Il a plusieurs petites amies mais veut baiser la fille
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Il a plusieurs petites amies mais veut baiser la fille
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Ce sont des amoureuses capables de tout (enfin presque) pour sĂ©duire un homme. Trois femmes nous dĂ©voilent leurs stratĂ©gies plus ou moins conscientes de conquĂȘte.
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je suis contente de vous lire. J'ai rencontré un homme qui était amoureux de moi célibataire. Nous nous sommes promis le mariage. Mais il est devenu froid et s'est retiré sans motif valable que faire? Aidez moi s'il vous plait
Si c'est pour une histoire de fesses , croyez moi vous allez trouver les filles
tandis que si c'est pour du sérieux armez vous jusqu' aux dents
laisser infuser durant 6 mois je vis avec un homme qui était célibataire sans enfant comme cela pas de problÚmes éviter les ex copain ni les relances des types mariés, surtout ne pas vous compliquer la vie
soyez clair dés le début
dés le restaurant ne couchez pas de suite
ils n'aiment pas les femmes faciles
attention il peut vous tester et vis versa
Les femmes doivent se respecter par le corps tout passe par le feeling
voir plus
l'homme ne regarde que votre corps rarement il s'intéresse à votre Q.I
Tout Ă fait moi je l'ai voulu je l'ai eu
début juillet échange de photos il était pas mal
fin juillet dans mon lit
trÚs mignon mais marié , je vis en couple
donc chacun chez soi
bien dommage ce mal lĂ me plaisait bien
faut dire qu'il n'est pas beaucoup disponible
un temps avec sa fille
un temps avec sa femme
donc comme la femme n'est pas une option , et lui n'est pas ma priorité
je changé de numéro de téléphone portable
j'ai la paix
Alexia qui salut de bien haut Stéphane
Un peu perdue car j ai rencontré un homme avec qui le courant passait bien,il eest intéressé mais depuis un désaccord au téléphone il est devenu bien plus distant,je le veux mais j ai pas envie de me faire passer pr une hystérique,que dois je faire?l usure est il une solution qui pourrait fonctionner?
Avant de rencontré l'homme de ma vie ; j'étais ainsi , attentive aux garçons qui me plaisait puis ensuite je multipliai les regards , les rapprochements puis à un moment donné alors que le poisson été ferré , je l'ignorai avant de finalement me laissé séduire.
Mais la en rencontrant le 'the' homme j'ai du prendre les devants et abandonnĂ© mon cercle de copines '( dont son ex qui rabachait toujours la mĂȘme chose , il est pas intĂšressant , chiant etc ) Tout cela Ă fini par m'agacĂ© bien sĂ»r en faisant amis, amis avec lui je me suis attirĂ© les foudres de tout le monde mais je ne le regrette pas car aujourdhui cela fait deux ans et demi que nous sommes ensemble et fiancĂ©s .
Alors prendre les devants , se trouvé des points communs et proposé de partagé un dejeuner ensemble cela peut vous mené loin..en restant feminine pomponné et maquillé j'ai évité le cliché ' bonne copine' et en pretextant avoir mal aux pieds a cause des talons hauts je lui faisait touché effectivement mon mollet soi disant douloureux en prenant soin de le regardé dans les yeux.
Cela à marché et comme nous avions des points communs et que nous avions parlé pendant des jours , il ne m'a pas catalogué comme une séductrice et le reste a suivi tout naturellement..
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 La sĂ©ductrice , semblable en cela Ă son homologue masculin, est une espĂšce aussi diversifiĂ©e que polymorphe. Parfois vamp et trĂšs directe, tantĂŽt coureuse de fond (guettant sa proie dans lâombre pour mieux la plaquer contre un mur au moment opportun), elle est capable de jouer lâacharnement comme la montre, et mĂȘme de feindre lâindiffĂ©rence pour mieux parvenir Ă ses fins.
Nous en connaissons toutes au moins une qui, Ă lâusure, a rĂ©ussi Ă se faire Ă©pouser par ce type qui dâabord ne voulait pas dâelle⊠et dĂ©sormais la regarde dâun air Ă©perdu. Ou Ă passer la nuit avec le beau gosse sur lequel toutes les filles flashaient, sans ĂȘtre forcĂ©ment plus jolie que les autres. Car la sĂ©ductrice nâest pas forcĂ©ment sĂ©duisante, et câest ce qui fait son charme. Â
Sous sa couverture de femme "ordinaire", elle sommeille en fait en chacune de nous. Il suffit parfois quâon croise « lâhomme de notre vie », « le plus beau mec de la soirĂ©e » ou « le seul qui nous rĂ©siste » pour se mĂ©tamorphoser en stratĂšge de la sĂ©duction.Â
Cette mutation en lionne (ou en araignĂ©e tissant sa toile, pour les plus patientes) est intĂ©ressante Ă plus dâun titre. En sĂ©duisant, la femme brise en effet pas mal de clichĂ©s : elle cesse dâĂȘtre celle qui se laisse gentiment conter fleurette pour devenir actrice de son dĂ©sir. Elle choisit avant que dâĂȘtre choisie, et mobilise dans sa conquĂȘte des ressources aussi diversifiĂ©es que le dĂ©sir, la ruse, lâorgueil, la patience ou le mensonge.Â
Reste Ă savoir pourquoi (et, surtout, comment) on devient un jour sĂ©ductrice. RĂ©ponses avec trois femmes qui ont acceptĂ© de nous raconter leurs plus belles chasses Ă lâhomme. Et lâĂ©clairage de la « love coach », BĂ©nĂ©dicte Ann*.
Jâai rencontrĂ© Henry Ă 30 ans, lors dâune soirĂ©e. Coup de foudre immĂ©diat. PremiĂšre nuit chez moi, puis week-end sous la couette. Puis tous les soirs de la semaine⊠Mais je suis plutĂŽt mĂ©fiante, et jâavais eu quelques histoires compliquĂ©es.  Lorsquâil mâa dit quâil nâavait jamais Ă©tĂ© aussi heureux de sa vie, jâai ressenti le besoin de me protĂ©ger : je lui riais au nez chaque fois quâil devenait un peu lyrique. En mĂȘme temps, je sentais que ma « rĂ©sistance » ne lui dĂ©plaisait pas. Le mois sâest terminĂ©, et jâĂ©tais sur le point de baisser la garde lorsquâHenry mâa annoncé⊠quâil Ă©tait mariĂ© et avait une fille de 8 ans.
Jâaurais sans doute dĂ» mâen douter, mais jâai pris ça comme une claque. Il mâa affirmĂ© quâil voulait en parler Ă sa femme. Mais jâavais dĂ©jĂ vĂ©cu ce genre dâ idylle interminable avec un homme mariĂ© . Et câest sorti tout seul : je lui ai dit que moi aussi jâavais quelquâun. Je crois que jâai dit ça pour me venger et ne pas avoir lâair stupide, mais jâai rĂ©ussi mon effet : Henry Ă©tait effondrĂ©. Quand il mâa demandĂ© qui câĂ©tait, je lui ai parlĂ© dâun mec qui me tournait autour depuis quelques mois. Une semaine plus tard, nâayant pas de nouvelles dâHenry, jâai commencĂ© Ă sortir « pour de vrai » avec ce type. Un peu pour faire « payer » Henry, un peu parce que ce garçon ne me dĂ©plaisait pas, un peu, aussi, pour coller Ă lâhistoire que jâavais inventĂ©e.Â
Et puis Henry mâa rappelĂ©e, on sâest revus, et câĂ©tait toujours aussi magique. La fois dâaprĂšs, jâai refusĂ© de le voir, prĂ©textant un dĂźner avec mon mec chez des amis. En fait, je me morfondais seule chez moi. Ăa a continuĂ© comme ça pendant sept mois : dĂšs quâon se voyait on Ă©tait fous de joie⊠mais je refusais les rendez-vous une fois sur deux.
Ce nâĂ©tait pas totalement conscient de ma part, mais je me suis servie de ce garçon pour instaurer un rapport dâĂ©galitĂ© entre Henry et moi. Je souffrais car jâĂ©tais amoureuse, mais je ne montrais rien : quand je le sentais sâĂ©loigner, je prenais les devants en lui disant que mon mec commençait Ă se douter de quelque chose et quâon allait devoir arrĂȘter. Cette guerre des nerfs a portĂ© ses fruits : un soir, Henry mâa annoncĂ© quâil quittait sa femme et mâa demandĂ© dâen faire autant. Jâai attendu quâil ait dĂ©mĂ©nagĂ© avant de quitter mon « amoureux ». CâĂ©tait il y a quinze ans.Â
Henry et moi ne nous sommes plus quittĂ©s depuis, sans jamais ĂȘtre infidĂšles (enfin, je crois). Mais je ne lui ai jamais avouĂ© que je nâĂ©tais pas vraiment « prise » lorsquâil mâa rencontrĂ©e.
Le coup de la âcitadelle imprenableâ fonctionne dans 90Â % des casÂ
Ce qui est troublant dans le cas dâAude, câest quâelle conquiert son homme en sâen protĂ©geant. Par peur de souffrir, elle commence par lui taire son amour, alors que lui sâenflamme pour elle. Câest le « coup de la dragĂ©e haute », qui marche dans 90 % des cas, car les hommes adorent jouer les conquĂ©rants (Ă lâassaut de la citadelle imprenable). Là ça fonctionne Ă fond, car Henry est visiblement un chasseur. Dans un deuxiĂšme temps, Aude va inviter un tiers dans la relation amoureuse. Cette stratĂ©gie est plus risquĂ©e. Comme Henry est visiblement un compĂ©titeur nĂ©, ça marche. Mais ça peut faire fuir ceux que la compĂ©tition effraye.
Je ne mâĂ©tais jamais intĂ©ressĂ©e Ă Guillaume avant ce soir-lĂ : câĂ©tait une vague relation professionnelle, un type sympa qui ne me faisait ni chaud ni froid. Je le trouvais attachant, assez mignon mais sans plus. Et puis il y a eu ce 31 dĂ©cembre. Je nâavais aucune envie de passer la nuit seule. On Ă©tait Ă la mĂȘme fĂȘte, alors je me suis dit : pourquoi pas lui ? Comme je le savais timide (limite vieux garçon), je lui ai fait le grand jeu : regard Ă la Liz Taylor, bretelles qui tombent par mĂ©garde, sourire admiratif et danse de plus en plus rapprochĂ©e. Au bout de deux heures de ce jeu-lĂ , il restait de marbre : prĂ©venant, poli, mais visiblement pas intĂ©ressĂ©. De dĂ©pit, je suis partie avec lâun de ses copains, tout en Ă©tant persuadĂ©e que Guillaume mâapprĂ©ciait mais quâil Ă©tait trop coincĂ© pour se lancer.
Forte de cette conviction inĂ©branlable (et pourtant fondĂ©e sur rien de concret), jâai recommencĂ© Ă le draguer : de nouveau le grand jeu, lors dâune autre soirĂ©e arrosĂ©e, Ă lâissue de laquelle je parviens Ă lui prendre la main et Ă le traĂźner jusque devant chez moi. Alors que je pensais avoir rĂ©ussi Ă lâemballer, il se dĂ©file une nouvelle fois : « Câest pas du tout mon quartier, ça. Il faut que je rentre. A bientĂŽt. »
Mes copines Ă©taient mortes de rire : je nâavais visiblement aucune chance avec ce type. Mais moi, je nâen dĂ©mordais pas, dâautant que Guillaume commençait rĂ©ellement Ă me plaire : jâaimais sa bouille de gosse, son ingĂ©nuitĂ©. Et puis je lui faisais confiance. Je nâavais pas une haute estime des hommes, Ă lâĂ©poque, et le simple fait quâil refuse de me sauter dessus, alors que je faisais tout pour, le rendait unique Ă mes yeux : je me disais que câĂ©tait un mec sĂ©rieux, qui ne sâengageait pas Ă la lĂ©gĂšre.Â
Trois mois plus tard, Guillaume organise une soirĂ©e chez lui, et lĂ je ne lui laisse pas le choix : je lui roule un gros patin et lâentraĂźne dans sa chambre avant quâil nâait eu le temps de dire ouf. On passe la nuit ensemble, plutĂŽt une belle nuit pour un timide. Mais il se rĂ©vĂšle, au matin, toujours aussi fuyant. Trois semaines passent avant quâil accepte un rendez-vous, auquel il arrive avec deux heures de retard. Pour me faire patienter, il mâenvoie le copain avec lequel jâavais passĂ© la nuit du jour de lâan. Comme pour mieux me signifier que je ne lâintĂ©resse pas. Mais je mâen moque.
Ce petit jeu-lĂ a durĂ© un an : Ă chaque fois quâon se voyait, il fallait tout recommencer. En inversant les rĂŽles traditionnels : câest moi qui envoyais des dĂ©clarations par mail, qui lui disais que je le trouvais beau. Lui se laissait gentiment faire, et encore. Pourtant je ne doutais pas : jâĂ©tais sĂ»re quâau fond de lui il mâaimait, quâil Ă©tait juste un peu coincĂ© du cĆur.
Au bout dâun an, jâai rĂ©ussi Ă obtenir quâon passe notre premier week-end ensemble. Tout sâest dĂ©roulĂ© Ă merveille, jusquâĂ notre retour Ă Paris, lorsque je lui ai demandĂ© si on allait chez moi ou chez lui⊠et quâil mâa rĂ©pondu quâil Ă©tait fatiguĂ© et quâil allait donc rentrer. LĂ jâai craquĂ©, je lâai quittĂ©. Ăa paraĂźt absurde de quitter quelquâun avec qui on ne sort pas vraiment, mais câest grĂące à ça que notre histoire « commune » a enfin commencĂ©. Guillaume mâa rappelĂ©e quelques jours plus tard et mâa annoncĂ© quâil tenait Ă moi. Dans la foulĂ©e, je me suis installĂ©e chez lui : jâĂ©tais la premiĂšre fille Ă envahir son univers de « vieux garçon » de 40 ans.
Cinq ans aprĂšs, nous sommes toujours ensemble et avons une fille de 3 ans. Un jour que je tentais de lui faire dire quâil avait toujours Ă©tĂ© amoureux de moi, il mâa assurĂ© que non, quâau dĂ©but je ne lui plaisais vraiment pas. Je lâai donc bel et bien eu Ă lâusure. Mais personne ne sâen plaint aujourdâhui.Â
La stratĂ©gie de lâultimatum est assez risquĂ©e
Caroline, câest lâanti-Aude : elle est Ă fond dans lâoffensive. Sa principale force câest dây croire, mĂȘme en dĂ©pit du bon sens. Elle agit en vrai sĂ©ductrice : sâinstalle dans la vie de sa proie et lâalimente au quotidien, sur un mode narcissique. MĂȘme si Guillaume nâest pas intĂ©ressĂ© au dĂ©part, il apprĂ©cie dâĂȘtre trouvĂ© beau, intelligent⊠et de se lâentendre dire tous les jours. Lorsque Caroline menace de partir, il se retrouve en Ă©tat de manque (narcissique, mais manque quand mĂȘme), et câest lĂ que lâhistoire bascule. La stratĂ©gie de lâultimatum â « Si notre histoire nâĂ©volue pas, je te quitte » â est pourtant risquĂ©e : celui qui Ă©met la menace doit ĂȘtre disposĂ© Ă aller jusquâau bout, car il risque, sinon, de perdre toute crĂ©dibilitĂ©. Dans le cas prĂ©sent, Caroline, excĂ©dĂ©e, Ă©tait vraiment prĂȘte Ă quitter Guillaume, et lui, en sevrage narcissique, parfaitement mĂ»r pour ĂȘtre cueilli.
Mes amies disent de moi que je suis une sĂ©ductrice, mais jâai juste lâimpression dâĂȘtre une femme qui ne laisse pas passer un homme quand il lui plaĂźt. MĂȘme sâil y a des trucs qui marchent avec tous, jâai tendance Ă mâadapter Ă ce qui fait rĂȘver celui que jâai en face de moi. Câest comme ça que jâai connu mon ex-mari, un Français en vacances Ă Cuba, dont je suis originaire. Lui mâa tout de suite plu, mais il Ă©tait hors de question que je cĂšde Ă ses avances : il mâaurait alors prise pour âla Cubaine qui cherche Ă se caser avec un touristeâ.
Parce que câest ce quâil attendait (au fond de lui), je me suis refusĂ©e Ă Thierry jusquâau dernier soir. RĂ©sultat : il mâa suffi dâune nuit pour obtenir ce que je voulais, puisquâil mâa invitĂ©e Ă Paris quinze jours aprĂšs son retour en France et que nous avons ensuite vĂ©cu cinq ans ensemble. Je sais que les hommes aiment bien quâon se refuse Ă eux : il est trĂšs rare que je couche le premier soir , et je suis mĂȘme capable de faire monter la pression pendant des semaines avant de passer Ă lâacte (tout en leur envoyant des SMS coquins, en leur disant que jâai trĂšs envie dâeux).
Autre truc : lorsquâun homme me plaĂźt, je mâarrange pour quâil ne voie que moi. Jâai ainsi passĂ© deux mois Ă hanter lâascenseur de mon lieu de travail (Ă raison dâune dizaine de fausses pauses cafĂ© par jour) pour quâun collĂšgue nâait dâautre choix que de me croiser.
Lâan dernier, jâai aussi fait toutes les manifs contre la rĂ©forme des retraites afin de sĂ©duire un syndicaliste qui mâavait tapĂ© dans lâĆil⊠alors que je nâai vraiment pas une Ăąme de militante.Â
Quand je me fais voir, je nây vais pas de main morte : je ne sors jamais sans ĂȘtre coiffĂ©e, maquillĂ©e, pomponnĂ©e⊠bref, extrĂȘmement fĂ©minine. En fait, je joue sur les deux tableaux, moitiĂ© vamp, moitiĂ© bonne sĆur. Je finis Ă©videmment par faire lâamour avec mes conquĂȘtes, et lĂ , je leur fais le grand jeu : je les laisse croire quâils mâont tout appris, et jâen rajoute une couche en leur confiant que je nâavais jamais ressenti cela avant. Je vous assure que tous les hommes y croient. JusquâĂ prĂ©sent, câest comme ça que jâai fonctionnĂ© : en flattant lâego de ces messieurs, je suis toujours parvenue Ă mes fins.
A force de faire le camĂ©lĂ©on, on peut aussi se perdreÂ
Claudia utilise une stratĂ©gie qui a fait ses preuves : elle sait « flatter lâego de ces messieurs ». Mais le fait de se refuser sexuellement est Ă double tranchant : ça fonctionne sur pas mal dâhommes, mais ça peut en faire fuir certains. Plus quâun moyen de sĂ©duire, câest une façon de tester la motivation de celui quâon a en face. Le tĂ©moignage de Claudia soulĂšve, en fait, une interrogation fondamentale : Ă force de faire le camĂ©lĂ©on dans lâespoir de plaire, nâest-elle pas en train de se perdre ? Endosser, en phase de sĂ©duction, un rĂŽle trop Ă©loignĂ© de sa propre personnalitĂ© peut mener Ă lâimpasse. Le risque est de plaire Ă des hommes qui ne nous conviennent pas.   Â
(*) Auteure de « Le prochain, câest le bon ! » (Ă©d. Albin Michel) et crĂ©atrice des CafĂ©s de lâamour (www.cafedelamour.fr), oĂč on se rĂ©unit autour dâintervenants pour apprendre Ă mieux sâaimer les uns les autres.
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