Il Se Tape Sa Belle Fille

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Il Se Tape Sa Belle Fille


Rédigé par Clicanoo

Publié le 03/09/2022 à 05:50

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SAINT-DENIS. Loïc Taochy est condamné à 7 ans de prison pour avoir abusé de la fille de sa compagne, sept ans, en 2017. Il aura jusqu'au bout nié toute responsabilité dans l'agression, évoquant dans un premier temps une explication mystique.
Regard fuyant, tête baissée, comportement étrange. Puis l'homme entre dans une sorte de " transe ". Voici comment est apparu Loïc Taochy le soir des faits, selon plusieurs témoins. Ou plutôt quelques minutes seulement après l'agression pour laquelle il était poursuivi hier, au tribunal judiciaire de Saint-Denis. Quatre ans et demi se sont écoulés depuis lors.
Ce soir du 30 décembre 2017, le jeune homme alors âgé de 24 ans participe à une fête avec une poignée de voisins à quelques pas du domicile familial, à Saint-André. À ses côtés, sa compagne avec qui il partage sa vie depuis trois ans. Ils ont un petit garçon en commun, madame a deux autres enfants d'une précédente union.
À la demande de cette dernière, Loïc Taochy retourne chez lui pour s'occuper des petits. C'est alors que les versions divergent. La fille de sa conjointe, sept ans à l'époque, décrira plus tard aux enquêteurs avoir subi des attouchements dans la salle de bain, puis un viol au cours d'une seconde audition. " Des faits de viols correctionnalisés, après accord des parties civiles ", avait d'ailleurs rappelé en préambule la présidente du tribunal, Caroline Meunier-Lemas.
Une petite fille " apeurée et manifestement perturbée " selon des témoignages, qui, en pleurs, appelle sa mère à l'aide après l'agression, lui raconte la scène et met directement en cause son beau-père. Ce dernier, qu'elle considère comme son paternel, est dépeint comme " agité, énervé, mal à l'aise ." Sa compagne le confronte et le jeune homme livre alors une version pour le moins étonnante. Oui, il était dans la maison au moment des faits. Oui, il s'est passé quelque chose, mais il n'en est pas responsable.
" Vous dites que l'enfant va dans la salle de bain, seule. Qu'elle se met à crier, dans le noir, que quelqu'un l'aurait agrippée. Les lumières s'allument, s'éteignent. Vous pensez à un mauvais esprit" , déroule la magistrate, faisant lecture du PV de garde à vue. Le soir des faits, il incrimine notamment l'esprit de l'ex beau-père de la petite, décédé.
Entendue à nouveau trois jours plus tard, l'enfant décrit un " monstre ". Elle ajoute que c'est la première fois que le compagnon de sa mère lui faisait du mal. Le certificat médical mettra au jour des lésions révélatrices d'une tentative de viol au niveau des organes génitaux. L'analyse psychologique ira également dans le sens de l'enfant. " Pas d'éléments faisant penser que la petite dit n'importe quoi" , souligne Caroline Meunier-Lemas.
À la barre, le prévenu n'en démord toujours pas quatre ans plus tard. Il n'a eu de cesse de nier toute responsabilité dans l'agression de la petite, changeant toutefois quelques éléments au fil des auditions. Mais plus question d'esprit à proprement parlé aujourd'hui, plutôt un " mauvais pressentiment ", comme un mal inexplicable, et ce, malgré des preuves matérielles. " Après ce soir-là j'étais anéanti ", souffle-t-il. 
Concernant les accusations visées : " Moi-même, je ne comprends toujours pas. " Il sous-entend un coup monté de la part son ex compagne pour que celle-ci puisse partir en métropole avec l'enfant. Sa défense fait chavirer son ancienne conjointe. " Il dit que ma fille ment malgré les preuves et témoins. C'est désolant de voir qu'on peut toucher une gamine de sept ans puis la traiter de menteuse ", lance-t-elle.
Des dysfonctionnements dans l'enquête des policiers ont été soulevés par les parties civiles, la présidente du tribunal, mais aussi le ministère public : lenteur de la procédure, avec un prévenu placé en garde à vue près de dix mois après les faits, absence de constatations sur place aux premiers instants, entre autres. 
" Alors que c'est elle qui payait le loyer, on a demandé à madame de quitter son domicile, car lui n'avait pas de solution d'hébergement. On a chassé la victime de chez elle" , s'émeut l'avocate de la famille. Enceinte au moment du drame et alors qu'elle était contre l'avortement, la jeune femme a mis un terme à sa grossesse. " Portant l'enfant du monstre qui avait fait du mal à sa fille ", ajoute la robe noire.
Avant de prononcer ses réquisitions, la substitut du procureur a tenu à " présenter ses excuses au nom du ministère public ", témoignant d'une " grande colère par rapport à la manière dont cette enquête a démarré, comment cette famille a été traitée. " Pour ce qui est de Loïc Taochy, elle demande sept ans de prison, assortis d'un suivi socio-judiciaire pendant trois ans, une inscription au fichier national des auteurs d'infractions sexuelles. Demandes intégralement suivies par le tribunal.
" Je ne veux pas que mon client paye l'immobilisme du parquet et de l'instruction ", avait espéré son avocat, Me Gorce. " Quatre ans avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête. Attente sans nul doute insupportable pour la victime, mais également pour lui. " Il est désormais fixé sur son sort.

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Le couple est marié depuis 2013, un mariage décidé un peu à la hâte fin que l’homme, d’origine algérienne, puisse avoir des papiers. Et leur petite fille est née dans la foulée. Elle a donc aujourd’hui 9 ans. Selon la femme, si tout allait bien jusqu’à il y a peu, un déménagement récent à Compiègne semble avoir eu un impact négatif sur la santé psychologique du père de famille. Depuis deux mois, il a changé, comme en attestent sa femme et sa fille.
«J’ai fait des recherches sur internet. Il devait entrer dans une clinique. Selon un psychiatre qu’il a vu, il est paranoïaque. Je cherche à comprendre. Il a eu aussi un trouble alimentaire. Je veux comprendre. Il a toujours été gentil avant» , affirme ce jeudi 1er septembre la mère de famille qui a reçu des coups l’avant-veille. Alors qu’ils étaient chez la sœur de la victime à Hémévillers le jour d’avant, une dispute a éclaté. La mère a un geste agressif. Lui, en guise de réponse, lui administre plusieurs coups de poing au visage. «Action, réaction» , va-t-il commenter plus tard. La sœur de la victime appelle les gendarmes qui débarquent vers 23 h 35. L’homme se laisse interpeller sans résister. Les militaires relèvent des traces de sang dans plusieurs parties de la maison, dont la chambre. Sa femme présente des hématomes qu’ils photographient. En audition, elle explique que depuis fin juin, il est devenu nerveux, et la frappe parfois ainsi que leur fille. La fillette de son côté confirme.
«Il lui donne des gifles ?» , demande la présidente Agathe Horiot à la victime qui a déposé plainte. «Non… enfin oui. Moi aussi quand elle me pousse à bout, je lui en donne et des fessées. Comme tout les parents, c’est normal» , lâche très naturellement la mère. «Non !» , rétorque fermement Laura Constantin, l’assesseure. «Non, ce n’est pas normal !» La petite racontera aussi la scène violente à laquelle elle a assisté deux jours plus tôt. Elle fera état encore des insultes régulières, confiant avoir peur de son père qui a déjà menacé sa maman de mort. «C’est une enfant» , se dédouane l’intéressée dans l’espoir de donner peu de crédibilité à la parole de la petite.
La présidente veut comprendre ce qui se passe dans la tête du prévenu, la part de responsabilité de l’un et de l’autre dans ce couple, la femme ne cachant pas s’en prendre aussi à son mari. Ce dernier refuse dans un premier temps de répondre. Mais très habilement, Agathe Horiot l’amène pourtant à s’exprimer. «Je suis bien dans ma tête» , affirme le prévenu. Mais il reconnaît ne pas avoir accepté le déménagement.
Cet agent de sécurité, inconnu de la justice, a un problème avec un voisin qui mine depuis son quotidien. Il finit par admettre s’emporter facilement : «Je prends tout. Elle n’a rien fait !» . Selon lui, l’origine des disputes vient du fait qu’il ne veut pas garder ce nouvel appartement, au contraire de sa femme. Elle, avance que sa belle-mère manipule son fils, ne supportant pas qu’elle n’ait pas la même religieux que lui. Mais elle souhaite à présent retirer sa plainte.
Pour la procureure Marie-Céline Lawrysz, la dangerosité psychiatrique n’est pas avérée. «Le médecin qui l’a ausculté en garde à vue n’a pas demandé de placement d’office. Sa dangerosité est criminologique. Ce qui est préoccupant dans ce dossier, c’est qu’il inverse les rôles, se présente comme la victime d’un complot mère/fille. » Le parquet requiert un an de prison assorti de quatre mois de sursis probatoire et le maintien en détention pour la peine ferme. Elle souhaite aussi des soins et demande l’interdiction de paraître au domicile. A cela s’ajoute un stage de sensibilisation sur les violences faites aux femmes.
Pour maître Bénédicte Meunier, les violences habituelles sur l’enfant ne sont pas constituées. Elle demande la relaxe de son client à ce sujet. «Il lui faut des soins et se recentrer sur le principal : la petite. Il faut trouver la meilleure solution pour cette famille» , estime-t-elle.
Le tribunal déclare le prévenu coupable de l’ensemble des faits qui lui sont reprochés. Il écope d’une peine d’un an de prison dont 10 mois assortis d’un sursis. La peine ferme sera aménagée. Il devra suivre des soins psychologiques et le stage demandé par la procureure. Enfin, il n’a plus le droit de paraître au domicile de sa femme.

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Dans 4 jours, le dimanche 24 avril, les Français éliront leur président ou présidente de la République. L’occasion, pour le père d’Emmanuel Macron, de parler de ses relations avec sa belle-fille. Confidences…

Dimanche 24 avril , les Français connaîtront le nom de leur prochain président ou présidente de la République : Marine le Pen ou Emmanuel Macron . Quatre jours avant le deuxième tour, les sondages sont favorables au président actuel : environ 56 % des voix contre 43 %.
Jean-Michel Macron , le père d’Emmanuel Macron, est médecin, professeur de neurologie au CHU d’Amiens et responsable d’enseignement à la faculté de médecine de cette même ville. Il s’est confié à nos confrères de l’Est républicain sur ses relations avec son fils et sa belle-fille. De Brigitte Macron, il dit : « On a de bonnes relations. Même si je ne déjeune pas tous les jours avec elle. Ça va, on se parle, on ne se tape pas dessus. Il n’y a pas de problème. » Il poursuit en disant : « Quand on est un homme, on estime aujourd’hui que les adolescents de 17 ans font ce qu’ils veulent. Ça les regarde. C’est leur vie. La première valeur à laquelle je tiens, c’est la liberté. Emmanuel a montré qu’il était libre. Il a assumé. Simplement, c’était peut-être précoce. Mais bon, sur le fond… la suite a d’ailleurs montré que c’était quelque chose de solide. »
Nos confrères de La Dépêche.fr précisent : quand la mère d’Emmanuel Macron comprend que son fils adolescent est amoureux de sa prof de français, de surplus toujours mariée, Françoise Noguès, sa mère, aurait demandé à son mari de tout tenter pour les décourager. Une tentative qui a donc échoué…
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Agression sexuelle sur sa belle-fille : il accuse les mauvais esprits

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