Heureusement il fait noir

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Heureusement il fait noir
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Cartes Pokémon : sortie d’un nouveau ...

Il fait noir. Il fait noir pendant ce qui semble une éternité. Et puis, il fait froid. L'enfance défile, faisant place à l'adolescence, puis à l'age adulte. Chaque erreur revient, connue, et pourtant immuable. La première échauffourée avec d'autres enfants du même sexe, le premier contact maladroit avec un jeune du sexe opposé... La première prise de conscience, la première fierté, qui laissent ensuite la place à la monotonie, aux habitudes. Et puis, soudain, l'âge adulte. Les responsabilités, le poids de la société, le refus des conventions, l'acceptation du monde extérieur, la quête de sa place dans la société... La vie défile devant leurs yeux. Tous les souvenirs remontent, comme des couteaux parfois, pesants, acérés, et chaque erreur passée est revue, passée au crible, analysée. Pourtant, à chaque fois, l'expérience est immuable. Impossible de dévier le cours de son existence passée, même si chaque erreur est familière, et a été pensée et repensée. Et puis, les réussites défilent. A vrai dire, quand on y regarde de plus près, erreurs et réussites se succèdent, et au final on ne sait guère dire lesquelles prennent le pas sur les autres. Brisco, De cléry, Rittersmith et Samarcas revoient leurs vies. Les regrettent, les admettent, les subissent. Mais vues d'au-dessus. Un point de vue neutre, sans chichi. Sans jugement extérieur. Le soi contre le soi, l'objectivité parfaite. Et puis, sortie d'on ne sait où, une voix s'insère dans leur esprit. Elle débite un discours improbable, incompréhensible. Année : 1963. Localisation : Dallas, U.S.A. Saison : hiver, novembre. Objectif : destitution par assassinat ; incrimination du gouvernement russe. L'agent doit arranger l'histoire pour évincer John Fitzgerald Kennedy du pouvoir, et semer la discorde entre gouvernements américains et russes. Moyen suggéré : assassinat. possibilité : assassins multiples. L'agent devra effacer autant que possible ses traces. Options : Utiliser des indices à semer pour dévier les pistes. Suspects potentiels : J.Harvey Oswald, Suggestions : assassiner le bouc émissaire. Prendre son empreinte digitale pour utilisation ultérieure. Eléments incriminants : amant d'une femme russe. Tous ces éléments se gravent directement dans le cerveau des pauvres hommes. De nombreuses références viennent étayer l'histoire. Journaux, documentaires, théories du complot. Sans vraiment connaître les protagonistes, les quatre exilés, se demandant encore ce qu'il leur est arrivé, réalisent qu'ne force dépassant leur imaginaire vient de prendre possession de leurs vies, de leurs espoir, de leurs destinées. Nous sommes le 18 novembre de l'année 1963, cela est clair. Mas suite à leurs blessures, seuls deux des quatre sont conscients de l'évènement : Brisco et Samarcas. Lors de leur éveil, après qu'ils aient ouvert les yeux, se voyant l'un l'autre pour la première fois, ils se trouvent dans une pièce lumineuse. Trois corps gisent auprès d'eux ; un homme chauve, convulsant. Une femme brune, aux cheveux courts. Et un homme châtain, aux habits larges, étrangers et anciens. Un seul, le chauve, semble en vie. Il essaie, tant bien que mal, de parler tandis que les informations se déversent dans leur cerveau. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Brisco... Vous devez... Me croire, vous devez... Dire aux autres. Il faut trouver James Moriarty. Il faut lui faire comprendre... Mon objectif... Si l'univers veut vivre libre. Il est... Argh... Je ne vais pas survivre. Ne vous laissez pas faire. Vous êtes hors du temps par ma faute. Vous devez prendre ma place, ne les laissez pas s'en rendre compte. Ils vous prendront pour moi. Je... Je vous aime tous, tellement... Arrêtez-les.... Je... Vous devez... suivre les consignes. Ne vous méprenez pas. L'ordinateur aura le dernier mot. Si vous ne suivez pas la mission, vous vous attirerez des problèmes ingérables... Vous devez faire l'inimaginable pour réussir à les tromper... Par pitié... Soyez plus intelligent que la machine. Suive zses instructions, quelles qu'elles soient. Vous comprendrez plus tard... Mais Moriarty... m'a tué. Il faut que vous aidiez à remettre le temps en ordre... Je vous en... Et soudain, la vie le quitte, la couleur le quitte, l'essence qui le composait commence à se dissiper. Leur assassin passe de vie à trépas. Les voici tous les quatre, deux vivants, et deux morts en sursis. Vêtus de tissus noirs collant à la peau. Tous logés à la même enseigne. Et cette voix dans leur tête, inhumaine, stoïque, sans vie, mais résonnant dans leurs esprits. Anomalie. Veuillez actualiser votre statut. Signes vitaux illisibles. Veuillez confirmer votre état de santé. Instruments défaillants. Je répète : Instruments défaillants. Veuillez confirmer votre état de santé.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] L'air visiblement désorienté et troublé En espagnol: Qu'est il arrivé à cet homme ? Vous vous nommez Brisco c'est ça? Qui êtes vous ? Vous savez ce qui nous arrive?... Puis en montrant les corps étendus : Pourquoi ne sont ils pas réveillés ? No sé, répond Clarence d'une voix teintée d'un fort accent mexicain. A sa grande surprise, il comprend tout, mot pour mot, comme si c'était sa langue maternelle. ¿Hablas Inglés? Tâchant de passer outre son mal de tête lancinant, l'américain passe la main sur sa poitrine, à la recherche de la blessure mortelle. A sa place, il constate juste que les veines entourant la petite plaie sont apparentes et teintées de noir. Et il en souffre au toucher, comme s'il avait un vilain hématome. Rien de plus. Autour d'eux, les murs de la pièce cubique luisent toujours, et seul une sorte de cadre se dessine sur l'un des panneaux. Une porte ? Quand aux corps, après vérification sommaire, ils sont encore chauds, et probablement vivants. Leurs visages se froncent parfois, comme s'ils faisaient de mauvais rêves. Seul le chauve est mort, d'une blessure de couteau dans le flanc, comme Brisco en a été témoin. Et la voix étrange continue de marteler, comme si quelqu'un parlait dans une boîte de fer : Anomalie. Plusieurs agents détectés. Impossibilité d'actualiser les statuts. La mission primaire doit être poursuivie. Vous devez arrêter le terroriste. Recherche d'anomalies temporelles en cours. Brisco regarde lentement la pièce, à la recherche de l'origine de la sinistre voix, puis son regard froid s'arrête sur Samarcas. Alors c'est ça, l'enfer ? Toutes ces histoires sur l'après-vie et voilà le résultat ? Surprenant, lâche-t-il d'un ton blasé qui contredit son propos. Vous êtes mort comment, déjà, l'espagnol ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Marquant un temps d'arrêt à l'évocation de l'enfer, il se dirige vers le cadavre et y impose un signe de croix. Un poison je pense.... mais nous ne sommes ni au paradis ni en enfer. Je me nomme Samarcas, je suis né en Espagne en l'an de grâce 1694. Je suis missionnaire à San Miguel. J'ai bien compris que nous avons fait l'objet d'une manipulation mais j'ignore le pourquoi et le comment. En montrant le chauve Vous connaissiez cet homme ? Oui. C'est lui qui m'a tué... Juste avant de se faire poignarder. ... Comment savez-vous que nous ne sommes pas en enfer, curé ? Parce que vous croyez ne pas l'avoir mérité ? Tout en faisant la conversation d'un ton neutre, Clarence se dirige lui aussi vers les corps. Il commence par examiner l'homme, puis la femme, prenant leur pouls et essayant de déterminer leur état. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] je ne souhaiterais pas l'enfer pour mon pire ennemi. Seul Dieu choisit qui est digne de lui. revenant à des choses "plus réelles" je ne sais ce que vous comptez faire mais je pense que nous devrions quitter cet endroit au plus tôt. Avez vous la force de l'emmener? (en montrant le corps de la dame) De la force, ils n'en ont que peu. comme s'ils étaient convalescents, comme s'ils avaient passé des semaines au lit. Mais dans l'ensemble, tout va bien dans leur corps. Juste de la fatigue et de la lassitude. Samarcas ne peut s'empêcher de remarquer que leur tenue noire ressemble à celle du "démon' qu'il a affronté dans la jungle. Si c'est l'enfer, on les a déguisés en démons. Mais le chauve qui se trouve à terre, lui est bel et bien décédé, et l'on n'échappe pas aussi facilement à l'emprise de Satan. Alors il ne peut que s'agir d'autre chose. Ce n'est pas le paradis, ce n'est pas l'enfer. Car dans un cas ou dans l'autre, ils ne seraient pas quatre vivants, deux éveillés, deux comateux et un cadavre. De son côté, Brisco tâte le pouls des deux endormis. Il est étrangement lent, mais ils semblent hors de danger, vivants dans une sorte de coma. Agents, veuillez procéder à la chambre d'extraction. Cette unité détecte un trouble. Souhaitez-vous un briefing de la situation ? Cette unité détecte de nombreuses anomalies. La multiplicité n'est pas caractéristique de cette opération. Erreur. Cette unité détecte cinq agents là où un seul devrait se trouver. Erreur. Impossible de contacter la base. Erreur. Un agent est décédé. La base a-t-elle envoyé un remplacement ? Les nouveaux agents doivent actualiser cette unité. Veuillez vous conformer à la procédure 42. Veuillez actualiser les données. La mission doit être poursuivie. Le terroriste reste l'objectif premier. James Moriarty, A.K.A. Arthur, A.K.A. Mister Mory, A.K.A. James Cahan, A.K.A. ... Et la voix entame une longue liste de noms et d'alias pour décrire le seul point commun entre les nouveaux occupants de la boîte de lumière, sans discontinuer. Quant à l'origine de cette voix, la résonance à l’intérieur empêche de dire d'où elle vient. En fait, elle pourrait aussi bien venir de partout à la fois, voire même de leur propre esprit. Sont-ils en train de la rêver ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ébahi. Arthur ! c'est cet homme le responsable de ma présence ici ! il avait besoin d'aide, il était blessé...je l'ai aidé à s'échapper. Alors il vous a roulé aussi ? ... La Voix dans nos têtes veut qu'on le retrouve ? Parfait. La prochaine fois que je mets la main sur lui, il crève ! lâche Brisco avec froideur. J'aurais dû le tuer à la minute où nos chemins se sont croisés. Il se dirige vers l'étrange porte, décidé à sortir. ... A.K.A. Marty Rio doit être arrêté à tous prix. Veuillez procéder à la chambre d'extraction. Alors que Brisco pose la main sur la facade, la porte s'ouvre, en s'enfonçant légèrement puis en pivotant vers la droite, comme si elle se faisait absorber dans le mur. Derrière se trouve un couloir de quelques mètres de profondeur, contenant des armoires, des râteliers à armes et à tenues, de tiroirs escamotables pleins de vêtements, et au-dessus de tout cela, les murs sont couverts d'images animées, comme des fenêtres sur d'autres mondes. L'une d'elles montre une voiture futuriste, sans chevaux ni moteur apparent, sans manivelle. Elle est entourée d'une foule impressionnante qui crie et acclame un homme à la large mâchoire, accompagné d'une brune à la coiffure figée. Des cotillons tombent du ciel, des hommes aux lunettes noires et aux costumes impeccables les entourent et scrutent les alentours. Une autre montre un homme décharné, aux cheveux courts, qui astique une arme à feu elle aussi plus que futuriste, assis sur une chaise de bois. Une autre encore montre une belle blonde en robe blanche immaculée, un morceau de métal phallique à la main, comme un microphone. Elle fait des mimiques pas possible et se dandine en montrant ses jambes. Et ainsi de suite... Mais la fenêtre qui intéresse le plus les deux compagnons d'infortune, c'est celle qui montre la ville de Dallas, d'après les annotations qui apparaissent et disparaissent par intermittence. On peut y voir des cercles montrant des lieux d'importance, et on peut lire : Points d'entrée temporels multiples possible. Le terroriste tentera de modifier l'histoire en arrivant probablement à ces endroits. D'après la carte vue du ciel, il s'agirait d'entrepôts, d'un lac, d'une crique, d'un immeuble démesuré en hauteur, et quelques dizaines d'autres localisations possible... Au bout du couloir, une sortie donne sur un kaléidoscope de lumières colorées qui ne cessent de se mouvoir. Le coeur serré, Samracas et Brisco réalisent que la situation est des plus étranges, et qu'ils ne sont certainement pas au bout de leurs surprises...
Tout en tâchant de comprendre quelque chose à ce qu'il a sous les yeux, Brisco commence à fouiller les armoires à la recherche du plus urgent : Des cigarettes, de quoi se raser et des vêtements plus convenables que cette combinaison. Il trouve des costumes noirs, classés par date. Des costumes pour toutes les années, de dix en dix. 1900, 1910, 1920, 1940... la dernière en date étant 1960. Pas de clopes, par contre, ni quoi que ce soit qui passe pour un rasoir... Et vous, l'espagnol, vous comptez faire quoi si on retrouve ce type... Moriarty ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Cherchant dans les placards des choses utiles, frère Samarcas trouve de son côté des tablettes blanches, des cylindres de métal, des appareils étranges en tous genres, des alliages jamais vus. Comme des caoutchoucs durs, lisses. Du jamais vu de toutes sortes, certains avec des poignées, d'autres avec des boutons, certains s'illuminent au toucher. Peu de choses compréhensibles pour un esprit de son siècle, en tous cas. Appelez moi Samarcas s'il vous plaît, Mr Brisco... il a des réponses à nos questions et il doit savoir également comment faire pour retourner chez nous. Gêné par sa propre question Si je comprends bien... la voix désire que nous arrêtions cet homme pour qu'il ne change pas le futur. En quoi devrions nous obéir ? Les incidences peuvent être énormes. Je me fiche bien d'obéir, Samarcas. J'ai fait une promesse à James. A Moriarty. Je compte la tenir, c'est tout. Vous comptez rester habillé comme ça ? Brisco fouille parmi les costumes puis en décroche un et le met de côté, ainsi qu'un chapeau, une ceinture et une paire de bottes. Il s'approche ensuite des râteliers d'armes et commence à soupeser pistolets et fusils et à les examiner de plus près. Dès une bonne prise en main, un tout petit appareil à crosse nacrée se met à émettre un son aigu qui monte en octaves tout en restant modérément discret. Il vibre légèrement, puis le son s'arrête. Sur le "canon" nacré, une lueur bleutée apparaît, et s'affiche en anglais : Tir incapacitant activé. charges : 128. Tir mortel - charges : 56. pressez pour intervertir les modes. L'arme ne fait même pas la taille d'une main. Et aucun trou ne peut laisser passer de balles. C'est pourtant l'arme qui ressemble le plus à une arme, les autres appareils trouvés par frère Samarcas sont certainement d'autre choses. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Euh... non ... Samarcas commence à s'habiller avec un costume de la même armoire que Brisco, Si ce n'est pas indiscret Quelle promesse ? Le tuer si il me mentait. J'ai un tas de défauts, mais je suis un homme de parole, dit-il calmement. A priori, la perspective de tuer quelqu'un de sang-froid ne semble pas l'émouvoir outre mesure. Brisco finit de s'habiller en silence, puis examine à nouveau l'arme, se demandant quel effet elle peut avoir. Il la pointe vers un mur, en position "tir mortel", et appuie sur la détente. Déception : rien ne se passe. Soit elle a un souci mécanique, soit on ne peut pas l'utiliser ici. Soudain, derrière eux, un râle est émis par un des corps : l'homme aux cheveux longs reprend, difficilement, son souffle. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] En se dirigeant vers l'inconnu Il se réveille, peut-être sait-il quelque chose. Ce dernier pose difficilement la main vers son torse, et semble y chercher quelque chose. Tout en essayant d'ouvrir les yeux, il marmonne en français... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Où suis-je ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] d'une voix calme et posée : Je ne sais pas ... Nous sommes dans la même situation que vous. Il faut au nouvel arrivant quelques instants pour pouvoir former une phrase complexe de façon intelligible. Lorsqu'il reprend, c'est avec un petit sourire sans joie. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Ça, ça m'étonnerait beaucoup... Vous vous êtes également fait tué par un chauve qui pratiquait la magie, et qui tenait des propos sans queue ni tête ? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] avec un léger sourire entendu : c'est à peu prêt ça en effet. Il semble que ce soit un de nos seuls points commun. J'imagine qu'il s'agit de celui-là ? dit Brisco en désignant du chapeau le cadavre du chauve. Un coup d'oeil... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] C'est lui... Qui a réussi à tuer cette ordure, que je le félicite ? Messieurs, si nous nous présentions, et que nous partagions ce qui nous est arrivé ? Pour ma part, je m'appelle Jean De Cléry. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Je me nomme Samarcas et j'officie à la mission de San Miguel. Un dénommé Arthur avait besoin d'aide... et je me suis retrouvé ici par la force des choses Brisco. Vous êtes "morts" en quelle année ? Moi c'était en 1876. Jean semble lentement assimiler tout ce qu'implique la déclaration de Brisco. Il réfléchit avant de répondre, ce qui laisse quelques secondes de "blanc" dans la discussion. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] 1872. Au large de Ceylan, sur l'île de Thiruvalluvar... Ainsi, il ne mentait pas en me menaçant de m'envoyer "hors du temps", en disant que certains jouent avec l'Histoire. Vous aussi, vous venez d'ailleurs... Brisco... Vous venez de 1876 ? la France a-t-elle vaincu la Prusse ? La Commune de Paris, a-t-elle résisté ? Et vous, Samarcas, de quand venez-vous ? De Cléry a le regard brillant. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Nous étions en 1732 mais J'ignore tout des événements que vous évoquez
J'ai rencontré un exilé français à la Nouvelle-Orléans il y a un an... enfin, si "il y a un an" signifie encore quelque chose. Il a fuit Paris suite à la répression de ce que vous appelez la Commune. Vos insurgés se sont fait massacrer, apparemment. Et si vous avez entendu parler de la commune, vous devez savoir que ça a commencé suite à l'occupation de votre capitale par les prussiens... donc oui, les français ont perdu. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] J'avais surtout entendu dire que les insurgés refusaient l'armistice. Que la garde nationale était avec eux. Qu'il y avait encore une chance... Les nouvelles circulent mal, en mer. Soupir. Bon, trêve de bavardages. Allez mettre quelque chose, De CLercy. Il y a des vêtements dans la pièce d'à côté. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Et pourquoi faire ? Vous comptez partir tout de suite, Brisco ? Jean observe un peu mieux ce qu'il y a autour de lui. L'ambiance est oppressante ; le silence, complet. Il vient soudain à l'esprit des deux premiers éveillés que Jean n'a rien entendu de ce que disait la machine. Ils le laissent découvrir l'attirail dans le couloir, les images animées, les tablettes blanches, comme celle du chauve. Des vêtements du futur, tous formels et sombres. Bietôt, les voici tous en costumes noirs à chemises blanches. D'étranges lunettes sombres leur permettent d'atténuer les lumières vives.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Bien. Nous sommes prêts à y aller. Je voulais juste savoir, avant... Cette jeune femme, aux cheveux courts, nous la laissons ici ? Et ces objets, la tablette qui permet de se téléporter, le pi
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