Homme d'âge mûr baise avec une fille bestialement

Homme d'âge mûr baise avec une fille bestialement




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Homme d'âge mûr baise avec une fille bestialement
iStock Photo libre de droit de Homme Dâge Mûr Avec Des Écouteurs Utilisant Une Tablette Numérique banque d'images et plus d'images libres de droit de 65-69 ans Téléchargez dès aujourd'hui la photo Homme Dâge Mûr Avec Des Écouteurs Utilisant Une Tablette Numérique. Trouvez d'autres images libres de droits dans la collection d'iStock, qui contient des photos de 65-69 ans facilement téléchargeables. Product #: gm1410510327 $ 4,99 iStock In stock
Images Photos Illustrations Vectoriels Vidéos
Taille maximale : 5472 x 3648 px (46,33 x 30,89 cm) - 300 dpi - RVB
Date de chargement : 27 juillet 2022
© 2022 iStockphoto LP. Le logo iStock est une marque déposée de iStockphoto LP. Faites votre choix parmi des millions de photos, vidéos et illustrations de haute qualité.
Mature businessman on a coffee break
En savoir plus sur les images libres de droits ou consulter la FAQ sur les photos .


Une prostituée attend un client dans un parc à Phnom Penh, le 20/07/2010, Chor Sokunthea/REUTERS



Monde


touristes


textile


prostitution


prostituées


Cambodge


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Slate.com
— 30 mai 2011 à 0h00
C’était sans doute la
question la plus stupide de toute l’histoire du journalisme. Je venais de la
poser à une jeune femme qui m’avait servi un verre au Zanzibar , bar à
hôtesses de Phnom Penh dont «le personnel constitué de jolies demoiselles… est
toujours disponible pour vous servir et combler vos moindres désirs». Les
hôtesses sont payées pour flirter et se consacrer aux clients, mais de toute
évidence je venais de pousser celle-ci à bout.
«Vous savez bien que ce n’est pas un bon boulot», me répondit-elle avec
un sourire affecté qui trahissait son irritation.
Au Cambodge, où le régime
de l’ancien communiste Hun Sen supervise une forme particulièrement brutale de
capitalisme de copinage, les choix économiques sont sérieusement limités et 40%
de la population vit avec moins de 1,25 dollars (0,88 euro) par jour . Pour
les jeunes femmes, travailler dans l’industrie du sexe —ce qui comprend les bars
à hôtesses, les bars-karaoké, les salons de massage et la prostitution en free
lance— est l’une des rares alternatives à l’industrie de l’habillement, responsable
de 90% des revenus de l’exportation du pays. Aussi déplaisante qu’elle soit,
beaucoup de femmes trouvent que c’est une alternative préférable.
Les secteurs du sexe et du
textile puisent dans le même réservoir de main d’œuvre: des jeunes femmes sans
éducation, venues des campagnes pauvres, et qui envoient une partie de leurs
gains à leurs familles pour les aider. La quasi-totalité des 350.000 travailleurs
du textile du pays sont des femmes. Les estimations du nombre de travailleuses
de l’industrie du sexe varient entre
20.000 et 100.000 ; le chiffre inférieur étant probablement bien
plus près de la vérité car le plus grand est celui avancé par les organisations
de lutte contre le trafic humain enclines à l’exagération et à l’affût de
financement, et qui semblent supposer que presque tous les travailleurs du sexe
sont des «esclaves». Dix pour cent est une estimation plus probable du nombre
de prostituées victimes de trafic.
Il existe un flux
permanent de travailleuses entre les deux secteurs: un projet interagences des
Nations Unies de 2009 sur le trafic d’êtres humains révèle
qu’après la grande crise économique mondiale, jusqu’à 20% des ouvrières de
l’industrie de l’habillement licenciées se sont reconverties dans le «secteur
du divertissement».
Employées dans une usine à Phnom Penh, le 6 août 2010, Chor Sokunthea/REUTERS
Les usines de textile ont commencé à se multiplier à Phnom Penh au
milieu des années 1990, après la signature par le Cambodge d’un accord
commercial bilatéral avec les États-Unis lui donnant un accès privilégié aux
marchés américains à condition que les usines locales fassent respecter de
meilleures conditions de travail. Walmart, Nike, Target et d’autres grandes
marques ne tardèrent pas à chercher des fournisseurs au Cambodge, et le pays se
gagna une réputation, comme le décrivit USA Today , de
«producteur sans sweatshop [atelier exploitant sa main d’œuvre] dans un marché
du textile mondial férocement concurrentiel».
Le
chroniqueur du New York Times, Nicholas Kristof, força le trait en 2008, dans un
article écrit à Phnom
Penh où il écrivit qu' «un travail dans un sweatshop est un rêve convoité,
un ascenseur pour sortir de la pauvreté». Un peu plus tôt, Kristof avait acheté la
«liberté» de deux prostituées/«esclaves» et les avait renvoyées dans leurs
villages. L’une d’entre elles ne tarda pas à retourner à son ancien travail . Dans
un article de 2009 , Kristof
appela le gouvernement cambodgien à «organiser des descentes infiltrées» dans
des bordels, mais en pratique ce genre de raids débouchent sur le tabassage ou
le viol des femmes qui sont ensuite envoyées dans des «centres de
réhabilitation» décrits par Human Rights Watch comme des « prisons sordides »: Koh Kor par exemple, ancien
centre de détention des Khmers Rouges.
L’industrie du sexe a fait
son entrée au Cambodge au début des années 1990, main dans la main avec la
mission onusienne de maintien de la paix qui avait supervisé les élections
après la chute des Khmers Rouges et des décennies de guerre civile (lorsqu’en
1998, on lui demanda quel serait l’héritage de la mission de l’Onu, Hun Sen répondit:
« le sida »). Elle ne fit que prospérer avec le flot de membres d’ONG,
d’expatriés et de touristes occidentaux qui s’y déversèrent ensuite. Dans son
livre paru en 1998 Off the Rails in Phnom
Penh , Amit Gilboa décrit le Cambodge comme un «festival anarchique de
prostituées bon marché» où «vous n’êtes jamais à plus de quelques minutes de marche
d’un endroit où le sexe est à vendre» .
La prostitution n’est pas
tout à fait aussi flagrante aujourd’hui, mais la distance temporelle qui vous sépare
d’une relation tarifée est plus ou moins restée la même. Des prostituées travaillent
nuit et jour tout autour de Wat Phnom, temple bouddhique qui figure parmi les
principaux sites touristiques de Phnom Penh. Les bars à karaoké et les salons
de massage sont légion, tout comme les prostituées free lance dans les bars et
discothèques destinées aux Occidentaux.
Un soir, j’ai demandé à un
chauffeur de tuk-tuk qui parlait très peu anglais de me déposer à l’angle de la
104 e rue et du quai de Sisowath, qui longe le fleuve Tonlé Sap. À la
place, il m’a déposé devant le 104 , bar à
hôtesses bien connu où il pensait que je voulais me rendre.
Un autre soir, je suis
allé dans une discothèque du Quai, pleine à craquer de Cambodgiens qui
dansaient sur de la pop asiatique interprétée en live. À peine avais-je
commandé une bière que la gérante vint me voir et me cria quelque chose
par-dessus la musique. Je ne réussis pas à saisir ce qu’elle me disait, mais
quelques instants plus tard, une jeune femme d’une vingtaine d’années, vêtue d’une
minijupe noire, vint s’asseoir à mes côtés. Je compris alors ce que la gérante
m’avait crié: «Vous voulez une fille?»
La jeune femme était plutôt
belle, mais la main qu’elle me tendait était si molle et démotivée que toute
envie que j’aurais pu avoir en fut tuée dans l’œuf. Un soir, je payai la « bar fine » [compensation versée au bar
pour que l’hôtesse puisse s’absenter avec un client] afin que l’hôtesse avec
laquelle j’avais discuté puisse rentrer tôt chez elle, et je lui offris un
pourboire généreux qu’elle prit pour le paiement de faveurs sexuelles. «Vous
voulez venir avec moi?» , me demanda-t-elle sans conviction. Quand je refusai,
son soulagement fut plus qu’évident.
Les bars à hôtesses, très concentrés au bord de la rivière et dans
quelques autres quartiers de la ville, constituent la face la plus visible de
l’industrie du sexe. Des néons clignotent en vitrine et de jeunes femmes
assises à des tables sur le trottoir interpellent les hommes qui passent et les
invitent à entrer. La musique est très rock des années 1960 et 1970; des
chansons comme Brown Sugar et Whiskey Bar (« Show me the way to the next little girl [montre-moi où est la prochaine
gamine – dans l’original, c’est
montre-moi où est le prochain bar à whisky] ») sont des classiques. Des
hommes occidentaux d’âge mûr sont assis à des tables et conversent, des
hôtesses enroulées autour de leurs épaules, assises sur leurs genoux ou en
train de leur masser le haut du dos.
Bar disco au Cambodge, le 14 février 2009 Adress Latif/REUTERS
Les relations sexuelles ne
sont pas proposées de façon agressive, et toutes les filles ne sont pas
disponibles. En revanche, les hôtesses insistent lourdement pour que les
clients achètent à boire car elles touchent une commission (en général 1 dollar: 0,70 euro) sur
chaque consommation. Les salaires évoluent entre 60 dollars (42 euros) et 70 dollars (49 euros) par mois, et en
comptant les commissions et les salaires, les hôtesses peuvent se faire jusqu’à
trois fois plus. Celles qui ont des rapports sexuels avec les clients gagnent
davantage. On m’a proposé 10 dollars (7 euros) pour une heure et 40 dollars (28 euros) la nuit. Les clients
cambodgiens paient bien moins cher, tout comme les expatriés de longue date
plus au fait des tarifs locaux.
Un soir, je suis allé au
104 avec deux amies cambodgiennes qui militent pour la défense de travailleuses
du sexe et en collaboration avec des syndicats de l’industrie textile. Elles
ont interrogé de ma part plusieurs hôtesses vêtues de jeans moulants et de
débardeurs rouges. L’une d’elles, âgée de 25 ans, a commencé ce travail à
la mort de sa mère (son père avait depuis longtemps abandonné sa famille). Certains
aspects de ce métier ne lui plaisent pas du tout, surtout les clients qui se
sentent autorisés à la peloter, mais elle est fière de ne pas être au chômage.
«Ces jobs sont difficiles à obtenir» , expliqua-t-elle. «Je ne suis pas belle, et
je ne parle pas bien anglais, mais le propriétaire m’aime bien et il a eu pitié
de moi.»
Les prostituées free-lance
travaillent dans des établissements bas de gamme comme le Martini , ainsi décrit par le guide Wikitravel de Phnom Penh : «un lieu pour hommes esseulés et dames légères» ,
et le Walkabout , qui est aussi un hôtel où l’on peut louer une
chambre à l’heure. Parmi les établissements un tantinet plus haut de gamme, on
trouve des bars comme le Sharky's , qui
propose des tables de billard et des concerts, et attire une clientèle plus
variée comprenant des femmes et des couples en plus des stéréotypes habituels
genre Disco Stu .
Je suis allée chez Sharky's
vers 21h un soir de semaine tranquille et j’ai pris place sur un balcon donnant
sur la rue avec une jeune femme de 24 ans aux mèches blondes, vêtue d’un
jean et d’une chemise en soie imprimée de cœurs roses et rouges. Elle parlait
peu anglais, et nous ne sommes pas allés très loin au-delà de «Comment tu
t’appelles?» et «D’où viens-tu?»
«Depuis combien de temps
habites-tu à Phnom Penh?» et «Avec qui vis-tu?» m’attira des regards vides (elle
répondit « oui » à la deuxième interrogation). Mais une de mes questions fut
instantanément reconnue: «C’est combien?» La réponse: pour un massage et «boom
boom», 5 dollars (3,5 euros) de l’heure et 20 dollars (14 euros) la nuit.
Mes deux amies
cambodgiennes m’ont aussi emmené dans un bar à karaoké principalement fréquenté
par des clients chinois et des touristes d’autres pays asiatiques. Plus de
100 femmes, certaines en minijupes et d’autres en robe de bal avec des
fleurs dans les cheveux, étaient installées dans des canapés alignés des deux
côtés de l’entrée. Nous avons pris une salle à l’arrière et demandé à quatre
femmes de nous rejoindre. Elles ne tardèrent pas à arriver, chargées de plateaux
couverts de bols de cacahouètes et de choses à grignoter; des assiettes de
pamplemousse, de raisins et de mangues, et des bouteilles de bière tiède servie
dans des verre avec des glaçons. Elles se mirent à chanter pour accompagner des
vidéos, principalement de la pop chinoise et cambodgienne.
L’une d’entre elles, qui avait arrêté l’école avant la fin de la
primaire, portait une robe de bal rose et des barrettes dans ses longs cheveux.
Elle était payée 60 dollars (42 euros) par mois et se faisait environ la même somme chaque
semaine en pourboires. Elle ne couchait pas avec les clients, mais ses
collègues qui le faisaient pouvaient gagner 100 dollars (70 euros) la nuit ou plus avec un client
«riche». Elle avait un frère plus âgé qui gagnait 45 dollars (31 euros) par mois en travaillant
comme agent de sécurité, et une grande sœur dans une usine textile. «Ma mère
n’aime pas savoir que je travaille ici, alors il va peut-être falloir que
j’arrête, mais je ne veux pas travailler avec ma sœur», me confia-t-elle. «Les
produits chimiques puent, son patron est toujours en train de crier et elle ne
gagne pas grand-chose.»
Prostituées cambodgiennes cherchant des clients à Phnom Penh, le 27 juillet 1994, STR New/REUTERS
Combien rapporte un
travail à l’usine comparé au commerce sexuel? Les emplois dans l’industrie
textile au Cambodge ne sont pas un ascenseur permettant de sortir de la
pauvreté, contrairement à ce que voudrait faire croire Kristof; à peine un
escalier de service. Les employés du secteur du textile gagnent environ
33 cents de l’heure; il n’y a guère qu’au Bangladesh qu’on trouve des
salaires plus bas. Même en faisant beaucoup d’heures supplémentaires, le
salaire mensuel dépasse rarement 80 dollars (56 euros). Les employés doivent se rendre à leur
travail, parfois depuis des villages à des heures de route, ou vivent à quatre
ou cinq par pièce dans des masures à la porte de l’usine. Une étude menée
par deux spécialistes de l’Organisation internationale du travail rapporte que
les employées du textile sont rarement capables d’économiser le moindre sou, et
que peu d’entre elles ont «l’opportunité d’évoluer dans leur carrière, que ce
soit dans l’industrie du vêtement ou à l’extérieur» .
Les ouvrières des usines
de textile sont sur le pont toute la journée, sauf pour leur courte pause
déjeuner, et leurs journées sont si longues qu’elles voient rarement la lumière
du jour. Les usines sont bruyantes, étouffantes, et le vrombissement constant
des machines rend toute conversation impossible. Les ouvrières sont soumises à
un règlement strict (par exemple demander l’autorisation de se rendre au
toilettes), subissent une pression constante pour augmenter leur rendement, et,
malgré la réputation du Cambodge de pays «sans sweatshop», elles sont de plus
en plus nombreuses à travailler avec des CDD qui les privent de leurs droits
les plus élémentaires .
Les journées des hôtesses sont
longues elles aussi—de la fin de l’après-midi jusqu’à 2 heures du matin
environ—mais elles prennent en général un repas sur leur lieu de travail,
passent du temps avec des amies, et regardent la télévision pendant les heures
creuses. Certaines des hôtesses avec qui j’ai parlé ont des relations sexuelles
avec les clients, mais c’est loin d’être le cas de toutes, et elles ont le
droit de refuser des propositions (bien que les accepter est évidemment un
moyen de se faire plus d’argent).
Je ne suis pas en train de
dire que l’industrie du sexe est une profession séduisante. Il existe un risque
évident de contracter le sida, et les prostituées sont victimes de violences
aux mains des clients, de la police et dans les «centres de réhabilitation». La
plupart des femmes que j’ai rencontrées commandaient des jus de fruits quand
elles étaient avec moi, mais certaines boivent de leur propre initiative ou à
la demande des clients. Travailler dans l’industrie du sexe est autant une
impasse que dans une usine de vêtements; quand elles vieillissent, les femmes
trouvent une autre occupation, ou bien sortent des bars et des discothèques
pour atterrir dans la rue. Pourtant, 20% des travailleuses du sexe
cambodgiennes interrogées pour le rapport de l’Onu de 2009 ont déclaré qu’elles
avaient choisi cet emploi à cause des bonnes conditions de travail ou du
salaire relativement élevé (55% l’ont fait poussées par des «circonstances
familiales difficiles». Environ 3,5% ont été attirées par la ruse, piégées ou
vendues).
Les travailleuses du sexe
sont-elles exploitées? Absolument. Mais les employées des usines textile aussi.
Quand je suis allé au Cambodge en 2009 pour faire un reportage sur l’industrie de
l’habillement , j’ai obtenu le «profil» d’une entreprise qui
produit des t-shirts, des pantalons et des jupes pour des marques comme Aeropostale
et JCPenney. On y lisait que les 1.000 ouvrières de l’usine
produisaient 7,8 millions de pièces chaque année. En estimant approximativement
que chaque pièce est vendue 25 dollars (17,6 euros), chaque employée génère donc 195.000 dollars (137.425 euros) de
chiffre d’affaires annuel, pour lequel elle touche environ 750 dollars (528 euros) en salaires, en
comptant les heures supplémentaires généralement effectuées.
«Beaucoup
de femmes ne veulent plus travailler dans les usines textile» , m’a confié Tola
Moeun, activiste du droit du travail au sein d’un groupe appelé le Community
Legal Education Center. «Vu que la prostitution offre une vie meilleure, nos industriels
vont devoir se mettre à penser à autre chose qu’à leurs marges de profit.»
Une sélection personnalisée des articles de Slate tous les matins dans votre boîte mail.
Retrouvez chaque matin le meilleur des articles de korii, le site biz et tech par Slate.
Fruit d'un travail conjoint entre le sénateur démocrate Tim Kaine et la sénatrice républicaine Susan Collins, cette proposition bipartisane est notamment rejetée par la sénatrice progressiste Elizabeth Warren.

Sébastien Natroll
— 11 août 2022 — Temps de lecture : 4 min
Saviez-vous que le sexe des tortues est influencé par la chaleur?

Repéré par Anna Jouyet
— 11 août 2022 — Temps de lecture : 2 min
Une version estivale de la branche de gui en hiver.

Repéré par Anna Jouyet
— 10 août 2022 — Temps de lecture : 2 min


Une prostituée attend un client dans un parc à Phnom Penh, le 20/07/2010, Chor Sokunthea/REUTERS



Monde


touristes


textile


prostitution


prostituées


Cambodge


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Slate.com

Elles se tapent le proviseur du collège dans son bureau chaudasses étudiantes
Alexis Fawx utilise le beau-fils pour satisfaire ses besoins sexuels
Appréciant un corps de Latina magnifique

Report Page