Histoire De Sexe Gros Seins

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Bernardijon : Super bandant et jouissif cette histoire j'en ai juté de p…




Bernardijon : Vivement la suite j'adorerais avoir une nièce comme ça…




Bernardijon : Vivement la suite ces chapitres trop courts nous tiennent l…



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J’ai ce qui s’appelle de gros seins. Je ne parle pas de celles qui se font mettre des implants énormes que je trouve ridicules et disgracieux mais moi, je fais un 90 F, 100 % naturel. Ils se tiennent bien et réagissent très fort aux stimulations, que ce soit aux caresses, aux coups de langue et même aux légers pincements. Je viens de sortir de ma douche et je me tiens devant mon psyché. Je regarde mon corps dans les moindres recoins pour traquer la cellulite et les poils disgracieux que j’aurais oubliés d’épiler sous la douche. Je suis de la vieille école, je garde le ticket de métro. Je vois mon sexe avec ses poils bien délimités.
Après, je penche mon corps en avant pour regarder si mon anus est bien dégagé, autrement dit, vérifier si le résultat me plait assez ! Je suis fière de mon corps car je l’ai sculpté avec beaucoup de sacrifices. J’ai tendance à prendre alors je me suis mise au régime et fais du sport. A force de me regarder, je pense que ce corps mérite que je le prenne en photo, seul souci, je suis seule et pour le devant je m’en sortirai mais pour l’arrière, pas facile. Mais bien sûr, le miroir sera mon complice. Je commence par mes seins afin qu’ils soient au meilleur de leurs formes, je les stimule un peu. Je lèche mon majeur et dessine de grands cercles autour de mes mamelons jusqu’à venir titiller mes tétons. Mes seins gonflent. Je les photographie par-dessus en direct et une autre de face dans le réflecteur. Ils sont beaux et sont ce que je préfère chez moi. Mais il est temps de me mater l’entrejambe.
Les premières photos se font le sexe fermé. Je comprends pourquoi on appelle ça un petit abricot. Je branle mon clitoris et à chaque étape de l’ouverture de ma caverne à plaisir, je fige l’instant. Je suis ouverte maintenant largement. On peut voir mon clitoris en érection et ma mouille qui commence à dégouliner entre mes lèvres. Je prends un de mes vibromasseurs que je mets sur mon con. La sensation est immédiate. Je mouille tellement : serai-je une femme fontaine ? Je m’introduis un énorme vibro dans le vagin. Je prends des clichés, et me voir m’excite encore plus. Je me tourne en me mettant à quatre pattes et abandonne, à l’objectif, mon cul. C’est dans la boîte !. Je libère un de mes orifices pour m’occuper de l’autre. J’essaie de fixer ce moment en écartant mes fesses et en cambrant mon corps au maximum pour m’offrir largement à l’appareil. Puis, je mets un peu de gel lubrifiant sur la tête de mon plug. Pour une question de pratique, je m’assois dessus et reprends ma position d’avant. Mon anus est bien rempli, cette sensation de chaud avec la douceur de ce sextoy me font décoller.
Les yeux rivés sur le viseur, j’appuie sur la gâchette. Enfin, le moment, que j’adore, arrive. Je remets mon gros vibro dans mon conduit génital. Je suis tellement comblée que j’en oublierai presque d’immortaliser ce passage. Voilà, opération réussie ! Je finis ma masturbation en ne me fixant plus que sur mes seins et mon petit capuchon. La jouissance arrive, massive et puissante. J’inonde littéralement mon dessus de lit et fais une syncope de plaisir ! Peu de temps après, je regarde mes souvenirs scellés sur mémoire informatique. Quand j’ai voulu prendre la carte SD de mon appareil pour le mettre sur mon PC, j’ai remarqué qu’elle n’était pas dedans. Il me faudra donc recommencer pour mon plus grand plaisir !





Histoire érotique écrite par
mickey1970





Fantasme




Publié le
25 août 2019






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J’ai fait la connaissance d’une femme par l’intermédiaire d’amis. La première fois que je l’ai vue, j’ai été impressionné par sa poitrine. Je n’avais jamais vu une poitrine aussi grosse. Un jour, je l’appelle pour l’inviter au restaurant, elle accepte. J’ai choisi un restaurant avec une ambiance feutrée près de chez moi. Je passe la chercher et nous allons dîner. Le repas se passe bien, elle se dévoile peu. Je sais qu’elle a trois grands enfants, qu’elle est célibataire et que nous avons une grande différence d’âge. Nous quittons le restaurant et marchons un peu. Nous parlons de choses et d’autres. C’est ce moment que je choisis pour approcher ma main de la sienne. Nous nous retrouvons main dans la main. Je réside dans un foyer et lui propose de lui montrer ma studette. Nous prenons l’ascenseur toujours main dans la main. Je lui ouvre la porte et la fais entrer. Je referme la porte puis lui prends de nouveau la main. Je l’embrasse dans le cou et la prends dans mes bras. Mes mains lui caressent le dos. Je prends ses mains et les posent sur mon torse. Elle me caresse à son tour puis j’enlève mon tee-shirt. Je bande déjà. Mes mains descendent sur ses fesses que je pelote. Je continue à l’embrasser dans le cou. Elle apprécie et commence à s’abandonner. Je vois ses tétons durcir, ce qui me fait bander plus fort, mais ne m’en occupe pas pour le moment, car je risque de jouir. Je pose un matelas gonflable au sol. Je lui enlève son pantalon et sa culotte pendant qu’elle dégrafe son soutien-gorge puis elle s’allonge. Je lui lèche le sexe puis ma langue s’attarde sur son clitoris. Elle ondule du bassin. Je lui introduis deux doigts dans son sexe, son souffle devient haletant. Je m’arrête pour qu’elle reprenne ses « esprits ». En relevant la tête, je découvre ses gros seins, ils sont énormes, ce qui me fait bander encore plus. Je reprends l’exploration de son sexe avec ma langue et avec mes mains, lui caresse les seins puis prend ses tétons entre mes doigts. Elle ondule à nouveau, j’accélère mes coups de langue, elle accentue ses mouvements. Elle me demande d’arrêter, car elle veut aussi me faire jouir. Je m’allonge sur le dos puis elle m’enlève mon pantalon et mon slip. Elle est émerveillée en voyant mon engin se dresser. Nous sommes maintenant en 69. Je sens ses nichons sur mes cuisses, que c’est bon. Elle passe sa langue sur toute la longueur de ma queue ; elle a une langue de velours. De mon côté, je fais tourner ma langue sur son clitoris et lui caresse les seins. Elle ondule de nouveau et engloutit ma queue d’un seul coup. Elle est la reine de la gâterie. Je passe mon doigt sur son anus et l’introduis. Sa respiration devient plus forte, elle ouvre de temps à autre la bouche pour laisser échapper un petit bruit, elle va bientôt jouir. Je lui dis : « Lâche-moi tout sur le visage ». Je continue de l’exciter avec mes doigts et ma langue, elle jouit. Le bruit de sa jouissance m’excite encore plus. Je la préviens que je ne vais pas tarder à jouir ; elle s’avance et j’éjacule sur ses seins. Je lui propose que nous allions prendre une douche. Je lui savonne le dos, les fesses, les seins puis son minou. J’ai de nouveau une érection. Elle me savonne à son tour, nous nous rinçons puis nous rhabillons. Elle me dit : « Pourrais-tu me ramener chez moi ?» Je suis d’abord surpris, car je pensais que nous avions passé un bon moment, mais elle ajoute : « Prends de quoi te changer ». Je lui demande de ne pas remettre son soutien-gorge. En voiture, je lui demande d’enlever quelques boutons de son chemisier afin que je puisse voir ses gros seins. Ma main est posée sur sa cuisse et la sienne au niveau de mon entrejambe. Ses tétons pointent, ce qui me fait bander. J’ai du mal à me concentrer sur ma conduite. Ne tenant plus, je m’arrête dans un petit coin tranquille et l’embrasse à pleine bouche. Elle me rend ce baiser si délicieux. J’en profite pour passer ma main entre ses nichons. Elle descend sa main plus bas et me caresse le sexe. Nous repartons rapidement, car nous risquons de faire l’amour dans la voiture. Près de chez elle, elle referme son chemisier. Nous arrivons chez elle et sommes accueillis par ses enfants. Elle fait les présentations. Je discute avec eux puis nous nous éclipsons dans sa chambre. Je la prends dans mes bras. Je sens ses seins sous son chemisier et je bande à nouveau. Je l’embrasse dans le cou puis à pleine bouche. Mes mains lui caressent le dos puis les fesses. Elle me caresse le torse ; j’enlève alors mon tee-shirt. Elle en profite pour retirer son chemisier. L’excitation monte en elle. Je la plaque contre moi et mets ma tête entre ses obus. Que c’est bon ; ma queue durcit un peu plus. Elle desserre un peu notre étreinte, pose ses mains sur mon sexe et commence à me branler à travers le pantalon. Elle me l’enlève ainsi que mon slip. Je fais la même chose avec elle. Nous nous allongeons sur son lit. Cela fait redescendre un peu notre plaisir. Je veux lui faire prendre son pied avec beaucoup de délicatesse, que son excitation monte progressivement, qu’elle savoure chaque moment pour que ces moments soient uniques pour elle. Je la prends dans mes bras, allongé sur le dos et elle sur le coté. Je caresse à nouveau ses seins, glisse ma main entre les deux pendant qu’elle me branle. Ma main descend vers son sexe et je lui introduis deux doigts. Elle commence à onduler du bassin, m’invitant à aller plus loin. Je me mets sur elle en 69, lui lèche le clitoris tout en ayant deux doigts en elle. Elle adore, attrape ma queue pour me sucer. Que c’est bon ! Elle me caresse les couilles. Je ne vais pas tenir longtemps. Par moments, elle lâche ma bite pour laisser échapper des petits bruits de plaisirs. Je m’allonge sur elle et colle ma queue contre sa chatte. Je fais des mouvements de haut en bas sans la pénétrer. Ne tenant plus, elle me dit : « Prends-moi, j’ai envie de sentir ta queue en moi. Fais-moi bien jouir. » Je m’introduis sans difficulté en elle, car elle mouille déjà bien. J’alterne des va-et-vient lents et rapides. Elle a rapproché ses seins. Je mets mon nez entre les deux puis passe ma langue sur ses tétons bien durs. Elle prend son pied. Ses petits bruits de jouissance m’excitent encore plus. Elle prend un coussin pour étouffer son orgasme. Je jouis en elle. Elle me dit : « J’ai adoré, tu fais si bien l’amour. J’avais rarement joui autant » et de lui répondre : « Mais c’est grâce à toi, tu me fais tellement d’effet. »








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