Heureux Jour de bite

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Heureux Jour de bite

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Mon pĂšre, Michel, nous avait offert Ă  ma sƓur Manon et moi, quinze jours de vacances dans le sud ouest de la France oĂč il avait louĂ© un chalet dans un camping de luxe. Depuis le dĂ©cĂšs de notre mĂšre il y avait trois ans, il n’avait jamais pris de vacances. Nous allions donc Manon et moi (Michel jr) chaque Ă©tĂ©, seuls tous les deux, en Charente chez Joseph, un vieil ami de la famille.

Nous passions tous les trois des vacances de rĂȘve. J’apprĂ©ciais beaucoup la piscine dont nous profitions tous les aprĂšs-midis. Cela m’offrait l’occasion de mater quelques femmes appĂ©tissantes, mais sans m’en rendre compte, je regardais aussi les maillots des mecs quelques fois bien remplis ou mieux encore, quand ils bandaient.

L’air de rien je pouvais mater les appĂąts de ma sƓur; elle devait fĂȘter bientĂŽt ses 18 ans. Depuis ses quinze ans, sa poitrine avait pris des rondeurs qui ressortaient plus encore grĂące Ă  la minceur de son corps. Son petit cul bien rond Ă©tait trĂšs provocant. À la maison, rĂ©guliĂšrement je m’arrangeais pour la voir nue dans la salle de bain dont elle ne fermait pas la porte; puis j’allais me branler soit dans les WC, soit dans ma chambre.

Plusieurs fois en jouant dans la piscine avec elle, j’avais pu la «toucher» l’air de rien, et j’avais ensuite Ă©tĂ© obligĂ© d’aller me branler. Ça lui faisait peut-ĂȘtre le mĂȘme effet puisqu’elle aussi se rendait souvent dans les toilettes aprĂšs nos jeux.

AprĂšs un bain avec Odile, une fois de plus excitĂ© comme un jeune chien, je me rendais dans les WC pour me branler. Je me branlais lentement pour prolonger mon plaisir. J’entendis entrer dans le cabinet voisin. Puis j’entendis parler Ă  voix basse mais audible, deux gars:

— Tu as vu Manon? Elle est plus «canon» chaque jour. J’adore voir son maillot coincĂ© entre ses fesses.

— Oui elle est trop bonne! J’espùre qu’on va se la faire tous les deux ce soir encore!

— Chaude comme elle est, j’en suis sĂ»r!

— Cette fois-ci, ce sera à moi de l’enculer pendant qu’elle te baise!

— En attendant, encule moi! J’en ai trĂšs envie! AprĂšs, c’est moi qui t’enculerai. Vas-y, dĂ©fonce moi le cul mon salaud!

— Tu adores ça mon cochon! Et moi aussi!

Ces propos m’excitaient terriblement: ils parlaient de ma sƓur! Je ne tardais pas Ă  jouir. Je rĂ©cupĂ©rais ma semence dans mon autre main pour la lĂ©cher avec plaisir; j’aimais le foutre. J’entendais mes voisins ahaner et soupirer; puis dire:

— Je viens! Je vais t’en mettre plein les fesses!

— Vas-y, mets moi tout! Remplis-moi!

— C’était gĂ©nial! Maintenant on va y aller!

J’avais remis mon maillot de bain. Je sortais rapidement, m’installai sur un banc pour surveiller la porte des WC. Deux gars de l’ñge de Manon sortaient, visiblement comblĂ©s et heureux. Ça m’avait ouvert de nouveaux horizons, s’enculer entre mecs paraissait agrĂ©able et j’avais appris que ma sƓur Ă©tait une cochonne. Dommage que nous partions le lendemain! J’aurais aimĂ© faire plus ample connaissance avec ces deux-lĂ .

Nous devions passer nos 15 derniers jours de vacances chez notre grand-pĂšre. Le voyage fut rapide, j’avais la tĂȘte farcie de chattes ou de culs que je bourrais, de bites qui m’enculaient. J’avais profitĂ© d’un arrĂȘt sur une aire de repos pour me branler rapidement dans les toilettes, seul hĂ©las!

Notre grand-pĂšre habitait une toute petite maison avec son appartement complet en bas. En haut, mon pĂšre avait amĂ©nagĂ© deux chambres, un WC et une salle d’eau. Une troisiĂšme piĂšce servait de grenier fourre-tout; elle Ă©tait encombrĂ©e de Ă  son maximum. Mon pĂšre dĂ©cida donc que Manon aurait sa chambre perso et que lui et moi aurions la deuxiĂšme chambre, mĂȘme si il n’y avait qu’un lit pour nous deux. J’avais espĂ©rĂ© pouvoir partager le lit de Manon.

Grand-pĂšre nous avait prĂ©parĂ© un repas «maison» avec un talent de grand chef, arrosĂ© de vins du pays dĂ©licieux. AprĂšs avoir fait la vaisselle ensemble, nous Ă©tions restĂ©s un bon moment discuter. Puis l’heure Ă©tait venue d’aller se coucher.

Papa s’était endormi rapidement, il s’était mis en chien de fusil, tournĂ© vers moi. Je m’étais collĂ© Ă  lui, comme assis sur ses genoux, pour avoir plus chaud au dos. Il ronflait lĂ©gĂšrement, j’avais repris mes rĂȘves de sexe avec Manon, je bandais et n’arrivais pas Ă  dormir. Je massais ma pine sans me branler vraiment. Papa bougea un peu, se collant plus fortement Ă  mon dos; il ronflait toujours. Sans doute rĂȘvait-il des nuits oĂč il dormait avec ma mĂšre. Il passait un bras autour de ma hanche. Il dormait profondĂ©ment mais son souffle s’était accĂ©lĂ©rĂ© un peu. Je continuais de rouler lentement ma queue entre mes doigts mais contre mes fesses, je sentais la bite de mon pĂšre prendre lentement du volume puis durcir de plus en plus. Il devait faire un rĂȘve Ă©rotique mais continuait de dormir. Il poussait son ventre contre mes fesses.

Lentement je sortais ma queue de mon pyjama pour mieux la sentir sous mes doigts et me masser plus durement. La bite de papa Ă©tait maintenant plaquĂ©e Ă  mes fesses, j’en arrivais Ă  l’imaginer pĂ©nĂ©trant mon petit trou, j’en avais mĂȘme trĂšs envie! Je descendais progressivement mon pyjama pour libĂ©rer mes fesses. Tout doucement, je glissais une main entre lui et moi, la posant sur sa queue raide. Il dormait toujours. Je voulais sentir sa queue sur la raie de mes fesses. J’avais perdu tout bon sens. Je cherchais l’élastique de son pyjama pour le rabattre avec mille prĂ©cautions. Enfin la bite chaude Ă©tait appuyĂ©e sur ma raie, j’étais bien. Et toujours aussi dĂ©licatement, je la guidais vers mes fesses. Papa donnait de tout petits coups de reins, comme si dans son rĂȘve il baisait. Puis il donnait quelques coups plus ferme, inondant mon entre-cuisses de sa jute abondante qui m’engluait.

Il se rĂ©veilla d’un coup, ne rĂ©alisant pas immĂ©diatement la situation. La prĂ©sence de ma main sur sa queue le ramena Ă  la rĂ©alitĂ©. Heureusement, il n’eut pas le rĂ©flexe d’allumer la lumiĂšre car j’étais Ă©carlate de confusion. Il me demandait:

Sans me démonter, je lui répondais avec le franc parler auquel il nous avait habitué:

— Tu bandais j’ai eu envie de te branler... Puis j’ai eu envie que tu me prennes. Je n’ai encore jamais essayĂ©, mais j’en ai envie.

— Tu te rends compte de ce que tu me demandes, je suis ton pùre!

— Oui mais je veux savoir ce que ça fait! Tu l’as dĂ©jĂ  fait toi?

— Oui mais quand j’étais interne au collĂšge et plus jamais depuis.

— Et tu prĂ©fĂ©rais prendre ou ĂȘtre pris?

En discutant j’avais pris sa main pour la poser sur ma queue raide. Maintenant, il me massait lentement. Je m’étais mis sur le dos, la bite en l’air. Rejetant la couette, il se pencha sur moi pour sucer mon sexe. Mon pĂšre me suçait, j’étais heureux. D’un mouvement tournant, il se plaçait en 69. Il avait aussi allumĂ© une veilleuse de chevet.

AprĂšs avoir admirĂ© et caressĂ© cette trĂšs belle queue qui pendait au dessus de mon visage, et pour ne pas ĂȘtre en reste, je l’enfournais Ă  pleine bouche comme j’avais vu le faire dans des vidĂ©os pornos. Quelle agrĂ©able sensation que ce membre chaud sur ma langue, j’aimais beaucoup ça. Papa me suçait agrĂ©ablement. Il avait passĂ© ses mains sous mes fesses, me soulevant le bassin pour me lĂ©cher le petit trou, le salivant abondamment. Il aventura un doigt contre mon Ɠillet puis l’introduisait progressivement. C’était meilleurs qu’en le faisant moi-mĂȘme. Il me pompait plus vivement, je sentais monter mon plaisir. Il avait dĂ» le sentir aussi: il accĂ©lĂ©ra et me gardait dans sa bouche pendant que je dĂ©chargeais. Il avala tout, il semblait aimer le foutre.

Il rebandait dur! Je me plaçai Ă  quatre pattes, lui offrant mes fesses. L’invite lui plaisait. Il me saliva abondamment une derniĂšre fois avant d’appuyer son gland contre mon anus. Il poussait lentement, laissant la lĂ©gĂšre douleur du dĂ©part s’estomper. Il entrait, je sentais sa queue pousser dans mes entrailles. J’aimai immĂ©diatement ça. Il avait ressorti sa queue, laissant juste son gland en moi, il avait remis de la salive. Il commençait Ă  me limer le cul lentement d’abord puis de plus en plus vite. J’étais aux anges.

— Vas-y papa, dĂ©fonce moi le cul! C’est trop bon! Vas-y, prends-moi fort... Que c’est bon!

Il accĂ©lĂ©ra. Ses mains crispĂ©es sur mes hanches, il me pistonnait Ă  grands coups secs, ses couilles battaient mes fesses. Je me rĂ©galai de sentir mes trippes remplies de cette bite, qui plus est en sachant que c’était celle de mon pĂšre. Il soufflait plus fortement, sa jouissance Ă©tait proche. CrispĂ©, dans un dernier coup de reins, il me lĂącha tout son foutre dans le cul.

Nous avions besoin d’un moment pour rĂ©cupĂ©rer. Nous Ă©changions des caresses pleines de tendresses. Papa me racontait comment il avait dĂ©couvert les plaisirs entre mecs dans sa jeunesse Ă  l’internat, oĂč un soir d’orage, son colocataire de chambre Yves, apparemment terrorisĂ© par les Ă©clairs, lui avait demandĂ© de le rejoindre dans son lit. Il s’était pelotonnĂ© contre mon pĂšre qu’il voulait protecteur, mais l’un et l’autre, inconsciemment, s’étaient mis Ă  bander. Ils s’en Ă©taient rendus compte rapidement. Yves, qui avait dĂ©jĂ  vĂ©cu des aventures sexuelles avec des camarades plus anciens, avait pris l’initiative. Il avait dĂ©gagĂ© la bite de mon pĂšre pour la sucer, qui d’abord surpris, trouvant ça trĂšs agrĂ©able, le laissa faire, Ă©tonnĂ© que Yves prenne autant de plaisir Ă  avaler sa semence.

Quand ce dernier demanda Ă  ĂȘtre sucĂ© Ă  son tour, mon pĂšre le fit de bonne grĂące, «pour voir»... Ce membre chaud dans la bouche lui plut de suite. Il s’appliquait comme son ami l’avait fait. Quand l’éjaculation arriva, papa, qui avait dĂ©jĂ  goĂ»tĂ© son propre sperme, lui demanda de continuer. Il avala tout, trouvant cela agrĂ©able.

Yves, qui aimait se faire enculer, demanda Ă  papa de le prendre. D’abord hĂ©sitant, mon pĂšre voulait essayer. Suivant les conseils de son ami, mon pĂšre le sodomisa en tirant un plaisir jusqu’alors insoupçonnĂ©. Quand Yves proposa Ă  mon pĂšre de se faire enculer Ă  son tour, la curiositĂ© l’emporta encore; il voulut bien essayer. C’est ainsi qu’il dĂ©couvrit les agrĂ©ments de la sodo active et passive. Inutile de dire que les nuits suivantes furent trĂšs chaudes...

AprĂšs ses Ă©tudes, mon pĂšre avait abandonnĂ© ces pratiques, puis il avait connu ma mĂšre; il avait abandonnĂ© l’homosexualitĂ©. Il avait amenĂ© ma mĂšre aux plaisirs de la sodomie, il l’enculait rĂ©guliĂšrement.

Le rĂ©cit de papa avait rĂ©veillĂ© mon excitation. Nous avons poursuivi tard dans la nuit nos baises mutuelles avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre, heureux et comblĂ©s...


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«Ce mec, c'Ă©tait une tĂȘte de bite avec une grosse bite.»
«Je suis sortie avec un type qui en avait une de 30 cm. Dans le meilleur des cas, avoir des relations sexuelles était quelque chose d'inconfortable, et en plus il refusait de me faire des cunnilingus. Je l'ai quitté aprÚs avoir passé un an a essayer de trouver des excuses pour ne pas coucher avec lui. Le pire, c'est qu'il n'avait aucune idée d'à quel point sa bite était grosse, à chaque fois qu'on parlait de sa taille, il ne voulait pas me croire quand je lui disais qu'il était plus gros que la moyenne.»
«Étant lesbienne, je n'ai pas vu beaucoup de pĂ©nis depuis que j'ai perdu ma virginitĂ© Ă  17 ans. Mais ma premiĂšre expĂ©rience avec quelqu'un du sexe opposĂ© a Ă©tĂ© un homme qui, Ă  ce jour, a le plus gros pĂ©nis que j'aie jamais vu. On faisait du camping avec un grand groupe, sous tentes et Ă  cheval, prĂšs de la riviĂšre Suwannee en Floride. Mon petit ami de lycĂ©e et moi sommes allĂ©s tĂŽt dans ma tente, et l'on s'est lancĂ©s dans une session de cĂąlins assez chauds. AprĂšs m'avoir demandĂ© mon accord, il a sorti un pĂ©nis extrĂȘmement long, dur comme un roc et trĂšs massif.
On a passĂ© les 10 minutes suivantes Ă  essayer de faire rentrer juste le bout. C'Ă©tait Ă©puisant et ça faisait mal, mais lui Ă©tait dĂ©terminĂ© et moi j'Ă©tais en pleine pĂ©riode "j'ai pas envie d'ĂȘtre lesbienne" donc je faisais preuve de beaucoup de patience, mĂȘme si je souffrais terriblement. Heureusement, une fois qu'il Ă©tait rentrĂ©, ça n'a pas durĂ© trĂšs longtemps. Mais parfois quand j'y repense, je me souviens de la force avec laquelle cet Ă©norme membre rentrait dans ma chair. C'est pas que cette expĂ©rience m'a dĂ©goĂ»tĂ© pour toujours des hommes — je pense que c'Ă©tait dĂ©jĂ  rĂ©glĂ© Ă  ce moment là —, mais j'ai clairement appris Ă  apprĂ©cier le lubrifiant.»
«Il y a quelque temps, j'Ă©tais vraiment AMOUREUSE de ce type qui Ă©tait apparu dans mon Ă©mission de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© prĂ©fĂ©rĂ©e. J'Ă©tais fan, et j'allais sur son Instagram dĂšs que j'en avais l'occasion. Un jour, il a remarquĂ© un de mes commentaires, et m'a envoyĂ© un message. On a Ă©changĂ© nos numĂ©ros et on a commencĂ© une relation Ă  distance, et un jour il m'a envoyĂ© une photo de sa bite qui m'a fait avaler mon cafĂ© de travers. Vu sa taille, je pensais qu'il aurait une bite de taille moyenne, mais il Ă©tait ÉNORME. J'Ă©tais certaine qu'il allait me casser en deux. Malheureusement, on a rompu avant que je puisse aller le voir pour un weekend. J'ai ratĂ© cette bite.»
«Je prenais un verre avec mon meilleur ami, et il a invitĂ© un de ses potes. On est allĂ© aux toilettes en mĂȘme temps, et, pour faire court, elle Ă©tait si grosse qu'il avait besoin de la tenir Ă  deux mains pour pisser. Je n'Ă©tais mĂȘme pas jaloux Ă  ce niveau-lĂ , seulement effrayĂ©.»
«Je rencontrĂ© un mec sur Tinder, et aprĂšs l'un de nos rencarts, on a fini chez lui. HonnĂȘtement, j'ai voulu rĂ©sister, mais je n'ai pas pu me retenir, et nos vĂȘtements ont volĂ© Ă  travers la piĂšce. Un truc que j'aime faire, c'est avoir la tĂȘte qui dĂ©passe du lit et dĂ©faire le pantalon du mec pendant qu'il est debout, avant de lui faire une fellation. Quand je lui ai retirĂ© son pantalon, sa bite m'a tapĂ© le front, et j'ai eu le souffle coupĂ© en pensant que cette chose allait finir dans ma gorge. Je ne crois pas que je sois parvenue Ă  mettre plus de 3 cm de ce monstre dans ma bouche, et le sexe a Ă©tĂ© presque dĂ©sagrĂ©able. PRESQUE, car l'Ă©paisseur de cette bite-bĂ»che Ă©tait incroyable. Cela va sans dire, si un jour j'en ai le courage, je le rappellerai.»
«Quand j'Ă©tais plus jeune, il y avait ce type qui m'a draguĂ© pendant des mois. Il n'arrĂȘtait pas de me dire qu'il avait une bite de la taille d'un clavier, et je n'arrĂȘtais pas de l'ignorer. Finalement, j'ai changĂ© d'avis. J'Ă©tais dans sa chambre, et, quand il l'a sortie, j'ai d'abord pensé : "Oh mon Dieu, elle fait vraiment la taille d'un clavier pour enfants." J'Ă©tais prĂȘte pour le challenge mais je me suis vite rendue compte que c'Ă©tait juste trop gros pour moi. Il arrivait Ă  peine Ă  faire rentrer le bout sans que ça fasse mal, que je me plaigne et que ça glisse. Un jour ça a glissĂ© et j'ai juste serrĂ© les cuisses trĂšs fort et je l'ai laissĂ© baiser comme ça en faisant comme si c'Ă©tait mon vagin parce que y'avait pas moyen que ça rentre de toute façon.»
«Mon ex en avait une d'environ 30 cm. C'Ă©tait une grosse tĂȘte de bite, je suppose que c'est normal qu'il en ait eu une grosse.»
«J'Ă©tais en deuxiĂšme annĂ©e de fac, et j'Ă©tais vierge. J'avais flirtĂ© avec ce mec rencontrĂ© en cours, et un soir, il m'a invitĂ©e chez lui. Bien sĂ»r, la premiĂšre fois que j'ai vu son pĂ©nis, j'ai pensĂ© qu'il Ă©tait de taille normale, parce que je n'en avais pas vu beaucoup auparavant, mais j'arrivais Ă  peine Ă  le mettre dans ma bouche. Quand il a essayĂ© de me pĂ©nĂ©trer, seul le bout rentrait. J'Ă©tais trĂšs gĂȘnĂ©e, parce que je pensais que c'Ă©tait ma faute. Mais bon, il l'a bien pris. J'ai appris par la suite qu'il tournait dans des pornos Ă  cĂŽtĂ© pour se faire un peu d'argent. »
«J'ai rencontrĂ© ce type quand je bossais dans une boutique de chaussures. Il Ă©tait gĂȘnĂ©e Ă  cause de sa grande pointure de chaussure, et je lui ai dit en plaisantant, «Vous savez ce qu'on dit des hommes Ă  grands pieds» en lui faisant un clin d'Ɠil. Quelques temps plus tard, on commence Ă  se voir, et putain, cette blague Ă©tait plus qu'adaptĂ©e. il en avait une ÉNORME ! Au moins 30 centimĂštres. Les relations sexuelles Ă©taient... compliquĂ©es. Je me souviens qu'il m'avait dit "Les mecs ont toujours envie d'avoir une grosse bite, mais en fait, c'est vraiment chiant."»
«J'avais un plan cul avec un mec, et, sans dĂ©conner, sa bite Ă©tait grosse comme une cannette de Monster. Je parle en longueur et en largeur. La premiĂšre fois que je l'ai vue, j'ai honnĂȘtement eu une exclamation de surprise. Jusqu'Ă  aujourd'hui, cela a Ă©tĂ© le meilleur coup que j'ai eu. Coucher avec lui me faisait me sentir vraiment pleine, et c'Ă©tait juste Ă  la limite entre plaisir et douleur. J'ai versĂ© une larme en l'honneur de ce glorieux pĂ©nis quand il a dĂ©mĂ©nagĂ©.»
«J'ai trainé pendant quelques mois sur une plage naturiste à Hawaï. Un mec avait le plus gros pénis de la plage, un énorme et monstrueux engin de 30 cm non circoncis. Il en était tellement fier ! Il roulait des mécaniques sur la plage, tout sourire.»
«J'ai eu mon premier plan d'un soir à 17 ans. Il faisait sombre, j'ai mis la main pour le masturber, et j'ai cru que je lui avais saisi l'avant-bras. Il était tellement gros qu'il m'a presque cassé en deux.»
«La bite de mon ex Ă©tait comme une batte de base-ball. SĂ©rieusement, mĂȘme longueur, mĂȘme largeur, mĂȘme forme. Enfin, pas sĂ©rieusement, mais AU MOINS 25 cm. Le gland Ă©tait plus gros que le reste, et c'Ă©tait incroyable quand il prenait son temps et se retirait complĂštement avant de re-rentrer. Mais, bon sang, quand il commençait Ă  pilonner, je sentais mon col de l'utĂ©rus tressaillir.»
«25 cm, et aussi gros que mon poignet. Le problÚme ? Il était persuadé que ses 25 cm étaient tout ce qu'il fallait pour que le sexe soit agréable. Il restait allongé, comme l'incarnation d'un bùillement. Mon meilleur coup ? 12 centimÚtres et la fougue de quelqu'un qui ne lùchera pas l'affaire.»
«Je suis allĂ© dans une petite universitĂ© chrĂ©tienne de l'Idaho aux États-Unis. Je sortais avec ce garçon dont les parents Ă©taient missionnaires, et qui Ă©tait donc trĂšs religieux, mais il faisait prĂšs de 2 mĂštres, et son pĂ©nis Ă©tait Ă  l'avenant. Comme nous Ă©tions tous deux trĂšs religieux Ă  l'Ă©poque, nous n'avons pas eu de rapports sexuels avec pĂ©nĂ©tration. Les garçons n'avaient pas le droit d'aller dan
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