est assez représentative de la manière dont certains hommes vivent l’infidélité. Le monogame infidèle apparaît souvent comme un époux parfait pour son entourage. Et pour cause : il se dit amoureux de sa femme et, malgré ses aventures extraconjugales chroniques, penser au divorce est pour lui inenvisageable. Mais s’il considère le mariage comme un pacte social et généalogique fondamental, il est aussi intimement persuadé qu’avoir des liaisons est de l’ordre du normal. Non parce qu’il s’ennuie. Juste parce qu’il est nécessaire d’« agrémenter » son ordinaire pour pérenniser son couple .
Son cas est à l’opposé du précédent. Ni dragueur, ni volage, ce n’est pas un mari qui a peur de s’engager, ni de tenir sa parole. Son problème : c’est un homme qui aime l’amour et quand il aime une femme, il peut s’éprendre d’une autre tout en continuant d’aimer la première. Il s’agit donc d’un homme à fidélités multiples.
Il peut donc aimer et tromper à la fois…
Effectivement. Il ne trompe pas parce qu’il a cessé d’aimer ou parce qu’il est insatisfait. Sa polygamie est, au contraire, le résultat de son besoin d’aimer. Quant à son incapacité à quitter, elle est le signe de sa peur de rompre.
À vous lire, si la fidélité est une exception, elle est aussi très souvent pathologique…
Disons que je me méfie des fidélités contraintes, c’est-à-dire des hommes qui ne trompent pas parce qu’ils sont captifs de leur histoire familiale, de leur structure et de leur caractère. Ainsi, certains parlent de la fidélité comme d’une éthique. Or, refouler sa libido et ses pulsions parce qu’on est pris dans un carcan moral est à l’origine de bien des violences et névroses : le « devoir » a conduit, et conduit encore, de nom
La dernière leçon de cette salope aux gros nibards
Je me laisse enculer et filmer
Je me laisse enculer et filmer

Report Page