Humiliation dans une cellule

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Parfois deux dans une cellule de 9 m2, souvent trois. La condamnation pĂ©nale se double d’une condamnation Ă  la promiscuitĂ©, mĂątinĂ©e d’insalubritĂ©. En 2000, les parlementaires avaient rendu l’encellulement individuel obligatoire pour les prĂ©venus en dĂ©tention provisoire, en l’assortissant d’un moratoire. En mars dernier, le SĂ©nat a rĂ©affirmĂ© le principe de l’encellulement individuel, tout en introduisant un nouveau moratoire de cinq ans pour son application. L’idĂ©e d’un prisonnier par cellule serait alors



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par Jean-Claude Renard



publié le 9 juillet 2009



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L’impossible encellulement individuel et la pratique du mitard tĂ©moignent d’un systĂšme carcĂ©ral anachronique, qui fait fi de la dignitĂ© humaine.
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Article paru
dans l'hebdo N° 1060
Du 2009-07-09 08:00:00




Monde











par Victor Le Boisselier


,
le 20 juillet 2022 20220720


Terre de la mafia, l’üle regroupe quasiment 40 % des biens confisquĂ©s Ă  la criminalitĂ© organisĂ©e. Des ressources qui tardent Ă  ĂȘtre restituĂ©es Ă  la collectivitĂ© malgrĂ© un potentiel avĂ©rĂ©.




Éco/Social











par Romain Haillard


,
le 20 juillet 2022 20220720


Dans le FinistĂšre, la prĂ©gnance du tourisme a rarĂ©fiĂ© l’habitat disponible Ă  l’annĂ©e et fait grimper les prix.

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Un détenu dénonce des humiliations et des violences dans le centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville commis par des surveillants.
David W., 33 ans, a Ă©tĂ© Ă©crouĂ© pour trafic de stupĂ©fiant. Depuis quelques semaines, il a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© dans la prison de Mulhouse suite Ă  sa demande d’intĂ©grer un Ă©tablissement correspondant Ă  sa peine. Cette demande intervient Ă  la suite de son agression par des dĂ©tenus et des surveillants de la prison de Nancy. Pour sa mĂšre, « ce n’était pas un transfert de confort mais bien une demande vitale ».
Il Ă©tait rackettĂ© et menacĂ© par d’autres dĂ©tenus et avait Ă©tĂ© placĂ© Ă  l’isolement Ă  sa demande pour sa propre protection. Mais, loin de la sĂ©curitĂ© qu’était censĂ©e lui apporter cette mesure, et au-delĂ  de la dĂ©tresse dans laquelle sont frĂ©quemment plongĂ©s les dĂ©tenus isolĂ©s, il a Ă©tĂ© humiliĂ© et victime de violences par les surveillants de la prison. Son avocat a constatĂ© lui-mĂȘme les blessures, ainsi que sa compagne, qui lui a rendu visite le dimanche 21 mai. Suite Ă  la visite au parloir, les violences ont continuĂ© et les surveillants l’ont mis complĂštement nu en isolement durant plus de huit heures.
Il a demandĂ© plusieurs fois Ă  voir un mĂ©decin, ce qui lui aurait Ă©tĂ© refusĂ©, et a dĂ» s’auto-mutiler pour ĂȘtre enfin pris en charge. Il a pu faire reconnaĂźtre ses blessures, qui lui valent deux jours d’ITT. Il a, avec son avocat, dĂ©cidĂ© de porter plainte « pour violence par personne ayant autorité ».
Les prisons françaises sont les plus peuplĂ©es d’Europe, avec un nombre de dĂ©tenus par chambre qui dĂ©passe la moyenne, ainsi qu’un dĂ©labrement croissant des locaux, qui sont trop souvent vĂȘtustes et mal construits. En 2016, la contrĂŽleure gĂ©nĂ©rale des lieux de privation de libertĂ©s rendait un rapport qui faisait Ă©tat d’un « recul important des droits fondamentaux » : « Les droits Ă  la santĂ©, au travail, au maintien des liens familiaux, Ă  l’expression collective ne sont pas respectĂ©s, alors qu’ils constituent le fondement mĂȘme d’un projet de rĂ©insertion » .
La mĂšre du dĂ©tenu explique : « il y a beaucoup de souffrance dans cette prison de Nancy comme nulle part ailleurs oĂč mon fils a Ă©tĂ© Ă©croué  Beaucoup ne peuvent ou n’osent pas briser la loi du silence par peur de reprĂ©sailles. Moi, j’assume. Au nom de mon fils et de tous les autres dĂ©tenus violentĂ©s derriĂšre les barreaux ! »
Cette affaire, loin d’ĂȘtre un cas isolĂ©, intervient dans un contexte oĂč, depuis quelques annĂ©es, sous couvert de lutte anti-terrorisme, de nombreuses lois rĂ©pressives sont promulguĂ©es, et que la privation de libertĂ©s s’intensifie considĂ©rablement, Ă  l’intĂ©rieur comme Ă  l’extĂ©rieur des centres pĂ©nitenciers. Par ailleurs, en France, nombre de dĂ©tenus effectuant de courtes peines pour des petits dĂ©lits se trouvent incarcĂ©rĂ©s aux cĂŽtĂ©s de personnes rĂ©ellement violentes et dangereuses, auxquelles on n’accorde aucun soin psychologique ou psychiatrique. Et les matons reproduisent Ă  l’intĂ©rieur des prisons, sur les dĂ©tenus les plus faibles, les mĂ©canismes d’oppressions qui structurent notre sociĂ©tĂ©, mais avec une impunitĂ© et une amplitude incomparables.
L’avocat de David W. prĂ©cise : « MĂȘme s’il y a des camĂ©ras de surveillance en prison, je crains que cette plainte dĂ©posĂ©e pour « violences volontaires par personnes ayant autorité » aboutisse malheureusement Ă  un classement sans suite » .
Ainsi, l’histoire de David W. est la parfaite illustration d’un État policier qui rĂ©prime dans les quartiers mais aussi dans les prisons, couvert par une justice de classe qui, loin de favoriser les amĂ©nagements de peine et la rĂ©insertion, isole et torture des milliers de dĂ©tenus.
© 2017 REVOLUTION PERMANENTE - Termes et conditions



La troisiĂšme blessure d’enfance: la structure masochiste, l’humiliation, la colĂšre Ă©touffĂ©e
29/09/2018 By Frédéric Franc blessure d'enfance , BLOG FR , énergétique

Et si pour un instant vous laissiez venir Ă  vous les souvenirs enfouis qui concernent cette blessure? Ces moments oĂč vous avez subis, avez Ă©tĂ© tĂ©moin ou actif dans des Ă©vĂ©nements oĂč l’un(e) de nous fut forcĂ©(e) de faire quelque chose qu’il (elle) ne voulait pas, fut ridiculisĂ©(e) publiquement pour avoir Ă©tĂ© trop
grosse, effĂ©minĂ©, bĂȘte, sale, Ă©tranger, laid 
 ou pas assez travailleur, sportif, intelligent, combatif

Vous vous souvenez de ce dernier de classe qui fut exposĂ© devant tout le monde, molestĂ© psychologiquement voire physiquement par un instituteur car en plus d’ĂȘtre bĂȘte, il avait le nez qui coulait, il sentait mauvais? Et de cette jeune-fille qui n’avait pas Ă©tĂ© prĂ©venue par ses parents de ses futures pertes de sang au moment de la pubertĂ© et dont on se moqua dans la cour de rĂ©crĂ© car elle ne comprenait pas ce qui se passait? Ou de cette horrible nourriture que vous deviez manger sous peine de ne pas quitter la table et d’aller jouer avec les autres dĂ©jĂ  partis depuis longtemps? Vous avez certainement des souvenirs de ce type de violence qui vous sont propres. 
Ressentez-vous ce qui se passe dans votre corps Ă  l’évocation de ces souvenirs? La gorge peut se charger d’un trop plein d’émotions nĂ©gatives ( colĂšre ), ou est-ce ailleurs? Je vous conseille de respirer un moment. Vous pourriez poser les mains lĂ  oĂč se passe un ressenti dĂ©sagrĂ©able
 tout en douceur. 
Dans tous ces moments traumatisants , notre intimitĂ© fut bafouĂ©e, notre ĂȘtre fut menacĂ© dans son intĂ©gritĂ© par une ou des personnes invasives ne respectant pas nos limites , notre estime de soi fut Ă©crasĂ©e. Les souvenirs d’enfance liĂ©s Ă  cette blessure sont plus clairs que dans les deux premiĂšres car elle se met en place lors de la phase d’autonomisation de l’enfant.
À ce stade la verbalisation s’active, des mots peuvent ĂȘtre associĂ©s Ă  des ressentis. C’est alors que le petit enfant commence Ă  dire non, et que ses parents lui demandent d’ĂȘtre propre. Par le « non », l’enfant revendique une certaine autonomie, qui n’est pas toujours respectĂ©e, pour son bien. Mais dans certains cas, la sphĂšre intime , corporelle, voire sexuelle peut avoir Ă©tĂ© transgressĂ©e. Cela peut se reproduire lors de l’adolescence oĂč les jeunes explorent leur sexualité  Une porte est ouverte sans prĂ©venir, un tiroir est fouillĂ©, une enveloppe ouverte, une remarque dĂ©sobligeante est lancĂ©e publiquement de la part d’un parent mal Ă  l’aise avec la sexualitĂ© Ă©mergeante de son enfant. 
Les comportements invasifs, humiliants rĂ©duisent notre espace Ă©nergĂ©tique, le confinent, comme dans une Ă©troite cellule de prison dans laquelle nous ne pouvons plus bouger, Ă  peine respirer. L’énergie se bloque, stagne. Avez-vous Ă©tĂ© sensible Ă  cette impression d’étouffement, de rĂ©trĂ©cissement de votre espace , avez-vous ressenti votre respiration se ralentir à l’évocation de ces souvenirs? Chez les personnes qui rĂ©pondent Ă  l’invasion et Ă  l’humiliation en ayant adoptĂ© la structure masochiste, la lenteur, la lourdeur, la difficultĂ©, l’impossibilitĂ© de faire avancer les choses suite Ă  une impression de se sentir forcĂ© , obligĂ© sont des ressentis trĂšs prĂ©sents. 
La personne en dĂ©fense masochiste Ă©touffe sa COLÈRE dans l’oeuf. Elle ne la reconnait mĂȘme pas car elle ne fut pas autorisĂ©e Ă  l’exprimer. Au pire, elle fut punie pour cela dans son enfance. Cette colĂšre peut ressurgir plus tard sous la forme de comportements autodestructeurs (excĂšs alimentaires, substances nocives, etc.). La personne qui rĂ©sonne avec cette blessure s’exprime souvent par bribes de mots, hĂ©site, bafouille, son entourage veut souvent complĂ©ter ses phrases, ce qui la blesse davantage augmentant la pression , crĂ©ant de la honte . Les conclusions erronĂ©es de l’enfant humiliĂ©, envahi dans son espace intime concernant la colĂšre pourraient ĂȘtre: « si je me mets en colĂšre on/je me dĂ©teste, si je ne mets pas en colĂšre on/je me dĂ©teste »
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