Homme Soumis Par Une Femme
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Homme Soumis Par Une Femme
Publié par Giulia le 28 novembre, 2018 - 21:54
Je reviens ce soir avec la suite de mon récit concernant mon histoire avec un homme qui s'est révélé être soumis du jour au lendemain, après un mois de fréquentation.
Pour ressituer le contexte il a viré soumis et je n'ai pas compris ce qui s'est passé. Il m'a dit qu'il voulait être mon esclave sexuel et qu'il ferait tout ce que je veux, même mon ménage et mon repassage. Je pensais vraiment qu'il plaisantait au début, mais je me suis vite rendue compte que ce n'était pas une blague et qu'il était on ne peut plus sérieux. Ce qui m'a fait réagir de manière épidermique, puisque j'étais incapable de le toucher suite à cela.
J'ai donc passé deux semaines sans le voir, en trouvant des excuses à chaque fois qu'il me proposait qu'on se voit. Je pensais qu'il allait s'essoufler et comprendre le message, mais pas du tout. A vrai dire, il n'a pas du tout compris le message et m'a relancée pour me voir il y'a quelques jours.
C'est là où je me suis dit qu'il fallait que je sois directe et que lui dise les choses. Je lui ai donc répondu ceci : "Ecoute, nous ne sommes pas faits pour être ensemble. Ca ne sert à rien de perdre mon temps et de te faire perdre mon temps. Nous ne sommes tout simplement pas compatibles et je préfère qu'on en reste là".
Et là, j'ai reçu une avalanche de messages qui montraient qu'il était blessé dans son égo. Il m'a dit que je ne sais pas ce que je veux, qu'un jour c'est blanc et l'autre jour c'est noir, que je n'ai fait aucun efforts vis à vis de lui, que la dernière fois qu'il est venu me voir il avait envie de se barrer au bout de cinq minutes car je lui avais dit que j'avais mal au ventre et que je ne pouvais pas coucher avec lui. Il a aussi dit qu'il ne voyait pas où était le problème, qu'il ne comprenait pas pourquoi je lui disais cela.
Il a commencé à partir en vrille et là je lui ai répondu : "Bon, je vais te dire le fond de ma pensée. J'ai besoin d'être avec un homme qui sait ce qu'il veut et qui a du caractère, un homme un vrai. Et toi tu te comportes tout sauf comme ça. Tu te comportes comme un adolescent attardé alors que tu as 36 ans et ça ne me convient pas. Nous ne sommes pas compatibles, point. Pas la peine de polémiquer pendant des heures sur le sujet."
Il m'a balancé qu'en fait il s'en fout de ce que je suis en train de lui dire, qu'il n'était pas à fond avec moi. Chose à laquelle je lui ai rétorqué que s'il s'en foutait vraiment, il ne serait pas en train de m'envoyer tous ces messages en cherchant à se justifier. Et qu'il devait certainement être piqué dans son égo pour s'acharner comme ça par message, alors qu'un homme qui s'en fout réellement aurait simplement répondu "Ok, très bien. Bonne continutation".
Ensuite il a voulu être blessant en me disant qu'il avait couché avec d'autres nanas entre temps, chose à laquelle je ne crois pas une seule seconde. En revanche, moi j'ai couché avec d'autres mecs et je ne me suis pas gardée de le lui dire. Je lui ai aussi dit que sexuellement il ne me convenait pas et que ça ne matchait pas. Et là il est reparti dans une avalanche de messages en me disant que je jugeais trop vite, que je ne pouvais pas me baser sur une seule fois, que je me méprenais à son sujet. Je lui ai alors répondu que je n'avais pas besoin de coucher dix fois avec quelqu'un pour savoir si la personne me convient ou non sexuellement. Il a renvoyé d'autres messages, mais je ne les ai pas lu, il m'a vraiment saoulée et c'était un dialogue de sourd.
Sa réaction m'a montré que j'avais raison à son sujet.
Je n'ai plus eu de nouvelles pendant plusieurs jours. Par contre j'ai vu qu'il regardait mes stories sur Instagram.
Et hier, il m'a renvoyé des messages en mode "Coucou, tu vas bien ?", comme si de rien n'était. Je me suis demandée s'il était tombé sur la tête, je pensais avoir été assez explicite lors de nos derniers échanges, donc je me suis demandée ce qu'il cherchait. Au début je pensais qu'il allait me dire qu'il avait réfléchi à sa réaction de la dernière fois et qu'il trouvait ça débile, mais en fait pas du tout.
Je lui ai répondu que j'allais bien et lui ai demandé comment lui allait et là il m'a repondu : "Je suis en train de faire des bêtises en pensant à toi. Je ne devrais pas te le dire". En effet, j'aurais préféré ne pas savoir qu'il était en train de se masturber en pensant à moi. Bref, je lui ai répondu qu'il faisait ce qu'il voulait et que je ne pouvais pas l'en empêcher. Ce à quoi il m'a envoyé un message disant : "Tu veux voir ma queue ?"
Bah en fait non, je n'avais pas non plus envie de recevoir une photo de sa teub en photo, donc je lui ai répondu : "Non, je n'ai pas envie, sans vouloir t'offenser".
Je pensais qu'il allait s'arrêter là, mais il a continué de plus belle en me disant qu'il imaginait ma petite chatte toute mouillée en se touchant. Je ne pensais pas lui avoir fait autant d'effet la fois où nous avions couché ensemble ! Ah ah ah ! Mais j'étais partagée entre le fait de l'insulter ou de l'ignorer. Donc je l'ai ignoré. Mais il n'a pas lâché l'affaire.
Quelques minutes plus tard il m'a renvoyé un énième message en me disant ceci : "Si un jour tu veux un cunni ou quoique ce soit d'autre, dis le moi et je viendrai tout de suite chez toi. Ca me ferait plaisir que tu m'appelles juste pour ça. Je sais que tu es un peu timide et que tu n'oses pas me demander ce genre de choses, mais lâche toi et si tu en as envie, alors préviens moi et j'arrive".
J'ai d'abord cru que c'était une blague, mais ce n'en n'était pas une. Le mec s'est fait tout un film sur moi, s'imagine que je suis timide alors que je n'avais juste pas envie de recoucher avec lui après la première fois. C'est fou comme le cerveau humain peut modifier la réalité pour qu'elle soit plus plaisante. C'est fou aussi à quel point il n'arrive pas à se remettre en question.
Donc pour résumer, je lui dis que je ne veux plus le voir, je lui tout ce que je pense sans prendre de pincettes, il pète un câble, disparait quelques jours puis revient comme si de rien n'était en me disant qu'il se touche en pensant à moi et que je peux l'appeler quand je veux pour assouvir mes besoins sexuels.
Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer ce qui lui est passé par la tête une fois de plus ? Est-ce que ce mec est mentalement instable ou bien complètement débile ?
J'avoue ne pas comprendre son retour à la charge. Je pensais qu'après ce que je lui avais dit, il ne me contacterait plus jamais, mais visiblement, je suis tombée sur un specimen qui n'a aucune fierté.
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Sujet: Paul, soumis et féminisé (Lu 15762 fois)
dolores et paul
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« le: octobre 11, 2015, 04:23:27 pm »
Bonjour, Dolores a bien voulu faire une petite séance photo avec ma tenue de soubrette soumise, j'ai kiffé, j'adore le contact des bas, porter une petite jupe, etc. Dommage, à Lyon, pas de lieu pour que les couples Hommes-Femmes Femmes-hommes puissent se rencontrer. Bises, Paul
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Paul encagé, soumis et cocufié par maitresse Dolores
joel
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« Réponse #1 le: octobre 12, 2015, 07:08:15 am »
Bonjour , ta compagne à trés bon gout fans ta tenue de soubrette qui te vas trés bien bses Sabine et Joel.
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murielletv77
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« Réponse #2 le: octobre 13, 2015, 07:47:37 am »
je suis contente de voir Paul ,encagé et féminisé je suis comme lui mais je porte des "bas nylon" car c'est plus sexy et bien plus agréable ,ma cage est une CB6000 CHROME et surtout avec l'extrémité découpée pour que mon gland puisse sortir ,décalotté ,qu'il soit flasque ou en érection c'est un vrai bonheur de laisser pendre ce clito entre mes cuisses ,pas de culotte et juste une jupette légère qui frôle mon gland hum! cela m’excite fort ,mais impossible de me satisfaire je reste dans le déni des journées entières ,vivant au féminin c'est ainsi que je passe mes journées et mes nuits en attendant que ma copine trans me délivre pour pouvoir enfin jouir c'est extra je suis heureuse d’être une transgenre Murielle
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dolores et paul
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« Réponse #3 le: octobre 14, 2015, 01:31:27 pm »
Bonjour, oui, j'ai aussi des bas Nylon, mais ma princesse avait décidé que je mette ceux là ce jour précis, alors j'ai obtempéré
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Paul encagé, soumis et cocufié par maitresse Dolores
complycite68
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« Réponse #4 le: octobre 14, 2015, 03:54:02 pm »
De superbes photos... Les tenues te vont à merveille et je suis comme toi, j'adore !!! Et ta femme qui vient te libérer , c'est rare à voir , alors bravo !
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dolores et paul
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« Réponse #5 le: octobre 14, 2015, 05:38:11 pm »
Bah non, elle ne m'a pas libéré, c'était juste pour la photo, elle préfère de loin que l'oiseau reste en cage !!!
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Paul encagé, soumis et cocufié par maitresse Dolores
complycite68
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« Réponse #6 le: octobre 21, 2015, 12:06:36 pm »
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« Réponse #7 le: octobre 21, 2015, 01:22:38 pm »
Sur Lyon? Pleins de lieux Un resto a recommander? Le mai thaï Très très bon Moi tout nouvel encagé..
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dolores et paul
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« Réponse #8 le: octobre 21, 2015, 07:23:36 pm »
Et bien si, encore du sexe, mais c'est elle qui décide, quand je lui donne du plaisir (langue et doigts) et quand elle me laisse en prendre.
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Paul encagé, soumis et cocufié par maitresse Dolores
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Récits et conseils sur le BDSM branche Femdom
Dernière partie de cette mini-histoire, (déjà !), la “récompense” même si pour un soumis cette notion prend une autre dimension. Je l’ai écrite assez vite ( et dans le train, gardant dans l’ignorance mes voisins de wagon :D), j’ai pu laisser passer des fautes. Je la relirais ce soir. Quoi qu’il en soit je publierais un témoignage que j’ai sous le coude dans le week-end et je repartirais pour un autre récit la semaine prochaine, comme promis moins axé douleur mais davantage sur l’humiliation.
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Le sommaire de l’histoire est ici
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Il était désormais suspendu à l’horizontale, sans aucun lien avec le sol, privé de la liberté élémentaire de bouger ne serait-ce que les membres. Une position assez inhabituelle et stressante, le vide étant une des peurs « basiques » implantée dans notre tête. Je me suis approchée de lui, martinet à la main, m’amusant avec ses lanières.
— Elles ont l’air épaisses qu’est-ce que tu en dis ?
— Rien madame ?
J’ai froncé les sourcils.
— S’il ne te plait pas j’en prends un plus sévère.
La menace a eu l’effet d’un électrochoc.
— Pardon madame, oui les lanières ont l’air de faire mal.
— Je préfère ça. Tu veux les voir de plus près pour te faire une idée ?
Sans attendre une réponse je lui ai mis devant les yeux.
— Tendant, n’est-ce pas ?
Il semblait totalement s’en moquer.
— Les bras m’en tombent madame. Heureusement que vous les avez attachés.
C’est le problème avec le bondage, il casse le rythme et le soumis reprend de la consistance. Vous me direz c’est le prétexte de passer un cran dans la sévérité.
— Tu feras moins le malin d’ici quelques minutes.
— C’est vous qui le dites.
Je lui ai collé une tape derrière la tête.
— Non mais dis donc ! C’est de la nervosité que tu essayes de cacher sous de l’humour ?
— Non madame.
— Tu devrais avoir peur pourtant.
J’ai fait glisser les lanières le long de son dos en partant de la nuque, plus elles s’approchaient de leur cible finale plus il était pris de frissons. J’avais prévu d’être plutôt sympa sur la fin mais il me cherchait, si on ne veut pas de moi en version gentille je ne vais pas m’en plaindre. J’ai levé le bras, prête à abattre les lanières sur ses fesses.
— Prêt ?
— Oui …
Je ne l’ai pas laissé finir sa phrase, à peine avait-il ouvert la bouche que je lui cinglais la raie des fesses, le prenant par surprise. Il y a un coup de main à prendre avec le martinet, si vous n’y faites pas attention vous avez rapidement les lanières qui partent dans tous les sens, il est préférable de les regrouper d’une main régulièrement. Bien manié il devient un instrument précis et cuisant.
En fait il y a une autre distinction à connaitre, le martinet peut avoir un effet punitif ou érotique selon la façon dont vous le maniez. Si vous le donnez avec un rythme régulier la douleur est progressive et paradoxalement elle permet au soumis de se détendre, de se laisser aller à profiter de cette chaleur qui monte doucement, c’est presque un massage.
Au contraire s’il vous avez un rythme irrégulier le soumis est cassé dans sa « méditation » et l’aspect douloureux prédomine. S’il est surpris il ne peut pas apprivoiser la douleur, c’est d’ailleurs vrai avec n’importe quel instrument.
Initialement mon projet était de le faire se décontracter mais il m’avait cherché il allait le payer, je finirais cependant avec de l’érotique pour me raccrocher au scénario. Je me suis donc mise à le flageller de manière irrégulière variant les zones d’impact et la vitesse.
Se faire punir la raie des fesses a une part d’humiliation importante, c’est une zone intime qui n’a pas l’habitude de se faire stimuler de la sorte.
Je frappais depuis quelques minutes de haut en bas, j’attendais qu’il commence à se dire qu’il avait atteint le point culminant pour me mettre à frapper de bas en haut, lui cinglant les bourses à chaque passage. En tant que domina je dois avoir une vue de la punition en entier pour prévoir une gradation. Voir la réaction de surprise du soumis m’amuse au plus haut point.
Malgré la peur du vide il s’est vite mis à gigoter sous la chaleur des coups, comme je lui avais prédit il ne faisait plus le malin. Son entrejambe avait désormais une jolie couleur rougeoyante, je pouvais passer sans crainte à la partie plus érotique. J’ai pris un rythme régulier en baissant l’intensité pendant quelques minutes.
Je ne suis pas une grande fan du martinet, il n’est pas impressionnant, j’ai du mal à prendre du plaisir à l’administrer. Il fait bien son travail je ne dis pas le contraire, simplement j’aime le spectaculaire. De quoi je me plains, il était suspendu, totalement à ma merci, il faudrait que j’arrête de jouer les blasées.
En allant reposer le martinet je lui ai donné une impulsion pour qu’il se balance d’avant en arrière. Il m’a regardé, plutôt inquiet de me voir prendre un strap-on. J’adore ce regard méfiant qu’ils ont en me voyant le mettre, ils sont comme une proie prise au piège et qui voit son destin arriver. C’était d’ailleurs un peu le cas, j’allais l’empaler par le fondement sans qu’il puisse bouger le petit doigt.
— Alors ? Tu as perdu de ta superbe on dirait !
Il a baissé les yeux pour ne pas regarder mon bassin.
— Rien à dire ? Pas envie de me provoquer cette fois-ci ?
— Non madame.
— T’inquiètes je vais te faire gueuler.
Je suis passée derrière lui, tapant et grattant des ongles les marques du fouet et du martinet pour raviver leur souvenir.
— Nous allons jouer à un jeu. Les règles sont assez simples tu verras, son nom parle de lui-même. Tu connais action ou vérité ?
Il a répondu, méfiant.
— Oui, madame.
J’avais mis le gode au contact de son ent
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