Il Baise Son Plan Cul

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Il Baise Son Plan Cul
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Brigitte Lahaie retourne au porno Ă  64 ans "une derniĂšre fois"
3 femmes disent pourquoi elles ont franchi le pas de l'infidélité
Sexe dans une smart, cierge au SacrĂ©-CƓur ou chambre uniquement tapissĂ©e de miroirs en Argentine: neuf femmes nous livrent leur session cul la plus Ă©trange.
SEXUALITÉ - Les coups d’un soir, c’est un peu la loterie. Parfois on tombe sur une perle, d’autres sur un·e partenaire qu’on aimerait bien oublier Ă  jamais. Et puis il y a aussi toutes ces anecdotes dont on se souvient en souriant, tant le contexte nous Ă©tonne encore. Le genre de plans qu’on se raconte aprĂšs deux verres pour faire marrer l’assemblĂ©e.
On a demandé à neuf jeunes femmes de nous confier leurs histoires éphémÚres les plus insolites, et le cru est juteux. Une chose est sûre, on ne pensera plus jamais au Quatorze Juillet comme avant.
“C’était en premiĂšre annĂ©e d’étude, via Tinder ou une plateforme du genre. Je parlais pas mal avec un mec et on a dĂ©cidĂ© d’aller boire un verre. En arrivant, dĂ©jĂ , il ne me plaisait pas du tout physiquement! Je me suis mĂȘme demandĂ© si je n’allais pas faire demi-tour. Et puis finalement je me suis dit ‘allez, vas-y!’.
Pendant tout le rendez-vous, j’étais persuadĂ©e que ça ne le ferait pas du tout. Mais au moment de partir, je ne sais pas... Il a un peu insistĂ© pour qu’on poursuive la soirĂ©e et moi comme ça faisait longtemps que je n’avais pas couchĂ© avec quelqu’un, j’étais partante. Je savais que je ne le reverrai pas alors pourquoi ne pas en profiter!
Sauf qu’en fait, il habitait loin, et moi je devais commencer les cours tĂŽt le lendemain. Du coup, on l’a fait dans sa Smart, la voiture. C’était complĂštement improbable. On a essayĂ© de trouver une rue pas trop passante dans Paris et on a fait notre affaire. Ensuite, je suis rentrĂ©e en RER. Mes collants Ă©taient trouĂ©s : une vraie Walk of Shame. On ne s’est plus jamais parlĂ© aprĂšs: emballĂ©, c’est pesĂ©!”
“C’était Ă  une soirĂ©e de boulot, oĂč on buvait beaucoup. C’était sympa, on rigolait bien. Et comme toutes les soirĂ©es de boulot, part une premiĂšre personne, puis une deuxiĂšme personne... Restent toujours ceux qui sont cĂ©libataires et qui aiment picoler. Donc je me suis retrouvĂ©e seule avec - on va l’appeler ‘Monsieur X’ - Ă  boire des coups. Quand, patatras!, il m’a embrassĂ©e. Pendant la soirĂ©e, j’avais dĂ» dire que je n’étais jamais allĂ©e Ă  la basilique de Montmartre, et que j’aimerais beaucoup la visiter.
Bonne pioche, lui avait Ă©tĂ© y faire du bĂ©nĂ©volat et adorait cet endroit. Nous nous y sommes rendus en moto (pas bien, je sais). Il devait ĂȘtre sept heures du matin. Je crois mĂȘme qu’on a posĂ© un cierge et fait un signe de croix. Et puis on est allĂ©s prendre un cafĂ© et on est rentrĂ©s chez moi. Absurde”.
“J’étais en voyage post-Ă©tudes Ă  Buenos Aires avec ma meilleure amie. Dans l’avion, on s’était promis de ne jamais se sĂ©parer ni de rentrer avec des inconnus. Le premier soir, on s’est sĂ©parĂ©es et on est rentrĂ©es chacune avec un inconnu. Le sien Ă©tait un JamaĂŻcain en vacances dans la mĂȘme auberge que nous, le mien l’un des employĂ©s de ladite auberge.
Le deuxiĂšme soir, je suis sortie en boĂźte avec lui, et au moment de rentrer dans son appartement, il me dit que c’est impossible car sa sƓur et son neveu y dorment, mais qu’on peut aller Ă  l’hĂŽtel. Pleine de confiance, je le suis. On arrive dans un hall Ă©clairĂ© au nĂ©on rose avec capotes sur le comptoir. Il demande une chambre pour deux heures: ça annonce la couleur.
On y entre et Ă  la place du papier peint, sur les murs, il n’y avait que des miroirs. Partout, mĂȘme au plafond. On a fait l’amour en levrette et je l’ai vu se mater sur la porte (aussi miroir) de la salle de bain. Je me suis endormie une demi-heure, et quand je me suis rĂ©veillĂ©e, il Ă©tait en train de renifler ma culotte. Je crois qu’on n’a pas recouchĂ© ensemble aprĂšs ça.”
“C’était une soirĂ©e sur la plage, lorsque je voyageais Ă  Mancora, au PĂ©rou. J’avais bu du Pisco dans une noix de coco. J’étais saoule, forcĂ©ment. Avec mes copines on avait rencontrĂ© une bande de surfeurs du coin, dont un, qui s’appelait Luis, il me semble. On a sympathisĂ©, et on a fini par coucher ensemble sur la plage. On est allĂ©s se baigner Ă  poil aprĂšs, mais rien de trĂšs romantique: je devais rester au sec au-dessus de la taille Ă  cause d’un eczĂ©ma attrapĂ© sur place.
Bref, je suis rentrĂ©e complĂštement saoule Ă  l’auberge de jeunesse oĂč je logeais, j’ai dormi en me disant que je n’en entendrai plus parler. Sauf que le lendemain, il a dĂ©barquĂ© au petit-dĂ©j’ en venant me chercher pour le cours de surf que j’avais apparemment acceptĂ© qu’il me donne la veille. Il m’a appelĂ©e ‘bĂ©bé’ devant tout le monde et j’ai cru mourir de honte”.
“J’avais rencontrĂ© ce mec Ă  une soirĂ©e d’échange linguistique et culturel - le genre d’évĂ©nement oĂč tu vas pour choper. Je le vois, il est brun, tĂ©nĂ©breux, il a la mĂšche, les tatouages. Il est beau, on a l’impression qu’il sort d’une scĂšne de film. Je le croise en partant alors que j’allais au vestiaire, on commence Ă  se parler, Ă  flirter. On s’écrit pendant plusieurs jours... Et je me rends compte que je ne sais pas quel Ăąge il a. J’avais 33 ans Ă  l’époque, il finit par me dire qu’il en a 23. Je me dis que c’est une trop grande diffĂ©rence d’ñge, je suis prĂȘte Ă  tout arrĂȘter; c’est un bĂ©bĂ©. Mais il me lance ‘tu vas voir Ă  quel point je ne suis pas un bĂ©bé’. J’ai des frissons d’excitation de partout, alors je lui laisse une chance.
On finit par se voir et par prendre un verre. Il me fait bien comprendre qu’il est fauchĂ©, donc je paye toutes les boissons. On boit, il est hyper tactile. Moi je n’en peux plus, j’ai envie de lui et qu’on aille chez moi. Je lui propose, comme il n’a plus de sous, qu’on poursuive la soirĂ©e dans mon appartement car j’ai de quoi boire Ă  la maison. On y va.
C’était trĂšs caliente. Il sentait bon, il avait mis du parfum, une chemise blanche : j’étais hyper motivĂ©e. On s’embrasse, et lĂ  je me dis: mauvais signe. Il m’embrasse... comment expliquer : comme une poule qui picore du maĂŻs. C’était atroce, je n’ai jamais eu pire baiser de ma vie. On dirait qu’il allait me pĂ©ter les dents, c’était juste pas possible.
On se retrouve dans mon lit, Ă  poil, et lĂ  je dĂ©couvre qu’il s’est rasĂ© de partout. Ça piquait sur le torse. Je commence Ă  l’embrasser un peu partout et Ă  lui tailler une pipe. Et lĂ , l’horreur: ça sent pas bon, une odeur de toilettes. J’essaie vraiment de l’occulter, mais je n’arrive pas Ă  me mettre dedans. Pour couronner le tout, il n’avait pas de prĂ©servatif, et le sexe Ă©tait nul. Il ne pensait pas du tout Ă  mon plaisir. Il a commencĂ© Ă  grogner, ça a durĂ© cinq minutes et c’était fini. C’était vraiment zĂ©ro.
ForcĂ©ment, j’avais envie qu’il parte, mais il voulait rester dormir, alors j’ai un peu cĂ©dĂ©. Grave erreur: il a pĂ©tĂ© toute la nuit j’ai mis 24 heures Ă  me dĂ©barrasser de l’odeur. Et en plus de ça, il n’a pas dĂ©campĂ© avant que je le dirige vers la porte Ă  13 heures le lendemain. Je ne l’ai Ă©videmment jamais revu, malgrĂ© ses relances”.
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Publié le 26/02/08 à 00h00
— Mis à jour le 26/02/08 à 18h44



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vendredi 02 septembre

Culture ScĂšnes d’amour intĂ©gral
Un festival de films français intitulé «Extreme love» s'est ouvert lundi à Tokyo, organisé avec le soutien de l'ambassade de France.
>> ATTENTION, LES VIDEOS DANS CET ARTICLE PEUVENT CHOQUER >>
Au programme: 24 courts-mĂ©trages et 4 films dont «Sombre» et «La vie nouvelle», du cinĂ©aste français Philippe Grandrieux; «Baise-moi» de Virginie Despentes et Coralie Trinh Thi et «Une vraie jeune fille» de Catherine Breillat, qui ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© diffusĂ©s au Japon mais avec plusieurs scĂšnes coupĂ©es ou floutĂ©es. Car dans ce pays d’Asie, la nuditĂ© intĂ©grale est interdite et les sĂ©quences de nu dans les films, japonais ou Ă©trangers, sont floutĂ©es au niveau du bas ventre, y compris pour les films X.
La vidéo de «Une vraie jeune fille»
Or exceptionnellement pour ce festival, il n’y aura aucune scĂšne censurĂ©e, pas mĂȘme les sĂ©quences qui montrent masturbation, fellation ou accouplement.
«La France jouit d'une libertĂ© en matiĂšre d'Ă©rotisme que j'apprĂ©cie beaucoup, dit Takashi Asai, prĂ©sident de la sociĂ©tĂ© Uplink, lĂ  oĂč sont projetĂ©s les films du festival. Dans le cinĂ©ma, nous ne sommes toujours pas libres au Japon», a-t-il regrettĂ©, en rappelant le cas du cinĂ©aste japonais Nagisa Oshima dont le film culte, «L'empire des sens», n'a toujours pas Ă©tĂ© montrĂ© dans sa version intĂ©grale au public japonais.
Takashi Asai est bien connu des responsables de la censure japonaise: il a fait la une des mĂ©dias la semaine derniĂšre aprĂšs qu’un verdict de la Cour suprĂȘme l'autorise Ă  importer au Japon un livre de nus du photographe amĂ©ricain Robert Mapplethorpe.
«C'est une pure coïncidence que ce festival de cinéma se tienne quelques jours seulement aprÚs le verdict», a assuré à l'AFP Asai, dont la société, créée en 1987, publie des livres d'art, produit et distribue des films et documentaires d'auteurs.

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