Histoire De Sexe Entre Ados
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  Accueil » A la découverte de nos sexes
Enfants puis adolescent, avec mes parents, nous allions de temps en temps rendre visite Ă un couple dâamis. Mais, nous y allions aussi, pour y passer les vacances dâĂ©tĂ©.
Dans ce petit hameau perché et entouré de champs de lavande sur les collines environnantes, surplombant la riviÚre, dans laquelle nous allions nous laver et aussi, nous baigner tous les soirs, je retrouvais mon amie Chantal.
Chantal et moi, nous nous connaissons depuis nos plus jeunes annĂ©es et, Ă chaque fois que nous venons passer quelques jours, nous partageons nos jeux, comme le font tous les enfants du mĂȘme Ăąge.
Mais voilà , les années ont passé, nous avons grandi et, nos jeux ont changé petit à petit.
Je me souviens dâun sĂ©jour qui est restĂ© gravĂ© dans ma mĂ©moire. CâĂ©tait pour les vacances, au mois dâaoĂ»t. Ăa faisait presque un an que nous ne nous Ă©tions pas vu. Nous Ă©tions tellement heureux de nous retrouver que, la premiĂšre chose que nous avons faite Ă Ă©tĂ© de nous prendre dans les bras, nous serrĂ©s trĂšs fort et nous embrassĂ©s.
Alors, pendant ces quelques jours, nous ne nous sommes, pratiquement, pas quittés un seul instant, tout juste pour dormir.
A ce moment lĂ , Chantal avait quatorze ans, moi quinze et cette amitiĂ© dâenfant que nous partagions jusque lĂ , Ă©tait restĂ©e intacte. Mais, depuis que nous nous sommes revus, nous sentons, lâun et lâautre, que quelque chose est diffĂ©rent. Il y a, entre nous, une espĂšce dâattirance qui, est de plus en plus physique.
Le dimanche, aprĂšs le dĂ©jeuner, elle vient me chercher Ă la maison et mâinvite Ă la suivre.
Je me lÚve de ma chaise et quitte la piÚce, sans demander mon reste, bien sûr.
âąA la colline,promener dans les lavandes.
Nous partons, main dans la main. Puis aprĂšs une bonne heure de marche, nous revenons au hameau et lĂ , elle mâentraĂźne derriĂšre les maisons oĂč il y a une vieille guimbarde abandonnĂ©e dans laquelle nous venions jouer de temps en temps, quand nous Ă©tions enfants.
Nous nous installons parterre, car, il nây a mĂȘme plus de siĂšges sur une vieille couverture, qui doit avoir Ă peu prĂšs lâage de la voiture. Et lĂ , Chantal mâoffre ses lĂšvres pour partager un long baiser.
âąQuâest ce quâon faitmaintenant. On joue Ă la dĂźnette ou Ă papamaman ? Comme avant !
Elle me regarde et me répond en rigolant.,
âąPourquoi pas, papamaman. Jâai une autre idĂ©e. Si on jouait au docteur, çafait longtemps. Tu te rappelles ?
LĂ , je la regarde droit dans les yeux avec un petit sourire. et.
âąJe pense que laderniĂšre fois, câest il y a au moins deux ans.
âąIl y a deux ans,nous Ă©tions encore des enfants. CâĂ©tait paspareil⊠!
âąJe saurai pascomment te dire. Maintenant, nous sommes adolescents⊠!
Alors, Chantal sâallonge et pose sa tĂȘte sur mes cuisses. Puis me dit en me fixant et en se frottant le bas du ventre.
âąDocteur, je croisque jâai mal au ventre, vous pouvez voir pourquoi ?
âąJe vais vousausculter mademoiselle. Mais voyonsâŠ, pour ça, il faudraitun peu vous dĂ©shabiller !
Alors, elle se met à genoux, déboutonne son corsage et me dit.
âąMais, câest leventre que je dois regarder⊠!
âąAh oui ! Jesuis saute, quand mĂȘme.
âąAlors, il faudraitplutĂŽt quitter la jupe !
Alors, elle se relĂšve, la dĂ©grafe et la fait glisser au sol. Puis se rallonge comme tout Ă lâheure.
âąBienmademoiselle⊠! Comme ça je vais pouvoir vousausculter.
Alors, je me penche vers elle. Mon regard ne peut se détourner de sa poitrine. Puis ma main commence à lui tùter, par dessus sa petite culotte, le bas du ventre, un peu, comme le ferait un vrai docteur.
Quelques instants aprĂšs, ma main, furtivement, sâaventure, jusquâĂ son entre jambe. Et lĂ , je ressent, sous mes doigts, une douce chaleur sâen dĂ©gager. A ce moment lĂ , ma main sâimmobilise.
âąVous avez trouvĂ©quelques choses docteur ?
Là , je la regarde en souriant et lui répond.
âąOui, je crois quecâest par lĂ , que ça vous fait mal. Il va falloir queje vous ausculte encore un peu mieux.
âąJe crois oui. Pourça, il faudrait quitter la petite culotte.
Alors, elle se redresse à nouveau et, la petite culotte glisse sur ses fesses, ses cuisses, ses jambes et aprÚs avoir passée les pieds, elle me la jette à la figure, immédiatement suivi par son chemisier.
Voilà ma Chantal à poil devant moi. Je suis agréablement surpris et, je dois dire que du haut de ses quatorze ans, elle est déjà trÚs femme et, commence déjà à me faire envie. Elle a deux jolis seins bien ronds et hauts perchés, aux larges aréoles rosées avec de bien jolis tétons. Mais aussi, un joli ventre un peu bombé au pubis encore imberbe qui laisse apparaßtre une fine fente, toute aussi rosée que ses aréoles, des hanches bien marquées et des fesses magnifiques.
Bref, revenons Ă lâobjet principal de notre jeu.
Chantal se rallonge comme tout Ă lâheure. Mais cette fois, mes mains ne se consacrent plus Ă dĂ©couvrir cette maladie imaginaire de ma petite amie, mais Ă la dĂ©couverte de son corps que je voyais entiĂšrement nu pour la premiĂšre fois.
Je recommence Ă lui caresser longuement et, tour Ă tour, ses seins. Ce qui commence Ă la faire gigoter dans tous les sens jusquâĂ ce quâelle finisse par me dire.
âąĂa me faitcomme les chatouilles⊠!
âąSi, si⊠!Mais ça fait tout drĂŽle, tu sais. Câest la premiĂšrefois.
Si, Ă elle, ça lui fait des chatouilles. Moi, ça me fait bander. Jâai mon sexe qui se trouve bien Ă lâĂ©troit dans mon slip. Mais bon, je ne dis rien et, continue Ă la caresser. A cette Ă©poque lĂ , je ne savais pas vraiment trop pourquoi, le fait de caresser les seins dâune fille, pouvait faire redresser ma queue comme ça. MalgrĂ© les quelques expĂ©riences que jâavais eu, je nâĂ©tais pas du tout un expert.
Bref, que cela ne tienne. Je garde discrĂšte, le plus possible, mon Ă©rection et, je continue lâexploration et la dĂ©couverte de son corps.
Tout en continuant de lui caresser ses seins, mon autre main prend la direction de cet endroit encore inconnu pour moi, son pubis. FĂ©brilement, mes doigts viennent Ă la rencontre de sa vulve puis, petit Ă petit, se poser sur ses lĂšvres pour y faire de lents va et vient.
AprÚs quelques secondes, Chantal écarte ses jambes et là , mon majeur se retrouve emprisonné entre ses lÚvres chaudes et humides, un peu, malgré lui.
A ce moment lĂ , je ne sais pas trop comment faire. Mais, puisque, je lui ai caressĂ© par dessus, je me dit que je peux faire la mĂȘme chose aussi. Alors, je recommence Ă lui caresser sa fente dĂ©jĂ bien mouillĂ©e oĂč rĂšgne une douce chaleur.
Quelques instants aprĂšs, Chantal se met Ă gigoter encore plus que tout Ă lâheure. Je sent sa respiration, petit Ă petit, sâaccĂ©lĂ©rer et lĂ , elle me murmure entre deux soupirs.
âąJâai des frissonsdans tout le ventre.
âąOui Chantal. Mais tusais. Jâai mon sexe tout dur et, ça me fait mal.
âąPeut ĂȘtre quecâest parce que je caresse le tien ?
Alors, elle se redresse et sâassoit Ă cotĂ© de moi. Je me mets Ă genoux et dĂ©grafe mon pantalon. Je le fais glisser jusquâĂ mes genoux et lĂ surprise. Il y a une grosseur impressionnante en travers de mon slip.
La, Chantal regarde curieusement la chose et me dit dâun air surprise.
Alors, je fais glisser mon slip sur mes cuisses et ma queue lui saute quasiment au nez.
âąHou-la-la⊠!Câest la premiĂšre fois que je vois ça, comme ça.Comment tu vas faire ?
âąTu sais, quand çamâarrive, je me branle.
âąĂa veut direquoi ça, je me branle ?
âąSi tu veux essayer ?Je tâexplique.
âąBon, tu restes commeça, tu prends mon sexe dans ta main et aprĂšs, tu faisdes aller retour de haut en bas, doucement, sans tâarrĂȘter.
Elle prend, donc, ma queue dans sa main et commence, certes un peu maladroitement, Ă me branler.
TrĂšs vite, le geste sâassure et devient rapidement excellent. Chantal me branle et me branle encore. Câest vachement bon.
Alors, elle continue, avec application, de me branler la queue. Puis, quelques instants plus tard, je commence Ă ressentir cette Ă©trange sensation qui prĂ©cĂšde lâĂ©jaculation. Mais, je ne lui dis rien.
Quelques va et vient plus tard, alors quâelle est bien concentrĂ©e sur sa branlette, je sent monter Ă lâintĂ©rieur de ma queue la giclĂ©e de sperme.
Et, inĂ©vitablement, plusieurs jets sâen Ă©chappent, viennent lui gicler sur le coin de la bouche et lui dĂ©gouliner sur les doigts. Et lĂ , un peu surprise, elle me dit en regardant fixement mon sexe.
âąĂa me coulesur la bouche et jâen ai plein les doigts⊠!
âąExcuse moi. Mais, situ veux, tu peux le lĂ©cher⊠!
Alors, elle me regarde encore une fois et se met à lécher ses lÚvres, et ne fois achevé, elle me dit.
âąAh oui, câest pasmauvais⊠! Et maintenant, on fait quoi ?
âąTu veux que je tecaresse encore ta fente ?
âąAlors, allonges toiet Ă©carte bien tes jambes.
Le message est bien passĂ©. Chantal mâoffre sa fente. Je me met Ă genoux devant elle et lĂ , je recommence Ă lui caresser. Mon majeur va et vient entre ses lĂšvres. Puis, vient Ă la rencontre de son bouton de fleur, que je caresse fiĂ©vreusement. Ce petit bouton va rapidement se gonfler. Et, le fait de lui cajoler, lui redonne de grandes chaleurs. Elle se met Ă gigoter de plus balle et mĂȘme, ça recommence Ă la faire gĂ©mir.
Cette nouvelle expĂ©rience, me fait dĂ©couvrir une autre partie du mystĂšre du sexe fĂ©minin. Mais ma surprise ne va pas sâarrĂȘter lĂ . La curiositĂ© me fait lui Ă©carter ses lĂšvres. Et lĂ , je mâaperçois quâil y a Ă lâentrĂ©e, une espĂšce de peau dâun rose Ă©carlate, comme un voile, percĂ© de deux petits trous.
Et lĂ , nouvelle question. Quâest ce que ça peut bien ĂȘtre ? Que cela ne tienne, je verrai plus tard.
Bref, avec tout ça je me retrouve encore avec la verge Ă la verticale. Mais voilĂ , Ă quinze ans, comme disent les paroles dâune chanson, je ne suis pas un gĂ©ant. Et, comment fait on lâamour ? Jâai bien une petite idĂ©e, pour avoir ici oĂč lĂ des petites choses sur le sexe. Alors, avec nos maigres connaissances, nous allons essayer de sauter le pas.
Alors, aprĂšs lui avoir beaucoup masturbĂ© sa fente et cajolĂ© son bouton, jâai dans lâidĂ©e que nous pouvons faire ce que les adultes appellent lâamour. Sa vulve est totalement dĂ©trempĂ©e et, mon sexe raide comme un morceau de bois. Alors, sans ajouter un mot, je mâallonge entre ses cuisses et approche mon sexe vers le sien, jusquâĂ ce quâils soient en contact. Puis, je donne un petit coup de rein et lĂ , Chantal pousse un gĂ©missement bien plus fort que tout Ă lâheure, un cri qui me surprend aussi. Ne comprenant pas bien ce quâil se passe, je reste immobile. Puis trois secondes plus tard, retire mon pĂ©nis de sa fente. Et lĂ , je mâaperçois que mon gland est maculĂ© de sang. LĂ , je pense vraiment que je lui ai fait mal.
Alors, que faire, que dire ? Nous restons immobile un moment sans rien dire. Je sent que Chantal Ă mal. Une ou deux minutes plus tard, jâai envie de savoir, un peu, ce quâil sâest passĂ©. Alors, aprĂšs que la douleur ce soit dissipĂ©e, avec deux doigts jâĂ©carte dĂ©licatement ses lĂšvres et lĂ , le petite voile de chair rose nâest plus lĂ .
âąParce que, quand monpĂ©nis est entrĂ© dans ta fente, il tâa percĂ© lapeau, que tu avais, Ă lâentrĂ©e.
âąCâest pour çaque tu as du sang sur ton sexe ?
âąBen oui,certainement. Mais, dis moi. Tu as encore mal ?
âąTu crois quâon peutessayer encore ?
Alors, Chantal sâallonge Ă nouveau, Ă©carte ses jambes et moi, je reviens me recoucher sur elle. Nos deux sexes se rencontrent Ă nouveau et, cette fois, mon pĂ©nis pĂ©nĂštre en douceur ou presque sa fente. Je sent immĂ©diatement une chaleur mâenvahir la verge. Quâest ce que câest bon. Et lĂ , je fais le premier va et vient de ma vie dâhomme qui, est suivi de beaucoup dâautres. Nous ne sommes plus puceaux.
Chantal se remet trĂšs vite Ă soupirer puis, Ă gĂ©mir. Câest gĂ©nial. Nous faisons lâamour pour la premiĂšre fois, avec lâinsouciance de lâadolescence.
Câest fantastique. Nous sommes dans un autre monde, emprisonnĂ©s par la jouissance. Mais ce bonheur ne va pas durer Ă©ternellement. Car, un instant plus tard, je ressent la mĂȘme sensation que quand Chantal mâa masturbĂ© tout Ă lâheure. Puis, plusieurs giclĂ©es de mon sperme sont venues gicler en elle.
Voilà comment nous avons perdus, ensemble, notre virginité.
âąOui, je sais !Et, câest la premiĂšre fois. Toi aussi !
âąOui Chantal.Maintenant quâon sait comment on fait⊠!
âąEt, si on allaient Ă la riviĂšre se laver ?
âąOui. On sâhabille et on descend nous laver.
Sur ce, aprĂšs que ma queue soit dĂ©bandĂ©e et nous ĂȘtre habillĂ©s, nous quittons notre cachette et descendons jusquâĂ la riviĂšre. Nous nous mettons dans un coin oĂč, il y a un petit trou dâeau abritĂ© par de grands peupliers et, une fois Ă poil, nous nous jetons Ă lâeau pour partager une bonne toilette bien mĂ©ritĂ©e et surtout trĂšs rapprochĂ©e.
Mais cette baignade trÚs rapprochée, a eu pour effet de me refaire bander comme un taureau.
LĂ , Chantal, sans mĂȘme lui demander, a pris ma verge dans la main, lâa encore bien astiquĂ©. Puis, comme ça ne pouvait pas attendre plus longtemps, elle sâest adossĂ©e Ă un gros tronc dâarbre juste Ă cĂŽtĂ© sur lequel, nous avions dĂ©posĂ© nos vĂȘtements et, en Ă©cartant ses jambes au taquet, mâa invitĂ© Ă la pĂ©nĂ©trer une nouvelle fois.
LĂ , nous avons refait lâamour. Ăa a Ă©tĂ© encore meilleur que, tout Ă lâheure, dans la voiture. Et, une bonne dizaine de minutes plus tard, je lui ai encore crachĂ© plusieurs jets de mon jus dâhomme, Ă lâentrĂ©e, cette fois, de sa fente magique.
AprĂšs nous ĂȘtre relavĂ©s, nous sommes remontĂ©s Ă la maison, en prenant soin de ne rien dire Ă personne, mais en se promettant de refaire lâamour le plus souvent possible.
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