Il baise secrètement la femme de son meilleur ami

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Il baise secrètement la femme de son meilleur ami
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L'expression française pour ceux qui ont abusé de l'alcool n'a rien à voir avec celle des Hongrois,...
Clueless. Tel était le maître-mot des invitées au défilé Dior durant la Fashion Week de Paris....
Un régime peut ne pas être une contrainte, et il existe des astuces pour réduire les calories sans...
Sybille, 33 ans, en couple depuis 4 ans.
« Je me sens piégée. Nulle, désarmée, impuissante... Bref, depuis que Laurent a commencé à me bouder sexuellement, il y a 18 mois, je ne vais pas bien du tout. Au départ, notre vie sexuelle était pourtant agréable. Mais, progressivement, l’enthousiasme est retombé. Est-il normal de se contenter d’un rapport par mois au bout de seulement quatre années de vie commune ? Ma réponse à moi est non : je me sens terriblement frustrée. Mais selon lui, rien ne sert de s’inquiéter : « C’est comme ça dans tous le couples !», affirme-t-il. Faux : ma précédente expérience, qui a duré 6 ans, me fait dire que l’usure n’est pas la règle. Alors que nous arrive-t-il ? Pourquoi me rétorque-t-il régulièrement : « Ce n’est pas quand tu veux. Je ne suis pas à disposition » ? Qu’il avoue plutôt que je ne lui plais plus ! En fait, je me sens perdue et je n’ai plus confiance en moi.»
Sandrine, 47 ans, en couple depuis 25 ans, 3 enfants.
« Représentant, Marc rentrait crevé, et n’avait ni le temps, ni la force de se lancer dans des rapprochements physiques. En tout cas, c’est le discours qu’il me tenait quand, pendant trois ans, il a repoussé mes avances. Frustrée mais loyale, j’ai pris mon mal en patience, attendant les week-ends, les vacances, puis plus rien du tout. D’où venait le problème ? D’une autre femme, évidemment, et, quand il me l’a avoué, tout s’est éclairé. Sa manière de ne plus me regarder, de fermer les yeux dès que l’on s’allongeait… Sur le coup, la révélation a été un coup de massue qui m’a mise très colère : moi qui culpabilisais de fantasmer ailleurs, qui avais pris 10 kilos à force de douter… Pensant aux enfants et le voyant anéanti, j’ai exigé que nous suivions une thérapie de couple. Voilà huit mois que nous consultons. Pour quel résultat ? Pour un meilleur dialogue, d’abord. Décortiquer nos difficultés nous a permis de comprendre qu’elles ne dataient pas d’hier. Manque de « créativité » de mon côté, défaut de tendresse et tendance à la précipitation du sien… Parler de ce qui pesait secrètement nous a fait du bien. Quant à reprendre les ébats, nous n’en sommes pas encore là. »
Laurence, 40 ans, en couple depuis 10 ans, un enfant.
« Entretenir le désir dans son couple n’est pas une mince affaire. Je m’en étais aperçue, juste après la naissance de notre fille, il y a 8 ans. Fatigue, kilos en trop, sentiment d’être déjà comblée… J’avoue que j’avais un peu peinée à réenclencher une sexualité avec Stéphane, et il nous avait déjà fallu beaucoup parler, et ramer, pour nous retrouver sensuellement. Mais sa patience, son attention, son amour avaient fini par porter leurs fruits et, finalement, nous avions réussi à nous retrouver encore mieux qu’avant. Et puis, patatras, tout s’est de nouveau compliqué quand il a été licencié, il y a deux ans. Rester à la maison en attendant des réponses à ses candidatures a littéralement miné mon mari. Problème d’érection d’abord, puis raréfaction et disparition des rapports … À mon tour, je l’ai donc soutenu, encouragé et n’ai jamais cessé de lui dire que je l’aimais, que le problème n’était que passager. Et j’ai bien fait. Car depuis que Stéphane a retrouvé un poste, il y a six mois, nos retrouvailles intimes sont de nouveau réjouissantes.»
Anne, 44 ans, en couple depuis 22 ans, 2 enfants.
« Ayant quasiment tout découvert de la sexualité ensemble, mon conjoint et moi avons longtemps eu une belle vie amoureuse. Après en avoir « profité », nous avons fait le choix d’avoir des enfants et le bonheur a été au rendez-vous jusqu’à la naissance du second. C’est à partir de ce moment-là, il y a 10 ans, que la machine a déraillé : moins passionnés, nos rapports sont devenus moins fréquents, moins réjouissants aussi. Au point que l’un comme l’autre avons discrètement vécu des histoires parallèles… Cela a-t-il définitivement mis à mal notre amour ? C’est ce que je me demande, alors qu’il y a maintenant un an que nous n’avons plus de rapports. Notre conjugalité se résume à une cohabitation dont n’est pas absente l’estime bien sûr, mais qui ne m’épanouit pas. Que faire quand le désir n’y est plus, mais que le « confort » et la « sécurité » rendent compliquée l’idée de partir ? Se résigner ? Prendre son courage à deux mains et se séparer, en pensant aux enfants qui méritent meilleur modèle qu’un couple déglingué ? J’aimerais y voir plus clair pour cesser de me dire que le meilleur est derrière moi… »
Quand le désir disparait du couple, tout devient plus compliqué. Quatre femmes se confient sur la baisse de libido de leur mari.
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Sybille, 33 ans, en couple depuis 4 ans.
« Je me sens piégée. Nulle, désarmée, impuissante... Bref, depuis que Laurent a commencé à me bouder sexuellement, il y a 18 mois, je ne vais pas bien du tout. Au départ, notre vie sexuelle était pourtant agréable. Mais, progressivement, l’enthousiasme est retombé. Est-il normal de se contenter d’un rapport par mois au bout de seulement quatre années de vie commune ? Ma réponse à moi est non : je me sens terriblement frustrée. Mais selon lui, rien ne sert de s’inquiéter : « C’est comme ça dans tous le couples !», affirme-t-il. Faux : ma précédente expérience, qui a duré 6 ans, me fait dire que l’usure n’est pas la règle. Alors que nous arrive-t-il ? Pourquoi me rétorque-t-il régulièrement : « Ce n’est pas quand tu veux. Je ne suis pas à disposition » ? Qu’il avoue plutôt que je ne lui plais plus ! En fait, je me sens perdue et je n’ai plus confiance en moi.»
Sandrine, 47 ans, en couple depuis 25 ans, 3 enfants.
« Représentant, Marc rentrait crevé, et n’avait ni le temps, ni la force de se lancer dans des rapprochements physiques. En tout cas, c’est le discours qu’il me tenait quand, pendant trois ans, il a repoussé mes avances. Frustrée mais loyale, j’ai pris mon mal en patience, attendant les week-ends, les vacances, puis plus rien du tout. D’où venait le problème ? D’une autre femme, évidemment, et, quand il me l’a avoué, tout s’est éclairé. Sa manière de ne plus me regarder, de fermer les yeux dès que l’on s’allongeait… Sur le coup, la révélation a été un coup de massue qui m’a mise très colère : moi qui culpabilisais de fantasmer ailleurs, qui avais pris 10 kilos à force de douter… Pensant aux enfants et le voyant anéanti, j’ai exigé que nous suivions une thérapie de couple. Voilà huit mois que nous consultons. Pour quel résultat ? Pour un meilleur dialogue, d’abord. Décortiquer nos difficultés nous a permis de comprendre qu’elles ne dataient pas d’hier. Manque de « créativité » de mon côté, défaut de tendresse et tendance à la précipitation du sien… Parler de ce qui pesait secrètement nous a fait du bien. Quant à reprendre les ébats, nous n’en sommes pas encore là. »
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« Entretenir le désir dans son couple n’est pas une mince affaire. Je m’en étais aperçue, juste après la naissance de notre fille, il y a 8 ans. Fatigue, kilos en trop, sentiment d’être déjà comblée… J’avoue que j’avais un peu peinée à réenclencher une sexualité avec Stéphane, et il nous avait déjà fallu beaucoup parler, et ramer, pour nous retrouver sensuellement. Mais sa patience, son attention, son amour avaient fini par porter leurs fruits et, finalement, nous avions réussi à nous retrouver encore mieux qu’avant. Et puis, patatras, tout s’est de nouveau compliqué quand il a été licencié, il y a deux ans. Rester à la maison en attendant des réponses à ses candidatures a littéralement miné mon mari. Problème d’érection d’abord, puis raréfaction et disparition des rapports … À mon tour, je l’ai donc soutenu, encouragé et n’ai jamais cessé de lui dire que je l’aimais, que le problème n’était que passager. Et j’ai bien fait. Car depuis que Stéphane a retrouvé un poste, il y a six mois, nos retrouvailles intimes sont de nouveau réjouissantes.»
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« Ayant quasiment tout découvert de la sexualité ensemble, mon conjoint et moi avons longtemps eu une belle vie amoureuse. Après en avoir « profité », nous avons fait le choix d’avoir des enfants et le bonheur a été au rendez-vous jusqu’à la naissance du second. C’est à partir de ce moment-là, il y a 10 ans, que la machine a déraillé : moins passionnés, nos rapports sont devenus moins fréquents, moins réjouissants aussi. Au point que l’un comme l’autre avons discrètement vécu des histoires parallèles… Cela a-t-il définitivement mis à mal notre amour ? C’est ce que je me demande, alors qu’il y a maintenant un an que nous n’avons plus de rapports. Notre conjugalité se résume à une cohabitation dont n’est pas absente l’estime bien sûr, mais qui ne m’épanouit pas. Que faire quand le désir n’y est plus, mais que le « confort » et la « sécurité » rendent compliquée l’idée de partir ? Se résigner ? Prendre son courage à deux mains et se séparer, en pensant aux enfants qui méritent meilleur modèle qu’un couple déglingué ? J’aimerais y voir plus clair pour cesser de me dire que le meilleur est derrière moi… »
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