Happy feet pour de vrai

Happy feet pour de vrai




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Happy feet pour de vrai
Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Ancien député (Génération.s) de la Loire de 2007 à 2022, expert en politique publique sportive
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
Pour ajouter l’article à vos sélections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
L’espace des contributions est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour accéder à cet espace d’échange et contribuer à la discussion.
Pour ajouter l’article à vos sélections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
Cineworld, le deuxième plus gros exploitant de salles de cinéma, au bord de la faillite
Bill Gates investit dans la climatisation moins énergivore
Peut-on se faire indemniser après un cambriolage avec des volets restés ouverts ?
Banques : « L’intelligence artificielle offre des capacités de traitement d’un grand volume de données qui permettent de mieux pointer les transactions frauduleuses »
« Je savais que je risquais ma vie » : quand l’avortement tuait les femmes en France
Les individus peuvent-ils sauver le climat grâce à la sobriété ?
Les multiples victimes de la fatwa contre « Les Versets sataniques »
Pourquoi la France s’accroche à des ilots inhabités ?
Arabie saoudite : la scandaleuse condamnation de Salma Al-Chehab
Le pluriversel, pour un « monde fait d’une multitude de mondes »
Le monde selon Poutine : la croix et la bannière
« Contre la sédentarité, il y a urgence à agir »
Cineworld, le deuxième plus gros exploitant de salles de cinéma, au bord de la faillite
La mort du sociologue Jean Baechler
Avec son « Eugénie Grandet », sur Canal+, Marc Dugain revisite Balzac en mode féministe
Génie de la photo, érotisme, cow-boys… Les replays du week-end
« Oh ! je vais t’accompagner… Je prends une douche et j’arrive… » : ils retardent tout le monde
A la rencontre de Sixto Rodriguez, « Sugar Man » à la vie douce-amère
S’aimer comme on se quitte : « Il mettait des paillettes dans ma vie, c’était ma seule perspective positive »
Les barbecues de l’été : la brûlante aubergine d’Alessandra Montagne
Les accros des réseaux sociaux ne cessent de mettre en scène leur vie à coups de hashtags et de selfies, lançant la tendance (ou pas). Cette semaine, les pieds qui respirent la joie de vivre.
Publié le 24 mai 2018 à 12h15 - Mis à jour le 24 mai 2018 à 12h15 Temps de Lecture 1 min.
L ’arrivée des beaux jours se traduit, sur Instagram, par des hashtags météorologiques, et… beaucoup de pieds nus. Les #happyfeet (pieds heureux en français) feront baver les fétichistes du métatarse et donneront la nausée à ceux qui luttent contre la phobie des orteils.
Reste que ces pieds heureux ont une vie bien à eux. Ils prennent leur pied, en somme (oui, sur ce sujet, les blagues s’écrivent toutes seules). On découvre par exemple qu’ ils sont friands de chaussettes douteuses aux motifs immontrables (du moins le croyait-on) : têtes de Titi et Gros Minet, peluche rose et ourlet à pompons, rondes de princesses Disney piquées au rayon enfant et à peu près tout Le Roi lion . Intérieurement, on remercie ces gens de mettre des souliers pour sortir de chez eux. Quoique…
Le culte du laid improbable contamine aussi le choix des chaussures sans chaussettes : des claquettes en fausse fourrure, façon « j’ai scalpé un Muppet », aux sandales orthopédiques, régulièrement confondues avec la dernière lubie d’un créateur branché, le pire n’est pas à craindre, il est déjà là. Les #happyfeet sont aussi du genre exhibitionnistes et sortent nus à la moindre occasion, se photographient en gros plan , on se croirait sur le YouPorn des fétichistes du pied.
A peine habillés de vernis à paillettes (oui, ces couleurs et dessins étranges, dans la vitrine de la manucure, dont on pensait que personne ne les portait en vrai), ils font tinter quelques bijoux de cheville ou d’orteil. Une stripteaseuse ne ferait pas mieux. Il y en a même pour les sadomasochistes : quelques clichés plus bruts de pieds meurtris plus bruts satisferont les fans d’« authentique ». Enfin, le pied heureux est aventurier. Il se pose partout : dans l’herbe, la terre, le sable… et, le cas échéant, dans la crotte de chien bien cachée dans ladite pelouse, ou le vomi du chat amoureusement déposé sur le tapis. Mais ça, comme se vengent les phobiques de l’orteil libre, ça leur fera les pieds.
Lecture du Monde en cours sur un autre appareil.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe .
Pour soutenir le travail de toute une rédaction, nous vous proposons de vous abonner.
Vous avez choisi de refuser le dépôt de cookies lors de votre navigation sur notre site, notamment des cookies de publicité personnalisée.
Le contenu de ce site est le fruit du travail de 500 journalistes qui vous apportent chaque jour une information de qualité, fiable, complète, et des services en ligne innovants. Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement.



Afficher / masquer la barre latérale











Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite du titre de l’article. Aller en haut .
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Happy Feet Music from the Motion Picture
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste : Encyclopædia Britannica [ archive ]




La dernière modification de cette page a été faite le 22 juin 2022 à 05:24.
Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques . En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence .
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc. , organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.



Politique de confidentialité
À propos de Wikipédia
Avertissements
Contact
Version mobile
Développeurs
Statistiques
Déclaration sur les témoins (cookies)
Modifier les paramètres d’aperçu










Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus


Sommaire
déplacer vers la barre latérale
masquer

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Happy Feet ou Les Petits Pieds du bonheur au Québec [ 1 ] est un film d' animation américano - australien réalisé par George Miller et sorti en 2006 .

Une suite intitulée Happy Feet 2 est sortie en 2011 .

Né dans une colonie de manchots qui trouvent l'âme sœur en chantant, Mumble a un handicap : il ne peut pas chanter une note juste. Il fait en revanche des claquettes comme personne. Banni par les siens à cause de sa différence, Mumble part en Terre Adélie .

Le réalisateur George Miller explique qu'il a commencé à imaginer une ébauche d'intrigue lors du tournage de Mad Max 2 : Le Défi (1981) après ses échanges avec un vieux caméraman dont le père était l'aventurier Frank Hurley : « Nous étions assis dans ce bar, en train de prendre un milk-shake, et il m'a regardé et m'a dit : “L' Antarctique ”. Il avait tourné un documentaire là-bas. Il a dit : “Tu dois faire un film en Antarctique. C'est comme ici, dans le désert. C'est spectaculaire." Et c'est resté toujours dans un coin de ma tête [ 4 ] . » Le cinéaste s'inspire ensuite de documentaires comme la série Life in the Freezer de la BBC ' [ 5 ] .

En 2001, le producteur Doug Mitchell présente de manière improvisée une première ébauche du script à Alan F. Horn , président de Warner Bros. . Ce dernier est très emballé. Le projet doit initialement être produit avec le quatrième film Mad Max . Finalement, des complications géopolitiques compliquent sa productiont et le projet Happy Feet est développé avant Mad Max [ 6 ] .

L'animation du film est en partie réalisée grâce à la capture de mouvement , notamment pour les scènes de danse, chorégraphiées par Savion Glover [ 7 ] . La production du film nécessite une énorme quantité d'ordinateurs. Animal Logic collabore ainsi avec IBM . Quatre ans seront nécessaires pour finir le film. Ben Gunsberger, superviweur du départements lumière et effets spéciaux, justifie en partie cette durée en expliquant qu'il a fallu créer de nombreux outils et infrastructures [ 8 ] .

La musique du film est composée par John Powell . Un album de ses compositions sort le 19 décembre 2006 . Le film étant une comédie musicale juke-box , il contient de nombreuses chansons. Un second album, Happy Feet: Music from the Motion Picture , contient les chansons présentes dans le film.

Prince avait initialement refusé l'utilisation de sa chanson Kiss . Cependant, après avoir vu des extraits du film, il l'a autorisé et a même décidé d'enregistrer une chanson inédité, The Song of the Heart [ 6 ] .

Le film reçoit des critiques globalement positives. Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes , il récolte 76% d'opinions favorables pour 169 critiques et une note moyenne de 6,9 ⁄ 10 . Le consensus suivant résume les critiques compilées par le site : « Visuellement éblouissant, avec un scénario réfléchi et des numéros musicaux accrocheurs, Happy Feet marque les débuts animés réussis des créateurs de Babe [ 10 ] » . Sur Metacritic , il obtient une note moyenne de 77 ⁄ 100 pour 30 critiques [ 11 ] .

En France , le film obtient une note moyenne de 3,6 ⁄ 5 sur le site AlloCiné , qui recense 22 titres de presse [ 12 ] .

Le film rencontre un succès commercial. Il termine notamment à la 7 e place du box-office nord-américain annuel . En France , il dépasse 1,5 million d'entrées mais ne réalise que le 27 e meilleur score du box-office national annuel .

Mumble est un manchot et non un pingouin comme on peut l'entendre souvent, à tort (cela est dû au fait que le manchot se dit « penguin » en langue anglaise, souvent mal traduit en "pingouin", alors que l'unique espèce de "pingouin", le Grand Pingouin, un oiseau marin volant, se traduit par « auk » ). Outre le manchot empereur , on voit apparaître plusieurs espèces d'animaux d'Antarctique dans ce film : le manchot Adélie , le gorfou macaroni , le skua subantarctique , le léopard de mer , l' éléphant de mer du sud et l' orque .

Le film est dédié à la mémoire de Steve Irwin . Ce dernier est décédé en septembre 2006. Happy Feet marque sa dernière apparition [ 6 ] . Il est aussi dédié à Nick Enright , coscénariste de Lorenzo , autre film de George Miller.

The Brand New Heavies (featuring Jamalski)
The Joker : Jason Mraz Everything I Own : Chrissie Hynde
Kiss : Nicole Kidman Heartbreak Hotel : Hugh Jackman
Un des dix meilleurs films de l'année

Meilleur scénario dans un film d'animation

Violence in the Cinema, Part I (court métrage, 1971) · Mad Max (1979) · Mad Max 2 : Le Défi (1981) · La Quatrième Dimension (1984) · Mad Max : Au-delà du dôme du tonnerre (1985) · Les Sorcières d'Eastwick (1987) · Lorenzo (1992) · 40 000 ans de rêve (documentaire, 1997) · Babe, le cochon dans la ville (1998) · Happy Feet (2006) · Happy Feet 2 (2011) · Mad Max: Fury Road (2015) · Trois mille ans à t'attendre (2022) · Furiosa (2024)

Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Ancien député (Génération.s) de la Loire de 2007 à 2022, expert en politique publique sportive
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
Pour ajouter l’article à vos sélections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
L’espace des contributions est réservé aux abonnés.
Abonnez-vous pour accéder à cet espace d’échange et contribuer à la discussion.
Pour ajouter l’article à vos sélections identifiez-vous
Vous possédez déjà un compte ? Se connecter
Cineworld, le deuxième plus gros exploitant de salles de cinéma, au bord de la faillite
Bill Gates investit dans la climatisation moins énergivore
Peut-on se faire indemniser après un cambriolage avec des volets restés ouverts ?
Banques : « L’intelligence artificielle offre des capacités de traitement d’un grand volume de données qui permettent de mieux pointer les transactions frauduleuses »
« Je savais que je risquais ma vie » : quand l’avortement tuait les femmes en France
Les individus peuvent-ils sauver le climat grâce à la sobriété ?
Les multiples victimes de la fatwa contre « Les Versets sataniques »
Pourquoi la France s’accroche à des ilots inhabités ?
Arabie saoudite : la scandaleuse condamnation de Salma Al-Chehab
Le pluriversel, pour un « monde fait d’une multitude de mondes »
Le monde selon Poutine : la croix et la bannière
« Contre la sédentarité, il y a urgence à agir »
Cineworld, le deuxième plus gros exploitant de salles de cinéma, au bord de la faillite
La mort du sociologue Jean Baechler
Avec son « Eugénie Grandet », sur Canal+, Marc Dugain revisite Balzac en mode féministe
Génie de la photo, érotisme, cow-boys… Les replays du week-end
« Oh ! je vais t’accompagner… Je prends une douche et j’arrive… » : ils retardent tout le monde
A la rencontre de Sixto Rodriguez, « Sugar Man » à la vie douce-amère
S’aimer comme on se quitte : « Il mettait des paillettes dans ma vie, c’était ma seule perspective positive »
Les barbecues de l’été : la brûlante aubergine d’Alessandra Montagne
Ce film d'animation en 3D de George Miller trouve son originalité dans ses nombreuses chorégraphies.
Les pingouins ont le vent en poupe. Après le tabac international de La Marche de l'empereur , c'est au tour de l'animation hollywoodienne, avec Happy Feet , de les lancer, à la faveur de Noël, sur la banquise, le film faisant d'ores et déjà un tabac aux Etats-Unis. C'est l'Australien George Miller ( Mad Max , Babe le cochon dans la ville , Les Sorcières d'Eastwick ...) qui s'y est collé pour cette fois, en trois dimensions comme il se doit désormais.
Le début de l'histoire est le même que celui du désormais célèbre film animalier - le processus très particulier de reproduction des manchots en milieu hostile, et l'abnégation qu'il implique - avant que le film ne parte sur d'autres rails. La naissance du petit Mumble, que son père avait laissé échapper, à l'état d'oeuf, d'entre ses pattes durant la couvaison, pose en effet problème à la communauté. Contrairement aux lois de l'espèce, selon lesquelles la reconnaissance entre individus passe par le cri, ledit marmot chante comme un pied, mais s'avère doué, en revanche, d'un talent singulier : celui des claquettes.
Moqué par les siens et banni par les anciens qui ne tolèrent pas son sens de la fantaisie, Mumble va trouver, la mort dans l'âme, dans une autre communauté, les Amigos de terre Adélie, des pingouins latinos animés par la fièvre du samedi soir, des amis qui sauront apprécier son talent.
Mais les poissons se font de plus en plus rares dans la banquise et Mumble décide de percer le mystère de cette raréfaction qui menace son espèce. N'écoutant que son courage, et bien décidé à prouver à sa communauté d'origine qu'il est digne d'elle, il part vers des pays lointains, accompagné par quelques amis, dont Lovelace le gourou, un pingouin obèse et légèrement fêlé qui prétend tirer ses pouvoirs d'un fétiche porté autour du cou qui viendrait de l'autre monde...
Mumble s'apprête à connaître, en un mot, le monde cruel des humains, et Happy Feet profite de son épopée pour faire valoir ses deux principales originalités. La première tient à sa chorégraphie, réglée à partir d'un nombre impressionnant de reprises (moins bonnes que les originaux) de standards américains, qui vont de John Lennon à Steevie Wonder en passant par Paul Anka et Freddie Mercury.
La seconde est un discours écologique affirmé qui se révèle d'une complexité un peu déroutante quand il se risque à une réflexion sur le genre qu'il prétend servir, tant il est vrai que l'animal dans le cinéma d'animation, y compris dans ce film, ne peut être qu'assujetti à la fantaisie omnipotente de l'homme.
Servi par les voix d'Elijah Wood, Robbin Williams et Nicole Kidman dans l'original (Clovis Cornillac, Kad Merad et Sophie Marceau en version française), Happy Feet est en somme un objet curieux, qui se voit sans déplaisir ni sans plaisir excessifs.
Film d'animation américain de George Miller (1 h 47.)
Lecture du Monde en cours sur un autre appareil.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe .
Pour soutenir le travail de toute une rédaction, nous vous proposons de vous abonner.
Vous avez choisi de refuser le dépôt de cookies lors de votre navigation sur notre site, notamment des cookies de publicité personnalisée.
Le contenu de ce site est le fruit du travail de 500 journalistes qui vous apportent chaque jour une information de qualité, fiable, complète, et des services en ligne innovants. Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement.


Le modèle économique de repose historiquement sur l’affichage de
publicités personnalisées basées sur l’utilisation de cookies publicitaires, qui permettent de suivre la
navigation des internautes et cibler leurs centres d’intérêts. La nouvelle réglementation relative aux
cookies ne permet plus à de s’appuyer sur cette seule source de
revenus. En conséquence, afin de pouvoir maintenir le financement de et fournir les services proposés tout en vous offrant une même
qualité de contenu éditorial sans cesse renouvelé, nous vous offrons la possibilité d’exprimer votre choix
entre les deux alternatives suivantes d’accès :


Pour en savoir plus, consultez notre Politique de
cookies .

En savoir plus → Refuser Accepter & Fermer
La
Trois belles femmes baisent ensemble
Elle a seulement besoin d'elle-même
Des céréales dans ton cul

Report Page