Histoires Tabous

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Histoires Tabous


 
Le plus croustillant des histoires coquines, c’est ici!!!
C’est trois filles qui ne savent pas faire l’amour, alors une des trois filles qui demande à sa mère si le soir elles peuvent faire l’amour.
La mère dit oui. Les trois filles vont donc chatter sur un site internet et passent des petites annonces.
Le soir elles eurent trois réponses et le lendemain les trois garçons se rendent chez elles et ils vont dans leurs chambres respectives, alors la mère monte voir si tout se passe bien et écoute à la première porte et elle entend « aie aie!!! » et à la deuxième « hi hi hi!!! » et à la troisième elle n’entend rien.
Le lendemain elle demande aux trois filles comment c’était déroulé leur soirée, la première répond :
Une petite foufoune et un gros zizi, ça fait mal, la deuxième répond un petit zizi et une grosse foufoune, ça chatouille et la troisième dit on ne parle pas la bouche pleine !
Un ex va au mariage de son ancienne femme.
Durant la soirée, l’ex va voir le nouveau marié et lui demande d’un air arrogant :
– Comment tu trouves ça, de rentrer dans du stock usagé
Le nouveau marié le regarde droit dans les yeux et sans se démonter, il lui répond :
– C’est stupéfiant ! Passé les 6 premiers centimètres, c’est flambant neuf !
Un homme d’affaire monte à bord d’un train et se retrouve assis à côté d’une superbe femme.
Il remarque qu’elle est en train de lire un livre sur les statistiques sexuelles.
Il l’interroge sur ce sujet, et elle répond :
– C’est un livre très intéressant. Ainsi les Indiens sont ceux dont le pénis est le plus long, et les bretons sont ceux qui savent le mieux s’en servir.
– Au fait je m’appelle Florence. Et vous?
– Geronimo LE GENNEC ! Enchanté de vous rencontrer.
Un prêtre et une nonne sont dans une tempête de neige. Après un moment, ils trouvent une petite cabane.
Exténués, ils se préparent à dormir.
Il y a une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit. Gentleman, le prêtre dit :
– Ma sœur, vous dormirez dans le lit, et je dormirai sur le sol, dans le duvet.
Alors qu’il venait juste de fermer son duvet et commençait à s’endormir, la nonne dit :
Il ouvre la fermeture de son duvet, se lève, prend une couverture et la pose sur elle.
De nouveau, il s’installe dans le duvet, le ferme et se laisse sombrer dans le sommeil, quand la nonne dit encore :
– Mon père, j’ai toujours très froid.
Il se lève à nouveau, met une autre couverture sur elle et retourne se coucher. Juste au moment où il ferme les yeux, elle dit :
Cette fois, il reste couché et dit :
– Ma soeur, j’ai une idée : nous sommes ici au milieu de nulle part, et personne ne saura jamais ce qui s’est passé. Faisons comme si nous étions mariés. Enfin exaucée, la nonne répond :
– Alors tu lèves ton cul et tu prends toi même ta … de couverture, connasse !

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Une jeune bourgeoise naïve, des penchants refoulés et une servante perverse !
Je m’ennuyais en ce manoir. Voilà vingt ans maintenant que j’y habitais. La vie y était douce pourtant. La richesse de mes parents me préservait du besoin de faire autres choses que ce qui me plaisait. J’avais de nombreux serviteurs pour combler mes besoins. De nombreuses amies venaient me distraire. Je sentais bien qu’elles cherchaient à attirer mes faveurs mais cela ne m’importait guère : c’était mieux que la solitude. Je passais mes journées à lire et m’instruire. A me balader dans notre grande propriété, l’ombrelle à l’épaule. Ces dernières années mon père amenait parfois quelques jeunes messieurs quand il passait. Je n’avais pas compris au début. Mais Adeline, la jeune fille d’une de mes servantes et ma seule vraie amie, m’avait expliqué qu’il me cherchait un partie et que je serais bientôt mariée. Cela sema la confusion dans mon esprit. Je ne désirais point être la femme de ces hommes. Adeline m’expliqua qu’il me faudrait me donner à eux. Je lui demandais ce qu’elle entendait par là. Elle me décrit alors longuement ce que je serais amené à faire. Des fellations, lui offrir ma poitrine, me laisser pénétrer… Je frissonnais à cette idée. Adeline rit de ma naïveté. Puis elle se fit douce. Ses mains caressèrent mon corps. Je sentais que cela n’était pas acceptable. Mais je n’arrivais pas à la repousser. Je sentis une chaleur dans mon ventre, je n’arrivais plus à penser. Puis mes cuisses devinrent humides… Je ne sais pourquoi mais je saisis son visage et posais mes lèvres sur les siennes. Avant même que je comprenne ma langue forçait l’entrée de sa bouche. Je voulais qu’elle me sauve de ses hommes. Elle retira ses mains et dit, le souffle court :
« – Il ne faut pas, Maîtresse. Ce n’est pas bien. »
Elle ne m’appelait plus Maîtresse depuis longtemps. Mais ce mot réveilla quelque chose en moi. Quelque chose que je ne compris que bien plus tard. Je m’aperçus que sa main s’était glissée sous mes jupons et caressait ma jambe. Je voulais fuir, la gifler pour son audace. Je n’y arrivais point. Elle finit par l’enlever d’elle-même, à mon grand soulagement. Et pourtant j’avais envie de sentir à nouveau sa main. J’allais lui demander mais les mots ne sortirent heureusement pas de ma bouche. Nous continuâmes notre ballade dans un silence pesant.
Elle devint distante après cela. J’en fus peinée. J’avais envie d’elle, de ses mains, de ses lèvres. Souvent je rougissais en la voyant. Et la chaleur envahissait à nouveau mon ventre. Je découvris aussi la masturbation. Un soir où je n’arrivais pas à dormir je me mis à penser à elle. Elle m’obsédait. Je sentis mes cuisses devenir humide. La curiosité me fis soulever les draps, puis ma chemise de nuit. Pour la première fois je regardais avec intérêt mon sexe. Je remontais le chemin de ce liquide étrange et mes doigts se posèrent entre mes lèvres intimes. Je gémis sans trop savoir pourquoi. Et mes doigts s’agitèrent. Je n’arrivais plus à les stopper. Ils se faisaient de plus en plus impudiques alors que mon autre main serrait les draps. Je susurrais le prénom de celle qui me hantait, de celle qui me fuyait après m’avoir éveillée au désir. Je ne m’aperçus même pas qu’ils entraient en moi… Une légère douleur. Un cri. Je ressortais mes doigts et les contemplais : ils étaient légèrement ensanglantés. J’étais haletante. Un instant je craignis que cela soit ce dont m’avait parlé Adeline : avais-je été tellement excitée que je m’étais moi-même dépucelée ? Avais-je pénétré si profondément ? J’eus peur tout à coup : elle m’avait dit que cela ne devrait pas avoir lieu avant mon mariage. Allais-je passer pour une catin ? Je regardais mon entrecuisse : pas de tâche de sang. Juste une large tâche humide… Il faudrait que je demande à Adeline. Penser à elle réactiva mon désir et mes mains vagabondèrent sur mes seins. Je me déshabillais en toute hâte et me mis à quatre pattes. Puis je me caressais encore et encore, visitant les moindres recoins de mon corps. J’osais même effleurer mon anus et ressentis une pointe d’excitation. Enfin une vague me submergea. Je hurlais mon plaisir sans retenue alors que mon corps échappait à mon contrôle. Les spasmes se calmèrent peu à peu et me laissèrent vidée, le cul en l’air et le visage écrasé dans mon oreiller. J’entendis alors un tumulte, des voix qui s’approchaient. Je paniquais et me rhabillais à toute vitesse avant de m’enrouler dans mes draps. La porte s’ouvrit et une de mes servantes, la mère d’Adeline, apparut, paniquée elle aussi :
« – Mademoiselle ? Que se passe t-il ? »
Je bafouillais :
« – R… Rien… Un mauvais rêve. »
Elle soupira de soulagement puis vint s’asseoir à mes côtés. Elle eut un sourire maternel, le genre de sourire que ma mère ne m’avait jamais adressé. Elle caressa mes mèches collées à mon front par la sueur. Je rougis en pensant à ce qui avait provoqué cet émoi… Je sentis la chaleur m’envahir. Je me surpris à désirer cette femme. Je dis sans même réfléchir :
« – Adeline est là ? »
Elle parut surprise :
« – Euh… Oui. Vous désirez que je l’appelle, Mademoiselle ? »
Je rougis de mon audace. Puis je réfléchis à toute allure et répondis :
« – Oui. Je… J’ai besoin de raconter mon cauchemar à quelqu’un. »
Elle eut à nouveau ce sourire affable. Elle se leva et dit juste :
« – Je comprends. Je l’appelle immédiatement, Mademoiselle. Bonne nuit. »
« – Oui, merci, Gisèle. »
« – De rien, Mademoiselle. Vous êtes notre petite princesse, nous ferions tout pour vous ! »
Je rougis violemment alors que je m’imaginais soulevant le drap et lui disant : ‘Alors lèche-moi…’. Puis je balbutiais :
« – M… Merci. »
Adeline arriva rapidement. Elle paraissait soucieuse. Elle demanda :
« – Ça ne va pas ? »
Je répondis sans détour :
« – Je me suis touchée. Je crois que je me suis dépucelée… »
« – Pourquoi tu penses cela ? »
Je fus étonnée qu’elle ne s’offusque pas de mon comportement : étais-je donc si naïve ? L’envie me vint de lui demander de me faire tout découvrir des choses du sexe. De me les raconter, me les faire vivre… Je finis par dire :
« – Je… J’avais du sang sur le bout des doigts… »
Je sentis son regard. Je devinais son désir à l’idée que je me sois doigtée. Elle dis enfin, d’une voix anormalement hachée :
« – Tu as beaucoup saignée ? Il y en a sur les draps ? »
« – Non. Juste sur le bout des doigts… »
Elle prit ma main et fronça les sourcils :
« – Je ne vois rien. »
Je rougis violemment :
« – Je… Je les ais léchés… »
Un silence. Je ressentais son envie par tous les pores de sa peau. Son souffle, son intonation, ses joues qui rosissaient, ses yeux brûlants. Tout m’indiquait qu’elle me désirait. Ou peut-être n’était-ce que le fruit de mon imagination… Sa voix me sortit de ma torpeur :
« – Tu as eu mal ? »
« – Non. »
Elle me serra fort contre elle :
« – Ne t’inquiète pas, alors, je suis sûre que tu es encore pucelle. »
« – Ah… Vraiment ? »
Bizarrement je ressentais une pointe de dépit : j’aurais tellement voulu lui prouver que j’étais femme… Elle me regarda et remarqua mon air soucieux. Elle demanda :
« – Il y a autre chose ? »
J’hésitais longuement. Je n’osais la regarder. Sa voix à nouveau :
« – Maîtresse ? »
A nouveau ce mot… Il y avait quelque chose qui n’allait pas cependant. Je me retournais d’un coup et posais ma main entre ses cuises, sur sa jupe. Je murmurais :
« – Je veux vous faire jouir… »
Elle resta figée. Enfin elle dit :
« – Maîtresse, je… »
« – Ne m’appelez plus Maîtresse. Maintenant c’est moi qui vous appellerais ainsi. Moi je serais juste votre chienne. »
« – Tu n’y penses pas ! Te rends-tu compte ? »
J’avais dit cela sans réfléchir. Le mot de chienne m’avait paru naturel. Elle était ma Maîtresse, j’étais sa chienne. J’avais envie qu’elle me flatte, qu’elle me ballade dehors. J’avais envie d’être à ses pieds. J’avais envie d’être tenue en laisse. Je voulais la lécher des pieds à la tête. J’étais devenue folle. Folle de désir. Alors je repris mes caresses, tentant de me frayer un chemin jusqu’à son intimité. Je me perdis dans les couches de tissu. Je l’embrassais. Elle ahanait et balbutia :
« – Non, non… Arrête… »
« – S’il vous plait, Maîtresse, laissez-moi vous faire jouir… »
J’avais enfin trouvé le chemin. Je sentis qu’elle aussi était humide malgré ses réticences. Alors je glissais ma tête entre ses jambes. Elle gémit alors que ma langue glissait sur son sexe. Je le savourais. J’aurais du avoir honte, être dégoutée. Mais je n’éprouvais qu’un immense désir. Je pensais alors que c’était par cet endroit qu’elle urinait. Qu’elle ne s’était peut-être même pas lavée depuis la dernière fois, étant une simple servante. Mais cela ne fit que m’exciter plus, m’inciter à la lécher plus profondément. Elle tenta de me repousser :
« – Mademoiselle, arrête… »
« – Ne m’appelle plus Mademoiselle non plus. C’est mon dernier ordre. Maintenant je suis ta chienne. Appelle-moi ainsi. »
« – Je… Je ne peux pas. C’est trop humiliant. »
« – C’est vrai. Alors donne moi un nom. »
Elle resta haletante. Enfin elle lâcha :
« – Beth, arrête immédiatement. Ta Maîtresse te l’ordonne ! »
Beth. C’était désormais mon nouveau nom. Le seul que je reconnaîtrais comme m’appartenant véritablement… Je m’arrêtais avec réluctance. Mais je ne pouvais lui désobéir. Je lui adressais un regard suppliant. Mais le sien se fit dur. Elle rajusta sa robe et partit sans mot dire. Je voulus la retenir. Ma main s’étendit puis je m’arrêtais : je n’avais pas le droit de la retenir désormais. Je m’écroulais en pleurant, m’apercevant que je ne pourrais plus lui ordonner de me toucher si l’envie m’en prenait. Puis le plaisir de l’appartenance me prit et je jouissais à nouveau en murmurant son nom…
A partir du lendemain celle qui était maintenant ma Maîtresse m’évita encore davantage. J’étais terriblement déprimée. Souvent l’envie de pleurer me prenait. Mais je n’avais pas le droit : elle seule pouvait m’autoriser à souffrir. L’anniversaire de mes vingt ans approchait et les préparatifs me permirent d’oublier un peu mon malheur. Mais un jour la mère d’Adeline vint me voir. Elle me demanda alors de sa voix douce qui avait bercé mon enfance :
« – Vous vous êtes disputées ? C’est pour cela que vous êtes si triste, Mademoiselle ? »
« – N… Non… »
« – Allons, je vois bien que vous vous évitez ! »
« – Ce n’est pas moi ! C’est elle qui ne veux plus de moi ! »
J’éclatais en sanglots entre ses bras. Elle me serra doucement et je sentis sa poitrine généreuse. Une irrépressible envie de la téter me prit. Je m’éloignais alors. Elle dit en souriant :
« – Tu veux que je lui parle ? »
« – Oui… Elle me manque tellement… »
« – D’accord, compte sur moi. »
Elle se leva et je l’attrapais par le bras. Je lui dis, paniquée :
« – Ne la réprimandez pas, d’accord ? C’est de ma faute, tout est de ma faute ! J’ai été méchante ! »
Je faillis ajouter ‘Une méchante chienne !’ mais je me retins. Elle me regarda d’un air grave avant de dire :
« – Je vous vois mal être à la source d’un conflit, Mademoiselle. C’est plutôt le genre de ma fille… »
Je m’effondrais à ses pieds, en larmes :
« – Non, Madame, non ! Tout est de ma faute ! Dite-lui que je suis désolée : elle ne veut plus m’écouter… »
Elle fronça les sourcils, sentant bien que je cachais quelque chose. Je ne l’appelais pas Madame d’habitude… Elle soupira enfin et s’accroupit devant moi pour me câliner. Elle dit doucement :
« – Calmez-vous, Mademoiselle, je ne la gronderai pas. Je veux juste vous revoir sourire toutes les deux. Elle aussi est devenue sombre ces derniers temps… Je suis sûre que tu lui manques aussi. »
Je me laissais aller dans ses bras et fini par m’endormir en murmurant ‘Merci, merci… je voudrais tant lui appartenir à nouveau…’. Gisèle ne comprit pas, bien sûr, mais peu importait : j’allais bientôt revoir ma Maîtresse !
Le soir même Adeline vint dans ma chambre. Je l’accueillis avec un large sourire. Puis je me déshabillais et vint à ses pieds, marchant à quatre pattes. Je me frottais sur ses jambes. Elle ne dit rien. Je murmurais :
« – Merci, Maîtresse. Merci d’être venue. »
Je sentis son pied contre mon épaule et elle donna un coup sec, me projetant en arrière, sur le dos. Puis elle m’écrasa la gorge. J’étouffais. Elle dit dans un sifflement :
« – Salope ! Tu as osé utiliser ma mère pour satisfaire tes besoins ! »
Je parvins à bafouiller :
« – M… Mais… Non, je ne l’ai pas touch… »
Elle me cracha au visage :
« – Je ne te parle pas de ça, imbécile ! Heureusement que tu ne l’as pas touchée ! Je ne t’aurais pas pardonné une telle chose ! »
Elle accentua sa pression, mon cou craqua légèrement. J’eus un rictus de douleur mais supportais ma punition sans me plaindre. Je serrais les dents. Elle se pencha vers moi, s’appuyant sur son genoux :
« – Tu voulais me voir mais je ne le désirais pas. Alors tu as utilisé ma mère. Tu es une sale manipulatrice vicieuse ! »
Tout son poids reposait sur ma gorge : la douleur était atroce. J’avais les larmes aux yeux et dis dans un gargouillis :
« – Par pitié, Maîtresse, j’ai trop mal… »
Elle soupira et relâcha la pression. Je toussais et crachais en m’asseyant. Elle me cracha à nouveau dessus en lâchant un ‘Pétasse’ qui me blessa plus que ne l’aurait fait n’importe quelle lame. Je me mis à pleurer et à geindre. Elle soupira à nouveau et me traîna vers le lit en me tirant par le bras. Puis elle m’allongea dessus. Cette fois-ci elle me prit par les cheveux et je criais. Elle m’ignora. Elle souleva sa jupe et posa sa chatte sur mes lèvres en ordonnant :
« – Lèche, sale gouine. »
J’étais si heureuse. Je m’activais sur sa fleur, en savourant les pétales. J’avais rêvé si souvent ce moment en me touchant… Mes mains glissèrent vers ma chatte. Elle dit d’un ton sec :
« – Ne te touche pas ! »
J’agrippais les draps. Elle gronda :
« – Et ma chatte ? »
Je balbutiais des excuses puis la masturbais consciencieusement. Je fus récompenser par sa mouille dégoulinant sur mon visage. Elle ricana :
« – Tu vois que tu peux quand tu veux, petite chienne ! »
« – Bien sûr, Maîtresse. Quand il s’agit de vous plaire je suis prête à tout ! »
Je continuais longuement, savourant sa chatte et chacun de ses gémissements. Mon intimité me brûlait. Je dis d’une petite voix :
« – Maît… Maîtresse… Tou… Touchez-moi, s’il vous plait. Par pitié. »
Elle glissa un doigt en moi. Je gémis. Elle se lécha les doigts avant de dire, goguenarde :
« – Comme ça, petite pute ? »
« – Ou… Oui… Ah ! »
Elle venait de recommencer. Je n’en pouvais plus. Elle pressa ma tête sur sa chatte et dit d’un ton sévère :
« – Lèche ! »
Elle passa une dernière fois sa main sur mes lèvres intimes. Puis plus rien. J’avais beau tendre les hanches, la supplier, la lécher de toutes mes forces, rien n’y fit. Je pleurais de frustration alors qu’elle gémissait de plaisir en se caressant. Enfin elle s’allongea à mes côtés et m’étrangla en murmurant :
« – Très bien, Beth, tu m’as bien léchée. Tu sais que je vais bientôt jouir ? Regarde… »
Elle baissa les yeux et moi aussi. Nous regardions toutes deux ses doigts écartant sa chatte détrempée. Elle murmura de nouveau :
« –
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