Humili comme un gros chien nu

Humili comme un gros chien nu




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Humili comme un gros chien nu

Netpratic 
Netpratic, un site unique en son genre !

Home / Vidéos / Bagarre / [Ex VIP] Elle se fait humilier, battre et déshabiller par une fille de son école

Powered by NETPRATIC | Designed by netpratic

© Copyright 2022, All Rights Reserved Netpratic


NetPratic


6 avril 2014
Bagarre

commentaires
112,417 Vues
Par ma gentillesse j'offre à tous les pauvres netpraticiens qui n'ont pas de compte VIP cette vidéo anciennement vip :
Elle se fait humilier , battre et déshabiller par une fille de son école
IL SE BAT CONTRE 5 FILLES POUR SAUVER SA PETITE AMIE
une catégorie de vans pire sans tète nie lois ni principe mes ou sons passer les droit de l’homme dans le monde on crée des bette avez une intèligence bien en dessous des animaux
Non?Tu crois? Comme tes compétences en grammaire,en gros…
– Cordialement .
Quel bande de connard et connasse j aurais ete la je les aurait crever c est gens . Les gens sont stupide mechant moqeur . L humanite me degoute.
je comprends pas pourkoi elle ne l’a pas mise sur ses genoux cuisses écartées pour lui donner la féssée cul nu,pour mieux l’humilier…
pour moi,voir une fille autoritaire soumettre et punir une bonne garce,c’est le pied!
Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.

 × 

 = 







Please enter your username or e-mail address. You will receive a new password via e-mail.

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.
4
 × 
9
 = 








Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.
8
 × 

 = 
soixante quatre






Please enter your username or e-mail address. You will receive a new password via e-mail.

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.
sept
 + 

 = 
13







(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)

Depuis mon enfance, je suis un vrai loser. Je veux dire par là que j'ai toujours tout perdu : jeux, débats, compétitions, courses. Absolument tout. En fait, je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà gagné à quoi que ce soit. Au tennis, je perdais le match. En cours, je n'étais pas le meilleur. Je perdais aussi aux jeux vidéos. Lorsque j'étais plus petit, vers mes 10 ans, ma cousine du même age – très caractérielle - consacrait son temps à me tourmenter et à voler mes jouets. Je ne discutais jamais, car je savais très bien que si elle se mettait en colère, j'allais avoir droit à son pied sur le visage.
A vrai dire, quelle que soit la situation, je n'ai jamais ressenti le besoin de me défendre. Un instinct naturel pour d'autres, dit-on... Bref. Pas pour moi.

De nos jours, j'ai passé un autre cap : j'ai instinctivement besoin d'humiliation pour me sentir moi même. Étrange? Je ne sais pas. J'ai toujours soupçonné qu'il s'agît d'un sentiment commun à de nombreux hommes. Quoiqu'il en soit, ça n'est pas le débat.
Ce que je veux faire ici, c'est vous expliquer en détail le pourquoi du comment de cette métamorphose.
Il y a une expérience qui me revient, qui illustre parfaitement la personne que j'étais alors, et celle que je suis devenu aujourd'hui. Une expérience si humiliante que la raconter sera en soit une humiliation supplémentaire, et nourrira mon immuable besoin de dégradation.

Il y a quelques années, alors que j'étais encore en seconde, au lycée, j'ai vécu l'aventure la plus dégradante de ma vie de perdant.

Au lycée, comme au collège, j'étais le bizuth de service. Celui que personne n'aimait, mais que chacun adorait insulter et tourmenter. Un véritable défouloir.

Parmi tous les élèves, il y en avait un, particulièrement, pour qui ma vision était un véritable drap rouge. Dès le premier jour de classe que nous avions passé ensemble, trois ans auparavant, il m'avait pris en haine, et n'avait jamais cessé depuis de me moquer, de me frapper, de m'insulter et de me rabaisser. C'était une véritable fascination qu'il éprouvait pour moi, celle que le chat ressent pour la souris qu'il torture. Ce garçon s'appelle Florent.

Je ne me suis jamais défendu ; comme dit plus haut, je n'en avais pas l'instinct et je préférais attendre que ça s'arrête, attendant la torture suivante. Il faut dire que j'étais maigre, tout pâle, avec des lunettes, quand lui était bien bâti, joliment bronzé, typé espagnol, avec un vrai sourire de méchant, quoique nous fassions la même taille.
Les humiliations qu'il m'infligeait étaient de notoriété publique, dans l'école, et personne ne s'en souciait vraiment. Il faut dire que j'étais isolé socialement, sans vrais amis, tandis que lui était l'une des vedettes de la classe. Alors, en général, on ne manquait jamais trop une occasion de savoir ce qu'il m'avait fait la veille, et on en riait un peu partout dans la cour. Après tout, c'était dans l'ordre des choses.

Ce jour là, on achevait la classe par un cours de sport. A 16h, alors que la leçon se termine, je me dirige vers les toilettes pour me rafraichir. En entrant dans la pièce, je vois Florent et deux ou trois de ses copains, adossés au mur, riant à haute voix.
A peine je le vois, je stresse. Mais je n'osai pas revenir sur mes pas ; si il me voyait faire, ça confirmerait la peur qu'il m'inspirait, et il n'aurait pas manqué l'occasion de le raconter à toute l'école. Alors j'ai pris ma bravoure à deux mains et je suis entré dans la pièce, le cœur battant à tout rompre. Rare exemple de courage de ma vie de lâche. J'allais bientôt le regretter, ce courage.

Lorsqu'ils m'ont vu, les garçons ont souri, goguenards.
J'ai fait comme si de rien n'était, et je suis allé à l'évier me passer de l'eau sur le visage.

Je me suis retourné, comme je le fais d'habitude, par réflexe. Flo n'avait aucunement connaissance de mon orientation sexuelle, et il s'en foutait pas mal. Ce petit surnom, il me l'avait donné lui même, et il y tenait, comme une sorte de certificat de l'emprise qu'il avait sur moi.
Florent m'a regardé de la tête aux pieds, comme on observe un chien dans la rue.

— On va réviser le judo dehors, tu viens avec nous?

Silence.
C'était tellement inattendu. Florent, le gars qui faisait de ma vie un enfer, me proposait de me joindre aux groupe des gars cool de la classe. Pour sûr, c'était bizarre. Je suis resté un instant sans rien dire.

— Demain. Mais non, tout de suite, débile.

Il s'est approché tout près de moi, très vulgairement, me regardant droit dans les yeux en souriant. Je me suis mis à trembler.

Derrière lui, les deux autres étaient pliés en deux. Florent a souri.

— Allez, viens, fais pas chier ! cria-t-il, souriant.

J'ai sursauté, et j'ai bredouillé un "oui" tremblant, sans vraiment y songer. Un réflexe de lâche. Je les ai accompagnés hors des limites de l'école. Jusqu'à un petit terrain vague, au milieu du bois qui cernait le lycée. C'était un endroit assez sale, décrépit, comme on en trouve pas mal dans le département. Une terre friable et sèche, quelques brins d'herbe jaunie, des bouts de ferraille difficilement identifiables, et des ordures, déposées un peu partout par des gens peu attentionnés. Le genre de petit coin perdu où les lycéens des campagnes aiment à aller boire, bien à l'abri du regard des pions.

Là, il y avait une dizaine de garçons et de filles "cool" de l'école, assis en rond au centre de la clairière. Je les connaissais peu, ou alors de vue, sans leur avoir vraiment jamais parlé. Ce qui est sûr, c'est qu'eux me connaissaient, ou en tout cas ma réputation, parce qu'ils se sont mis à rigoler et à murmurer à voix basse dès que je suis entré dans la clairière.

— Flo, qu'est ce que tu nous ramènes?

Tous les gars autour rigolaient, et moi je me tenais là, debout, sans trop savoir quoi faire, l'air de rien. C'était très rabaissant, mais, comme d'habitude, je n'ai rien dit.

— Ben ouais. Le pédé et moi, on va réviser le judo.

Il est allé un instant parler avec l'un de ses copains, au fond du groupe, me laissant seul, planté là, sans savoir quoi faire de mes dix doigts. J'ai attendu comme un idiot.
Au bout d'une minute, il est revenu vers moi.

Il m'a pris par le bras pour m'emmener à l'écart des bavardages, au centre du terrain.
Autour, tous ses potes ont cessé leurs discussions, et se sont rapprochés pour observer.

On était là, au centre du terrain vague, l'un face à l'autre, à plus ou moins deux mètres de distance. Flo portait son jogging, une paire de baskets, et un tee-shirt noir avec une veste. Moi, je n'avais qu'un vieux pantalon de sport ringard en tissus délavé, un t shirt plein d'inscriptions du plus mauvais goût comme seuls les ados associables savent en porter, et une paire de vieilles baskets. Faut dire que je n'avais jamais su m'habiller.
Florent a enlevé sa veste, l'a passée à un de ses amis. Il a gardé son tee-shirt.
Puis, il s'est baissé, a enlevé ses baskets et me les a jetées dessus.

Il a enlevé ses chaussettes et me les a jetées au visage. J'ai essayé d'éviter, mais j'ai raté, et elles ont rebondi sur mon front.
Il y a eu des rires moqueurs, autour. Ça m'a vexé, mais je n'ai pas su répondre.
Il s'est rapproché de moi, les pieds dans la poussière, et m'a attrapé par la manche et le col, comme font les judoka. Voyant que j'étais très tendu, il m'a regardé droit dans les yeux, et m'a donné une petite baffe, juste assez fort pour montrer qui était le dominant.

Rires autour, encore.
A ce moment là, j'ai senti que j'allais subir un moment épouvantable. Mais, même si j'étais à cette époque déjà conscient de ma nature profonde de perdant, ce que je ne savais pas encore, c'est combien il était facile de me détruire, et que cette journée serait le cadre du tournant psychologique majeur de mon existence.

Florent a commencé à me tourner autour, me forçant à tourner avec lui en me tirant par la manche. J'essayais bien de résister, mais à la moindre tension, je tanguais comme un brin de paille. Il était sportif, et moi non. Il fallait bien l'admettre, dès les premières secondes du combat, j'ai senti qu'il était plus fort que moi, et qu'il m'était inutile de résister. Alors je me suis laissé faire.
J'ai suivi ses pas comme un petit chien pendant une minute ou deux, tiré à droite, poussé à gauche. Puis, il a passé sa jambe derrière la mienne, et m'a fait tomber.
Je me suis ramassé sur les fesses, douloureusement. Autour, tout le monde a ri. Florent a levé les mains au ciel.

— Allez, bon, c'est pas la peine, quoi. Non, mais fait un effort! Viens là!

Me retenant de dire quoi que ce soit, je me suis relevé, et lui ai obéi sans trop d'entrain.

Durant la suite de l'exercice, Florent me fit tourner comme une poupée de chiffon, comme si je n'existais même pas. Il me flanquait par terre à chaque coup. Je sentais bien qu'il m'aurait fallu tenter quelque chose, résister, mettre de la force, mais à chaque fois que j'esquissais le début d'une poussée, je sentais la sienne me contrer, et je renonçais aussitôt, sans avoir lutté. Instinctivement, je me laissai faire, trop abattu pour me défendre. Je sentais bien qu'il pouvait me faire tout ce qu'il voulait ; à ce moment, j'ai même ressenti l'étrange volonté qu'il m'enfonce un peu plus que je ne l'étais déjà. Si j'avais su...
A chaque nouvelle chute, tous les gens réunis, spectateurs de l’épreuve, applaudissaient un peu plus fort. Au bout de quelques minutes, ils ont commencé à encourager mon tortionnaire, en scandant son nom chaque fois que je mordais la poussière. Au bout d'un moment, je ne parvenais même plus à me mettre debout : à peine je commençais à me redresser que Florent me saisissait par la manche et me renvoyait le nez dans la poussière, comme il aurait repoussé un gamin de trois ans trop collant.
Au bout de je ne sais combien de chutes, je ne sais combien de hourras, j'ai commencé à avoir les larmes aux yeux. Ça, ça m'a terrifié. Si il y avait quelque chose que je ne voulais surtout pas subir, c'était une crise de larmes devant l'école. Je n'avais encore jamais craqué jusque là!

Au sortir d'une énième chute, ou je me suis étalé de tout mon long, Florent a levé un pied, et me l'écrasé sur la main. Avec son autre pied, il a commencé à me donner des coups dans la tête. Je restai écrasé sur le sol, sans réaction autre qu'un gémissement ridicule et parfaitement audible à chaque nouveau coup. Autour, l'assemblée était morte de rire, et rythmait les coups avec des "olé".
Plus les gens riaient, plus Florent frappait, plus les gens riaient, et plus il frappait.

Là, ça a commencé à dégénérer. Me voyant sans défense, aplati sur le sol, les autre gamins ont semblé vouloir participer à la fête.
Pendant que j'étais allongé sur le ventre, j'ai senti quelqu'un batailler avec mes lacets, pour m'enlever mes chaussures. Le garçon (ou la fille?) en a ôté une, puis la seconde. Éclat de rires général.
Puis, j'ai senti tirer sur le bout de mes chaussettes, qui sont venues facilement. Me voilà pieds nus, moi aussi. Les rires n'en finissaient plus. Florent, souriant de toutes ses dents, pesait son pied nu et sale sur ma main, pour bien l'écraser. Moi, j'étais là, comme un idiot, à plat ventre, gémissant, les larmes aux yeux.
Une main m'a collé ma chaussette sous le nez, et a commencé à la frotter sur mon visage, mes narines, mes lèvres, puis, en pressant un peu, me l'a fourrée dans la bouche, l'a remuée, avant de l'enlever. Puis une autre main m'a écrasé la semelle de ma basket sur le visage, et a commencé a essuyer la terre sur ma figure. Hilarité générale, à nouveau. Là, je n'ai pas résisté, et j'ai éclaté en sanglots. C'était la pire humiliation qu'on m'avait jamais fait subir.
Le record ne devait pas durer bien longtemps.

Quelqu'un a tiré sur les jambes de mon pantalon. La boucle de ma ceinture a lâché, et le pantalon est parti avec. Je me suis retrouvé en slip, allongé dans la terre, écrasé par le pied de mon pire ennemi. J'ai vu les gens, devant moi, qui riaient, et criaient "Le slip! Le slip!", et j'ai senti une main écarter mon slip, et y enfoncer quelque chose de frais. De la terre, probablement, et des cailloux.
Gémissant comme un bébé, perdu dans les rires moqueurs de l'assemblée, j'ai vu au travers de mes larmes que les deux garçons qui avaient pris mes chaussures, mes chaussettes et mon pantalon partaient vers le fond du terrain. Ils les ont jetés dans la rivière, puis sont revenus rire avec les autres.

Finalement, Florent a enlevé son pied de ma main. Je me suis vite redressé, en larmes, prêt à m'enfuir.
Puis, j'ai jeté un œil autour de moi. Tout le monde était mort de rire. Tout le monde. Ils me fixaient tous en riant, sans pouvoir s'arrêter. Face à l'hilarité générale, je me suis regardé. J'étais à moitié nu, humilié de toutes les manières possibles, entouré de gens cools et appréciés du lycée, qui iraient raconter mon humiliation à toute l'école dès que nous y reviendrions.
J'ai senti à quel point la situation était catastrophique. Mes derniers espoirs d'une vie sociale normale venaient de s'envoler à jamais. Aussi, à ce moment là, comme toujours dans ma vie, j'ai renoncé à me battre, à courir, à faire quoi que ce soit, et j'ai accepté mon sort.

Florent me regardait comme on fixe un morceau de viande.

Il s'est approché de moi, a commencé à me pousser pour me faire réagir.

— Défends toi. Allez! T'as peur? Il a peur de se défendre, pédé?

Il m'a craché au visage, un mollard jaune et épais, sur la lèvre supérieure. J'ai éclaté en sanglots, mais je ne l'ai pas essuyé.
Alors Florent m'a saisi par le bras, m'a fait passer par dessus sa hanche, et m'a flanqué par terre, une dernière fois, sur une belle acclamation de la foule.

Je ne me suis pas relevé. Je suis resté sur le dos, ridicule, prostré, résigné à subir ma défaite jusqu'au bout. Je suis bien resté sur le sol une minute entière, pendant que les garçons étaient occupés à congratuler le vainqueur et à se moquer de moi, le gros loser, étendu dans la poussière. Florent s'est approché de moi, m'a regardé droit dans les yeux.

— Putain, t'es vraiment une merde, il a dit.

Puis il a levé son pied nu, et l'a plaqué sur mon visage.

À ce moment précis, quelque chose s'est cassé en moi.
Toute volonté d'autodéfense était partie. L'ego avait déserté mon esprit. Ceux d'entre vous qui se sont déjà retrouvés avec un pied sur la figure me comprendront peut être... Un pied, c'est symbole de saleté, et dans notre société, on ne touche pas le pied de l'autre, parce que c'est dégoutant. Le visage, c'est l'âme, la force, l'intégrité d'une personne. C'est sa plus grande fierté, ce qui nous représente. Prendre un pied sur le visage, c'est l'humiliation absolue, la soumission sans retour en arrière, la perte de toute virilité. Et c'est précisément ce que je ressentais. Au moment où il a posé son pied sur mon visage, ma volonté s'est effacée. Mon ego était entièrement détruit. J'ai eu le sentiment profond et très fort que j'avais perdu, le combat, non seulement contre Florent, mais aussi le combat de toute ma vie, l'envie de me défendre et d'en faire quelque chose. A ce moment là, j'avais changé.

La plante de ses pieds était toute marron, pleine de terre, et la poussière s'était incrustée sous les ongles de ses orteils. Je respirais l'odeur de la sueur de ses pieds d'adolescents à plein poumons.
Florent est resté à peu près 7 ou 8 secondes le pied planté sur mon visage. Il a attendu que je tente quelque chose. En vain. Les autres, autour, ont commencé à murmurer, puis se sont tus, fixant le pied, et mon visage en dessous, fascinés, par mon absence de réaction.

— Tu l'as tué, a dit quelqu'un dans la foule.

Moi en dessous, j'avais le corps et l'esprit amorphe, complètement anesthésié. Je ressentais la peine, la honte, la douleur, je pensais à ce que diraient mes parents lorsqu'ils apprendraient à quel point j'étais un perdant, je pensais à toutes les personnes qui m'aimaient, si elles pouvaient me voir. Comme une sorte de cercle vicieux sadique, j'éprouvais l'envie étrange que mon humiliation ne fasse que s’aggraver, jusqu'à atteindre le plus bas de ce qu'un homme peut subir.
Florent a accentué la pression de son pied sur mon visage. Mes narines étaient entièrement bouchées par la peau de sa plante. Il a rigolé.

— Meuh non, il n'est pas mort. C'est juste une merde, il est à sa place. Hein, t'es une merde, pédé? Montre que t'es à ta place. Lèche.

Autour, tout le monde a retenu son souffle, électrisé par l'ordre de Florent, et fixant son pied, voir si j'allais tomber aussi bas.
Dans ma tête, il n'y a pas eu de réflexion, ou quoi que ce soit qui s'approche d'un choix. J'étais un loser, et mon corps l'avait accepté comme étant ma véritable nature. Alors, instinctivement, comme un animal, j'ai tiré la langue, et j'ai léché son pied.
Ouvrant grand les yeux, la foule a poussé un gigantesque viva pour célébrer mon avilissement, ma destruction totale. C'était un genre de fête, tout autour, tout le monde observait, rigolait, commentait en riant, ébahi que je puisse être aussi profondément écrasé. Il y en a une qui a sorti sa caméra pour filmer le pied de Florent, fermement pressé sur mon visage. Pour l'image, Florent appuya un peu plus, pour qu'on voit boit la marque de son pied sur ma figure. La fille a aussi pris une dizaine de photos, en portrait et en paysage.
Moi, en dessous, je léchais, sans faire attention, naturellement. Je passais ma langue de loser sur toute la surface du pied, du talon jusqu'aux orteils, puis je passais entre les orteils, et ramassais la crasse noire qui trainait par là. J'avalai tout, du travail bien fait. Ça avait un goût salé, fade. Un goût de défaite.

Lorsque j'a
Jeune bourge purge les couilles d'un black TBM
Une bonne se fait baiser en POV
Une étudiante baisée dans la cuisine

Report Page