Il es temps pour eux de bien se troncher

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Traduction temps pour eux de partir | Dictionnaire Français-Espagnol


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Il est temps pour eux de partir , et pour nous de rectifier les dommages qu'ils ont infligés à votre planète.
Ya es hora de que se vayan , y así nosotros podemos rectificar el daño que han hecho en su planeta.
Il est temps pour eux de partir et de permettre à l'humanité de se réaffirmer, ensuite d'instaurer un nouveau système bancaire et un nouveau gouvernement qui apportera l'égalité, quelle que soit la race ou la religion.
Es hora de que se vayan y permitan a la humanidad revalorizar todo para luego de establecer un nuevo sistema en la banca y el gobierno que traerá la igualdad, sin distinción de raza o credo.
Nous devons réaffirmer notre message aux dirigeants militaires : il est maintenant temps pour eux de partir .
Debemos reafirmar nuestro mensaje a los dirigentes militares, de que ya es hora de partir .
Quand la maman décide qu'il est temps pour eux de partir .
¿Cuando la mamá decide que es hora de que dejen el hogar ?


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par Djinnzz ·
Publication 24 novembre 2016 · Mis à jour 24 novembre 2016
Malgré les nouveaux concepts qu’on avait tentés ces derniers temps pour relancer l’audience, les statistiques du site stagnaient à un niveau médiocre, et l’ambiance au sein du comité de rédaction était devenue exécrable. À bien y réfléchir, en fait, l’expression « comité de rédaction » était peut-être un peu exagérée… Nous n’étions que trois: mes deux compères, que je surnommais affectueusement Tic et Tac, et moi. Que l’un de de nous abandonne le projet, et c’était l’avenir du blog qui était compromis.
Ce matin-là, nous devions nous voir pour en discuter. Cette réunion était donc capitale: il fallait absolument trouver une solution pour nous remotiver, et vite.
– Il faut qu’on trouve quelque chose, là.
Là, c’était moi qui avais pris la parole. Aussitôt, un silence de plomb s’installa dans la pièce. J’attendis patiemment que quelqu’un prenne la parole. Ce fut Tic qui rompit le silence. Puis Tac. Et encore Tic. Les langues se déliaient, c’était plutôt bon signe.
– Mais on a tout essayé! On a fait dans l’humoristique, dans le sérieux, dans la parodie. Rien ne marche, putain. Les gens aiment regarder des vidéos de chatons, pas lire des articles à rallonge sur Judas , sur les poètes maudits ou sur la fontaine Saint-Michel ! – Mais oui, c’est quand même pas compliqué à comprendre! Si la culture marchait, tout le monde en ferait, tu crois pas? – Et puis ce putain de blog nous rapporte pas une thune… Je suis à deux doigts de tout laisser tomber.
– Mais l’argent, on s’en tape, fis-je de mon air le plus convaincant possible. Ce qui compte c’est d’écrire du contenu de qualité, de faire réagir les gens, de niveler par le haut, de… – Attends, t’es sérieux, là? Tu crois vraiment qu’on se casse le cul à écrire trois heures par jour pour être lu par trois pékins qui sont arrivés sur le site par hasard?
Merde. Trouver quelque chose avant que tout parte en couille.
– Trois pékins… t’y vas fort… 5.000 visiteurs par jour, c’est pas si mal. Et puis on a lancé une campagne Tipeee … Avec un peu de patience, ça va finir par marcher… Et puis… il faut que je vous dise…
Tic et Tac braquèrent leurs yeux sur moi. Fallait pas que je loupe ma sortie.
Cette idée qui me semblait merveilleuse il y a quelques minutes encore me semblait devenue tout à coup la plus grosse bouse jamais sortie de mon esprit. Mais bon, j’avais plus le choix.
– On résumerait tous les grands classiques de la littérature. Madame Bovary , le Père Goriot , Les Misérables ,… vous voyez le topo. Les gens n’auraient plus à se casser le cul à lire des bouquins entiers. Ils liraient notre résumé, et bim! ils pourraient ensuite briller en société. C’est pile dans notre concept de base: « étale ta culture ».
Je fis une petite pause avant de poursuivre:
Je parcourus mon assemblée du regard, à la recherche d’un peu de soutien. Que dalle, mes deux compères tapotaient sur leur téléphone, histoire de bien montrer à quel point ils trouvaient mon idée complètement naze. C’était pas le moment de lâcher l’affaire. De toute façon, je n’avais aucune autre idée en stock.
– J’ai déjà préparé un truc sur Madame Bovary , histoire que vous vous rendiez compte de ce que ça pourrait donner.
Je sortis mon papier de ma sacoche, me raclai la gorge et commençai la lecture:
« Dès la première page du livre, nous faisons la connaissance de Charles Bovary, un ado assez terne et mal dans sa peau. Il n’a aucun ami et ses camarades passent leur temps à se moquer de lui. Ah ! Dures lois de la jeunesse ! Si encore Charles était brillant en études… mais ce n’est pas du tout le cas: il traîne péniblement ses guêtres en fac de médecine, et finit par arracher de justesse son diplôme de médecin. Le voilà devenu « petit » médecin de campagne à Tostes, un village normand, sans carrure et sans ambition. »
C’était Tic, que je n’avais jamais vu autant énervé.
– Ben non, pourquoi? – Il est où le fun? C’est chiant à mourir ton truc. – Mais non, attends un peu, il faut bien que l’ambiance s’installe petit à petit… Et puis on pourra agrémenter le tout par des dessins marrants… Attends, je continue.
« Un beau jour, Charles rencontre Emma Rouault. C’est le coup de foudre, ils se marient: Emma devient Madame Bovary. C’est maintenant que les problèmes commencent… Car Charles et Emma ne sont pas du tout sur la même longueur d’onde : elle rêve d’un amour idéalisé, de ceux que l’on trouve dans les livres. Lui se contente de sa petite vie étriquée, il est entièrement comblé par la présence au quotidien de son épouse. Malaise. »
– Ah, c’est sûr, l’ambiance, elle s’installe vraiment petit à petit, là. Tu nous réveilles quand t’as fini?
La parole de trop. J’éclatai de colère.
– Putain, vous commencez à me saoûler, tous les deux. J’me barre, faites ce que vous voulez.
Je ponctuai ma phrase en claquant violemment la porte, et sortis fumer une clope pour me détendre. Un peu de fumée salvatrice dans les poumons plus tard, je retournai dans mon bureau où je relus mon texte. C’était pas si mal que ça, pourtant. Mais bon, ils voulaient du fun? J’allais leur en donner, du « fun ». J’ouvris un nouveau document Word et commençai à écrire frénétiquement:
Un soir, Emma Bovary est invitée chez le marquis d’Andervilliers. Elle découvre un univers fastueux qui l’enchante… Voilà la vie qu’elle souhaite mener! Donner du « Madame la Marquise », ou du « Monsieur le Baron ». Bouffer des truffes et du caviar à s’en faire péter la rate. Danser la valse avec des hommes ravissants et bien éduqués… Emma est en train de vivre la plus belle soirée de toute sa vie.
Mais bientôt, minuit sonne: le carrosse se transforme en citrouille… et il faut songer à rentrer chez soi. Inutile de laisser traîner une de ses godasses par terre, dans la vraie vie, Emma le sait, aucun prince charmant ne chercherait à la retrouver… Le retour au bercail est difficile:
Quand ils arrivèrent chez eux, le dîner n’était point prêt. Madame s’emporta. Nastasie [la bonne, ndlr] répondit insolemment. (…) Il y avait pour dîner de la soupe à l’oignon, avec un morceau de veau à l’oseille.
Le contraste entre ce qu’elle est et ce qu’elle aimerait être est douloureux… Au final, cette soirée n’aura servi qu’à retourner le ciboulot d’Emma, qui désespère maintenant de sa vie de petite bourgeoise de village…
Que faire? Pour oublier sa petite vie minable (ou du moins sa vie qu’elle considère comme minable), elle se plonge dans la littérature. Balzac, Eugène Sue… Elle lit beaucoup, parle peu. Bref, Emma s’emmerde à en crever.
Même si elle n’a plus aucune affection pour son mari, elle remplit tout de même de temps en temps son devoir conjugal. Crac boum, quelques mois plus tard, elle tombe enceinte. Ô, joie divine! Ô, chair de ma chair! Un enfant, c’est ce qu’il y a de plus beau, sans doute le meilleur remède à la neurasthénie. Emma va-t-elle remonter la pente pour autant? Non, que dalle.
Déjà, elle voulait un garçon, et elle a une petite fille. Dur à encaisser.
Puis vient le choix du prénom de l’enfant:
Elle avait entendu la marquise appeler Berthe une jeune femme ; dès lors ce nom-là fut choisi.
Eh oui, même plusieurs mois plus tard, le souvenir de ce fameux bal la hante encore… jusqu’à choisir le prénom de sa petite fille selon un lointain souvenir. Quand la petite Berthe grandira, peut-être Emma se prendra-t-elle d’affection pour elle? Non, rien de rien! Pas un baiser, pas un geste tendre, rien.
La petite Berthe essayait de se rapprocher de sa mère, pour lui saisir, par le bout, les rubans de son tablier. – Laisse-moi ! dit celle-ci, en l’écartant avec la main. La petite fille bientôt revint plus près encore, contre ses genoux. (…) – Laisse-moi ! répéta la jeune femme tout irritée. Sa figure épouvanta l’enfant, qui se mit à crier. – Eh ! laisse-moi donc ! fit-elle en la repoussant du coude, et Berthe alla tomber au pied de la commode, contre la patère de cuivre ; elle s’y coupa la joue, le sang sortit.
Et puis, vint ce jour où Emma trouva enfin un peu de réconfort en la personne de Léon Dupuis. Léon, il est clerc de notaire. Rien de bien folichon, a priori . Mais, tout comme elle, il s’ennuie à en crever dans sa petite vie rurale et lit beaucoup de romans romantiques pour s’évader…
– Comme je m’ennuie! se disait-il, comme je m’ennuie!
Forcément, ça les rapproche. Un amour, d’abord platonique, s’installe entre eux. Mais le platonique, ça va bien deux minutes: Léon aimerait bien passer aux choses sérieuses. Il presse (un peu) Emma qui prend son air offusqué et joue le rôle de l’épouse modèle dévouée. Léon comprend que Dame Bovary ne sait pas ce qu’elle veut… et se barre reprendre des études de droit à Paris.
Madame Bovary se retrouve de nouveau seule, dans son petit village paumé.
L’aurait-elle deviné? Son salut passe par une foire agricole. Alors qu’elle s’y traîne, le cœur en berne, elle fait la rencontre de Rodolphe Boulanger. Ah, qu’il est beau, ce Rodolphe! Et surtout, qu’il est riche! Elle se laisse séduire assez facilement et les deux tourtereaux vivent une liaison passionnée, sans prendre énormément de précaution pour cacher leur émoi. C’est bien simple, dans le village, seul le mari cocu ne se doute de rien… Il faut dire qu’il ne s’est pas arrangé en vieillissant, le pauvre Charles Bovary. Toujours un peu benêt, toujours aussi mauvais médecin, toujours amoureux transi de sa femme. Pauvre vieux, on ne le refera plus.
L’amour que porte Emma à Rodolphe est incommensurable. MAIS… L’amour que Rodolphe porte à Emma est… disons… un peu moins fort…
Elle devenait bien sentimentale. Il avait fallu échanger des miniatures, on s’était coupé des poignées de cheveux, et elle demandait à présent une bague, un véritable anneau de mariage, en signe d’alliance éternelle.
Mais elle était si jolie! il en avait possédé si peu d’une candeur pareille!
Tout est dit. Pour Rodolphe, Emma est jolie, mais elle est chiante.
Jusqu’au jour où Emma, toujours folle amoureuse, demande à Rodolphe qu’ils s’enfuient ensemble en Italie. Quoi, sa fille Berthe? Ah oui, c’est vrai, elle l’avait oubliée, celle-là. Bon, bah… ils n’auront qu’à la prendre avec eux, et puis c’est tout. Rodolphe accepte du bout des lèvres, et les deux amants planifient leur départ pour le mois suivant. Elle est aux anges! Enfin elle va vivre une vie excitante avec un homme riche qui la chérira…
La veille du départ, pourtant, le couperet tombe: Rodolphe fait parvenir une lettre de rupture à sa douce… (on ne l’avait pas DU TOUT vu venir, celle-là!)
Je serai loin quand vous lirez ces tristes lignes ; car j’ai voulu m’enfuir au plus vite afin d’éviter la tentation de vous revoir. Pas de faiblesse ! Je reviendrai ; et peut-être que, plus tard, nous causerons ensemble très froidement de nos anciennes amours. Adieu !
Emma tombe malade, songe à se suicider. Charles, en difficulté financière, doit même emprunter de l’argent pour payer le traitement de son épouse. Mais peine d’amour ne dure qu’un temps… elle reprend peu à peu goût à la vie.
Au hasard d’une sortie, elle retrouve Léon, qui s’est installé à Rouen. Vous vous rappelez, l’amoureux transi qu’elle avait éconduit quelque temps plus tôt? Cette fois, Emma ne le repousse plus et ils s’engagent tous les deux dans une liaison passionnée. Elle se relance à cœur perdu, une nouvelle fois, dans un amour idéalisé. Les cornes de son mari Charles, elles, grandissent un peu plus…
Vivre une histoire d’amour ne lui suffit plus, à Emma. Elle veut maintenant mener la grande vie. Elle emprunte de l’argent à des taux exorbitants à M. Lheureux, le marchand d’étoffe, usurier à ses heures perdues. Las! Le parfait amour qu’elle file avec Léon ne dure qu’un temps. Bientôt, les deux amants s’ennuient… Emma, pour pousser Léon à la quitter, se fait de plus en plus garce avec lui.
À vrai dire, quand les huissiers sonnent à sa porte, sa relation avec Léon devient absolument secondaire: Lheureux veut faire saisir tous les biens du couple pour compenser ses dettes. Charles n’est pas encore au courant: il reste encore un peu de temps à Madame Bovary pour régler la situation. Vite, vite, vite, elle doit réunir suffisamment d’argent pour rembourser son créancier.
Elle appelle Léon, d’abord. Puis un peu tous les hommes d’affaires de la ville, qu’elle connaît de près ou de loin. Sans résultat.
Tout à coup elle se frappa le front, poussa un cri, car le souvenir de Rodolphe, comme un grand éclair dans une nuit sombre, lui avait passé dans l’âme. Il était si bon, si délicat, si généreux! Et, d’ailleurs, s’il hésitait à lui rendre ce service, elle saurait bien l’y contraindre en rappelant d’un seul clin d’œil leur amour perdu.
Elle joue donc sa dernière carte: elle propose de s’offrir à Rodolphe, son beau beau Rodolphe qu’elle a tant aimé, s’il lui donne de l’argent. Rodolphe est horrifié, il refuse.
– Ah! pardonne-moi! tu es la seule qui me plaise. J’ai été imbécile et méchant! Je t’aime, je t’aimerai toujours. Qu’as-tu? dis-le donc! Il s’agenouillait. – Eh bien!… je suis ruinée, Rodolphe! Tu vas me prêter trois mille francs! – Ah! pensa Rodolphe, qui devint très pâle tout à coup, c’est pour cela qu’elle est venue! Enfin il dit d’un air calme : – Je ne les ai pas, chère madame. Il ne mentait point. Il les eût eus qu’il les aurait donnés, sans doute (…) – Tu ne les as pas! Elle répéta plusieurs fois: Tu ne les as pas! J’aurais dû m’épargner cette dernière honte. Tu ne m’as jamais aimée! Tu ne vaux pas mieux que les autres! Elle se trahissait, elle se perdait. Rodolphe l’interrompit, affirmant qu’il se trouvait « gêné » lui-même.
Poussée à bout, humiliée, Emma rentre chez elle et absorbe de l’arsenic. Elle meurt dans de terribles souffrances sous les yeux horrifiés et impuissants de son mari.
Devenu veuf avant l’âge, le pauvre Charles tente de survivre lui-même à cette épreuve. Ruiné, désemparé, il idéalise la mémoire de sa défunte épouse et se raccroche aux souvenirs heureux qu’ils ont partagé. Que lui reste-t-il d’autre, de toute façon? Jusqu’à ce jour, ce funeste jour, où il découvre les lettres de Rodolphe et de Léon.
Il sentit sous sa pantoufle une boulette de papier fin. Il l’ouvrit et il lut: « Du courage, Emma! du courage! Je ne veux pas faire le malheur de votre existence. » C’était la lettre de Rodolphe, tombée à terre entre des caisses, qui était restée là, et que le vent de la lucarne venait de pousser vers la porte. Et Charles demeura tout immobile et béant à cette même place où jadis, encore plus pâle que lui, Emma, désespérée, avait voulu mourir.
Enfin confronté à la dure réalité, Charles Bovary meurt de chagrin, seul, dans son jardin. La petite Berthe trouvera le corps sans vie de son papa le lendemain.
« – C’est la faute de la fatalité ! » furent les dernières paroles qu’il prononça.
Il était 10 heures du soir quand j’apportai le point final à mon texte. Me replonger dans ce livre si poignant de Flaubert m’avait complètement bouleversé. Ce pauvre homme qui mourait de chagrin… Était-il vraiment possible de mourir de chagrin, pensai-je? Oui, sans aucun doute.
Je lus une dernière fois mon article, puis l’envoyai par mail à Tic et Tac avec un petit mot d’accompagnement.
« J’ai retouché l’article sur Madame Bovary, pour le rendre plus fun, comme vous le vouliez. J’ai même mis des hashtags haha. J’espère que ça vous plaira. Bon, et désolé pour tout à l’heure, j’étais un peu à cran. A demain les gars »
Puis, j’éteignis mon ordinateur et je rentrai chez moi.
Je m’endormis rapidement et ne me réveillai qu’en fin de matinée, avec un mal de crâne épouvantable. J’ouvris ma boite mails. Aucune réponse, ni de Tic, ni de Tac. Bizarre. J’avalai deux aspirines en même temps qu’un bol de Coco Po
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