Histoire De Sexe Gang Bang

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Histoire De Sexe Gang Bang

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La femme de Vincent, 46 ans, fantasme sur la pluralité masculine. La coquine va etre servie au cours d’une soirée endiablée entre amis !
Bonjour à toute l’équipe d’Union. Après la parution de notre histoire porno dans le hors-série, je vous envoie un nouveau récit, à propos de notre dernière fête. Avec l’aide de quelques amis, j’avais organisé une soirée très chaude pour ma femme, sous le signe de la pluralité masculine comme d’habitude, vu que ma chérie adore le sexe et n’en a jamais assez…
Nous avons donc organisé un gang-bang avec la participation de neuf hommes triés sur le volet qui, bien sûr, étaient montés comme il se doit. En outre, tous ces messieurs étaient très endurants. Nous avions rendez-vous à 20 h 30 dans une maison spécialement conçue pour ce genre de soirées.
Nath s’était habillée sexy et très léger, comme d’habitude pour ce genre de sortie, avec de la lingerie provocante. Une fois arrivés devant la maison, nous avons été accueillis par deux amis, qui ont fait les présentations d’usage. Avec Nath, nous sommes ensuite allés prendre un verre et fumer une cigarette dans la cuisine. D’un coup, trois hommes sont entrés. Ils ont abordé Nath devant moi. Je dois bien l’avouer, cela m’excitait à fond. Ça ne faisait pas cinq minutes que Nath discutait avec eux, et je voyais déjà leurs mains courir sur le corps de ma miss .
Moi, pendant ce temps-là, je n’en perdais pas une miette. Mon sexe durcissait dans mon jean qui se déformait. En même pas dix minutes, ma chérie s’est retrouvée en string et seins nus en plein milieu de la cuisine. L’un des hommes a pris Nath par la main et l’a emmenée dans le salon, où se trouvait une grande banquette. Il l’a installée dessus, et a attendu que tous nos amis soient là.
En un rien de temps, Nath s’est retrouvée entourée des neuf hommes qui ont profité de son corps. Elle a été caressée, léchée, embrassée par toutes ces mains, par toutes ces bouches. Je l’entendais gémir de plus en plus fort. Quand je me suis rapproché, j’ai vu ma femme qui se faisait enfoncer des doigts dans chaque trou . Elle se trouvait les jambes écartées, avec deux doigts dans la chatte, trois dans le cul, une bite dans chaque main et une autre, énorme, dans la bouche. Nath se faisait défoncer par tous les orifices, je voyais les phalanges lui éclater le trou du cul , et sa bouche complètement déformée par ce sexe géant. À un moment, Nath s’est retournée sur la banquette. Là, un mec avec un sexe comme je n’en avais jamais vu, épais et très courbé, le lui a enfoncé dans le cul pendant qu’elle continuait à lécher le gros membre de l’autre type.
Elle s’est fait sodomiser énergiquement. D’un coup, celui qu’elle avait en bouche a lâché son sperme au fond de sa gorge. Elle a tout avalé. Un autre est venu prendre la place de la bite ramollie dans la bouche chaude de ma mie, et puis un deuxième. Nath a tenté de pomper les deux en même temps, mais c’était un peu maladroit, d’autant qu’elle était toujours en train de se faire défoncer le cul.
A un moment, l’homme s’est retiré de son petit trou et a ôté son préservatif pour se vider les couilles sur le visage de ma chérie. Puis, un cinquième a pris sa bite en main et s’est présenté à l’entrée de la chatte béante de ma miss, qui coulait de plaisir et d’envie. Il est entré d’un seul coup, sans ménagement, et s’est mis à la baiser avec force, à lui donner de grands coups pour s’enfoncer le plus loin possible. Pendant ce temps-là, Nath était toujours occupée à sucer les deux sexes qu’elle avait en bouche, et ils se sont tous les deux vidés, à quelques secondes près, eux aussi sur son visage.
Il était tapissé de sperme, ça lui coulait jusque dans le cou. Ensuite deux autres sexes sont venus se présenter à sa bouche, les glands s’entrechoquaient contre ses dents, et ma petite Nath les suçait avec ardeur. L’un des deux hommes s’est enfoncé jusqu’à sa glotte pour lui décharger son sperme au fond de la gorge pendant qu’elle se faisait toujours labourer. L’homme qui la baisait s’est retiré pour lui jouir sur le minou.
Après ce début de soirée qui promettait beaucoup de sexe, nous avons pris une pause pour boire un verre et se décontracter. Mais le répit fut de courte durée. Encore une fois, Nath a été sollicitée par tous ces sexes qui en redemandaient. Mais, bien sûr, ma miss était parfaitement ok pour prendre à nouveau du plaisir et jouir encore et encore.
Eh oui ça, c’est Miss, elle n’en a jamais assez, c’est une gourmande. Je ne vous raconte pas la suite, car ce serait beaucoup trop long. Mais je peux vous dire que la soirée a duré jusqu’à 5 heures du matin, et que Nath s’est fait baiser par tous les trous, et que plus d’un homme lui a joui dessus, dedans, elle a même eu droit à une très longue double pénétration. Enfin, pour clôturer notre fiesta , je lui ai fait une sodomie d’enfer.
Moi, son mari, je n’en pouvais plus de regarder sans toucher… Alors, je lui ai tout simplement défoncé son petit cul en lui donnant une fessée magistrale. Notre future soirée sera encore plus chaude, vu que son prochain gang-bang se fera avec un autre couple et plus d’une dizaine d’hommes, que j’espère tous très bien membrés et très endurants.
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Voir le regard de mon mari Patrick et moi face à face avec un p’tit jeunot de 16 ans qui entre son pénis dur de naïf et frêle imberbe corps de yo ricaner LA MÈRE ET LA FILLE SONT AUSSI CHAUDASSES LES BOYS. CHUM…DÉJÀ FATIGUÉ MAIS JE VAIS CRACHER DANS SA PETITE ÉPOUSE!
Je reconnais la voix de Jean Sébastien l’ex chum de ma fille Jenny et je suis rempli de son sperme chaud et gluant. 4h à faire éjaculer des amis de Jean Sébastien. Cuisse. Fesses. Bouche et seins écartés je demande UNE BONNE IDÉE POUR LES PETITS VOYOUS DE LA…LA…DIS RIEN À JENNY OK?
Je du laisser l’ex chum de ma fille Jenny me baiser à volonté 4 mois et demi de temps. 3 fois par semaine
J’adore mon mari m’a offert la même chose au moulin club à gien un gang bang géant avec plus d une douzaine hommes es u une soirée inoubliable très envie de refaire

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Nadine, la coquine ou un gang-bang au foyer
Pour me décrire un peu. Nadine mature la cinquantaine et je suis mariée… Je suis blonde, les cheveux mi-longs, plus ou moins longs selon mes envies du moment, et plus ou moins blonds, aussi, soit châtains clairs, soit blonds, toujours selon mes envies du moment… selon les saisons, également et surtout selon mes envies de changer de tête… comme je dis souvent… et des poils de chatte blonds foncés ! Physiquement, je mesure 1,66, je pèse dans les 69 /70 kg ; j’ai la peau blanche, le teint clair, une peau claire de blonde et les yeux bleus… et un bon 95 D de tour de poitrine, parfois 100. J’aime m’habiller plutôt de style assez bcbg… mais sexy, en douceur.
Mon mari occupant un poste important dans une grosse société et étant souvent en déplacement à l’étranger, c’est surtout pour tromper mon ennui d’être seule à la maison et aussi pour éviter de me sentir inutile plutôt que pour des besoins financiers que j’ai décidé de reprendre mon métier d’assistante sociale… Ce malgré les réticences de mon mari qui ne comprenait pas pourquoi je voulais reprendre un travail… J’avais arrêté mon métier d’assistante sociale à la naissance de mes enfants pour les élever. Maintenant ceux-ci sont adultes, ils ne sont plus à la maison.
Mais reprendre une activité professionnelle comme la mienne après une si longue période d’interruption n’avait pas été une simple affaire et n’avait pas été facile. Il y avait les petites jeunes sortant d’école, ma trop grande interruption, etc, etc… Mais à force de persévérance et en faisant jouer mes relations, j’avais enfin pu obtenir un poste de remplacement, pour des missions temporaires et de durées plus ou moins longues. Pendant de nombreux mois, j’avais été affectée dans tous les endroits possibles de la région parisienne, des postes dont personne ne voulaient, des cités pourries. Mon seul travail n’était pas un travail d’assistante sociale mais un travail administratif où je remplissais à longueur de journées des dossiers d’aides diverses, des dossiers de naturalisations pour des familles pour la majorité d’origines étrangères et en très grande difficulté…
Mais je patientais et je persévérais. Puis un jour on me proposa un poste en doublure avec une autre assistante sociale qui allait partir à la retraite. J’avais donc été affectée avec elle dans un foyer de logement pour migrants en attente de papiers sur Paris, foyer pour jeunes entre 17 et 25 ans maximum, d’une soixantaine de places. Les jeunes étaient sympas, corrects, gentils. J’étais restée environ 3 mois à travailler avec elle. Ce n’était pas simple. Elle décidait de tout, elle régentait tout, faisant valoir son ancienneté et son expérience. Rien n’allait : ma façon de m’habiller, mon habitude de parler un peu avec eux, de boire le café avec eux, de leur parler etc… Tout ce que je faisais était mal. Les dossiers pas faits comme elle le voulait. Des reproches pour tout et pour rien : une vieille acariâtre et aigrie… C’est vrai qu’elle, vu son physique, vu sa façon de s’habiller et vu son caractère, elle ne risquait pas d’exciter et de donner envie à personne. Elle ne devait pas plaire aux résidents du foyer.
Moi par contre, j’étais gentille, prévenante, attentionnée avec eux et ils me le rendaient bien en étant gentils, polis, corrects avec moi… tout en me dévorant du regard, à la dérobée ou carrément ostensiblement, selon mes tenues, non pas provocantes mais bien plutôt du genre sexy bcbg : jupes fendues, escarpins à talons ou ballerines sexy, décolletés plongeants, tailleurs avec jupe ajustée, collants fins et parfois bas dim-up à deviner… Inconsciemment et sans vraiment me l’avouer, cela me plaisait bien d’être reluquée par ces jeunes blacks… qui devaient être bien membrés comme dit la rumeur… mais moi, dans ma vie un peu trop rangée de femme au foyer bcbg, je n’avais jamais vu -et encore moins touché- de bites de blacks… De toute façon ma vie d’épouse fidèle et sérieuse faisait que je devais chasser ces idées coquines et malsaines de mes pensées…
Avec elle ce furent les 3 plus longs mois de ma vie professionnelle : reproches sur tout, etc, etc… mais je me vengeais en devenant peu à peu la « préférée » des pensionnaires… grâce à mes tenues notamment et aux regards que je provoquais chez ces jeunes. Parfois, je captais ou il me semblait surprendre un regard appuyé d’un jeune black en direction de mes seins (généreux je vous l’ai dit) ou de ma croupe sous une robe ou jupe ajustée… je n’en étais pas offusquée et je leur souriais même… me disant que j’attisais probablement leurs masturbations nocturnes. Mais avec la raison je me disais que je devais arrêter de penser à ces choses immorales…
Enfin arriva le jour où elle partit définitivement sans omettre de me donner encore des conseils, des remarques, des observations, des recommandations, etc. Enfin seule !
Tout se passait très bien au foyer. J’y étais 4 demi-journées par semaine environ, plus des fois ou il y avait besoin que je m’y rende au coup par coup en soirée ou week-end. Je savais et j’ai pu constater qu’ils étaient souvent seuls le soir et les week-ends livrés à eux même, s’ennuyant, désœuvrés : souvent aussi il y avait des problèmes entre eux, bagarres, plaintes des voisins, etc… Mais avec moi tout se passait bien. Ils m’aimaient bien et certains semblaient même me draguer de façon maladroite … je prenais ça comme un jeu, vu la différence d’âges, mais peu à peu s’instaurait malgré tout entre ces jeunes blacks ou arabes et moi une relation complice, teintée d’érotisme… malgré les distances que je mettais entre eux et moi. Je refuser de me l’avouer, mais malgré moi j’aimais bien et j’adorais capter leurs regards intéressés et salaces quand ils arrivaient à lorgner sous ma jupe ou à plonger entre mes seins opulents et provocateurs… « T’as vu les seins qu’elle a l’assistante sociale… » fut une phrase entre deux résidents qu’il m’avait semblé entendre et qui m’émoustilla bien… surtout quand l’autre répondit : « je lui mettrais bien ma queue sur ses miches à cette salope… elle doit aimer ça »… « ouais, sûr ! elle doit aimer se faire arroser les miches de foutre »… « elle a une bouche à sucer » dit un autre… « putain, moi ses gros nibards, je les choperais à pleines mains et je lui sucerais les tétons ». Je n’étais pas certaine d’avoir tout entendu, ou de ne pas vouloir entendre, puisque extrêmement gênée et embarrassée, j’étais vite rentrée dans mon bureau.
Mon mari était parti en déplacement pour plusieurs semaines et j’assurerai des permanences de remplacement. Nous étions en juillet et je savais que je passerai mes vacances d’été seule comme souvent une fois encore. Comme je n’avais rien d’autre à faire, je passais de temps en temps au foyer pour voir s’il n’y avait pas de problèmes particuliers.
Depuis quelques temps en effet, suite à l’arrivée de nouveaux locataires il y avait assez fréquemment des problèmes. Problèmes d’entente entre les différentes nationalités, problèmes de clans entre les Sénégalais, les Maliens et les autres. Problèmes d’alcool aussi. Bien que qu’il soit interdit de faire rentrer des boissons alcoolisées à l’intérieur du foyer, tout le monde savait qu’il y en avait quand même… Mais pour acheter la paix et sa tranquillité le directeur fermait les yeux… Problèmes de drogue aussi car les jeunes se procuraient de la drogue aux dealers du quartier. Ils avaient aussi tendance à faire la fête le soir, en fêtant les anniversaires de certains, l’obtention des papiers pour rester en France, etc, etc. Plusieurs fois d’ailleurs ils m’avaient invitée à leurs petites fêtes -sans trop y croire- mais j’avais toutes les fois poliment et gentiment décliné leurs invitations, ne voulant pas me retrouver la seule femme au milieu d’eux… quoiqu’une envie -bien que je m’en défende et que je devais chasser de mon esprit -commençait sérieusement à me tirailler car j’aimais bien -bien que je ne veuille pas me l’avouer- sentir leurs lourds regards concupiscents et de désir sur mes formes et mes tenues… surtout quand j’avais surpris tout à fait pas hasard quelques gars entrain de se masser la queue dans leurs shorts ou pantalons de survêts, en me regardant intensément. Peu à peu, je suis devenue convaincue que ces jeunes blacks fantasmaient sur moi et se branlaient dans leur lit en pensant à mes seins ou à mes cuisses, que je dévoilais à leurs regards. Mais ma fonction au sein du foyer et ma condition de femme mariée, épouse fidèle et sérieuse m’interdisait ces pensées immorales et malsaines…
Tout le monde savait aussi que quelquefois ils ramenaient des filles dans le foyer… C’était interdit aussi par le règlement, mais le directeur et le gardien fermaient là aussi les yeux… Cadoré et Karama étaient rentrés un soir complètement surexcités après une virée dans un centre commercial où ils avaient dragué une bourgeoise bcbg et avaient fini par la baiser dans le parking souterrain. J’étais dans mon bureau porte ouverte et je les entendis se vanter haut et fort de cette aventure, la racontant avec foultitude de détails à Momo et à Youssef extasiés, ainsi qu’à quelques autres jeunes pensionnaires qui devaient se masser en écoutant leur récit très hard. « Putain les gars, on était au centre commercial et on s’est chopé une meuf bourge à fond, une jolie rousse qui avait au moins cinquante balais… mais chaude comme de la braise » commença Cadoré… et Karama enchaîna, pour le plus grand bonheur de Momo : « ouais, cette salope, elle nous avait bien chauffé dans les rayons du supermarché avec sa petite robe noire bien courte… elle se penchait bien, on voyait ses cuisses et sa culotte aussi, elle nous montrait ses seins par son décolleté bien ouvert sur un super soutif » Alors j’entendis Momo, attendant la suite : « et alors ? » « Cette salope elle nous a caressé la queue dans les rayons et s’est même frottée à nous puis elle a disparu comme une coquine… » reprit Cadoré surexcité « ouais, même qu’on l’a cherchée dans les rayons et on ne l’a retrouvée qu’à la caisse » « et vous avez fait quoi ? » questionna Youssef, impatient de connaître la suite « on l’a suivie quand elle a eu payé et comme elle avait un caddy bien plein, on lui a dit : ‘vous voulez qu’on vous aide Madame ? ‘ … et elle a répondu ‘oui’ en nous souriant » « Alors on l’a accompagnée jusqu’à sa voiture dans le parking souterrain du supermarché… on l’a aidé à ranger tous ses achats dans la malle de sa voiture… » « ouais, et quand elle s’est penchée pour y mettre le dernier sac, sa robe était remontée presque jusqu’à sa culotte, alors je lui ai mis la main au cul avec le doigt bien enfoncé dans sa chatte… elle a gueulé un coup… pour la forme… elle était trempe sa chatte » « alors, moi je l’ai empêchée de crier en venant lui rouler une galoche… elle a essayé de se dégager mais on la tenait bien… puis on lui a fait sentir nos queues… comme j’étais en short, elle a vite vu mon engin… un moment elle l’a regardé, extasiée… trop tard ! je lui ai pris la main et je l’ai forcée à me branler alors que je la regalochais… elle est devenue ‘bonne’ la chienne… elle m’a chopé la bite et m’a bien b
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