Il engage une femme de ménage mais elle finit par être son esclave sexuel

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Il engage une femme de ménage mais elle finit par être son esclave sexuel

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Elle n'a pas encore récupéré les 11 kg qu'elle a perdus l'an dernier. Mais elle va mieux. Tellement mieux que Sophie* éprouve « l'euphorie de quelqu'un qui sort de prison ». Elle sourit. « Je n'ai plus qu'une envie, c'est d'aider celles qui sont encore enfermées. »
L'histoire de cette employée de bureau de 40 ans, solide et bonne vivante de nature, n'est pas banale. Elle a vécu dix ans avec un homme charmant, a eu deux enfants avec lui, des disputes et des grands bonheursâ?¦ jusqu'au jour où elle l'a épousé, en 2008. « Il y a l'avant et l'après.
C'est D r Jekill et Mr. Hyde. Je n'ai rien compris de ce qui m'arrivait », avoue-t-elle.
«Il a d'abord commencé à s'en prendre à mon fils aîné, qui n'est pas de lui, mais ça c'était toujours bien passéâ?¦ Et là, il ne pouvait plus supporter sa présence à table. Il tournait les bols pour ne plus voir son prénom, c'était T'es un vrai petit con , C'est ça, lève la main sur moi et je te défonce . Tout ça devant nos deux autres enfants de 11 et 5 ans. »
Sophie a mis ce changement d'attitude sur le compte des soucis professionnels de son mari, chef d'entreprise, ou des travaux dans la maison qu'ils venaient d'acheterâ?¦ Et puis peu à peu, c'est elle qui est devenue « la conne », la « salope ». « La première fois qu'il m'a dit je ne supporte plus ta gueule de handicapée, j'ai eu du mal à déglutir. Je me suis demandé si j'avais bien entendu, si c'était bien l'homme que j'avais épousé devant 200 amis. »
Elle décrit un engrenage étrange d'insultes, de portes qui claquent, et d'accalmies où son mari jure qu'il n'a « jamais dit ça ». « Assez vite, il m'a soutenu que c'était moi qui débloquais, que j'avais besoin de me faire soigner. C'est terrible, de répéter à quelqu'un qu'elle est folle, on finit par douter. »
« Il a fallu que je souffre dans ma chair pour que je puisse porter plainte »
Au printemps suivant, il annonce qu'il part seul pour le week-end et lui demande de préparer ses affaires, alors que c'est l'anniversaire de leur fille. « Je me suis mise en colère, et lui s'est mis à tout casser. J'ai appelé les policiers qui l'ont raisonné au téléphone, et il est parti furieux. »
Le dimanche, redoutant son retour, incapable d'imaginer une issue à ce cauchemar, Sophie avale des cachets et se retrouve à l'hôpital. « Il est venu à mon chevet, tout gentil, pour me dire que c'était la faute de mon fils aîné. Qu'il fallait que je me débarrasse de lui et que tout serait comme avantâ?¦ » Elle attendra l'été, une énième réflexion sur son corps amaigri « tellement moche qu'on dirait que tu sors de camps de concentration » pour demander à son mari de partir. « J'espérais que ça le calmerait, qu'on se retrouverait comme avant. Mais un samedi où je lui ai amené les enfants, j'ai fait un peu de ménage pour être gentille, et il a fait une réflexion comme quoi il restait des traces, que j'étais une feignasseâ?¦ Et c'est reparti. »
Lunettes cassées, doigt écrasé dans la porteâ?¦ Cette fois, les policiers interviendront. « Finalement, c'est cette violence physique qui m'a sauvée. Il a fallu que je souffre dans ma chair pour que je puisse porter plainte. Sinon, ça aurait pu durer des années. » Ce jour-là, les policiers lui ont dit qu'elle « avait fait le plus dur ».
Mais le plus dur, assure Sophie, c'est « tout ce qu'il y a derrière à prouver, à expliquer »â?¦ Les amis interloqués, l'avocat qui temporise, le procureur dubitatif qui minimise les faits et lui demande « si ça vaut le coup d'envoyer son mari en prison ». « Il y a quinze jours, j'ai encore reçu un texto de menaces », assure Sophie, qui attend le prononcé du divorce. « Mais je tiens bon. Ma psy m'a ouvert les yeux. Je me dis que j'ai de la chance, pour moi et mes enfants, ça n'a duré qu'un an. Et je suis vivante. »
* Le prénom a été volontairement modifié.
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La femme de Schwarzenegger engage une procédure de divorce
Le 02/07/2011 à 10:09 | MAJ à 12:09
LOS ANGELES (Reuters) - La journaliste Maria Shriver a engagé vendredi une procédure de divorce d'avec son mari Arnold Schwarzenegger, acteur et...
La femme de Schwarzenegger engage une procédure de divorce
La journaliste Maria Shriver a engagé vendredi une procédure de divorce d'avec son mari Arnold Schwarzenegger, acteur et ex-gouverneur de Californie, dont elle était d'ores et déjà séparée. /Photo d'archives/REUTERS/Reed Saxon/Pool - -
LOS ANGELES (Reuters) - La journaliste Maria Shriver a engagé vendredi une procédure de divorce d'avec son mari Arnold Schwarzenegger, acteur et ex-gouverneur de Californie, dont elle était d'ores et déjà séparée.
Schwarzenegger a reconnu être le père d'un enfant né d'une relation extraconjugale.
Agée de 55 ans, Shriver appartient au clan Kennedy, étant la nièce de l'ancien président John F. Kennedy, mort assassiné en 1963. Cela fait 25 ans qu'elle est mariée à Schwarzenegger, âgé de 63 ans.
Shriver cherche à obtenir la garde alternée des deux plus jeunes enfants du couple, Patrick, qui a 17 ans, et Christopher, qui en a 13.
Jerry Norton, Eric Faye pour le service français
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Publié le 27 mars 2018 à 14:19 par La rédaction
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Payée pour venir faire le ménage chez un homme, cette très jolie fille n'est visiblement pas dotée d'une très grande conscience professionnelle. Regardez plutôt à quoi celle-ci passe ses heures de boulot…
En contrôlant dernièrement ses caméras de surveillance placées un peu partout dans sa maison, un homme s'est aperçu que sa femme de ménage n'était pas une adepte du travail acharné. Au lieu de se mettre rapidement au boulot sitôt arrivée chez lui, celle-ci préfère en effet prendre son temps et vaquer à d'autres occupations.
Alors qu'elle cassait tranquillement la croûte en se servant dans le frigo de son patron, la jolie fille a malencontreusement tâché ses vêtements. Se croyant chez elle, elle s'est alors déshabillée pour faire une lessive. Le temps que ses habits sèchent, elle s'est ensuite baladée dans toute la maison en soutien-gorge et petite culotte , en daignant tout de même passer un peu l'aspirateur et laver quelques carreaux histoire de dire qu'elle n'était pas restée inactive.
En découvrant ces images, son patron n'a pas été très content, même si la plastique parfaite de cette femme de ménage n'a pas dû le laisser insensible.

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