Il La Caresse Sous La Table

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Création : 24/04/2011 à 22:09
Mise à jour : 12/07/2012 à 18:10
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Les caresses sous la table ne doivent pas être trop appuyées car il s'agit juste de ramener le désir chez l'autre. Et le jeu de la séduction sous la table est mille fois plus excitant lorsqu'il s'agit d'un lieu public. Utilisez d'abord vos pieds, oui les pieds, qui ont l'avantage d'être déjà sous la table, donc vous pouvez atteindre les jambes de votre partenaire plus facilement. Ne vous déchaussez pas. Maintenez vos chaussures sur place et, avec le bout du pied, frottez légèrement les chevilles du partenaire. Les chevilles sont des points très sensibles chez les deux sexes et très chatouilleux aussi. Donc c'est ici que le jeu de la séduction doit commencer. Ce qui compte à l'heure de séduire c'est de transmettre un message coquin sans pour autant avoir l'air d'une désespérée. Tout doit se dérouler calmement, avec des gestes très doux, presque imperceptibles pour ceux qui auraient l'audace de vous épier. Le jeu de la séduction s'appuie donc sur deux principes importants : délicatesse et persévérance. Par exemple, si vous brûlez d'envies de le caresser mais votre chéri se montre plutôt timide et vous gronde de vous déchaîner comme ça dans un endroit public, insistez jusqu'à ce qu'il se détende et vous laisse faire. Cet aspect de la séduction relève aussi de la confiance mutuelle. Vous devez lui inspirer assez de confiance pour qu'il soit sûr que vous n'allez pas vous déshabiller ou faire des conneries en plein milieu du restaurant. :P Lorsque le “four est chaud”, utilisez vos mains. Les mains ont l'avantage d'être beaucoup plus sensibles que les pieds, mais elles ont toujours tendance à franchir les limites de la bienséance. Si vous passez aux mains (au sens sensuel du terme) la partie de caresses intimes risque de se transformer en scandale. Donc soyez prudents si vos doigts ne peuvent plus se contrôler. Je vous conseille de laisser les génitaux de côté, pendant vos caresses sous la table. Oui, soyez moins explicite et caressez plutôt la face interne des cuisses ou les genoux, en lâchant le corps de votre partenaire dès que les signes de l'excitation se font sentir. Puis revenez à la charge une fois que ces signes s'estompent un peu, afin de ne pas le faire exploser. Il faut maintenir un même état d'excitation de base, et ne passez au-delà que lorsque vous serez tous seuls, dans votre chambre. Ça le fera bander immédiatement je vous l'assure ou bien, s'il s'agit de Madame, elle va mouiller sans plus tarder. Rappelez-vous que les points érogènes ne sont pas forcément situés entre les jambes! Et je m'arrête là, j'espère que ces conseils pour maîtriser l'art de caresser sous la table vous seront utiles. À vous de me dire ce que vous pensez du jeu de la séduction.





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# Posté le jeudi 28 avril 2011 02:41
Modifié le jeudi 28 avril 2011 14:43

Exotique-Erotique ,
Posté le lundi 06 juin 2011 11:51


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24 décembre 2007 à 15h41


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Mon doigt pressa légèrement le vaporisateur et une giclée de parfum vint se déposer sur mon cou, rasé de près pour l'occasion. -"Antoine, t'aurais pas vu mon collant beige? Celui avec les paillettes..." -"Tu veux pas un string doré plutôt ? Bling-bling à souhait?" Elle me regarde, appuyée sur le bord de la porte de la salle de bain. -"C'est pas mes fesses que je vais montrer à ta grand-mère!" Elle est magnifique, dans sa petite robe bustier aux reflets dorés, ses longues jambes nues lui donnant un air de gazelle. Je jette un dernier regard à la glace avant de lui répondre. -"Si tu savais comment ça me saoule d'aller la bas...Tu va voir, on va encore avoir le droit aux histoires interminables de mon oncle et de son chenil à la c**, après ce sera le palmarès des plus belles victoires de mémé Simone au Scrabble..." Elle s'avance vers moi en souriant. -"Allez c'est ta famille, tu les vois qu'une fois par an." Elle met ses mains sur ma taille. Je l'embrace. Mes mains commencent à courir le long de son dos, puis ses jambes... -"Bon, on va être en retard." Elle s'écarte de moi, le regard incitateur, un sourir charmeur aux lèvres. -"Je te jure que si mon cousin Bart passe la soirée à te reluquer les fesses, je lui colle un bonne fois pour toute ma main dans la..." -"Et si ça me plait à moi ?" Elle s'est de nouveau rapprochée, sa main maintenant posée sur mon sexe. Je le sens qui commence à se réveiller. J'avance mes lèvres vers elle, elle fait mine de les attendre, et recule en riant au dernier moment. -"Allez Dom Juan, va chercher ta Beau-gosse mobile, je t'attends en bas." Popol, déçu, repique du nez. J'attrape mes clés de voiture. Mais au fait, elle ne l'a pas mis son collant finalement... Arrivage chez mémé. Bisous qui piques de mémé, bisous qui rappe du cousin Alphonse (le pauvre toujours autant d'acnée, il doit pas serrer beaucoup), bisous qui laissent des traces de maman, bisous mouillée de Chloé (3ans). Après les "qu'est-ce-qu'il-a-grandit",et les "mais-qu'est-ce-que-tu mange-ma-pauvre" de coutume, tout le monde passe au salon pour l'apéro. J'arrive à me glisser entre ma mère et ma copine. J'ai trop envie de l'embrasser. Elle joue bien, la petite, je savais pas qu'elle s'intérressait à l'élevage des bosserons. Sa robe remonte jusqu'a la moitié de ses cuisses. Je suis sur que si elle ne fermait pas les jambes, pépé pourrait voir son string. Cette pensée me fait sourire. Je pose une main sur sa cuisse. Elle ne frémit même pas. Je remonte ma main petit-à-petit. Elle ne bronche toujours pas. Ce n'est qu'en voyant le regard du cousin Bart visé sur son entrejambe qu'elle repousse ma main et se lève. Elle ne cache vraiment rien cette table basse. Elle revient quelque instant après. Elle se rassoit tout en complimentant chaleureusement ma mère sur sa broche. Je sens un petit morceau de tissu humide contre ma main. Je fourre rapidement son string dans ma poche espérant que personne n'a rien vu. Si même le cousin Bart à reporté son attention sur les cacahouètes, c'est que ça doit être bon. Je la regarde l'air ahuri. Elle me jette rapidement un regard coquin. A présent, elle tient ses genoux parfaitement serrés, de nouveau absorbée par l'art de la composition des bouquets séchés. "Petite garce" pensais-je, le sourire jusqu'aux oreilles.
Tien... t'as mis un S à reveillon... comme si tu voulais en faire un verbe, et comme chacun sait y'a que des lapsus révelateurs... C'est bien, c'est tout simple, mais j'aime bien...
Tien... t'as mis un S à reveillon... comme si tu voulais en faire un verbe, et comme chacun sait y'a que des lapsus révelateurs... C'est bien, c'est tout simple, mais j'aime bien...
Mais oui!! Mais oui, diner du "réveillons!"...De réveillonner...Non je l'avoue ce n'est qu'une grossière faute d'ortographe, de quoi se faire retourner le père Freud dans sa tombe!!
Mais oui!! Mais oui, diner du "réveillons!"...De réveillonner...Non je l'avoue ce n'est qu'une grossière faute d'ortographe, de quoi se faire retourner le père Freud dans sa tombe!!
Suite La savoir sans rien sous sa robe, le minou à l'air me revigore l'entre jambe. Je place discrètement une serviette en papier sur mes genoux, histoire de ne pas exiber toute ma masculinité à ma mère, toujours à ma gauche. Je me rapproche de Marion, et je tente de glisser une main sous es fesses. Je la voie sourire mais au moment ou j'allais laisser ma main migrer vers sa chatte, ma grand-mère annonce que le repas est servi. Avec un petit soupir, je suis ma moitié jusqu'à la table. Deux imposants chandelier trônent aux beau milieu d'une nappe brodée, blanche comme neige. Nous nous asseyons. J'attrape Marion par la taille. -"Tu te met à coté de moi hein?" J'ai l'impression d'être un gamin...Je sent le désir qui monte. Je vois ses petites fesses nues se poser sur une chaise à ma droite. Ses yeux brillent, elle sourit. A table les conversations reparte de plus belle. Je sent que je vais être obligé de parler de mon désastre personnel en fac de chimie, je vais pas y couper. Elle par contre, elle est à l'aise... Je l'observe un moment. Ses lèvres glossées brillent à la lueur des chandelles, quelques mèches de cheveux blond tombent sur son frond. De nouveau, je pose ma main sur sa cuisse. Puis, je remonte vers son entre-jambe. Son visage ne laisse rien transparaitre. Elle est toujours absorbée par la conversation. Mes doigts sont à présent bien au chaud, entre ses cuisses. Je sens qu'elle est humide. Je commence à caresser sa toison pubienne avec mon index. -" Et toi mon chou, comment ça se passe la fac ?" P**in j'en était sur... -"Euh bah...c'estun peu dur quoi..." Mes doigts voyagent maintenant vers son clito. J'écarte doucement les lèvres. -"Disons que...il y a beaucoup de chose à faire..." Et ma mère de rajouter. -"Bah 'faut dire qu'i ne fait ma grand chose." Je sens le petit bouton se durcir. Sa respiration s'accélère. Je dissimule un sourir en baissant la tète. -"Franchement, je vois pas ce qu'il y a de drôle, tu va voir au partielles..." Les mains de Marion sont à présent crispées sur sa serviette. Elle à l'air de faire de gros effort pour garder un souffle paisible. Elle est trempée. Mon index caresse son clito, titillant le petit bouton, allant et venant langoureusement, l'entourant, le stimulant. -"Hmmmm" Tout les regard se sont tournés vers elle. Je sait qu'elle se maudit d'avoir laissé échapper cette douce plainte de plaisir. Elle rougit brusquement. J'étouffe un rire dans ma serviette. -"Je...je trouve ce foie gras a...absolument délicieux. Euh...c'est rare d'en goûter de si bon..." Des gouttes de sueur commencent à perler sur ses tempes. Elle halète très doucement maintenant. Je la sent basculer son bassin un peu plus avant pour permettre à ma main une plus grande liberté. Loin de m'en privée, je joinds mon majeur à mon index. Mes doigts glissent vers son vagin. Ils y penètrent avec une facilité surprenante. J'accélère le rythme de mon poignet en la regardant. Elle fixe un point au dessus de l'épaule de mon oncle, l'air hagard. Elle tente de reprendre la conversation, mes ses mots peines à sortir.
Vous ne trouvez pas votre réponse ?
Suite La savoir sans rien sous sa robe, le minou à l'air me revigore l'entre jambe. Je place discrètement une serviette en papier sur mes genoux, histoire de ne pas exiber toute ma masculinité à ma mère, toujours à ma gauche. Je me rapproche de Marion, et je tente de glisser une main sous es fesses. Je la voie sourire mais au moment ou j'allais laisser ma main migrer vers sa chatte, ma grand-mère annonce que le repas est servi. Avec un petit soupir, je suis ma moitié jusqu'à la table. Deux imposants chandelier trônent aux beau milieu d'une nappe brodée, blanche comme neige. Nous nous asseyons. J'attrape Marion par la taille. -"Tu te met à coté de moi hein?" J'ai l'impression d'être un gamin...Je sent le désir qui monte. Je vois ses petites fesses nues se poser sur une chaise à ma droite. Ses yeux brillent, elle sourit. A table les conversations reparte de plus belle. Je sent que je vais être obligé de parler de mon désastre personnel en fac de chimie, je vais pas y couper. Elle par contre, elle est à l'aise... Je l'observe un moment. Ses lèvres glossées brillent à la lueur des chandelles, quelques mèches de cheveux blond tombent sur son frond. De nouveau, je pose ma main sur sa cuisse. Puis, je remonte vers son entre-jambe. Son visage ne laisse rien transparaitre. Elle est toujours absorbée par la conversation. Mes doigts sont à présent bien au chaud, entre ses cuisses. Je sens qu'elle est humide. Je commence à caresser sa toison pubienne avec mon index. -" Et toi mon chou, comment ça se passe la fac ?" P**in j'en était sur... -"Euh bah...c'estun peu dur quoi..." Mes doigts voyagent maintenant vers son clito. J'écarte doucement les lèvres. -"Disons que...il y a beaucoup de chose à faire..." Et ma mère de rajouter. -"Bah 'faut dire qu'i ne fait ma grand chose." Je sens le petit bouton se durcir. Sa respiration s'accélère. Je dissimule un sourir en baissant la tète. -"Franchement, je vois pas ce qu'il y a de drôle, tu va voir au partielles..." Les mains de Marion sont à présent crispées sur sa serviette. Elle à l'air de faire de gros effort pour garder un souffle paisible. Elle est trempée. Mon index caresse son clito, titillant le petit bouton, allant et venant langoureusement, l'entourant, le stimulant. -"Hmmmm" Tout les regard se sont tournés vers elle. Je sait qu'elle se maudit d'avoir laissé échapper cette douce plainte de plaisir. Elle rougit brusquement. J'étouffe un rire dans ma serviette. -"Je...je trouve ce foie gras a...absolument délicieux. Euh...c'est rare d'en goûter de si bon..." Des gouttes de sueur commencent à perler sur ses tempes. Elle halète très doucement maintenant. Je la sent basculer son bassin un peu plus avant pour permettre à ma main une plus grande liberté. Loin de m'en privée, je joinds mon majeur à mon index. Mes doigts glissent vers son vagin. Ils y penètrent avec une facilité surprenante. J'accélère le rythme de mon poignet en la regardant. Elle fixe un point au dessus de l'épaule de mon oncle, l'air hagard. Elle tente de reprendre la conversation, mes ses mots peines à sortir.
Judepeach... T'es une nana si je ne m'abuse ou alors j'ai pas tout suivi... En tout cas si tu es bien une nenette comme je le pense, saches que le transfert de personnalité que tu exerces au sein de ton texte opère à merveille...
Suite La savoir sans rien sous sa robe, le minou à l'air me revigore l'entre jambe. Je place discrètement une serviette en papier sur mes genoux, histoire de ne pas exiber toute ma masculinité à ma mère, toujours à ma gauche. Je me rapproche de Marion, et je tente de glisser une main sous es fesses. Je la voie sourire mais au moment ou j'allais laisser ma main migrer vers sa chatte, ma grand-mère annonce que le repas est servi. Avec un petit soupir, je suis ma moitié jusqu'à la table. Deux imposants chandelier trônent aux beau milieu d'une nappe brodée, blanche comme neige. Nous nous asseyons. J'attrape Marion par la taille. -"Tu te met à coté de moi hein?" J'ai l'impression d'être un gamin...Je sent le désir qui monte. Je vois ses petites fesses nues se poser sur une chaise à ma droite. Ses yeux brillent, elle sourit. A table les conversations reparte de plus belle. Je sent que je vais être obligé de parler de mon désastre personnel en fac de chimie, je vais pas y couper. Elle par contre, elle est à l'aise... Je l'observe un moment. Ses lèvres glossées brillent à la lueur des chandelles, quelques mèches de cheveux blond tombent sur son frond. De nouveau, je pose ma main sur sa cuisse. Puis, je remonte vers son entre-jambe. Son visage ne laisse rien transparaitre. Elle est toujours absorbée par la conversation. Mes doigts sont à présent bien au chaud, entre ses cuisses. Je sens qu'elle est humide. Je commence à caresser sa toison pubienne avec mon index. -" Et toi mon chou, comment ça se passe la fac ?" P**in j'en était sur... -"Euh bah...c'estun peu dur quoi..." Mes doigts voyagent maintenant vers son clito. J'écarte doucement les lèvres. -"Disons que...il y a beaucoup de chose à faire..." Et ma mère de rajouter. -"Bah 'faut dire qu'i ne fait ma grand chose." Je sens le petit bouton se durcir. Sa respiration s'accélère. Je dissimule un sourir en baissant la tète. -"Franchement, je vois pas ce qu'il y a de drôle, tu va voir au partielles..." Les mains de Marion sont à présent crispées sur sa serviette. Elle à l'air de faire de gros effort pour garder un souffle paisible. Elle est trempée. Mon index caresse son clito, titillant le petit bouton, allant et venant langoureusement, l'entourant, le stimulant. -"Hmmmm" Tout les regard se sont tournés vers elle. Je sait qu'elle se maudit d'avoir laissé échapper cette douce plainte de plaisir. Elle rougit brusquement. J'étouffe un rire dans ma serviette. -"Je...je trouve ce foie gras a...absolument délicieux. Euh...c'est rare d'en goûter de si bon..." Des gouttes de sueur commencent à perler sur ses tempes. Elle halète très doucement maintenant. Je la sent basculer son bassin un peu plus avant pour permettre à ma main une plus grande liberté. Loin de m'en privée, je joinds mon majeur à mon index. Mes doigts glissent vers son vagin. Ils y penètrent avec une facilité surprenante. J'accélère le rythme de mon poignet en la regardant. Elle fixe un point au dessus de l'épaule de mon oncle, l'air ha
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