Il Baise Sa Prof D Anglais

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AsMoth , 27 juillet 2010 dans Histoires Ă©rotiques



- Thomas, tu viendras me voir Ă  la fin de l’heure
 on a des choses Ă  rĂ©gler ensemble !

Eh merde, terminale B, madame Courtney, ma prof d’anglais, va encore me filer un savon
 Mais j’aime pas l’anglais !

Au-delĂ  du fait que je n’étais pas trĂšs attentif durant ses cours, je pense que ce qui la mit hors d’elle cette fois-ci Ă©tait que j’étais plus occupĂ© Ă  mater ses jambes et son dĂ©colletĂ©, accessoirement de tenter d’intercepter un dĂ©croisement de jambes pour savoir ce qu’elle portait son sa jupe
 Mme Courtney Ă©tait une belle anglaise, blonde et drĂŽlement bien foutue pour l’ñge qu’elle devait approcher, Ă  savoir dans les quarante cinq ans. CĂ©libataire endurcie, pour le moins autoritaire, les cheveux en chignon, elle portait un gilet en-dessous duquel ses seins gonflĂ©s exaltaient, et une robe couleur taupe Ă  pois blancs. On Ă©tait en dĂ©but juin, Ă  quelques semaines du bac. Mme Courtney semblait plus Ă©nervĂ©e que nous encore Ă  l’approche de cet examen final, excĂ©dĂ©e par notre manque d’attention face Ă  Ă©vĂ©nement sensĂ© ĂȘtre majeur pour la suite de nos Ă©tudes.

Le cours d’anglais du mercredi Ă©tait le dernier de la matinĂ©e, et donc de la journĂ©e, puisque nous finissions Ă  midi. La cloche sonna, les Ă©lĂšves quittĂšrent la salle de classe plus vite qu’ils n’y Ă©taient entrĂ©s. Je restai en dernier, dĂ©jĂ  fermĂ© comme une huĂźtre Ă  l’idĂ©e de me faire sermonner.

- Thomas, viens Ă  mon bureau tout de suite. On a parler.

Je ne rĂ©pondis pas. Mme Courtney installa une chaise juste en face de son bureau et m’attendait de pied ferme. Je finis par me lever, et contrariĂ©, finis par m’asseoir. Et lĂ , je ne compris pas. Mme Courtney s’assit juste devant moi sur son bureau
 les cuisses amplement ouvertes puisqu’elle posa son pied droit dessus. Imaginez un peu ! J’avais la tĂȘte juste en face de son entrejamabes, outregeusement offert Ă  son Ă©lĂšve.

- Aller ! LĂ©che-moi ! me dit-elle en faisant un geste de la tĂȘte du style – qu’on en finisse, pas de discussion ! – me passant mĂȘme la main derriĂšre la tĂȘte.

Mon regard plongea par rĂ©flexe sur son intimitĂ© : Mme Courtney portait une culotte noire totalement transparente au niveau du pubis. Pas un poil. La cochonne ! ça alors Mme Courtney est coquette de la chatte ! me dis-je intĂ©rieurement. J’étais loin de mes surprises. Je relevai ensuite les yeux et bloqua ma tĂȘte en arriĂšre, marquant ma dĂ©sobĂ©issance. Mme Courtney leva le doigt, affichant sur moi son regard glacĂ© et autoritaire :

- Tu as intĂ©rĂȘt de faire ce que je te dis. Sinon, ça va mal se passer pour toi !

Elle marqua un nouveau temps d’arrĂȘt, cherchant mon regard pour y visser le sien.

- Crois-moi ! C’est la meilleure chose que tu ais à faire pour te faire pardonner. Ton comportement est inacceptable !

Mon regard Ă©tait maintenant Ă©perdu. Mon cƓur se mit Ă  battre de peur. Mes yeux redescendirent sur l’entrecuisses de Mme Courtney. Ainsi offerte, elle me paraissait odieusement femme et dĂ©sirable. Etais-je en train de faire un rĂȘve ? un cauchemar ?

La rĂ©alitĂ© des faits se confirma lorsque Mme Courtney leva sa jambe gauche et vint poser son mollet sur mon Ă©paule. Bordel de dieu ! Elle avait les cuisses ouvertes lĂ , devant moi, ma tĂȘte Ă  quelques dizaines de centimĂštres, n’attendant plus qu’à se faire dĂ©vorer la minette ! Comprenant que je coopĂ©rais, Mme Courtney afficha un sourire de satisfaction et prenant position, les bras tendu derriĂšre elle, elle fit glisser ses fesses jusqu’au bord du bureau, les jambes le plus Ă©cartĂ©es possibles
 et donc
 la chatte outrageusemenr offerte. Bien que le fond de sa culotte Ă©tait doublĂ©, celui-ci arborait une trace de mouille qui avait dĂ©jĂ  prit la forme de son sexe. Je n’en revenais toujours pas que Mme Courtney avait la chatte complĂštement lisse et rasĂ©e
 ce qui la rendit on ne peut plus appĂ©tissante. Ce style de punition, pour le moins inattendu, me convenait parfaitement, Ă  condition de ne pas en abuser. Mais Mme Courtney savait trĂšs bien que bandait pour elle, la coquine !

Alors, maladroit de par mon excitation mĂȘlĂ©e Ă  la peur, je passai mes mains sous sa culotte pour la mettre sur le cĂŽtĂ© de sa belle chatte. Je n’en revenais pas. Mme Courtney se laissait faire ! Sa chattre Ă©tait merveilleusement belle. Ses petites lĂšvres Ă©taient dĂ©jĂ  ouvertes et luisantes de cyprine. J’y appliquai immĂ©diatement toute la surface de la mangue, dĂ©licatement en douceur, ce qui fit immĂ©diatement gĂ©mir Mme Courtney de plaisir. Elle tapa mĂȘme du pied sur le bureau accompagnĂ© d’un « god ! ». Humm
 Quel beau et bon fruit de femme mĂ»re. Un sexe humide et odorant, dont les effluves emportaient la raison et laissaient place Ă  la pure excitation. Voyant Mme Courtney fondre ainsi de plaisir par mes coups de langue, une violente trique naquit dans mon boxer. Je m’attardai sur son bouton d’amour, Mme Courtney cambra le bassin pour mieux s’offrir, gĂ©missant de plaisir et me passant la main affectueusement derriĂšre la tĂȘte. Elle avait les cuisses plus ouvertes que jamais, affalĂ©e sur le bureau. Son ton autoritaire la quittait. Elle n’en avait plus la force ; ni le besoin Ă©galement. Je prenais un plaisir particulier Ă  ma punition, sans lever les yeux par signe de respect. Ceux-ci Ă©taient rivĂ©s sur le sexe de Mme Courtney qui me l’offrait si gĂ©nĂ©reusement. DĂ©jĂ  Ă  l’époque je fantasmais sur les femmes mĂ»res, imaginant des femmes dans tabous, sans limites dans le plaisir. Mme Courtney me dĂ©montrait que j’avais raison ! Quel pied de lĂ©cher la chatte d’une femme qui s’offre de la sorte ! « Oh ! it’s good ! » lĂącha-t-elle. Je prĂ©fĂ©rais mille ces cours de langue ci Ă  ceux donnĂ©s Ă  la classe ! Mme Courtney m’ouvrit mĂȘme son fruit en passant sa main sous sa cuisse pour que je m’enfonce plus profondĂ©ment en elle. Hum. Quel bon plat ! Elle rassasiait ma faim de sexe !

Mme Courtney se mit alors Ă  me parler :

- Tu sais Thomas, j’ai toujours su que tu avais d’immenses possibilitĂ©s ! Il te manque juste un peu d’attention, vois-tu ? Mais tu n’auras pas ton bas. En revanche , je pourrais t’aider, mais il faudra juste que cela reste entre nous, ok ?

Je fis oui de la tĂȘte. Elle me parlait alors que je continuais de la lĂ©cher, toute langue dehors. Ces paroles m’autorisĂšrent Ă  lever les yeux vers elle. Ce qui nous excita encore plus. La prof et son Ă©lĂšve soumis. Hummm. Sa vulve rosissait de plus en plus, luisante de mouille et de salive. Son odeur m’enivrait. Mme Courtney faisait aller son bassin lentement d’avant en arriĂšre, pour que ma langue parcoure bien tout son fruit. Je me rĂ©-attardai ensuite sur son clito, Ă  coups de langue et de lĂšvres. Mme Courtney leva alors sa jambe droite outrageusement en l’air. Ton talon pointait vers le ciel, symbole de son plaisir divin. Elle passa de nouveau sa main derriĂšre ma tĂȘte pour me guider et peser mes coups de langue, en regardant son Ă©lĂšve s’appliquer Ă  la tĂąche. Je n’avais jamais vu une femme s’offrir de la sorte ! Sa tĂȘte chavira ensuite en arriĂšre, accompagnĂ©e de gĂ©missements de plaisir. Mme Courtney leva alors ses deux jambes en l’air, offerte comme jamais, mirant et se dĂ©lectant de mes travaux pratiques rĂ©alisĂ©s Ă  pleine bouche. Moi, Ă  la voir ainsi offerte, Ă  la chaleur moite de sa chatte et Ă  l’entendre gĂ©mir, je bandais comme un Ăąne et je sentis Ă  plusieurs reprises des gouttes de mouille Ă©paisse sortir de mon gland en fusion pour en maculer mon boxer.

Finalement, le travail portait toujours ses fruits. Mme Courtney se mit Ă  trembler, de plus en plus, lorsque je fis cliqueter ma langue sur son clitoris pour ensuite l’aspirer. Elle se mit Ă  lĂącher des petits gĂ©missements aigus de plaisir, son corps Ă©tant pris de plus en plus de spasmes de plaisir. Bordel ! J’étais en train de faire jouir ma prof d’anglais ! Vous ne pouvez pas savoir Ă  quel point j’étais fier ! J’en souriais mĂȘme de satisfaction. Les gĂ©missements de Mme Courtney se transformĂšrent en rĂąles de plaisir qui rĂ©sonnĂšrent dans toute la salle de cours ; des cris de plaisirs amplifiĂ©s, symbole de rĂ©ussite et incroyablement excitants, surtout, lorsque me permettant de lever les yeux vers elle, je lui infligeai un long coup de langue, partant de la base de sa chatte et remontant jusqu’à son clito gonflĂ© et dur d’excitation. Ses yeux Ă©taient rivĂ©s sur ma langue parcourant sa chatte. Moi, je me dĂ©lectais du plaisir qui marquait de plus en plus le visage de ma prof d’anglais.

Mme Courtney ouvrit alors sa chatte avec deux doigts. Mes coups de langue s’appliquĂšrent sur son clito, accompagnĂ©s de « yeah ! yeah ! yeah ! »  jusqu’à ce que des spasmes dĂ©vastateurs firent trembler le bassin de Mme Courtney en tous sens, l’emportant dans un puissant orgasme et des cris ravageurs. Je ne lĂąchai pas sa belle chatte pour autant, amoureux de celle-ci. la lĂ©cher Ă©tait un vĂ©ritable plaisir.

Mme Courtney reprit ses esprits. Elle me regardait. Elle avait joui. Elle se redressa. J’étais maintenant debout et elle assise sur le bureau. J’étais entre ses cuisses. Elle m’embrassa Ă  pleine langue pour recueillir le suc de sa jouissance intime. Je la tenais par la taille, comme s’il s’agissait de la femme de ma vie. Des baisers fougueux et passionnĂ©s nous emportaient. Contre son ventre ou sa cuisse sentait-elle dĂ©jĂ  mon sexe bandĂ©, dĂ©sireux de la transpercer. Mes mains s’hasardĂšrent sur sa grosse poitrine
 celle sur laquelle tous les mecs du bahut fantasmaient. Oui ! Moi, je les touchais !

Je sentis alors Mme Courtney Ă©carter les cuisses pour y plonger sa main. Celle-ci, vint se poser sur mon sexe en Ă©rection totale, sorti de mon boxer. Par une longue glissade pesĂ©e, Mme Courtney sentit toute l’ardeur de mon sexe qui bandait pour elle. Ses yeux se posĂšrent sur la bosse en forme de barre qui longeait ma cuisse. Elle lĂącha un petit gĂ©missement, avant de s’agripper Ă  ma ceinture.

Elle s’accroupit aussitĂŽt et sortit ma queue de mon pantalon. J’avais une vue plongeante sur son dĂ©colletĂ©. Bordel de merde. J’avais maintenant le pantalon retroussĂ© Ă  mi-cuisses, ma belle queue et mes boules Ă  l’air, offertes Ă  Mme Courtney. SA main se posa Ă  la base de mon sexe. Des sensations d’ailleurs qui me donnĂšrent un frisson glacĂ© qui parcourut toute mon Ă©chine. RĂȘve ? RĂ©alitĂ© ? RĂ©alitĂ© ! La bouche de Mme Courtney s’ouvrit lentement, sa langue en sortit lĂ©gĂšrement et s’un trait, elle enfourna mon gros gland rose et tendre. Je fondis sur place. je reluquais son dĂ©colletĂ©, cette machine Ă  fantasme. Mme Courtney le remarqua. Alors, tout en gardant mon gland en bouche et excitant celui-ci avec sa langue fouineuse, elle rabattit d’un geste son gilet et ce qui devait ĂȘtre son soutien gorge pour se retrouver avec ses nibards de dieu Ă  l’air. Trop beaux ! Parfaits ! Merveilleux. Je vis Mme Courtney sourire malgrĂ© mon sexe en bouche en voyant ma rĂ©action d’émerveillement Ă  la vue de sa belle poitrine.

Mme Courtney se mit dĂšs lors Ă  me sucer le gland, masturbant mon chibre d’une main. Elle lĂ©chait mon gros gland, avant d’enfourmer mon membre le plus loin possible. Elle avait ses mains posĂ©es sur mes cuisses. Elle aima ensuite me masturber Ă©nergiquement. Elle voyait que je tenais la route. Elle s’en donnait Ă  cƓur joie de me sucer, les lĂšvres bien serrĂ©es. Elle prenait soin Ă  tendrel a peau de mon sexe avant d’enfourner mon gland. Hummm
 Elle se mit Ă  me masturber Ă  nouveau, adossĂ©e contre le bureau pour prendre du recul. Ses seins me rendaient fous. Elle me suçait, ainsi accroupie, les seins Ă  l’air et les cuisses Ă©cartĂ©es, sentant trĂšs certainement sa belle chatte la chatouiller comme pas permis, avec son string trempĂ© de mouille lui rentrant Ă  l’intĂ©rieur. Quelle coquine cette Mme Courtney !

Mme Courtney tout en me suçant, accroupie, fit glisser sa petite culotte jusqu’à ses chevilles. Cela voulait dire ce que ça voulait dire. Je voyais la chose arriver : j’allais baiser Mme Courtney ! Cela ferait de moi un dieu dans ce foutu bahut me dis-je intĂ©rieurement. Je ne pus cacher un large sourire mĂȘlĂ© de satisfaction et d’excitation. Heureusement, Mme Courtney ne le fit pas, occupĂ©e Ă  me sucer les yeux fermĂ©s Ă  cet instant prĂ©cis.

Elle les rouvrit alors, les levant vers moi. J’avais l’impression d’ĂȘtre le maĂźtre et elle l’élĂšve, d’autant que ses traits de duretĂ© sur son visage avaient complĂštement disparus. Un jolie femme pour finir !

- Humm
 J’aurais jamais pensĂ© que tu avais une aussi belle queue !

Mme Courtney continua de me sucer le gland avec avidité, alors que moi, je voulais déjà la suite ! Elle semblait adorer ma queue, la suçant tout en me regardant, gardant mon gland en bouche tout en sortant sa langue de celle-ci pour en exciter le frein. Elle savait y faire Mme Courtney ! Mais elle dut lire dans mon regard que je voulais plus désormais. Je la voulais elle !

Alors, Mme Courtney se leva et m’embrassa, cherchant dans mes yeux si elle n’aurait pas Ă  le regretter. Je ne lui montrais que du dĂ©sir


Alors, la magie opĂ©ra. Mme Courtney releva sa jupe pour ne pas s’asseoir dessus, et pris place sur le bureau. Mon ticket d’entrĂ©e pour le paradis ! Elle leva aussitĂŽt les pattes en l’air, une habitude chez elle, mais qui m’excitait beaucoup Ă  montrer tant d’envie Ă  s’offrir Ă  son Ă©talon. Elle me regardait dans les yeux, on l’aurait dite amoureuse, avant que mon gland ne vienne heurter par mĂ©garde sa jolie fente, ce qui la fit hoqueter. Mouillant mes doigts, je me mis Ă  lui caresser sa chatte bien offerte pour l’exciter Ă  nouveau et la prĂ©parer Ă  ma venue. Mme Courtney Ă©tait plus excitĂ©e que jamais. Elle gĂ©missait sans retenue Ă  mes caresses, les cuisses plus Ă©cartĂ©es que jamais. « Oh yeah, good ! » disait-elle tout bas.

Tenant mon sexe entre les doigts, voilĂ  queje vis glisser mon gland gonflĂ© Ă  bloc sur son clitoris, puis le faire descendre lentement jusque l’entrĂ©e de son antre. Mme Courtney sentit mon gland s’arrĂȘter entre ses petites lĂšvres ouvertes, puis s’introduire. Sentant mon sexe long et Ă©pais glisser en elle et la remplir d’un long coup de rein, ma prof d’anglais fondit sur place dans un profond gĂ©missement. Sa tĂȘte chavira en arriĂšre Ă  la sensation enfin arrivĂ©e de ce sexe brĂ»lant glissant en elle et remplissant son antre. Les gros seins de Mme Courtney se mirent aussitĂŽt Ă  darder, gonfler et durcir d’excitation. Mme Courtney retenait sa respiration, happĂ©e par le plaisir, lĂąchant aussitĂŽt derriĂšre des cris de jouissance. Je me mis Ă  lui dĂ©foncer sa belle chatte de femme mĂ»re comme rarement elle avait dĂ» l’ĂȘtre. Mon dieu quel pied de baiser sa prof comme ça dans un lycĂ©e abandonnĂ© ! La vue de ses seins tanguant au rythme de mes puissants coups de rein ne faisait qu’augmenter mon excitation et mon ardeur. Mme Courtney regardait mon gros chibre lui transpercer et lui remplir la chatte. Puis elle chercha mon regard. Humm oui
 Elle aimait ça, se taper un petit jeune !

Mme Courtney maintenant redressĂ©e sur le bureau, je m’agrippai Ă  ses gros nibards pour bien la prendre en profondeur. Elle se mit Ă  jouir, prise d’un second orgasme. Je ressentis par ma queue son vagin se contracter, pris ensuite de drĂŽle de spasmes.

Mme Courtney aprĂšs avoir joui, semblait complĂštement dans les vapes. Il me fallait en profiter. Alors, la prenant par la main, je l’invitai Ă  se lever de son bureau et je la fis pivoter, puis s’affaler sur le bureau, telle une poupĂ©e. Je voulais trop son cul. La prendre en levrette. Mme Courtney le comprit et habituĂ©e Ă  Ă©carter les cuisses, posa son genou gauche sur le bureau, ainsi incroyablement offerte. J’avais la rage de jouir en moi. Je retroussai fougueusement sa robe qui Ă©tait retombĂ©e sur ses fesses. Mettre le cul Ă  l’air de sa prof de la sorte avait quelque chose d’ultra excitant croyez-moi ! Je me rĂ©introduis aussitĂŽt en elle. Mme Courtney se mit Ă  lĂącher de grands rĂąles mĂȘlĂ©s de plaisir et de douleur d’ĂȘtre prise juste aprĂšs un orgasme. Je me mis Ă  la culbuter comme jamais. Elle ne savait comment s’offrir, tentant de varier la position de son bassin et de ses jambes afin d’accueillir au mieux mes pĂ©nĂ©trations profondes. Mais elle finit allongĂ©e sur le bureau, son joli cul de rĂȘve on ne peut plus offert, bien en l’air et Ă©cartĂ©. C’est lorsque je nous vis dans le relfert de la vitre que je rĂ©alisai pleinement ce que j’étais en train de faire : je prenais ma prof d’anglais en levrette, elle offerte comme une chienne en chaleur, criant et gĂ©missant de plaisir. Bordel de merde ! J’étais en train d’éclater le cul de ma prof (pardonnez-moi l’expression) !! Ses fesses fermes claquaient et vibraient contre mon bas ventre. Toute la rancƓur et mes fantasmes d’une annĂ©e passĂ©e ressurgissait Ă  cet instant. Je la culbutais comme un dieu ! Elle en prenait plein la chatte et cette cochonne aimait ça plus que tout, la chatte et les fesses bien offertes. Je finis de la culbuter par de longues et profondes pĂ©nĂ©trations qui eurent raison de moi. Mme Courtney me sentit durcir et durcir encore ; elle vit sur mon visage toute la tension qui s’y dessinait. Mais elle ne me stoppa pas et me laissa poursuivre jusqu’au bout. Je me mis Ă  Ă©jaculer puissamment en elle. De puissants et copieux jets de sperme, Ă  m’en vider les couilles. Je gĂ©missais discrĂštement et Mme Courtney se retourna vers moi pour lire sur mon visage tout le plaisir que j’avais Ă  remplir sa bonne chatte de sperme.

Lorsque ce fut fini, je me retirai. De longues traĂźnĂ©es de sperme coulĂšrent de la chatte de ma prof. Elle s’en moqua. Elle se contenta de rassembler ses affaires et de se rhabiller en silence. Que devais-je faire ? Que devais-je penser ? Bordel, je la regardais
 Je rĂ©alisais que je venais de baiser ma prof comme une chienne et qu’elle avait adorĂ© ça. Une sacrĂ©e dĂ©vergondĂ©e que cette Mme Courtney ! On finit de se rhabiller en mĂȘme temps


- Aller, dĂ©guerpis d’ici, je vais fermer la porte.

Et je partis en silence. En sueur. ExtĂ©nuĂ©. La semaine suivante, j’eus de nouveau Mme Courtney. Rien de spĂ©cial ne transfigura durant son cours, si ce n’est que je fus drĂŽlement plus « calme ». Non pas attentif, mais au contraire perdu dans les souvenirs de la semaine suivante. Je revoyais Mme Courtney la chatte et les fesses Ă  l’air, se faisant prendre sur son bureau. Je revoyais sa bouche lĂ©cher mon gland ; je revoyais ses seins magnifiques, que pas un mec ici aurait refusĂ© de lĂ©cher. Quel pied cette Mme Courtney !
Belle histoire a faire mouiller ...... Mmmmmmmmmmmmmmmmm

Et toujours aussi superbement Ă©crit....

Qui n'a pas révé d'etre dans les bras d'un prof.... homme ou femme.... C'est du pur délire.... :-D
Lol , superbe histoire , se devrait ĂȘtre t'a prof de français qui devrait faire ça avec toi car tu Ă©cris superbe bien en rĂ©action :content:

tout simplement superbe et tout d'un bloc en plus !!!
Oui, ce n'est pas la peine de vous faire mijoter... je préfÚres que mes lecteurs et lectrices se laissent fondre dans l'intensité et la montée en puissance de la situation ! hihi ! :content:
Qui n'as jamais fantasmer sur son prof (a)

Texte trÚs bien écrit, félicitations!
Faudra m'expliquer comment elle lit sur ton visage tout en étant dos à toi, courbée sur le bureau... enfin, on te pardonne, c'est bien écrit malgré certaines erreurs...
histoire exelament bien ecrite, exitante a souhait, bravo :content:

Tu sais, c'est possible de tourner le cou et les yeux... mĂȘme pas besoin de souplesse particuliĂšre, surtout lorsque les regards se cherchent... :wink:
J'ai d'un coup tres envie de réétudier la matiÚre ...
trés beau recit je n'est pris que du plaisir a te lire . Bonne continuation :non:
Ton histoire m'a conduit a une erection totaaaale :twisted:
Super excitante comme histoire , simplement est ce pour magnifier le récit qu'il n'y a pas de préservatif ou bien n'y en a t-il vraiment pas eu ?

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