Homme noire dans un trou blanc
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Homme noire dans un trou blanc
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Un homme qui est resté travailler tard au boulot, découvre accidentellement un trou noir en utilisant la photocopieuse. Un court métrage réalisé par Phil & Olly
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Un homme qui est resté travailler tard au boulot, découvre accidentellement un trou noir en utilisant la photocopieuse. Un court métrage réalisé par Phil & Olly
Je suis en ce moment Ă Varsovie, invitĂ© Ă une confĂ©rence dĂ©diĂ©e Ă lâĂ©tude des singularitĂ©s en relativitĂ© gĂ©nĂ©rale. Mon exposĂ© portera principalement sur la cosmologie quantique et les modĂšles oĂč un rebond remplace le Big Bang.
Je souhaite néanmoins dans cette brÚve note évoquer un autre point trÚs discuté ici, concernant les trous noirs (suite aux travaux de Rovelli, Haggard, Vidotto, Bianchi, etc.).
Il faut dâen premier lieu aborder la question de la « taille » dâun trou noir. Typiquement, un trou noir de la masse du Soleil possĂšde un diamĂštre de quelques kilomĂštres. Câest un calcul simple et lâaffaire semble entendue. Mais câest aller un peu trop vite en besogne ! En rĂ©alitĂ©, mĂȘme si sa masse â et donc sa taille vue depuis lâextĂ©rieur â ne change pas, le volume interne dâun trou noir augmente avec le temps (voir ici ). Un « petit » trou noir peut donc en rĂ©alitĂ© contenir un volume immense si tant est que celui-ci soit formĂ© depuis suffisamment longtemps.
Par ailleurs, il faut savoir que si les « trous blancs » sont souvent perçus comme des objets exotiques, ils ne sont pas si Ă©tranges que cela du point de vue de la relativitĂ© gĂ©nĂ©rale. Ils sont juste le « renversĂ© temporel » dâun trou noir. Et ils constituent une solution parfaitement simple et connue des Ă©quations dâEinstein.
Enfin, dernier Ă©lĂ©ment clef du scĂ©nario : la physique quantique. Elle permet lâexistence de processus qui sont « classiquement » interdits. On nomme de tels occurrences des « effets tunnel ». LĂ encore, rien de trĂšs inhabituel : de tels phĂ©nomĂšnes sont bien connus et utilisĂ©s depuis longtemps. La question essentielle est celle de la probabilitĂ© dâeffectuation des transitions par effet tunnel. Elles sont parfois extrĂȘmement rares, parfois aisĂ©ment possibles.
En groupant tous ces ingrĂ©dients, un scĂ©nario novateur et attirant semble se dessiner (voir ici ). Quand un trou noir se forme, il commencerait par sâĂ©vaporer par effet Hawking. Câest la vision usuelle et consensuelle (on ne sâintĂ©resse pas ici Ă lâaccrĂ©tion de matiĂšre, on considĂšre un trou noir isolĂ© ou de faible masse). Sa probabilitĂ© de transition par effet tunnel en « trou blanc » serait initialement trĂšs petite. Au fur et Ă mesure de son Ă©vaporation, la masse du trou noir diminuerait et atteindrait la masse de Planck (celle dâune poussiĂšre). A ce moment, la probabilitĂ© de transition en trou blanc deviendrait trĂšs Ă©levĂ©e et un « trou blanc relique » se formerait donc.
Le trou blanc juste crĂ©Ă© serait trĂšs petit vu de lâextĂ©rieur mais contiendrait encore (parce quâil est issu dâun « vieux » trou noir) un volume interne possiblement trĂšs important. Ceci permettrait de rĂ©soudre le fameux « paradoxe de lâinformation ». AprĂšs un temps considĂ©rable, le trou blanc finirait par disparaitre mais son Ă©volution resterait unitaire, ce qui est essentiel du point de vue quantique.
Ce scĂ©nario â cohĂ©rent et original â pourrait aussi avoir des consĂ©quences pour la matiĂšre noire (voir ici ). Bien quâĂ mon sens cela demeure assez improbable (car il nâest pas simple de former des trous noirs dans la gamme de masse opportune pour rĂ©soudre le mystĂšre de la matiĂšre noire), câest une piste intĂ©ressante. Peut-ĂȘtre plus encore parce quâelle offre aussi une nouvelle lumiĂšre sur la faible entropie initiale de lâUnivers (un vieux problĂšme : pourquoi notre Cosmos est-il si âimprobableâ).
Les trous noirs nâen finissent pas de nous Ă©tonner et ils sont loin dâavoir livrĂ© tous leurs mystĂšres.
On a lâimpression que vous voyagez comme un petit Prince dans lâUnivers et que vous avez accĂšs Ă une bibliothĂšque dâinformations auquel le commun des mortels nâa pas accĂšs.
Quelle chance! Trou blanc! trou noir! et trou gris?? OĂč est-il?
Ne serait-il pas le temps cĂ©rĂ©bral du sujet qui coordonne toute lâabstraction en rĂ©flexion de ces doubles reprĂ©sentations miroirs mathĂ©matiques??
Les cellules-miroirs nâont-elles pas quelque chose Ă jouer dans ces observations archĂ©types de trou blanc/trou noir???
Je suis vraiment impressionnĂ© avec quelle simplicitĂ© les physiciens dĂ©crivent et semblent voyager dans le temps dâEinstein! ârien dâinhabituelâ; âjuste un renversĂ© temporelâ;
excusez-nous, mais en se penchant un peu sur la question, tout le monde sait faire ce genre de modélisation opposée et complémentaire! Sans aucun préjugé, les philosophes diront:
âun peu lĂ©ger quand mĂȘme!â
Malgré tout, merci pour vos belles explications et modélisations!
Ă bientĂŽt!
Jâai lâimpression que les physiciens nous Ă©garent.
Jâai personnellement lâintuition que notre trou noir, lorsquâil a trop avalĂ©, produit ses rayons gamma, et se transforme en trou blanc, Ă©jectant la matiĂšre avalĂ©e (et sans doute dans un processus sur-numĂ©raire) sous forme principalement dâhydrogĂšne.
Cela forme et le halo dâhydrogĂšne du centre galactique et les Ă©toiles.
Merci Ă Barreau dâavoir exprimĂ© son intuition dans une confĂ©rence Tedx Ă Marseille, oĂč dans un trou noir, le temps se transforme en espace et lâespace en temps.
DÚs lors, le processus décrit ci-dessus ne nous est pas perceptible.
Bonjour appelĂ© moi Kyle se n est pas mon vrai nom mais voilĂ je m interresse a la quantique j en connais un rayon mais moi je pense que nous pouvons passer de dimensions en dimensions a partir d un trou noir et dâun trou blanc mais sa ne rejeterai pas le temporel recontacter moi dĂšs que possible merci.
Vous Ă©voquez lâĂ©vaporation dâun trou noir: câest donc quâil existe en nature une cinquiĂšme dimension qui nâappartient pas Ă lâespace-temps: 3 vecteurs espace + 1 temps+ 1 transfert.
Dans ce cas, la philosophie dâAlbert Einstein est insuffisante.
Imaginons quâun entonnoir doit remplir une bouteille neutre dite âtransparenteâ: on lâappelle la nature maximale dâĂ©change.
Notre observation espace-temps et causale se tient circonscrite dans la partie interne de lâentonnoir: on conserve une certaine libertĂ© de la RelativitĂ© gĂ©nĂ©rale et restreinte.
Mais en accĂ©lĂ©rant le processus dâobservation selon un champ rĂ©ducteur dans le temps, on atteint la zone de tubulure de lâentonnoir qui se met Ă rĂ©sonner avec la bouteille: on entre alors en phase trou-noir oĂč la lumiĂšre-matiĂšre est simultanĂ©ment aspirĂ©e et conservĂ©e dans la bouteille.
Mais la possibilitĂ© reste quâon puisse sâĂ©chapper au niveau du goulot, câest-Ă -dire Ă travers le jeu de transfert reprĂ©sentĂ© par les surfaces tubulaires de lâentonnoir et celles du goulot interne de la bouteille.
On remonte alors la rĂ©duction du temps dans la bouteille sous la forme dâune amplification: on passe de âlâautre cĂŽtĂ©â de lâensemble dimensionnel restrictif pour exister dans un champ trou blanc qui laisse constater une nette diminution du phĂ©nomĂšne de gravitation, mais toujours accompagnĂ© dâune vitesse de la LumiĂšre qui se dirige vers lâintĂ©rieur du vase clos pseudo-ouvert par lâentonnoir.
On conclue alors quâil existe deux formes de thermodynamiques et causalitĂ©s.
Dans le moment passĂ©, on devait faire face Ă la pĂ©nĂ©tration de la LumiĂšre qui occasionnait lâobligation dâune Ă©quivalence Ă©nergie-matiĂšre avec lâincidence de masse et dâinertie courbe: au niveau de la phase futur situĂ©e de lâautre cĂŽtĂ© de lâentonnoir Einstein-Minkowski rĂ©duit, on reste attirĂ© vers lâintĂ©rieur parallĂšle, mais sans dĂ©velopper de masse: on est pure Ă©nergie.
On se positionne alors dans un Ă©quilibre âqui peut le plus, peut le moins.â La nouvelle existence trou blanc permet une vitesse plus Ă©levĂ©e dâexploitation par rapport Ă la cĂ©lĂ©ritĂ© de transfert. Le phĂ©nomĂšne de Gravitation y est diffĂ©rent: on dira quâil se comporte comme une ascension positive. Avec le contraire de notre univers gravitationnel vers la courbure centrale.
Le tour est alors jouĂ©! on a voyagĂ© avec un peu dâimagination et quelques ustensiles de table.
Il reste alors la frontiĂšre maximale trou noir/trou blanc qui se symbolise par la gĂ©nĂ©ratrice supĂ©rieure maximale de lâentonnoir: on dit alors quâon est en âtrou grisâ, câest-Ă -dire en phase cĂ©rĂ©brale rĂ©sonante avec la gĂ©nĂ©ratrice infĂ©rieure de lâentonnoir Einstein-Minkowski entrĂ© en rĂ©duction temporelle dans la bouteille.
On Ă©voque alors lâamplitude globale de conscience âinter-espace-tempsâ: on peut voyager en phase trou noir ou trou blanc, mais lâimpression sera diffĂ©rente. La sensation objective sera inversement subjective.
âtout ce qui est vide dans le cosmos, devient alors un vĂ©ritable autre univers!â
Bon voyage de super-Minkowski digne dâune bande-dessinĂ©e!
je n ai rien compris,quel mik mak indigeste mais ça reste un exercice original avec mĂȘme une pointe d humour : la sensation objective sera inversement subjective mdrrr ^^
Cher Mat! Comment vous dire! Ce que jâai essayĂ© de dĂ©crire tourne autour du fait quâil existe tout simplement une conscience relativiste qui correspond aujourdâhui Ă notre rĂ©alitĂ© objective, et quâil pourrait dans ce cas exister une conscience unifiĂ©e qui correspondrait davantage Ă la notion de conscience purement imaginative et donc ce que lâon dĂ©finit comme le subjectif, câest-Ă -dire davantage retenue comme un avis singulier et appartenant Ă chacun; plutĂŽt quâun moment dĂ©crit de maniĂšre objective parfaitement standardisĂ©.
En dâautres termes, et Ă travers le jeu dâune bouteille et dâun entonnoir, ce que je veux dire câest quâĂ chaque moment de la rĂ©alitĂ© objective qui correspond Ă notre Univers observable, il existera un moment complĂ©mentaire davantage subjectif et liĂ© Ă lâimaginaire nĂ©cessairement existentiel pour redonner toute lâamplitude de lâobservation. Jâaccorde donc la rĂ©alitĂ© objective Ă lâespace et de ce fait lâautre rĂ©alitĂ© complĂ©mentaire subjective au temps. Dans ce cas, pour rĂ©sumer, je dĂ©finis la RĂ©alitĂ© comme une composition spatiale Ă tendance objective et une composition temporelle Ă tendance subjective: la derniĂšre appartiendra davantage Ă la notion de MĂ©moire encore mystĂ©rieuse. Je la compare en fait Ă une sorte de âTraĂźnĂ©eâ qui sâactive dans le cadre dâune cinquiĂšme dimension entre lâespace et le temps; oĂč on pourrait passer dâun cĂŽtĂ© Ă lâautre, mais jamais avec le mĂȘme facteur de conscience: tout simplement!
Pour image, il suffit de comparer cette analogie Ă celle dâun conducteur automobile qui sâĂ©quilibre entre lâhorizon situĂ© devant lui et qui vĂ©rifie sans cesse le PassĂ© dĂ©jĂ dĂ©passer avec le vĂ©hicule et sa conscience, grĂące nĂ©anmoins Ă la prĂ©sence du rĂ©troviseur. Câest donc ce ârĂ©troviseurâ de champ qui devient Ă part entiĂšre la notion de temps en regard de lâespace abordĂ© de maniĂšre plus immĂ©diate, mĂȘme si le conducteur observe une part rĂ©flĂ©chie de lâespace dans ce rĂ©troviseur.
En conclusion, ce que je veux dire, câest que nous nâobservons pas directement la MatiĂšre-espace, mais plus indirectement la MatiĂšre-rĂ©flĂ©chie Ă travers la nature du temps; et qui correspondra Ă une sorte de retour dâonde du Vide entre deux instants t1 et t2 dans lâespace: et toujours perceptible en premier lieu comme de la MatiĂšre-espace.
Pourquoi une telle approche?
Tout simplement parce-que lâindividu humain et cĂ©rĂ©bral possĂšde une part indĂ©niable de libre arbitre sur la MatiĂšre que lâon dĂ©finit comme la Conscience.
Enfin, je le redis, lorsquâun astrophysicien observe un trou noir depuis et Ă travers un tĂ©lescope, il me semble que la capacitĂ© cĂ©rĂ©brale reste capable de dĂ©passer la RelativitĂ© GĂ©nĂ©rale dâAlbert Einstein de maniĂšre la plus naturelle, puisquâen lâabsence de la LumiĂšre, le gĂ©nie humain Ă la fois immĂ©diat ou bien renvoyĂ© Ă travers la conception dâun tĂ©lescope, est capable de traduire cĂ©rĂ©bralement ce champ qui dĂ©passe lâinvariance absolue de la LumiĂšre par une observation ânoireâ: câest pourquoi on lâappelle âtrou noirâ.
Que faut-il en retenir? Tout simplement que lâHomme connaĂźt dĂ©jĂ la rĂ©ponse universelle sous forme de temps, mais dĂšs lors que celui-ci utilise les Ă©tages et filtres du champ cĂ©rĂ©bral, la RĂ©flexion induite vient alors rĂ©duire la rĂ©ponse sous la forme dâune nature espace encadrĂ©e alors avec la limite absolue de la LumiĂšre et celle dâEinstein.
Toutefois, il semble que lâhomme est le seul garant Ă pouvoir simultanĂ©ment observer et dĂ©crire cette nature de la LumiĂšre que lâon interprĂšte aujourdâhui sous la forme dâune vitesse ou dâun quanta, et qui donc se retrouve dans le cadre dâune mesure avec un appareil tout droit sortie de la capacitĂ© humaine.
Je ne peux pas ĂȘtre plus clair! AprĂšs chacun dĂ©finit le moment universel de conscience Ă sa façonâŠ
Merci pour votre commentaire: il aura permis cette rĂ©ponse! Câest aussi ça le plus important!
Ce que je nomme le retour dâonde du Vide nâest autre que de âlâInformationâ rĂ©alisable et non plus uniquement RĂ©aliste.
Il est vrai que mon approche sur la RĂ©alitĂ© est un peu exotique! Je ne nie pas que si la pomme de Newton me tombe sur la tĂȘte, je nâen vivrais pas les effets rĂ©els de la MatiĂšre. Mais suivant la puissance du choc, je perdrais conscience de cet instant impliquĂ© entre la MatiĂšre et la retenue MĂ©moire de lâEsprit: retenue âĂ©vasiveâ ou sans conscience qui se traduira par un âflashâ cĂ©rĂ©bral de lumiĂšre. Faut-il avoir fait de la boxe pour le comprendre???
Merci, Ă bientĂŽt Mat,
Tâest surtout obsede par les dĂ©tail je pense que le mec a qui tu repondais il a toujours rien compris scientifiqueman reveille toi un peu
vraiment pas tout compris, je ne vois pas mĂȘme lâallĂ©gorie de lâentonnoir, sachant quâun horizon est sphĂ©rique. Le rayonnement dâHawins ne semble pas utiliser dâautres dimensions que celle que nous connaissons, du moins je ne vois pas le besoin de positionner une dimension dâĂ©change, dans ce cas il faudrait en positionner sur toutes les lois thermodynamiques.
La notion binaires du trou blanc et noir me semble un peu epistolairitractĂ©e, cela semble juste flatter notre syndrome dâĂ©quilibre. Ma foi pourquoi pas aprĂ©s tout
Tout Ă fait dâaccord avec vous: les notions binaires de la thĂ©orie du trou noir et du trou blanc viennent satisfaire dâaprĂšs moi et Ă lâidentique de votre rĂ©flexion une sorte dâarchĂ©type de la conscience qui se satisfait de ces sortes de reprĂ©sentations en âlogique blancheâ et en âlogique noireâ. Câest pourquoi, jâai essayĂ© dâimaginer une logique âgriseâ, câest-Ă -dire la retenue de notre propre âespaceâ du Sujet qui sâactive dans ces logiques binaires.
Contrairement Ă Mat ou Ă Einstein, je pense que lâUnivers nâest ni fermĂ© et sphĂ©rique, ni ouvert et en selle de cheval, ni plat.
Il est pour ma part en dĂ©pression âhĂ©licitiqueâ, oĂč il devient possible de pouvoir y intĂ©grer le champ de rĂ©flexion de lâobservateur, en âparallĂšleâ du champ de la MatiĂšre; et afin de pouvoir toujours lui confĂ©rer un libre-arbitre observateur.
Cette modĂ©lisation Ă âcourbure hĂ©licitiqueâ se traduit comme un effet âtunnelâ lĂ©gĂšrement vrillĂ©.
Comment en comprendre toute lâastuce gĂ©omĂ©trique et dynamique?
En fait, je suis parti dâune feuille plate.
Quand on la recourbe en deux parties superposĂ©es pour pouvoir traduire une trajectoire de A vers B, et en fait un espace courbe basique, jâapplique alors un facteur de âdĂ©portâ qui dĂ©cale la superposition: ce dĂ©port est dĂ©finie comme la notion dâinertie de la matiĂšre alors relative Ă la nature du temps et non pas uniquement Ă lâespace.
On peut le comprendre alors autrement comme un âcorrecteurâ de lâaccĂ©lĂ©ration dâune masse dans lâespace: câest ici aussi la nouveautĂ©; lâinertie dâune masse est dĂ©finie comme du temps qui va venir offrir un potentiel dâobservation combinĂ© Ă lâobservateur.
La feuille A4 est alors ârecourbĂ©eâ comme un tunnel oĂč la tranche de cette feuille vient se joindre bord-Ă -bord: une fois que cette ârecourbeâ est effectuĂ©e, on fait glisser les bords jusquâĂ la moitiĂ© respective de chacun, et on obtient donc une sorte de tunnel en hĂ©lice.
Ce glissement bord-Ă -bord maximal est alors dĂ©finit comme lâinertie maximale et potentielle du moment-matiĂšre observable ( ou lâĂ©nergie interne excitĂ©e pcÂČ ); et correspondant ici Ă un champ recourbĂ© vrillĂ©.
Lâinertie de âglissementâ est alors considĂ©rĂ©e comme la nature propre du temps observable: on Ă©voque moins ici la trop simpliste courbure espace-temps dâAlbert Einstein, mĂȘme si les deux natures sont ici parfaitement intriquĂ©es.
Plus le glissement bord-Ă -bord tend vers le maximum, et davantage la modĂ©lisation se met Ă tourner sur elle-mĂȘme, jusquâĂ la limite rĂ©sonante de lâĂ©nergie interne excitĂ©e au maximum; et en parallĂšle du potentiel observable et ici absorbĂ© durant lâeffet tunnel vrillĂ©.
De notre cĂŽtĂ©, en tant quâobservateur âisolĂ©â par le libre-arbitre, on vient âlireâ le moment espace-temps ârecourbĂ© en Ă©tant âaspirĂ©â dans ce tunnel hĂ©licitique, alors que le champ âcomplexeâ et remaniĂ© tourne selon lâexcitation de lâinertie-accĂ©lĂ©ration.
En rĂ©sumĂ©, et de maniĂšre mathĂ©matique pure, la Masse de la moindre particule est donc modĂ©lisĂ©e comme un champ ârecourbĂ©â qui Ă©volue suivant la reprĂ©sentation dynamique expliquĂ©e auparavant.
Par consĂ©quent, on ne sĂ©pare plus la matiĂšre en terme de relativitĂ© restreinte et gĂ©nĂ©rale: tout y est intĂ©grĂ© en terme de ârecourbeâ hĂ©licitique Ă potentiel de glissement inertiel:
oĂč le temps âpropreâ du Sujet-observateur de lâexpĂ©rience reste âdĂ©localisĂ©â mais intimement absorbĂ© par le âvortexâ de la nouvelle modĂ©lisation, dĂšs la moindre excitation conduite sous la forme dâune expĂ©rience rĂ©alisĂ©e.
La dynamique cinĂ©tique du systĂšme donne alors la possibilitĂ© dâune illusion probabiliste, puisque dĂšs lors que lâexpĂ©rimentateur excite la matiĂšre, il est alors impliquĂ© dans la rotation hĂ©licitique Ă glissement inertiel, et combinĂ© entre lâobservateur et lâobservation: il est a
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