Homosexuel Qui Font L Amour

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Il n'aimait que les hommes... jusqu'au jour où il a croisé LA femme. Alain nous raconte le jour où il est tombé amoureux d'Aline. Et Aline d'Alain.























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Un trio pourquoi pas!! moi j'aime bien le triolisme mon fantasme c'est un couple deux hommes homo ou bisexuels avec moi c'est excitant!! j'aime bien les couples hommes c'est excitant pour moi.Deux beaux hommes ...
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On les dirait faits du même bois. Il circule entre Alain et Aline une complicité profonde, comme celle qui unit des amis d'enfance ou des jumeaux. Ils forment un couple qui fait envie et veulent faire un enfant. Leur bonheur serait sans nuage si Alain n'était homosexuel, si son désir et sa définition de lui-même ne le portaient vers les hommes. Alain est gay, pas bi, vraiment gay. Et pourtant, il aime Aline, il touche son corps, il ne peut pas se passer d'elle. C'est une évidence qu'il a d'ailleurs du mal à faire comprendre à ses amants. Il aime cette femme bien qu'il préfère les hommes. Il pense qu'il n'aimera jamais que celle-là. D'habitude, ça fonctionne plutôt en sens inverse... des hommes qui ont une double vie, la famille hétéro lambda au premier plan, les rencontres homosexuelles clandestines au second... Et puis, parfois, après des années de mensonges et de tension, l'explosion: l'homme qui plaque tout pour vivre son homosexualité au grand jour, la sidération des proches qui n'avaient rien compris... Ou alors, l'homme qui refuse à ce point son désir homosexuel qu'il a en permanence l'insulte à la bouche, qu'il aborde le corps des femmes avec fureur et répugnance. Dans le cas d'Alain et Aline, c'est exactement l'inverse qui se passe. C'est l'amour hétérosexuel qui représente la transgression , c'est le corps d'une femme qui surgit dans un imaginaire peuplé de sexes masculins. 
Pour extraordinaires qu'elles soient, ces histoires permettent d'explorer les forces calmes ou tumultueuses de la complicité et de la passion, des forces qui peuvent conduire à une certaine forme de bonheur ou à la destruction. Ils vivent ensemble depuis quatre ans et envisagent de faire un enfant. Alain tient à préciser qu'il est archi-homo, pas bi. Aline est l'unique femme qu'il aime et qu'il aimera. Il résume cette certitude en se disant gay et «alinosexuel».
"J'ai eu conscience d'être homo vers l'âge de 6 ans. Après, j'ai totalement refoulé ça. Je fantasmais sur les garçons, mais j'espérais pouvoir être amoureux d'une fille, histoire de vivre comme tout le monde. A 18 ans, j'ai eu ma première expérience sexuelle avec une fille. Et après, rien... le désert total. Toujours cette impossibilité à me confronter à mon désir. C'est dans cette phase de glaciation que j'ai rencontré Aline. C'est elle qui m'a dragué, mais je ne m'en rendais absolument pas compte. Quand j'ai enfin compris que je lui plaisais, il a fallu que je lui dise la vérité. Mais le mot "homo" n'arrivait pas à sortir de ma bouche. Après moult hésitations, j'ai fini par lui dire: "Tu sais, je regarde aussi les garçons." C'était plus que bizarre. J'étais homo, je vivais avec une fille que j'adorais et avec qui je couchais, mais je n'avais jamais couché avec un mec. J'étais au bord du pétage de plomb. J'ai mis une annonce sur un site Internet: "Jeune homme inexpérimenté recherche homo pour première fois." Ça s'est passé un 24 décembre au soir. La révélation, la cohérence, enfin... Le lendemain, je l'ai dit à Aline avec un immense sourire. Je n'avais absolument pas conscience du mal que je pouvais lui faire. J'ai remis une annonce sur Citegay, à la suite de laquelle j'ai rencontré Christian, avec qui j'ai commencé une histoire. Comment naviguer entre vérité et tromperie? Notre vie devenait archi-compliquée. J'ai présenté Christian à Aline. Ils se sont très bien entendus, mais en même temps, je couchais avec Christian sans le dire à Aline. On était en plein vaudeville: mon amant, ma copine et moi. Christian était amoureux de moi. Du coup, il commençait à être jaloux d'Aline, qu'il considérait pourtant comme son amie. Le tiraillement devenait de plus en plus ingérable. J'étais totalement perdu. Je désirais les garçons, je vivais en couple avec une fille. Il fallait trancher. Du coup, j'arrête de me raconter des histoires. J'admets que je suis pleinement homo, pas bi. Mes fantasmes, mes pulsions me portent exclusivement vers les hommes. En dehors d'Aline, il est clair que je n'ai aucune attirance pour les femmes. Je suis gay et "alinosexuel". Aline est la seule femme que je désire et que je pourrai jamais désirer.D'abord, j'ai paniqué. Je ne savais pas du tout si l'on serait encore ensemble dans quelques années, et je ne voulais pas imposer un père homo à un enfant. Mes copains gays ont un mal fou à comprendre pourquoi Aline reste avec moi. Pour eux, ça doit être la nana la plus malheureuse du monde, et moi, je suis l'égoïste, qui veut le beurre et l'argent du beurre."
"Ce qui était important pour moi, c'était l'honnêteté. Je ne voulais pas qu'il se serve de moi comme d'un alibi, d'une couverture pour avoir l'air "normal" aux yeux de sa famille. Dans ma tête, l'attirance pour les hommes et pour les femmes n'étaient pas en concurrence. Cela m'aurait infiniment plus inquiétée si Alain m'avait annoncé qu'il ne pouvait pas s'empêcher de se taper d'autres filles. C'était très pénible. En tant qu'amie, j'étais contente pour lui. En tant que petite amie, je me demandais comment ça allait être possible... Un soir, Alain me déclare qu'il a décidé de me quitter. Et malgré la complexité de la situation, je me rends compte que ce n'est pas possible. On se met tous les deux à pleurer comme des veaux. On se sent liés par quelque chose d'indestructible, comme si l'on était des jumeaux mystiques. Il y a un an, je lui ai dit que je voulais un bébé. Moi, ça ne me fait pas peur du tout. Les hommes gays sont souvent d'excellents pères. Paradoxalement, je suis convaincue que plus on a une histoire hors norme, plus on est forcé à une honnêteté qui peut éviter la rupture - bien plus que dans un couple "normal", qui vit dans la routine, le silence et le mensonge. Je me dis que l'on a un lien tellement fort que l'on trouvera toujours des solutions pour s'épanouir tous les deux. Pas une seule seconde je ne me sens victime."
Philippe Harlin, psycho-sexologue, nous donne son avis sur ces relations qui poussent des hommes homosexuels à tomber amoureux de femmes. 
"L'amour transcende parfois le désir. Quand on est homosexuel, on peut avoir des pratiques hétéro grâce à la force des sentiments. Pénétrer n'est pas difficile, sauf pour les homos qui sont vraiment dans la haine des femmes. Ce qui m'interroge dans cette histoire, c'est d'abord Aline. Il n'est pas innocent de tomber amoureuse d'un gay. Pour moi, cela recouvre forcément une peur que sa féminité soit remise en cause par les autres femmes, un désir de contrôle ou de fusion fraternelle. Cela s'exprime très bien dans son témoignage. A côté de ça, Alain et Aline sont à la fois enfantins et lucides. Ils vivent un assez bon arrangement. Ils font la part des choses entre le projet parental et le romantisme. Aline a sans doute peur de se confronter au désir et à la sexualité masculins. Si elle découvre une profonde jouissance sexuelle avec un autre homme, cela va être une épreuve pour son couple. Mais je serais prêt à parier qu'elle restera liée à Alain, d'une manière ou d'une autre.»
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Longtemps considérées comme tabou, les relations homos ou lesbiennes s'assument désormais davantage. L'amour homosexuel est-il différent de l'amour hétéro ?
C’est une histoire vieille comme le monde. Un garçon qui aime un garçon. Une fille qui désire une autre fille. Sans que personne aujourd’hui encore ne sache pourquoi, certains d’entre nous ne sont pas « programmés » pour aimer une personne de l’autre sexe. Ce qui les fait décoller, ce qui les rend tout chose, ce qui leur donne des papillons dans le ventre, ce sont des individus du même genre qu’eux.
L’ homosexualité est en somme aussi mystérieuse que l’hétérosexualité. Elle ne s’explique pas, elle ne se commande pas. Et s’il est parfois difficile, lorsqu’on commence à peine sa vie amoureuse, de réaliser que l’on s’inscrit dans cette « minorité », plus vite on accepte cette évidence et plus on a des chances d’être heureux !
« J’ai toujours su, je crois, que j’étais homosexuelle, raconte Sandra, 25 ans. A six ans déjà, alors que mes copines voulaient que leurs Barbies trouvent des Ken, moi j’imaginais les miennes dormir ensemble. Et plus j’ai grandi, plus je me suis inventé des histoires où mes barbies ne faisaient pas que dormir ensemble ! ». Pour Sandra, le processus d’acceptation a été assez long. Elle a essayé dans un premier temps de lutter contre cette homosexualité.
En sortant avec des garçons. « Quand un garçon m’embrassait, sa langue dans ma bouche me dégoutait. Quand j’ai couché pour la première fois avec un petit copain, à 18 ans, je n’ai rien senti, à part la douleur. Forcément, j’étais sèche et crispée. Zéro désir ».
Et puis un jour, Sandra rencontre Zoé, sur les bancs de la fac. « Le coup de foudre. Pas besoin de se parler, de se dire les choses. On a passé un cours entier à se regarder. Elle est venue me voir à la fin et m’a proposé un ciné le soir même ». Et là, Sandra a compris ce qu’était le désir. « Quand sa main a frolé la mienne, j’ai ressenti un courant électrique des reins jusqu’au cou. Et quand plus tard on s’est embrassées, j’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais ! ».
Pour Sandra, qui a connu l’amour hétéro et qui désormais ne pratique que l’amour lesbien, « au lit, finalement, c’est assez semblable ». Bien sûr, deux filles ensemble ne se pénètrent pas. Tout au moins pas avec un pénis. Mais elles se servent de ce que la nature leur a donné. Leurs mains, leur bouche, leur clitoris. « Il y a la même nécessité d’avoir des préliminaires, les mêmes compatibilités ou incompatibilités. » Il ne faut pas se fier aux fantasmes véhiculés par les films érotiques destinés aux hétéros que l’homosexualité féminine excite : deux femmes qui font l’amour ensemble ne se contentent pas de se carresser les seins.
L’amour lesbien n’exclut pas les cunilingus, la pénétration à l’aide des doigts ou de godemichés, les positions diverses et variées ! « Par contre à la différence des hétéros, les lesbiennes font en général très attention à leurs ongles qu’elles portent court, histoire de ne pas blesser leurs partenaires », glisse Véronique, 45 ans.
De leur côté, les hommes gays ont eux aussi des rapports sexuels qui ne diffèrent pas tant que ça de ceux des hétéros. La pénétration est anale – ce qui peut aussi arriver entre des personnes de sexe opposé – les rapports bucco-génitaux font eux aussi partie de la panoplie. Contrairement aux préjugés, tous les gays n’ont pas un rôle forcément prédéfini de passif (celui qui est pénétré) ou d’actif (celui qui pénètre). « Je passe facilement de l’un à l’autre », confie Gilles, 28 ans. « Au départ, je pensais être uniquement actif. Jusqu’à ce que je rencontre un homme dont je suis tombé raide dingue et qui m’a fait découvrir les joies de la pénétration ! ». En revanche, prévient-il, contrairement aux hétéros, les gays ne peuvent que très difficilement se passer de lubrifiant, l’anus étant une zone moins « humide » que peut l’être le vagin. « Une bonne pénétration se prépare », résume Gilles.
Surtout, bien que le Sida soit une maladie dont on parle moins aujourd’hui grâce aux progrès des traitements, elle reste mortelle et fortement contraignante. Sans parler des autres MST. Si les hétéros doivent bien sûr eux aussi se protéger, l’homosexualité rime d’autant plus avec préservatif. Non seulement parce que la population homosexuelle est davantage touchée par le Sida mais aussi parce que la transmission est favorisée par les rapports anaux, en raison des saignements plus fréquents dans cette partie du corps.
Attention, les lesbiennes elles aussi doivent se protéger. Lors de rapports bucco-génitaux, il existe un risque de transmission également, même si l’homosexualité féminine présente néanmoins moins de risque de contamination. Sachez en tous cas qu’il existe des préservatifs féminins qui n’empêchent pas le plaisir…

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