Histoire De Sexe Avec Maman

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Histoire De Sexe Avec Maman


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En ce samedi de dĂ©but octobre, je suis rĂ©veillĂ© par mon tĂ©lĂ©phone. Je rĂąle intĂ©rieurement, qui peut bien me rĂ©veiller de si bon matin dans mon appartement de Biarritz ? Je me suis installĂ© dans le sud-ouest depuis le mois de juillet, suite Ă  une embauche dans une boĂźte d’import-export, je suis chargĂ© de la sĂ©curitĂ© informatique. Il convient que je me prĂ©sente, moi c’est FrĂ©dĂ©ric, 22 ans, 1,82, m. Oui, je sais, je suis jeune pour un poste aussi important, mais je suis un crack en informatique. DerniĂšre prĂ©cision sur moi, je suis un grand sportif qui pratique le vĂ©lo, et lĂ , je suis gĂątĂ© avec les routes du Pays basque.
Saisissant mon portable, sur l’écran s’affiche « HĂ©lĂšne ».
— Bonjour mon fils, j’espĂšre que je ne te rĂ©veille pas ?
— Pas grave, c’est toujours un plaisir quand c’est toi !
— Tant mieux mon chĂ©ri, pour moi aussi, c’est toujours un plaisir de t’entendre, je t’appelle pour te demander un truc !
— J’ai obtenu une semaine de vacances Ă  la Toussaint, comme tu es en congĂ©s Ă  cette pĂ©riode, je me demandais si je pourrais venir la passer avec toi ?
— Ce serait gĂ©nial que tu viennes, comme cela, je te ferais dĂ©couvrir la rĂ©gion et surtout on sera ensemble, tu me manques tellement !
— Parfait si tu es d’accord. Toi aussi tu me manques mon Amour ! Je te rappellerai plus tard pour fixer la date de mon arrivĂ©e, je te laisse, j’ai plein de choses Ă  faire, bon week-end mon chĂ©ri, je te fais plein de bisous !
— Moi aussi, je te fais de gros bisous ma maman chĂ©rie !
Je repose mon portable, enchantĂ© de cette conversation avec maman, nous allons pouvoir passer une semaine ensemble, je ne l’ai pas revue depuis mon installation Ă  Biarritz, Ă  part en webcam.
Revenons 22 annĂ©es en arriĂšre, pour vous expliquer la situation. HĂ©lĂšne accoucha de moi, peu aprĂšs son dix-septiĂšme anniversaire. L’annĂ©e suivante, elle convola en justes noces avec mon pĂšre, mais dix plus tard, ils divorcĂšrent, maman m’avoua tardivement que leur mariage fut un Ă©chec total. À onze ans je me retrouvai Ă  vivre avec une maman de 28 ans, dans un joli appartement d’une grande ville de l’est de la France. Avec le temps, je vis de moins en moins mon pĂšre, jusqu’au moment oĂč je ne reçus qu’une carte pour mon anniversaire et pour NoĂ«l, accompagnĂ©e d’un chĂšque.
Je me satisfaisais de la situation, mon entente avec maman Ă©tait parfaite, nous Ă©tions fusionnels, tactiles, elle m’appelait son petit homme, nous Ă©tions heureux de la vie que l’on menait.
Mon regard sur ma mĂšre va changer du jour au lendemain, je venais d’avoir 18 ans, un samedi en rentrant de ma sortie vĂ©lo, dĂ©goulinant de transpiration, je n’avais qu’une envie : prendre une douche. Me dirigeant vers ma chambre, me croyant seul dans l’appartement, quelle fut ma surprise en passant devant la chambre de ma mĂšre ! La porte Ă©tait entrouverte, machinalement je tournai la tĂȘte. HĂ©lĂšne se tenait allongĂ©e sur le lit, complĂštement nue, couchĂ©e sur le dos, les jambes lĂ©gĂšrement Ă©cartĂ©es. FascinĂ© par le spectacle qui soffrait Ă  mes yeux, restant bouche bĂ©e, je n’osai bouger, de peur de la rĂ©veiller. JĂ©tais obnubilĂ© par son corps parfait, une vraie dĂ©esse.
Sa poitrine montait et descendait au rythme lent de sa respiration, et contre toute attente, une rĂ©volution Ă©tait en train de naĂźtre dans mon entrejambe. Me trouvant trĂšs vite Ă  lĂ©troit dans mon cuissard de cycliste, je crois que je n’avais jamais eu une Ă©rection aussi forte, pourtant Ă  cette Ă©poque, j’avais une copine, avec qui les choses du sexe ne nous Ă©taient pas inconnues, nous Ă©tions pourtant trĂšs actifs tous les deux. Je crois bien quun tel dĂ©sir pour une femme navait jamais Ă©tĂ© aussi fort.
En une fraction de seconde, ma conscience me ramena Ă  la rĂ©alitĂ©, intĂ©rieurement, je m’insultai.
— Tu n’as pas honte de dĂ©sirer cette femme ? C’est ta mĂšre !
Je fis tout pour chasser de mon esprit ce corps magnifique. MalgrĂ© mes efforts mon Ă©rection ne diminuait pas, cela en devenait mĂȘme douloureux. A tel point que je pris une douche froide pour calmer mon ardeur, ce qui n’eut aucun effet, et je finis par me masturber frĂ©nĂ©tiquement, en ne pensant Ă  rien de particulier, mais le corps de maman me revenait sans cesse en tĂȘte. Mon Ă©jaculation fut violente et abondante, plusieurs jets de mon sperme sĂ©crasant sur la paroi en carrelage de la douche. Ma jouissance Ă©tait tellement violente, que j’en ai eu les jambes coupĂ©es, me retrouvant Ă  genoux dans le bac Ă  douche. AprĂšs avoir repris mes esprits, je constatai que je n’avais mĂȘme pas fermĂ© la porte de la salle de bain, ni mĂȘme celle de la douche ! Pourvu que maman n’ait rien vu ! Rien Ă  craindre, elle dormait !
Ma soirĂ©e avec ma copine fut bizarre, je suis rentrĂ© de bonne heure, prĂ©textant que je ne me sentais pas bien, la vĂ©ritĂ© Ă©tait toute autre, la vue de maman nue tournait en boucle dans mon esprit. En allant me coucher, j’essayai de chasser ces images de ma tĂȘte, mais rien y faisait, et Ă  mon grand dĂ©sarroi, une grosse Ă©rection Ă©tant revenue, je finis par me soulager encore une fois, mais je ne chassai pas l’image d’HĂ©lĂšne, au contraire, je la dĂ©sirais, Ă©tais-je en train de tomber amoureux de ma mĂšre ? LĂ  Ă©tait la grande question, mon Ă©jaculation fut spectaculaire, maculant mon torse ainsi que les draps.
Le lendemain au rĂ©veil, je pris une grande dĂ©cision, conquĂ©rir et sĂ©duire ma mĂšre, mais oserons-nous franchir la barriĂšre de l’interdit ?
Depuis ce jour, j’ai prĂȘtĂ© beaucoup plus d’attention Ă  HĂ©lĂšne, l’aidant dans les tĂąches du quotidien, Ă  sa grande surprise.
— Quelle mouche t’a piquĂ© pour ĂȘtre si attentionnĂ© avec moi ?
Ne sachant pas trop quoi rétorquer, je lui fis une réponse bateau.
— Aucune mouche maman, j’ai dĂ©cidĂ© de t’aider plus Ă  la maison, parce que tu es la meilleure des mamans, et je t’aime !
Ma réponse la fit légÚrement rougir, et elle me claqua un bisou sur la joue pour me remercier.
HĂ©lĂšne, ma maman, est une trĂšs belle femme de 39 ans au moment de ce dĂ©but de rĂ©cit, chef de service dans une grande administration. Grande, 1.76 m, les cheveux chĂątains trĂšs clairs, mi-longs et lĂ©gĂšrement ondulĂ©s, des yeux verts qui lui font Ă  la fois un regard de braise et malicieux, de longues jambes fines et des seins bien ronds de belle taille. N’oublions pas que j’ai vu HĂ©lĂšne nue sur son lit, et j’ai surtout admirĂ© la plastique irrĂ©prochable de maman lors de nos vacances estivales sur la cĂŽte mĂ©diterranĂ©enne, toujours en maillot deux-piĂšces. Je constatais le regard envieux de certains hommes se poser sur maman. A ma connaissance, il ny avait aucun homme dans sa vie, ou alors elle cachait bien son jeu !
Depuis ce fameux samedi, nous nous sommes encore plus rapprochĂ©s, HĂ©lĂšne Ă©tant une grande sportive, je prenais un grand plaisir Ă  pratiquer avec elle la natation et la course Ă  pied, je pouvais admirer sa plastique quand elle Ă©tait en maillot de bain ou en tenue de jogging bien moulant, ce qui me mettait souvent dans des Ă©mois dĂ©rangeants. C’est surtout lors de nos joggings dominicaux, que je pouvais admirer ses courbes parfaites, courant lĂ©gĂšrement en arriĂšre d’elle, le dĂ©hanchĂ© Ă©rotique de son derriĂšre me mettait dans tous mes Ă©tats, HĂ©lĂšne avait remarquĂ© mon manĂšge, elle me regardait avec un sourire malicieux, mais aucun de nous deux nosait franchir cette barriĂšre de l’interdit.
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Saisissant mon portable, sur l’écran s’affiche « HĂ©lĂšne ».
— Bonjour mon fils, j’espĂšre que je ne te rĂ©veille pas ?
— Pas grave, c’est toujours un plaisir quand c’est toi !
— Tant mieux mon chĂ©ri, pour moi aussi, c’est toujours un plaisir de t’entendre, je t’appelle pour te demander un truc !
— J’ai obtenu une semaine de vacances Ă  la Toussaint, comme tu es en congĂ©s Ă  cette pĂ©riode, je me demandais si je pourrais venir la passer avec toi ?
— Ce serait gĂ©nial que tu viennes, comme cela, je te ferais dĂ©couvrir la rĂ©gion et surtout on sera ensemble, tu me manques tellement !
— Parfait si tu es d’accord. Toi aussi tu me manques mon Amour ! Je te rappellerai plus tard pour fixer la date de mon arrivĂ©e, je te laisse, j’ai plein de choses Ă  faire, bon week-end mon chĂ©ri, je te fais plein de bisous !
— Moi aussi, je te fais de gros bisous ma maman chĂ©rie !
Je repose mon portable, enchantĂ© de cette conversation avec maman, nous allons pouvoir passer une semaine ensemble, je ne l’ai pas revue depuis mon installation Ă  Biarritz, Ă  part en webcam.
Revenons 22 annĂ©es en arriĂšre, pour vous expliquer la situation. HĂ©lĂšne accoucha de moi, peu aprĂšs son dix-septiĂšme anniversaire. L’annĂ©e suivante, elle convola en justes noces avec mon pĂšre, mais dix plus tard, ils divorcĂšrent, maman m’avoua tardivement que leur mariage fut un Ă©chec total. À onze ans je me retrouvai Ă  vivre avec une maman de 28 ans, dans un joli appartement d’une grande ville de l’est de la France. Avec le temps, je vis de moins en moins mon pĂšre, jusqu’au moment oĂč je ne reçus qu’une carte pour mon anniversaire et pour NoĂ«l, accompagnĂ©e d’un chĂšque.
Je me satisfaisais de la situation, mon entente avec maman Ă©tait parfaite, nous Ă©tions fusionnels, tactiles, elle m’appelait son petit homme, nous Ă©tions heureux de la vie que l’on menait.
Mon regard sur ma mĂšre va changer du jour au lendemain, je venais d’avoir 18 ans, un samedi en rentrant de ma sortie vĂ©lo, dĂ©goulinant de transpiration, je n’avais qu’une envie : prendre une douche. Me dirigeant vers ma chambre, me croyant seul dans l’appartement, quelle fut ma surprise en passant devant la chambre de ma mĂšre ! La porte Ă©tait entrouverte, machinalement je tournai la tĂȘte. HĂ©lĂšne se tenait allongĂ©e sur le lit, complĂštement nue, couchĂ©e sur le dos, les jambes lĂ©gĂšrement Ă©cartĂ©es. FascinĂ© par le spectacle qui soffrait Ă  mes yeux, restant bouche bĂ©e, je n’osai bouger, de peur de la rĂ©veiller. JĂ©tais obnubilĂ© par son corps parfait, une vraie dĂ©esse.
Sa poitrine montait et descendait au rythme lent de sa respiration, et contre toute attente, une rĂ©volution Ă©tait en train de naĂźtre dans mon entrejambe. Me trouvant trĂšs vite Ă  lĂ©troit dans mon cuissard de cycliste, je crois que je n’avais jamais eu une Ă©rection aussi forte, pourtant Ă  cette Ă©poque, j’avais une copine, avec qui les choses du sexe ne nous Ă©taient pas inconnues, nous Ă©tions pourtant trĂšs actifs tous les deux. Je crois bien quun tel dĂ©sir pour une femme navait jamais Ă©tĂ© aussi fort.
En une fraction de seconde, ma conscience me ramena Ă  la rĂ©alitĂ©, intĂ©rieurement, je m’insultai.
— Tu n’as pas honte de dĂ©sirer cette femme ? C’est ta mĂšre !
Je fis tout pour chasser de mon esprit ce corps magnifique. MalgrĂ© mes efforts mon Ă©rection ne diminuait pas, cela en devenait mĂȘme douloureux. A tel point que je pris une douche froide pour calmer mon ardeur, ce qui n’eut aucun effet, et je finis par me masturber frĂ©nĂ©tiquement, en ne pensant Ă  rien de particulier, mais le corps de maman me revenait sans cesse en tĂȘte. Mon Ă©jaculation fut violente et abondante, plusieurs jets de mon sperme sĂ©crasant sur la paroi en carrelage de la douche. Ma jouissance Ă©tait tellement violente, que j’en ai eu les jambes coupĂ©es, me retrouvant Ă  genoux dans le bac Ă  douche. AprĂšs avoir repris mes esprits, je constatai que je n’avais mĂȘme pas fermĂ© la porte de la salle de bain, ni mĂȘme celle de la douche ! Pourvu que maman n’ait rien vu ! Rien Ă  craindre, elle dormait !
Ma soirĂ©e avec ma copine fut bizarre, je suis rentrĂ© de bonne heure, prĂ©textant que je ne me sentais pas bien, la vĂ©ritĂ© Ă©tait toute autre, la vue de maman nue tournait en boucle dans mon esprit. En allant me coucher, j’essayai de chasser ces images de ma tĂȘte, mais rien y faisait, et Ă  mon grand dĂ©sarroi, une grosse Ă©rection Ă©tant revenue, je finis par me soulager encore une fois, mais je ne chassai pas l’image d’HĂ©lĂšne, au contraire, je la dĂ©sirais, Ă©tais-je en train de tomber amoureux de ma mĂšre ? LĂ  Ă©tait la grande question, mon Ă©jaculation fut spectaculaire, maculant mon torse ainsi que les draps.
Le lendemain au rĂ©veil, je pris une grande dĂ©cision, conquĂ©rir et sĂ©duire ma mĂšre, mais oserons-nous franchir la barriĂšre de l’interdit ?
Depuis ce jour, j’ai prĂȘtĂ© beaucoup plus d’attention Ă  HĂ©lĂšne, l’aidant dans les tĂąches du quotidien, Ă  sa grande surprise.
— Quelle mouche t’a piquĂ© pour ĂȘtre si attentionnĂ© avec moi ?
Ne sachant pas trop quoi rétorquer, je lui fis une réponse bateau.
— Aucune mouche maman, j’ai dĂ©cidĂ© de t’aider plus Ă  la maison, parce que tu es la meilleure des mamans, et je t’aime !
Ma réponse la fit légÚrement rougir, et elle me claqua un bisou sur la joue pour me remercier.
HĂ©lĂšne, ma maman, est une trĂšs belle femme de 39 ans au moment de ce dĂ©but de rĂ©cit, chef de service dans une grande administration. Grande, 1.76 m, les cheveux chĂątains trĂšs clairs, mi-longs et lĂ©gĂšrement ondulĂ©s, des yeux verts qui lui font Ă  la fois un regard de braise et malicieux, de longues jambes fines et des seins bien ronds de belle taille. N’oublions pas que j’ai vu HĂ©lĂšne nue sur son lit, et j’ai surtout admirĂ© la plastique irrĂ©prochable de maman lors de nos vacances estivales sur la cĂŽte mĂ©diterranĂ©enne, toujours en maillot deux-piĂšces. Je constatais le regard envieux de certains hommes se poser sur maman. A ma connaissance, il ny avait aucun homme dans sa vie, ou alors elle cachait bien son jeu !
Depuis ce fameux samedi, nous nous sommes encore plus rapprochĂ©s, HĂ©lĂšne Ă©tant une grande sportive, je prenais un grand plaisir Ă  pratiquer avec elle la natation et la course Ă  pied, je pouvais admirer sa plastique quand elle Ă©tait en maillot de bain ou en tenue de jogging bien moulant, ce qui me mettait souvent dans des Ă©mois dĂ©rangeants. C’est surtout lors de nos joggings dominicaux, que je pouvais admirer ses courbes parfaites, courant lĂ©gĂšrement en arriĂšre d’elle, le dĂ©hanchĂ© Ă©rotique de son derriĂšre me mettait dans tous mes Ă©tats, HĂ©lĂšne avait remarquĂ© mon manĂšge, elle me regardait avec un sourire malicieux, mais aucun de nous deux nosait franchir cette barriĂšre de l’interdit.
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D’annĂ©es en annĂ©es, Union se fait un devoir d'accompagner au quotidien ses "unionistes" vers une sexualitĂ© plus Ă©panouie !


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Ma belle-mĂšre Solange est unique. À 50 ans, elle est encore superbe. Veuve depuis dix ans, elle est grave en man­que, et elle me l’a fait savoir l’étĂ© dernier. Je m’appelle Xavier, j’ai 27 ans et voici mon histoire porno .
Elle m’avait appelĂ© pour une petite rĂ©paration de plomberie . Quand je suis arrivĂ©, je l’ai trouvĂ©e bien en chaleur : petite jupe Ă  fleurs et blouse lĂ©gĂšre, transparente . Et l’attitude qui va avec. Elle m’a fait m’asseoir et s’est mise Ă  contre-jour. J’ai dĂ©couvert ses seins , ses té­tons tendus frottant contre le tissu rĂȘ­che et fin, ses larges arĂ©oles som­bres, et surtout sa chatte nue, trĂšs poilue , ce qui m’a tout de suite fait bander . Le bas de son ventre Ă©tait ornĂ© d’un triangle foncĂ© qui s’arrĂȘtait Ă  quelques centi­mĂštres du nombril.
Solange m’a souri et s’est assise face Ă  moi, en re­montant sa robe et en Ă©cartant les cuisses. Elle m’offrait sa foufoune en souriant . Elle s’est levĂ©e pour aller dans sa cham­bre. Je la dĂ©sirais, et elle le savait. Je voulais la faire jouir avec ma queue , comme je fais jouir sa fille, mon Ă©pouse . Je voulais qu’elle s’abreuve direc­tement Ă  la source de mon sperme , j’en avais beaucoup trop perdu en me branlant tout en pensant Ă  elle.
Elle m’a appelĂ© de sa chambre : « Xavier, viens ici que je te montre ce qui ne va pas . » Je suis restĂ© tĂ©tanisĂ©. Elle Ă©tait allongĂ©e, les jambes grandes ouvertes et la main sur sa fente, et m’a dit: » C’est ici qu’il faut rĂ©parer mon petit Xavier. » Je fixais sa chatte bĂ©ante et bien vis­queuse , j’en avais trĂšs envie alors, tout en la dĂ©vorant des yeux, je me suis dĂ©shabillĂ©. Elle a rajoutĂ© : « Tu as l’outil qu’il faut, mon gendre chĂ©ri, il est beau et gros, ma fille t’a bien choisi. » J’ai frissonnĂ© Ă  l’évocation de ma femme, surtout parce que j’allais baiser sa mĂšre. » Votre chatte est vraiment magnifique, Madame « , ai-je rĂ©pondu, plein d’un aplomb qui m’a surpris.
Elle a souri, ses mains ont Ă©cartĂ© ses grandes lĂšvres gonflĂ©es pour libĂ©rer les peti­tes et sortir son long clitoris , dans une respiration lourde et suave. J’étais scotchĂ©, ma belle-mĂšre Ă©tait sublime . J’ai eu l’impression de sentir les exhalaisons de sa chatte , de lĂ  oĂč j’étais, dans l’embrasure de la porte. Je me suis repris et je suis allĂ© m’allonger entre ses jambes Ă©cartĂ©es. Mon regard alternait entre sa chatte fournie et son visage, je lui lĂ©chais la foufoune, elle rĂ©pĂ©tait : » Oh oui mon Xavier » sans conviction, comme si elle Ă©tait blasĂ©e, comme si elle connaissait dĂ©jĂ  l’ amant que j’étais, comme si elle avait dĂ©jĂ  tout vu.
Avec ma langue, j’ai cĂąlinĂ© son clitoris , ses petites lĂšvres molle
Mon voisin me cloue sa bite et mes amies voient tout
Il Se Fait Sucer Par Sa Mere
Cette femme au foyer devient chaude et veut montrer son cul

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