Il Lui Rempli Le Cul De Sperme
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Il Lui Rempli Le Cul De Sperme
Cette bonne compilation de vidĂ©os incestueuses apporte tout. Les femmes qui se donnent Ă leurs enfants pour quâelles, avec leurs appareils de reproduction, leur plaisent sexuellement. La troisiĂšme vidĂ©o est celle oĂč le gamin fait l'amour avec sa mĂšre. La vieille femme manquait d'amour et son petit fils, qui l'aimait de toute son Ăąme, dĂ©cida de lui plaire pleinement. AprĂšs avoir donnĂ© de bons baisers Ă sa mĂšre, le gamin a fait manger sa queue Ă la vieille femme et aprĂšs cela, il l'a jetĂ©e sur le lit, l'a mise en quatre et a clouĂ© sa queue si le prĂ©servatif laissait le cul de la vieille femme plein de sperme.
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Histoires de Sexe
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La nuit devant la cheminĂ©e est une suite ininterrompue de cris et de caresses, de ahanements et de gĂ©missements de plaisirs, il y a des claquements de peaux qui se heurtent, des bruits de sussions, et des moments de silence, de rĂ©cupĂ©ration. Pendant que Laurence et Charles, Ă©puisĂ©s au sortir dâune baise monumentale se sont endormis, Flo, qui a toujours Ă©tĂ© une bonne samaritaine, va rendre un petit service Ă Louis quâelle dĂ©livre dâune quantitĂ© importante de sperme qui dormait dans ses couilles depuis plusieurs jours. Elle sâen Ă©trangle presque. Elle adore sentir sa bouche et sa gorge se remplir au point de dĂ©border, giclĂ©e aprĂšs giclĂ©es. Elle nâest pas déçue de voyage. Louis de son cĂŽtĂ© retient ses gĂ©missements de plaisir pour ne rĂ©veiller personne, surtout pas Laurence.
Mais Charles sâest rĂ©veillĂ©, il a cherchĂ© Flo Ă cĂŽtĂ© de lui, pour comprendre dans son demi-sommeil quâelle Ă©tait allĂ©e voir Louis.
Charles ne reconnait pas sa Flo. Quelque chose sâest passĂ© qui lâa transformĂ©e. Mais quelle nuitâŻ! Laurence sâest donnĂ©e entiĂšrement, bruyamment, un doux petit con, chaud et trempĂ©, et son corps de reine. Il en a bien profitĂ©. Mais quand mĂȘme, quâarrive-t-il Ă FloâŻ?
Elle lui fait une gĂąterie en revenant, mais il ne veut pas lui donner Ă boire, aprĂšs quâelle a Ă©tĂ© soulager Louis. Et il se finit en reprenant Laurence, son petit cul, qui reçoit la derniĂšre doseâŻ; disponible Ă peine rĂ©veillĂ©e.
Le jour se lĂšve. Les couples se reforment, mais rapidement Louis renvoie Laurence : « Avec tes airs de fille fidĂšle et qui exige la rĂ©ciprocitĂ© tu tâes fait baiser par un inconnu toute la nuit devant moiâŻ! DĂ©gageâŻ! ». Louis fait son sac en colĂšre, sâen va en rage, claque la porte.
Laurence implore du regard ses partenaires de la nuit, prĂ©cise quâelle a de la nourriture pour elleâŻ; ils lui font comprendre quâelle viendra avec eux. Charles a une belle envie de continuer sur la lancĂ©e de la nuit. Flo aussi apparemment. Ils prennent le temps de dĂ©jeuner, de ranger la cabane, et de dĂ©jeuner. Ils partent un peu tard, le ciel est couvert, des nuages montent dans la vallĂ©e. Encore une Ă©tape Ă©courtĂ©e pense Charles, et il le comprend dâautant mieux que le brouillard recommence Ă monter. La question sera vite de savoir si on sâarrĂȘte bientĂŽt ou si continue de marcher Ă la recherche dâune autre cabane.
Mais le brouillard ne vient pas vraiment, il rĂŽde, et le trio avance. Charles le plus souvent devant, les deux femmes le suivent. Ils parlent peu, essaient de ne pas ralentir la marche vu le temps. Quelques haltes pour boire et pour manger, la marche consomme beaucoup de calories, et dâeau.
Au cours dâune halte Charles, comme Flo sâapproche de lui en manifestant par sa dĂ©marche exagĂ©rĂ©ment marquĂ©e quelque chose comme des intentions trĂšs prĂ©cises, lâinterrogeâŻ; aprĂšs tout, ils partagent tout avec Laurence, alors, Ă quoi bon garder ses questions :
« FloâŻ? Je ne te reconnais pas, toi qui Ă©tais si rĂ©servĂ©e prude pudique Ă lâextrĂȘme, tu es sans retenueâŻ! PrĂȘte Ă tout, mĂȘme en publicâŻ! »
« Ce nâest pas ce que je te demande, je ne proteste pas, je suis plein de dĂ©sir quand je te regarde bouger comme ça mais ça ne te ressemble pas enfin je ne tâavais jamais vue comme ça. Je suis sĂ»r que tu nâas pas mis de culotte ni de soutien gorge tu nâaurais jamais fait çaâŻ! »
« Ăa câest pour faire comme la petite trainĂ©e qui nous suit. »
« MERCI FloâŻ! Je porte une culotte quand tu ne me lâenlĂšves pas » sâagace Laurence, « je nâavais pas vu que tu Ă©tais une pucelle effarouchĂ©eâŻ! ».
Et Flo indiffĂ©rente continue : « Je ne sais pas, quand on a passĂ© 2000 mĂštres jâai commencĂ© Ă me sentir affamĂ©e. Et dans le brouillard, je me suis sentie devenir une femelle en chaleur je suis trempĂ©e en permanence, disponible, viens me sauter, viens couvrir ta femelle ».
Charles est tentĂ©, mais il veut sâĂ©conomiser, son sac est lourd, et ils ne sont pas arrivĂ©s Ă lâĂ©tape prĂ©vue la rĂ©ponse de Flo quand elle mentionne le brouillard le fait sourire. Les lĂ©gendes chinoises, la femme renarde : perdu dans le brouillard, lâhomme rencontre une femme magnifique, sensuelle et affamĂ©e de sexe, qui lui fait dĂ©couvrir tous les plaisirs, elle le garde parfois Charles raconte. Flo rectifie : « Je suis plutĂŽt une louve affamĂ©e viens couvrir ta louve ».
« La femme renarde épuise son amant, le vide de toute son énergie et il dépérit la louve doit faire bien plus encore, nous devons repartir, ce soir je me consacrerai à toi ma louve. »
Flo nâest pas si contente que ça, le montre et ils repartent. Ils montent une pente raide et difficile Ă travers un pierrier, suivant des cairns Ă©loignĂ©s les uns des autres, et Charles avance en restant trĂšs concentrĂ©, attentifs au chemin quâil trace pour les deux femmes qui le suivent, soucieux de repĂ©rer les cairns quâil devine parfois avant de les voir.
Sur un plat ils rencontrent un groupe de randonneurs qui font le chemin dans lâautre sens. Deux hommes une femme. Ils ont aperçu un randonneur isolĂ© qui pourrait bien ĂȘtre Louis. Ils ont aussi aperçu de gros chiens de loin, gris, peut-ĂȘtre des loups, trois ou quatre. Lâun des hommes sâavise quâune femme supplĂ©mentaire dans leur groupe rĂ©tablirait lâĂ©quilibre et demande laquelle viendrait avec eux. Charles se demande Ă quel point il plaisante et va pour dĂ©fendre son harem quand la femme de lâautre groupe rĂ©agit vivement : « Deux hommes pour moi ce nâest pas de trop un pour me prendre, et je chevauche lâautre ensuite, ou le contraire câest juste suffisant, allez on sâen va avant de dire des bĂȘtises, bonne fin de journĂ©eâŻ! ».
Les deux groupes repartent et sâĂ©loignent sans plus de cĂ©rĂ©monie. Les difficultĂ©s du chemin exigent lâattention de tous. Flo et Laurence ne disent rien.
ArrivĂ©e en haut, Ă peine sortie du pierrier Flo sâarrĂȘte, souffle, abaisse son short et urine, elle imite le cri, le hurlement de la louve. Laurence la regarde « Tu vas attirer les loups Ă laisser des traces comme ça et Ă hurler comme une femelle en chaleur. » Le regard sombre de Flo prend une lĂ©gĂšre nuance ambrĂ©e, elle sourit en plissant les yeux.
Charles sâavance vers elle, elle est si clairement en proie Ă un dĂ©sir violent ses lĂšvres sont gonflĂ©es, « Laurence, tu peux avancer un peu si tu veux, tu peux aussi rester »
Elle reste, les regarde, Flo qui retire son short et se tourne, sâappuyant des mains contre un rocher, Charles retire son short, abaisse son caleçon Flo Ă©carte les jambes, dĂ©couvre sa vulve entrouverte, luisante : « Vient, mets lĂ moi tout de suite, couvre ta femelle » elle a une voix rauque, il la prend, elle se soumet, comme une brave femelle sous la saillie, calme en apparence, immobile sous les coups de boutoir, cambrĂ©e pour mieux recevoir le membre du mĂąle qui la couvre, de longs feulements lui Ă©chappent quand un coup de rein lâatteint au fond de la matrice ses seins balancent sous sa poitrine presque bruyamment, elle crie, de plus en plus frĂ©quemment Ă mesure que le mĂąle pilonne de plus en plus brutalement jusquâĂ ce cri qui lui Ă©chappe, comme un hurlement, du fond de la gorge. Elle jouit comme une bĂȘte.
Ils repartent aussitĂŽt. Le sperme coule le long des cuisses de Flo.
Ils descendent prudemment, remontent vers le pic du Sal, le long dâun ruisseau. Le froid humide du brouillard revient les surprendre le long du ruisseau. Ils font une pause, se couvrent. Laurence sâapproche de Charles « Et moi je nâai droit Ă rien, la femelle bĂȘta a bien droit Ă quelque chose de temps en temps nonâŻ? »
Elle se colle contre lui, cherche ses mains et les pose sur sa poitrine et sur la ceinture de son short. Charles Ă©crase un sein entre ses doigts, dĂ©fait les boutons de la ceinture et glisse sa main dans la petite culotte, sur la fente trempĂ©e, et entreprend de caresser la fente, le clitoris, de glisser deux doigts dans la chatte de la femelle elle aussi gĂ©mit, feule, elle lance des cris aigus quand elle jouit, elle griffe la main qui lui Ă©crase un sein : « Jâaime tellement tes doigts ».
Flo semble jalouse, elle sâĂ©loigne, mais reste Ă proximitĂ© du fait du brouillard, elle recommence Ă hurler comme une louve, Laurence donne un baiser passionnĂ© Ă Charles pour le remercier et murmure « Garde moi je serai la maĂźtresse de tes rĂȘves, je sais bien que je te plais je te ferai jouir, je tâexciterai une petite putain de rĂ©serve je sais que ça te tente.. Garde-moiâŻ! »
Pendant ce temps le brouillard sâĂ©paissit, Charles ne voit plus Flo, il abandonne Laurence, sâavance dans la direction dans laquelle il a vu Flo, dĂ©couvre sa silhouette et dans le brouillard il aperçoit un loup qui vient vers Flo, elle semble lâattendre, il vient vers elle sans trop hĂ©siter elle tend sa main quâil renifle Ă peine, il sâapproche, son museau sâapproche de lâentre jambes de Flo qui se laisse respirer Laurence qui sâapproche de Charles lui dit que le short est plein de sperme que dans ce moment oĂč il nây a pas un souffle de vent un loup doit flairer le con rempli de sperme de Flo Ă un kilomĂštre au moins. Flo laisse le loup poser son museau sur son pubis et aprĂšs le premier coup de langue retire son short, offre son pubis, sa fente, au museau et Ă la langue du loup. Laurence attrape la main de Charles, sâagrippe Ă lui « Mais elle ne va pasâŻ? » Flo gĂ©mit sous les coups de langue, et retire bientĂŽt sa polaire. Elle est nue, Charles distingue sa fourrure pubienne si sombre ses seins qui semblent plus lourds, elle ouvre les cuisses, tombe Ă genoux Laurence et Charles suivent la scĂšne, incrĂ©dules mais excitĂ©s par ce quâils voient : elle va se donner.
Flo se met Ă quatre pattes, tourne le dos au loup, lui offre sa croupe, se cambre, le loup la lĂšche encore et soudain saute sur elle, lâattrape avec ses pattes avant, se colle contre elle, commence Ă pilonner, Ă chercher son con avec son membre, Flo gĂ©mit par Ă coups, crie : « Mets-le, METS-LE MOI » et soudain un puissant rĂąle sort de sa gorge, un rĂąle hurlĂ© au moment oĂč le loup la possĂšde, elle sent soudain la bite du loup la pĂ©nĂ©trer en force, dilatant les parois du con, repoussant la matrice jusque vers lâestomac : comme sâil avait dĂ©placĂ© le diaphragme de sa pseudo louve sous les poumons, Flo pousse un rĂąle de rage de plaisir quâelle renouvelle Ă chaque coup de rein de la bĂȘte. Et encore, et encore, jusquâau hurlement qui lui Ă©chappe quand le loup la colle contre lui, quand le nud du membre pĂ©nĂštre son con, quand enfin elle est sa femelle, pour de bon, femelle saillie, soumise, remplie par ce membre qui nâen finit pas de gonfler, et qui se met Ă vibrer, a tressaillir sans fin, remplissant le con de sperme la bĂȘte ne bouge presque plus, son membre nâen finit pas de frĂ©mir et de ce membre jaillit un liquide chaud, comme un geyser inĂ©puisable, qui lui remplit le ventre au point quâelle se sent presque gonfler. Elle jouit encore, et encore, ses bras sâaffaissent, sa poitrine glisse sur lâherbe, elle rĂąle Ă pleine gorge et semble dĂ©faillir quand le loup tombe de son dos, cherche Ă se retirer, et reste collĂ© Ă sa femelle, cul Ă cul, elle en jouit encore, enfinâŻ! Et son cri nâen finit pas.
Charles et Laurence nâen perdaient rien, quand le brouillard soudain plus Ă©pais masque la scĂšne, les deux partenaires disparaissent dans le brouillard. Charles et Laurence ne sâavancent pas pour voir de peur de se perdre Charles rĂ©alise quâavec le bruit du ruisseau ils ont un repĂšre, il sâavance, entrainant Laurence, et soudain manque de tomber : ce quâil voir lui fait oublier de regarder oĂč il met les pieds, il vient dâapercevoir un loup et une louve en train de copuler et le membre du loup sortir du ventre de la femelle, Ă lâinstant oĂč Charles les dĂ©couvrait le loup a lĂ©chĂ© lâarriĂšre train de la femelle et sâest Ă©loignĂ© et la louve est partie dans la mĂȘme direction.
La plus grande confusion rĂšgne dans lâesprit des deux tĂ©moins de ces scĂšnes Charles cherche sans vouloir sâenfoncer dans le brouillard. Il appelle, crie, hurle le nom de sa maĂźtresse dans toutes les directions sans obtenir la moindre rĂ©ponse. Laurence se joint Ă lui. Incapables de faire autre chose du fait du brouillard qui stagne sur eux, ils crient. Sans rĂ©sultat.
Il fait froid, le brouillard sâassombrit, ils montent la tente, sâinstallent, font Ă manger, et mangent rapidement car il fait trĂšs froid. Ils crient encore, et rien ne leur rĂ©pond ni surtout personne. Laurence ne serait pas si dĂ©solĂ©e que ça, mais elle a quand mĂȘme peur pour Flo, nue dans ce brouillard glacial, et Charles est plein dâangoisse, de remords un peu, elle le lui avait dit : « Si tu la touches je te quitteâŻ! » est-ce quâelle est partieâŻ? Mais dans ce brouillard, et ces loups, et CE loup qui lâa saillie, Ă qui elle sâest livrĂ©e, offerte, elle qui se disait en chaleur comme une femelle. Ils ont quand mĂȘme fini par dormir. Puis par se rĂ©veiller, sans bien savoir lequel rĂ©veillait lâautre.
Charles sent le corps de Laurence contre son ventre, et Laurence sent le membre de Charles dressĂ© entre ses fesses. Il entoure le corps de Laurence de ses bras et elle sent ses mains sur ses seins et ses bras qui la tirent vers lui, elle sent les mouvements des mains de Charles, il abaisse leurs pantalons, il lui retire sa culotte, et glisse sa bite entre ses fesses elle sent la pointe de la bite qui glisse de bas en haut et de haut en bas, elle ne sait par oĂč il va la pĂ©nĂ©trer mais tout ce quâelle veut câest quâil la prenne, quâil enfonce sa queue en elle, elle Ă©carte les fesses, sâouvre, sa fente, son cul : « Choisit mais entre, enfonce lĂ âŻ! »
Câest Ă ce moment quâelle crie : il la sodomise, il a pris son cul, quâelle offrait, ouvrait, et la pointe de sa bite est entrĂ©e, et il pousse, il la tire contre lui, par les hanches : « Viens », et elle se donne, elle se laisse tirer vers lui, elle lâaccompagne, elle pousse sa croupe vers lui, elle sâempale sur sa bite et elle crie quand il force. Il finit par ĂȘtre en elle. Elle ne se donne pas assez pour jouir, il la prend pour trouver un exutoire Ă sa nervositĂ© et retomber dans son sommeil. Et Ă peine a-t-il vidĂ© ses couilles quâils se rendorment.
Avant dâaffronter le jour ils recommencent. Câest Laurence qui entreprend dâexciter Charles, pour quâil se perde dans ses yeux, pour quâil la prenne, la fasse sienne. « Prends-moi, comme si tu prenais possession de moi, fais-moi tienne, marque-moi, mords, fais moi crier mais mords moi, marque moi, partout oĂč tu veux, baise-moi, jâai besoin de tout ça avant dâaller voir ce qui sâest passĂ©. »
De lui-mĂȘme il aurait fait tout çaâŻ! Il la dĂ©nude dans la tente qui commence Ă se rĂ©chauffer au soleil, il met des marques de ses dents sur tout son corps, il utilise tous ses orifices, et elle le finit en le branlant sur ses seins.
Il est dix heures, ils ont pliĂ© la tente, et partent Ă lâexploration des alentours, oĂč ils ne trouvent rien, ni vĂȘtements, ni trace de quoi que ce soit. Il nây a pas vraiment de ravins ou elle aurait pu disparaĂźtre sans laisser de traces dans les environs immĂ©diats. Il nây a pas de raison de penser quâelle se soit enfuie seule dans le brouillard.
DĂšs quâil y a du rĂ©seau Charles appelle des secours, et un peu plus tard lâhĂ©licoptĂšre arrive. Une gendarme les interroge, de temps en temps son regard se pose et reste sur les traces laissĂ©es par Charles, qui ne sont pas discrĂštes.
« Elle est partie mais nous ne voyons aucune trace, sinon son sac qui est ici, mais sans son duvet, vous pouvez lâexpliquerâŻ? »
"Pouvez-vous me dire ce que vous savez dâelleâŻ?"
« Savez-vous ce quâelle faisait avant de vous avoir rencontrĂ© dans le train lâan dernierâŻ? »
« DâoĂč veniez-vousâŻ? Vous y Ă©tiez avec un amiâŻ? Pourquoi vous ĂȘtes-vous sĂ©parĂ©sâŻ? Il vous a trompĂ©âŻ? Vous ĂȘtes restĂ©e avec lui parce que vous ne vouliez pas randonner seuleâŻ? »
« Que sâest-il passĂ© lors de la nuit dans cette cabaneâŻ? »
 « Donc on peut penser que votre ami Louis est parti seul pour se venger de la nuit que vous lui avez infligée� »
« Aurait-il pu emporter le duvet de votre amie� »
« Et les marques que je vois, qui vous les a faites� Quand� »
« Jâai la rĂ©ponse Ă nos questions aux services de lâĂ©tat civil : elle nâexiste pasâŻ! Son nom est inconnu de lâEtat Civil »
 « Que sâest-il passĂ© hier aprĂšs la tombĂ©e du brouillardâŻ? Votre amie sâest accouplĂ©e Ă un loup et sâest transformĂ©e en louve, câest bien çaâŻ? »
« Donc une femme dont vous ne savez rien a disparu dans le brouillard en se transformant en louve� »
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