Humilie par son mari en bondage aprs l'avoir tromp

Humilie par son mari en bondage aprs l'avoir tromp




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Humilie par son mari en bondage aprs l'avoir tromp



Performance & security by Cloudflare


You can not access www.ellequebec.com. Refresh the page or contact the site owner to request access.
Copy and paste the Ray ID when you contact the site owner.

Ray ID:

73ec95561c5ab7a2


73ec95561c5ab7a2 Copy



Politique Monde Économie Culture Opinions DĂ©bats Tendances 2049 Écologie VidĂ©os
Costumes de domestiques dans "Downton Abbey". (Capture d'Ă©cran)
Abonnez vous pour ajouter Ă  vos favoris
Teufel SUPREME ON - Space Blue - 99,99€
Tommee Tippee Groegg2 Veilleuse Thermomùtre 2en1 - Boüte 1 veilleuse thermomùtre - 29,01€
Pour réagir, je me connecte Connexion
francoislafont a posté le 06 janvier 2017 à 05h28
Pour réagir, je me connecte Connexion
MurielleF a posté le 27 octobre 2015 à 14h48
Pour réagir, je me connecte Connexion
herveallix a posté le 21 octobre 2015 à 10h00
Pour réagir, je me connecte Connexion
herveallix a posté le 21 octobre 2015 à 09h52
Pour réagir, je me connecte Connexion
Passetemps a posté le 14 octobre 2015 à 22h24
Pour réagir, je me connecte Connexion
L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle
Vous avez choisi de ne pas accepter le dépÎt de cookies, notamment ceux de publicité personnalisée. Nous respectons votre choix. Le contenu de ce site est le fruit du travail des 135 journalistes de la rédaction de l'Obs, qui oeuvrent chaque jour pour vous apporter une information de qualité, fiable, et complÚte. Nos revenus proviennent de l'abonnement et de la publicité. Afin de nous permettre de poursuivre ce service, nous vous invitons à vous abonner . Merci
Web + tablette + mobile à partir de 1€
Damien ( * ) a Ă©tĂ© "bonne" pendant trois ans. AprĂšs avoir lu notre dossier sur Les riches vus par leurs domestiques , il a souhaitĂ© apporter son tĂ©moignage. Âmes sensibles s'abstenir.  
"Quand j’ai vu la couverture de "L’Obs", sur les domestiques , avec cette photo d’un tablier de bonne, ça m’a fait un choc en plein coeur. Mon passĂ© me rattrapait. Je l’ai lu et je me suis tellement reconnu dans les tĂ©moignages recueillis. Je m’appelle Damien, j’ai 31 ans, et moi aussi, j’ai Ă©tĂ© "bonne". Et cet uniforme pourtant fĂ©minin, je l’ai portĂ©. C’était il y a dix ans.
J’étais au chĂŽmage et j’avais entendu parler par des connaissances, d’une dame trĂšs fortunĂ©e qui cherchait "une" employĂ©e de maison. J’avais 20 ans, j’ai postulĂ©, mĂȘme si je suis un garçon et qu’elle avait spĂ©cifiĂ© qu’elle voulait une jeune fille. Le jour dit, je suis venu. C’était dans le manoir oĂč habitait cette dame, une sexagĂ©naire. Elle m’a dĂ©visagĂ© de haut en bas, puis elle a dit :
Ses conditions Ă©taient cependant trĂšs spĂ©ciales : comme elle n’avait jamais eu que des bonnes, elle voulait que je sois habillĂ© en bonne ! Avec l’uniforme de bonne, le col, la coiffe et tout et tout !
Autre lubie, elle souhaitait m’appeler Rosa. Car elle avait toujours appelĂ© ses bonnes Rosa.
Normalement, la place Ă©tait rĂ©munĂ©rĂ©e Ă  1.100 euros net, mais comme j’étais un garçon, elle a carrĂ©ment doublĂ© mon salaire. J’étais Ă  2.200 nets, logĂ©, nourri, blanchi. Je n’avais connu que des petits jobs dans la restauration, oĂč je gagnais pĂ©niblement quelques centaines d’euros. J’avais arrĂȘtĂ© les Ă©tudes juste avant mon BEP, mes parents ne pouvaient pas subvenir Ă  mes besoins ad vitam aeternam . J’avais vraiment besoin d’argent. En fait, ça me semblait l’aubaine, d’autant que le manoir, avec un grand parc, oĂč j’allais habiter, Ă©tait vraiment magnifique. Bref, je me suis dit que pour ce salaire lĂ , je pouvais bien faire quelques concessions. Et puis j’avais 20 ans, j’étais trĂšs naĂŻf. Et docile, ça oui, certainement.
Cette dame Ă©tait trĂšs riche. En plus de ce manoir Ă  la campagne, oĂč elle rĂ©sidait la plupart du temps, elle avait un appartement immense dans le 16e arrondissement, Ă  Paris. Son mari, je ne le voyais jamais. Il travaillait dans la finance, je crois. Leur famille Ă©tait une famille traditionnelle, trĂšs Ă  cheval sur les usages et l’art de servir Ă  table.
Dans le personnel, il y avait une gouvernante. Et une autre bonne. Elle s’appelait ValĂ©rie en vrai, mais ma maĂźtresse (c’est comme ça qu’on dit dans le milieu, ou encore "madame"), lui avait changĂ© de prĂ©nom aussi. Elle l’appelait "Maria". ValĂ©rie/Maria, comme la gouvernante, Ă©tait Ă  son service depuis 20 ans. Elle venait d’un milieu trĂšs modeste, et elle Ă©tait trĂšs reconnaissante Ă  "madame", de lui avoir donnĂ© ce travail et de la garder.
Le premier jour, j’ai Ă©tĂ© trĂšs choquĂ©. La gouvernante voulait aller m’emmener essayer des uniformes. Et elle m’a tendu
 une couche. J’ai dit "c’est une blague ?". La gouvernante a dit "non pas du tout". J’ai pensĂ© que c’était un test. Pour voir si effectivement j’étais bien docile. Mais Maria m’a ensuite expliquĂ© Ă  quoi servait la couche. Pour les travaux de mĂ©nages longs, les services de table oĂč on fait "meuble", quand on reste debout pendant des heures, comme vous le racontez dans l’article ...
Comme tout le monde avait l’air de trouver ça normal, je n’ai pas protestĂ©. J’étais trop estomaquĂ© pour rĂ©agir. J’ai seulement pleurĂ© le soir, la premiĂšre fois que j’ai endossĂ© cette robe de bonne, avec les collants, la culotte en plastique, pour les odeurs, et la couche qui m’empĂȘchait de marcher.
A Paris, je me souviens, j’ai dĂ» sortir du magasin d’uniforme habillĂ© comme ça ! Alors que normalement, pour sortir dehors je n’étais pas obligĂ© de garder mes habits de filles. J’ai Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă  la concierge. Elle n’a pas montrĂ© de surprise, de me voir accoutrĂ© de la sorte, ni du fait qu’on me prĂ©sente sous le nom de Rosa.
Je suis montĂ© au 7e Ă©tage, l’étage des chambres de bonnes. LĂ , le soir, quand on avait enfin terminĂ©, on discutait parfois, et j’ai croisĂ© certaines de ces filles qui, comme Maria et moi, portaient aussi des couches : preuve que ma patronne n’était pas la seule Ă  avoir cette lubie. Il y avait des Espagnoles, des Portugaises, quelques Asiatiques, qui, elles Ă©taient moins intĂ©grĂ©es, car elles parlaient mal le français. J’étais un peu l’attraction : le garçon habillĂ© en bonne. Mais personne ne se moquait, c’était bon enfant. Et elles savaient toutes que les maĂźtresses ont souvent de drĂŽles de caprices ! Il y avait des toilettes Ă  la turque, et une douche sur le palier, qu’on se partageait. 
Pourquoi je n’ai pas claquĂ© la porte tout de suite ? Je ne sais pas. J’avais besoin d’argent, je me suis dit que j’allais faire ça juste le temps de me renflouer
 Et puis je suis restĂ© trois ans. C’est bizarre. J’avais des sentiments contradictoires envers ma maĂźtresse. J’avais parfois envie de lui tordre le cou, quand je portais la couche, par exemple. Ou que je l’entendais parler de nous, les bonnes, Ă  ses copines.
A ces moments-lĂ , je la dĂ©testais. Mais une autre partie de moi lui Ă©tait attachĂ©e. Elle pouvait parfois ĂȘtre gentille. MĂȘme gĂ©nĂ©reuse : pour mon anniversaire, elle m’a offert une semaine de vacances en Tunisie.
A force, c’est Ă©trange, c’est comme si vous deveniez une autre personne. J’étais comme dans un monde parallĂšle. Je ne voyais que du noir et du blanc, la couleur de nos uniformes de bonnes, ou encore rose avec rayure, une autre couleur de blouse, trĂšs usitĂ©e.
Tout est fait pour nous mater, l’uniforme, le langage, les rĂšgles de vie. Quand on voulait sortir pour aller au cinĂ©ma, il fallait demander la permission, par exemple. A la cuisine, elle nous faisait mettre des bavoirs pour ne pas tacher les uniformes. Quand on se faisait disputer, il fallait regarder nos pieds, surtout ne pas la dĂ©visager dans les yeux, et dire "bien madame", "dĂ©solĂ©, madame". Et les premiers temps, quand elle me fĂ©licitait, elle me disait "Bravo ma fille, vous avez Ă©tĂ© bien docile aujourd’hui".
L’uniforme, c’était comme une seconde peau que j’enfilais pour jouer cette piĂšce de thĂ©Ăątre.
Je ne disais rien Ă  mes amis ni Ă  mes parents de ce que je vivais chez cette dame, c’était trop humiliant. Je disais juste que je travaillais pour cette famille, trĂšs riche, c’était trĂšs bien payĂ©, donc personne ne me posait plus de questions. Aujourd’hui encore, je n’ai jamais Ă©voquĂ© ce qui s’était passĂ© Ă  ma famille, ni Ă  mes amis proches. Je savais nĂ©anmoins que je ne resterais pas Ă©ternellement dans cette place. Le soir, je travaillais pour prĂ©parer les concours de fonctionnaires dans l’administration. J’ai eu le concours au bout de trois ans. Et j’ai pu dĂ©missionner. Redevenir moi. Mais encore aujourd’hui, quand je pense Ă  ces trois annĂ©es, je suis un peu dans un Ă©tat second. Je me demande comment j’ai pu accepter tout cela.
(*) Le prénom et les sobriquets ont été modifiés. ( Reprendre la lecture de l'article )
Moi mĂȘme je porte des couches: je suis ĂągĂ© de 68 ans, mais
Quel est le rapport entre sa qualitĂ© de travail en tant que fonctionnaire et son passĂ©? De mĂȘme que son courage... Il en a certainement plus que vous...
Pour ma part, je n'ai pas travaillé pour des riches mais avec eux.
Et bien il n'y a pas photo. Ils ont toujours respecté la "parole donnée".
Un proverbe slave dit :
"je ne comprends pas pourquoi il me hait, je ne l'ai pourtant jamais aidé"
Je travaille maintenant avec des pauvres et bien c'est l'enfer.
Le manque de parole, le j'menfoutisme, etc...
Mais c'est normal car ils n'en ont plus rien a fiche d'aller au tribunal et il y a bien longtemps que l'honneur ne veut plus rien dire.
Quand a l'argent, vous n'obtiendrez rien des tribunaux et pour deux raisons.
Ils n'en ont pas ou le planquent.
Un riche a quelque chose a perdre, pas un pauvre.
ils sont protégés par la Franc-maçonnerie qui a envahie le monde judiciaire.
On voit ce que ça donne tous les jours dans les titres.
Et puis faire un procĂšs, a l'issue incertaine, pour un prĂ©judice a 3000 €, il faut ĂȘtre riche.
La déliquescence d'un état se mesure au respect de ses lois.
ON EST DANS LA M....E
Il est maintenant fonctionnaire.
Ça nous donne une idĂ©e de la qualitĂ© de ceux-ci.
S'autoriser cet esclavage sans broncher. Bravo le courage.

Sautée à la sortie du bain
Une blonde pùle fait de l'oral et adore ça
La russe Kristal Boyd mange une bite avant de la baiser

Report Page