Il Se Fait Branler Dans Sa Voiture

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Ma femme et le jeune autostoppeur (suite la voiture ça assure)


Dernière réponse:
4 mars 2016 à 8h27


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Continuant à rouler sur la nationale nous arrivons presque au niveau de l'embranchement qui mène à Arcachon, quand au loin sur le bas côté j'aperçois un individu faisant du stop, je regarde ma femme "Qu'est ce qu'on fait?" ne comprenant pas car n'ayant pas vu l'auto-stoppeur elle me demande à quel sujet, je lui fais donc un petit ochement de tête pour indiquer le pauvre bougre qui semble avoir du mal à convaincre un conducteur à s'arrêter. "Ben... rendons lui service" dit elle d'un air malicieux. Je met mon clignotant, ralentis, mange sur la ligne et m'arrête sur une aire d'urgence, au passage je constate que l'auto-stopeur est un jeune homme, voir un adolescent, assez grand et fin de carrure, un visage bien taillé lui donne une apparence plutot sympathique, mais la vitesse ne me donne pas le temps d'en voir plus. Voyant que nous nous arrêtons le gringalet aggripe son sac de sport improvisé en sac de voyage, court pendant que Dorine baisse la fenêtre de son côté et nous salut de la main. - "Bonjour Madame, bonjour Monsieur, je vais à Bayonne vous allez dans la même direction?". - "Ah oui, tu tombes bien nous allons justement y passer, t'as besoin qu'on t'y dépose?" retorque Doriane. - "Oui, merci beaucoup, vous êtes très gentils" marmone le jeune garçon d'un air timide. Je remarque son regard au passage qui se pose sur les cuisses à moitié découvertes de ma femme, puis bifurque sur une autre futilité afin de justifier cet acte faussement anodin. J'actionne la manette qui ouvre le coffre, il y pose son sac, referme puis nous rejoint à l'intérieur de notre belle suédoise. Je me retourne pendant que notre hôte de co-voiturage s'installe, boucle sa ceinture, son front perle de gouttes de sueurs ruisselantes sur sa peau de lait, contournant de belles arcades sous lesquelles sont blottis des yeux bleus, faut dire que ce petit veinard n'est pas vilain du tout et sa coupe de cheveux mi-longs sablés doit faire craquer pas mal de filles malgré son air timide et réservé... Tel que je connais mon épouse, son physique ne doit pas la laisser insensible non-plus. Après avoir vérifié que le jeûnot était bien à l'aise, et qu'un petit sourire de courtoisie soit échangé, j'embraye de la première jusqu'à la cinquième et repart de plus belle. Entamant la conversation Dorine et moi même nous nous présentons afin de faire plus amplement connaissance, suite à quoi il en fait de même, nous apprenons qu'il se prénomme Alexandre qu'il habite sur le bassin d'Arcachon et qu'il doit aller rejoindre son groupe d'amis dans la ville gasco-basquaise afin d'assister aux fêtes de Bayonnes, ce qui explique mieux sa tenue entièrement blanche et ses espadrilles. Faisant mine que la position de sa tête retournée afin de converser avec Alexandre la dérange et lui cause un torticolli, Dorine demande à notre interlocuteur si cela ne le dérange pas qu'elle passe à l'arrière et s'assied à côté de lui pour continuer à papoter. Ne sachant quoi dire devant tant d'intérêt de la part de ma femme, le jeune homme peine à répondre s'exprimant par un long "euuuuhhh bahhh euhhhh" terminant sa phrase par un "non pas du tout". - " Veux tu que je m'arrête pour que tu puisse aller à l'arrière?" - " Non pas la peine, regarde il me suffit de passer entre nos deux sièges". Elle détache sa ceinture, se lève à moitié, emjambe d'un pied l'écart central relevant au passage sa croupe tendue vers mon visage, puis retombe de tout son poids sur Alexandre faisant mine d'avoir perdu l'équilibre, ce dernier se retrouve avec la poitrine d'une belle inconnue à deux centimètres de son visage. S'exclamant d'un rire amusé, elle s'excuse, se repositionne et s'assoit. Je jette un oeil dans le rétroviseur central, l'adolescent est passé du blanc au rouge tant il se sent gêné et la climatisation de la voiture ne semble pas avoir fait passer les sueurs de notre voyageur, c'est à se demander pourquoi?!? Le fixant d'un air enjoué Dorinne croise élégament ses jambes... - "Au fait quel âge as-tu Alexandre, tu m'a l'air assez jeune" - "Euh... j'aurais 18 ans dans deux semaines Madame..." - "Madame? Voyons Alexandre tu peux m'appeler Dorinne, je ne suis pas ton professeur..." - "Euh d'accord Dorine, je suis désolé... pas de problème Dorine" - "Alors dis moi Alexandre tu as une petite amie, une copine?!?" Je sent que cette petite conversation semble trop rentrer dans son intimité ce qui a tendance à amplifier sa nervosité... Les paroles échangées le mettent de plus en plus mal à l'aise, et je constate que cela se ressent dans l'air, mais ma femme semble apprécier, je ne sais s'il s'agit d'une réaction d'attendrissement vis à vis de la timidité et l'émotivité de l'adolescent, ou si au contraire ma femme ne serait pas à même de jouer d'une façon perverse avec les émotions du candide. "Alors comme ça un beau garçon comme toi n'a pas de petite amie, c'est quand même dingue ça! Tu ne pense pas chérie?!?" Ne voulant pas trop m'immisser dans le dialogue dont seule ma femme tient les rênnes et contrôle le jeu, la connaissant elle saura mener ce dernier où elle le souhaite, je me contente de la regarder dans le rétroviseur et approuve d'un petit ochement de tête, ça y est! la tigresse est lâchée! - "Tu as déjà fait l'amour?" La question ne pouvait pas être plus directe, les yeux écarquillés la bouche ouverte en O, une expression de surprise se lit sur son visage, Alexandre ne sait plus quoi dire, hésite, bafouille... - "Euh, ben... de quoi?!?" - "Oui! je te demandais si tu avais déjà fait l'amour, si tu avais déjà baisé entre autre si tu préfères". - "Ben... euh c'est que... je ne m'attendais pas à une telle question... comment dire..." - "Ouhhh toi, ne ments pas, tu n'as qu'à le dire" dit elle avec une pointe d'ironie histoire de relâcher un peu la pression, ayant besoin qu'elle lui tire d'avantage les vers du nez il répond - "Euh... dire quoi???" ne sachant où poser les yeux. - "Tu es vierge" Hésitant à répondre un silence de quelque secondes s'installe avant qu'une réponse ne se fasse, je sais qu'il se sent coincé et ne peut reculer. - " C'est vrai... Je suis vierge". La brèche tendue par Doriane avait maintenant été agrippée par notre jeune puceau, signifiant qu'une relation de confiance est désormais établie, et que l'action n'est plus très très loin d'être entamée. - " Ben tu vois, il n'y a aucune honte à l'avouer, en y réfléchissant bien tout le monde l'a bien été un jour ou l'autre." - " C'est sûr!!!" encore quelque peu embarrassé du sujet abordé. - " Et sinon tu as déjà vu le sexe d'une femme, je ne te parle pas à la télé, non, en réalité." Restant sceptique à savoir s'il doit répondre par un mensonge ou avouer la vérité qui risquerait de le tourner en dérision une fois de plus, ses paroles semblent restées coincées dans sa gorge. - "Euh, oui, enfin, non, euh.... sans doute..." Ne voulant torturer et faire subir à notre pauvre prisonnier cette situation adrenalinesque pour lui, ma femme se décide enfin à passer aux choses sérieuses. - "Tu serais intérressé à voir le mien?!?" propose sans aucune retenue mon épouse. Inutile de vous indiquer l'état d'Alexandre après avoir entendu ces quelques mots, il doit sans doute penser être en plein rêve, rêve érotique bien sûr, et qu'à cette allure son drap affichera une belle carte de France à son réveil. La franchise immodérée de mon épouse m'arrache un petit ricanement que je garde discret afin de ne pas m'éloigner de mon rôle de spectateur. - "Alors, tu ne m'a pas répondu, es tu intrigué par mon minou ou pas?" réitére Dorine d'un air malicieux. - "Ssssii vous voulez, Madam...euh.... Lorrin.... euh Dorinne..., excusez-moi, ce n'est pas tous les jours que... enfin vous voyez... Et puis surtout je voudrais pas que votre compagnon..." Le coupant dans sa phrase j'anticipe sa pensée et le rassure d'un ton calme et serein par un simple "Ne t'en fais pas pour moi, profites du spectacle" terminant par un petit clin d'oeil dans le rétro lui étant destiné. Nous entrons maintenant dans le département Landais. D'un mouvement sensuel ma femme s'adosse contre la portière, étale ses jambes sur la longueur de la banquette jusqu'à en toucher de ses petits pieds si bien formés la cuisse de celui qui ne tardera pas à passer un moment inoubliable. Elle défroisse le textile de sa robe d'été, le remonte, plit ses genoux, écarte ses cuisses nues et dévoile son anatomie féminine au jeune puceau, lequel semble être touché par la grâce divine tant ses yeux reluisent, ses pupilles se dilattent, et sa nervosité semble s'effacer anesthésiée par cette exhibition fantasmagorique. Dorine place chacune de ses main de chaque côté du Très-Saint et du bout de ses doigts écarte les plissures pouvant cacher la moindre parcelle de son sexe légèrement imprégné de cyprine tant cette situation indélicate et osée la met dans un état d'excitation palpitant. - " Tu la trouve belle ma chatte?" Secouant sa tête comme si cela aiderait son cerveaux à réveiller ses neurones et trouver des mots exprimants toute son admiration, il s'exclame avec enthousiasme : - "Oh oui elle est magnifique, je crois que... je crois que je n'ai jamais vu de chose aussi belle de toute mon existence, c'est au delà de mes pensée" dit-il presque avec passion. - "Tu peux la toucher si tu veux" encherit ma femme dans toute sa splendeur obsène. Revenant un peu à la réalité sans pour autant quitter l'objet du désir des yeux, Alexandre est partagé entre réticence et l'envie d'aller explorer cette fleur tant convoitée. - "C'est que... je ne sais pas si je peux....Oh!" Sans même attendre le consentement du jeune homme, ma femme se saisie de sa main et l'approche doucement de son havre de plaisir. Arrivée à proximitée sa main perçoit une chaleur et une energie émanantes de l'antre-cuisse, tant le désir de ma compagne est intense. Elle détache sa ceinture de sécurité afin qu'Alexandre puisse s'approcher de plus près et tâter sa bête voluptueuse. Elle se ré-empare de sa main droite qu'elle ne tarde pas à coller sur ce sexe demandeur de carresses. - "Tu vois comme elle est douce, elle s'est faite épiler hier de manière à apprécier chaque geste et plaire à l'oeil... je vais t'apprendre l'anatomie d'une femme, cela te sera sans doute utile dans ton avenir". Elle lâche le poignet tremblant de son jeune disciple, et se remet à écarter son sexe et particulièrement ses lèvres laissant apparaitre son bourgeon rouge et enflé de son appétit grandissant. - "Regarde, j'écarte mes lèvres vaginales, et vois tu ce petit bouton ressemblant vaguement à un gland situé sur la partie haute de mon vagin... eh bien il s'agit du clitoris, touches le..." Avec grande dextérité il tend son index vers ce petit bout de chair pointu et éveillé, et se met à le titiller d'une façon appliquée et soignée, presque artistique tandis que Dorine le regard omnibulé et sous l'emprise de cette main puberte, laisse s'échapper de petits gémissements sortant de sa bouche à moitié ouverte. - "Mon dieu, dites moi que je rêve..." ne cesse t il de répéter. Je sent ma verge de nouveau enflée à son apogée, ma femme est en train d'initier un garçon qui est à la veille de son âge adulte. Détachant ma main droite du volant je la pose sur cette inquisitrice qui ne cesse de marteler ma tête afin de sortir, mais non, j'exerce juste de légèrs attouchements sur le bout de mon gland à travers le textile de mon pantalon décuplant ainsi les frissons provoqués par cette frénésie érotique... plus je fais durer le désir, plus grand sera le plaisir me dis-je. Mes yeux ne cessent de faire des aller-retours entre la route bordée de pins, et la scène de déroulant à l'arrière qui bande ma pine. Tandis que le jouvenceau s'évertue sans relâche à son oeuvre de débauche, ma femme lui rattrape la main, lui dresse le majeur avec l'index, et enfonce toute cette épaisseur dans son vagin en ébulition et écumeux de sa sève, se branlant maintenant le con avec les phalanges de ce doux inconnu. Les lèvres de sa bouche s'humidifient au fil du passage de sa langue, puis se font mordiller par ses dents blanche, comme si ces dernières avaient besoin de se crisper ne pouvant supporter autant d'allégresse. Alexandre quand à lui semble être hypnotisé par l'effet que lui fait sa main, ses doigts fourrés dans un endroit aussi chaud et bouillant, donnant du plaisir à une femme de treize ans son ainée et dont la beauté ne l'avait pas rendu insensible à son premier coup d'oeil, le monde peut s'écrouler autour de lui, la besogne qu'il prend soin d'exercer est plus enivrante et forte que tout. J'apperçois à travers son patalon blanc sa queue formant un haut dénivelé s'érigeant en transversal, tandis que Dorine entreprend de petits mouvements sauvages mais proportionnés de son bassin abandonné à l'agilité de celui qui la lime délicatement, elle dépose quelques gouttes de salive sur la pointe de ses doigts, et s'en va rejoindre de près ceux qui sont déjà dans le feu de l'action. Les deux mains accollées elle se met à frotter vigoureusement son petit bourgeon tout en laissant Alexandre accomplir la mission lui ayant été confié, ses yeux se révulsent tant ce mélange est exquis, elle sent son corps envahit de frissons electriques dont la source est alimentée par frictions et mouvements. Le novice y met de tout son coeur et de son ardeur, ainsi tentant à chaque coup d'atteindre un niveau toujours plus loin, toujour plus fort, et accélérant parfois la cadence. L'autre main de mon épouse n'allait pas être libre très longtemps encore, elle se met à carresser sa poitrine gonflante au rythme de sa respiration saccadée, puis déboutonne petit à petit son décolleté et plonge sa main dans sa robe, empaumant chacun de ses seins douillets et faisant rouler ses tétons sous la pression de son pouce et de l'index. - "Oh, ouiiii, encooore, s'il te plait, encooore.... continues à me branler la chatte, ne t'arrêtes surtout pas...". Je sais maintenant qu'elle n'est plus très éloignée du bouquet final, ... du feu d'artifice comme il me plait d'appeler. Sortant subitement sa main cachée entre son sein et sa robe elle agrippe violement le repose tête du siège avant situé à côté enfonçant ses ongles à l'intérieur, redouble d'intensité le mouvement de sa main lustrant son clitoris, puis crit d'un ton victorieux : - "Ouiiiiiiii... ouiiiiiii.... ça vient.... Ouiiiii...... Oh je jouiiis!!!!!", tel un démon prenant possession d'elle des spasmes provoquent tout à coup des tremblements de son corps tout entier, et toujours livrée aux étreintes manuelles de son complice... Reprenant doucement sa respiration et retrouvant doucement son esprit, le visage de la dévergondée semble maintenant atteind d'un état de pleinitude, puis d'euphorie regardant son bel amant continuer à fouiller son sexe encore moite et dilaté, ses vas-et-viens continuent apparement à lui procurer du plaisir à en entendre ses gloussements mélodiques. Mais peut être pas assez à son goût, a-t-elle besoin de reposer brièvement son antre qui sera sans doute dans une forme pareille, voir meilleure qu'il y a un instant? - "Je tiens à te féliciter Alexandre" dit elle retirant les doigts de ce dernier humectés de sa liqueur d'amour, "c'est la première fois que tu touches le minou d'une femme, et tu as su apporter ta remarquable contribution me transportant ainsi au septième ciel... C'est bien! c'est vraiment bien! je suis sûre que tu sauras satisfaire bon nombre de tes partenaires." Ne sachant pas trop quoi répondre Alexandre, encore sous l'effet de l'excitation se contente d'un "Merci", suite à quoi il observe ses doigts qu'ils voyait disparaître et réapparaitre durant de longues minutes dans cette fente charnelle, et les porte à ses narines, puis à sa bouche sortant sa langue dont chaque papille s'impregne de l'exquis liquide de Dorine. - "Vous avez un goût délicieux Madame" lui déclare-t-il de sa douce voix. Elle en rit,redescent ses jambes et remet ses pieds au sol. - "Je crois que tu mérites vraiment une bonne récompense mon grand" puis me tapotant sur l'épaule elle m'intérroge : "Il en pense quoi le matteur?!?". - "Comme plaira à Madame!" je répond de façon humouristique. N'attendant pas une seconde elle se penche sur le jeune garçon, déboutonne son pantalon, fait glisser la fermeture éclair, ouvre les deux ventaux de chaque côté dévoilant un boxer blanc qui laisse apparaître à travers une longue et grosse verge enflée et retenue captive par le sous-vêtement. L'intrusive main ne se gêne pas pour l'effleurer à travers le tissu, le bout de ses doigts passent et repassent le long du tremplin formé, puis viennent agacer l'extrême haut du gland. Mais Dorine ne se suffit plus à la contempler au travers de l'élasticité du calebute. Elle agrippe le côté droit et gauche en même temps du pantalon et du boxer, lui fait geste de remonter ses fesses du siège et fait délicatement glisser le tout jusqu'à mi-cuisses de son cobaye sexuel, libérant par conséquent la belle verge tendue de toute sa splendeur vers le ciel. La ... du jeune auto-stoppeur semble être d'un joli calibre, d'une couleur assez claire parsemée de grosses veines et de quelques grains de beauté, le gland totalement découvert, et à son apogé, tire sur le frein et l'ensemble de ce beau bâton de chair lequel soutient de belles bourses contractées, pourvues de poils châtains lesquels virent au blond en fonction des reflets du soleil. - "Ne soit pas nerveux, je vais bien m'occuper d'elle" dit-elle rassurant l'inexpérimenté. De ses douces et belles mains dont elle a pour habitude de prendre grand soin jusqu'au bout des ongles, elle s'approprie la bête gémissante de par sa stature, en y passant ses paumes, puis ses fines phalanges qu'elle fait voyager le long de celle-ci durant un bon moment. L'échauffement laissant place aux choses sérieuses, Doriane emboite cette pine qu'elle fond dans le creux de sa main, puis commence à la faire vasciller entre ses cinq doigts ni trop fermés ni trop ouverts. L'excitation d'Alexandre s'intensifie en regardant sa queue se faisant lentement branler par une poigne qui pour une fois n'est pas la sienne, au point qu'une petite goutte de liquide séminal s'échappe de son urète et vient lubrifier le sommet d
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