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Jean
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26 déc. 2019 à 01:21
Sourisverte2
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26 déc. 2019 à 10:04
Je vais vous raconter une histoire il s'est passée chez moi.un jour mon père est allé au travail et ma mère m'a surpris en train de regarder du porno la nuit mais on dirait qu'elle aime ça et le lendemain mon père répartit au travail et ma mère m'a retrouvé dans les toilettes en train de faire la douche et elle m'a provoquée et n'a fait l'amour et la nuit j'ai même dormit dans sa chambre quand mon père n'y était pas
Et depuis lors je m'inquiète beaucoup et je demande est ce qu'il ne peut pas nous arriver quelques problèmes ou maladies
Il faut poster sur le Forum Santé stp
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dimanche 04 septembre 2022, Sainte Rosalie
La justice agenaise a condamné une mère de famille reconnue coupable de ne pas avoir dénoncé son fils incesteux.
DDM - DDM JEAN MICHEL MAZET
Justice , Lot-et-Garonne
Publié le 02/09/2022 à 15:36
, mis à jour
à 15:36
Stéphane Bersauter
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l'essentiel
Une mère de famille a découvert les relations contraintes de son fils avec sa fille. Elle n’a rien dit. Elle est condamnée à de la prison avec sursis.
Jusqu’où peut aller l’amour d’une mère ? C’est une question sans réponse mais elle a été posée hier dans une salle d’audience du palais de justice d’Agen. Le tribunal judiciaire a fourni une réponse mais elle n’est que pénale : 15 mois de prison avec sursis pour une femme de 42 ans, condamné pour « non-dénonciation d’agressions sexuelles. » Elle avait la parole en dernier avant la décision du tribunal, et dit « regretter » de ne pas avoir dénoncé son propre fils.
Renvoyant chacun devant son miroir pour savoir ce qu’il ferait, ce dossier judiciaire n’est qu’une partie visible de l’iceberg. La mère a été violée en foyer d’accueil quand elle avait 14 ans, sa sœur a subi le même sort dans le cercle familial. La mère encore vivait avec les enfants d’une première union quand en septembre 2020 une enquête pour viols incestueux est ouverte contre son nouveau compagnon.
Pour viols et agressions sexuelles, le beau-père doit dans les prochains mois être renvoyé devant la cour d’assises de Lot-et-Garonne. Il est en détention provisoire à Mont-de-Marsan et le cœur a des raisons que la raison ignore : sa compagne l’a suivi pour pouvoir le voir en détention. « Mais il n’est pas question qu’il revienne à la maison » lâche la mère de famille, qui se débat dans ses explications à la barre pour tenter d’expliquer pourquoi.
Au hasard d’une confiscation du téléphone de son fils, elle découvre l’innommable. Des images de ce dernier avec sa sœur, des vidéos. Ce sont des atteintes sexuelles, elle a huit ans il en a quinze. La mère aurait pu entrer en contact avec les gendarmes, dénoncer les exactions de son fils. « Je ne voulais pas qu’il ait un casier judiciaire pour la suite de sa vie » explique la mère devant ses juges. Elle oublie alors la victime, sa propre fille.
L’association la Mouette s’est constituée partie civile pour la petite, qui a fait sa rentrée au collège. Me Severac le rappelle comme une évidence, « en parler, dénoncer lui aurait permis (à la jeune fille, NDLR) d’avoir sa place de victime. Mais ne pas en parler l’a maintenue dans le silence. » Pour le ministère public, la procureure de la République le dit avec d’autres mois, « un adulte responsable est là pour faire les bons choix. Il fallait sauver votre fille et vous ne l’avez pas fait. »
Elle aurait dû le faire, dit aussi Me Grolleau pour la défense. « C’est tellement évident quand on est étranger à l’affaire. » L’avocate évoque un « conflit d’affection » pour justifier l’attitude de la mère. « Pour elle, dénoncer c’était le mettre en prison. » La justice des mineurs est saisie. Sous une forme ou sous une autre, le frère incestueux pourrait avoir à rendre des comptes.
Sa mère qui l’a protégé est condamnée, regrette, et pose la question de la responsabilité parentale. Cette audience publique en pose une autre : qui aurait fait quoi ?
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Bulletin de psychologie Année 1994 47-416 pp. 426-431
Orgiazzi-Forestier Isabelle. Le TAT de l'univers familial. Analyse comparée de quelques planches d'un enfant, de son père et de sa mère. In: Bulletin de psychologie , tome 47 n°416, 1994. Etudes et recherches en psychologie projective V. pp. 426-431.
BULLETIN DE PSYCHOLOGIE Tome XLVII -N° 416
Analyse comparée de quelques planches d’un enfant , de son père et de sa mère
Tout enfant est peu ou prou le support des fan¬ tasmes de ses parents mais «tout dépend juste¬ ment de l’organisation topique, économique, et dynamique de cette vie fantasmatique et de ce qu’elle reflète de la nature et du niveau d’organi¬ sation de la relation avec les figures parentales » (P. Jeammet, 1980, p. 623).
Nous avons cherché à savoir s’il existe des rela¬ tions entre l’activité projective de l’enfant et celle de ses parents. Le problème que nous posons est ainsi celui de l’évaluation, à l’aide des techniques projectives TAT et Rorschach, de la présence des traces de la fantasmatique parentale dans la fan¬ tasmatique individuelle à travers le processus de filiation psychique, la psyché se transmettant et se perpétuant peut-être au-delà de la transmission biologique des corps et de la consanguinité.
Manuel est un garçon âgé de onze ans vu en bilan psychologique à la demande de l’enseignant du CM2 en raison de difficultés scolaires impor¬ tantes et globales en début d’année scolaire ; les années précédentes, Manuel a suivi une scolarité dans divers établissements de plusieurs pays fran¬ cophones où la famille a séjourné.
Mais ces difficultés scolaires se joignent surtout à des troubles du comportement que l’enseignant qualifie de «bizarre » chez cet enfant, surnommé «l’étranger » par les autres à cause de l’origine de sa mère (anglo-saxonne) mais aussi en raison de l’étrangeté de ses attitudes : il pleure ou se montre très agressif et injurieux quand une acti¬ vité collective est mise place en classe, qu’il refuse systématiquement, se mettant alors en retrait du groupe ; il ne veut jouer qu’avec les filles plus peti¬ tes de l’école, le jeu répétitif qu’il propose alors étant de «vérifier si elles ont des oreilles », jeu
qui lasse rapidement celles-ci, Manuel se retrou¬ vant isolé et passif dans la cour de récréation ; il refuse de plus toute sortie en dehors du cadre scolaire (promenade, visite etc.) disant, terrorisé, que des monstres peuvent l’attaquer et le décou¬ per pour le manger.
Sur la base de ces éléments, nous pratiquons avec l’accord des parents, un bilan psychologi¬ que comprenant la passation des tests TAT et Rorschach, tous deux très perturbés. L’analyse nous oriente vers l’hypothèse d’un fonctionne¬ ment de type psychotique. Un soutien psychothé¬ rapique semble nécessaire et une rencontre avec les parents et Manuel est fixée. (Notons que la fra¬ trie est composée de Manuel et de deux jumelles âgées de deux ans).
Le père se présente comme artiste peintre à la recherche actuellement d’un emploi, tout en disant qu’il ne peut conserver longtemps un même tra¬ vail parce que «vivre en société (l’)agace ». Il pense que Manuel a quelques difficultés scolai¬ res parce qu’il est nouveau et se montre très accu¬ sateur de l’enseignant qu’il qualifie de «mauvais français comme on dit au Canada » et de «gros porc »... Il se dit toutefois satisfait de faire le point sur l’évolution de son fils : «j’ai l’impression d’avoir un devis pour Manuel » et «la psycholo¬ gie c’est très bien parce que c’est moderne ».
La mère nous dit que Manuel ne présente pas à son avis de troubles particuliers, si ce n’est un problème d’adaptation à sa nouvelle école. Il n’y a plus de difficultés comme lorsque Manuel était petit : «c’était un enfant terrible, il cassait tout chez les gens à deux ans, il était hyperactif, même bébé, alors qu’actuellement il n’ose même plus regarder dans les yeux ».
(*) 15 chemin de Jaillères -38240 Meylan.
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