Grosse torture sur une adepte du sado-masochisme

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Comment aborder le fantasme du BDSM (bondage, domination, sado-masochisme) quand on débute ? Quand on voudrait du hard, mais soft ? En laissant tomber tout le folklore, nous dit la chroniqueuse de « La Matinale », Maïa Mazaurette.
Ce ne sont pas les angoisses qui manquent quand on pense au BDSM (bondage, domination, sado-masochisme) : la peur de la douleur mais aussi celle du ridicule, le côté élitiste, le tabou des sensations interdites, la question des violences conjugales, le folklore des harnais, l’idée qu’on puisse franchir un point de non-retour, l’impossible choix entre suicide social et passion secrète… en passant par la faute de goût consistant à suivre les goûts du troupeau (cela dit, la mode 50 Nuances de Grey a enfin reflué : allez en paix). Pour enfoncer le clou des réticences : cet acronyme BDSM, comme si « sado-maso » était devenu une expression de novice ayant oublié ses cordes lors de sa dernière rando dans les Alpes. BDSM comme si l’indicible devait être tassé, hygiénisé, onze syllabes dans quatre lettres (or on sait que quatre lettres font toujours mal – ANPE, SNCF, RATP, SIDA, SAMU).
Et pourtant. En 2011, un tiers des Françaises fantasmaient sur le fait d’être dominées, et un cinquième des hommes. Un quart des femmes voulaient être menottées ou ligotées, et 15 % des hommes ( Harris Interactive/Marianne ). En 2014, les deux tiers des Québécoises et plus de la moitié de leurs chums fantasmaient sur le fait d’être sexuellement dominés, le bondage intéressait presque la moitié des répondants, un quart des femmes et 43 % des hommes auraient volontiers fouetté leur partenaire. (Sur un sujet aussi sensible, les chiffres sont toujours à prendre avec des pincettes – à tétons.)
Bizarre, cette popularité ? Plutôt logique. Nos existences ultra-contrôlées génèrent la tentation du lâcher-prise, surtout avec quelqu’un de confiance (une séance de sexe musclée reste moins risquée qu’un compte bancaire commun). Pour résister au tout-sécuritaire, on joue à se faire peur. Et face à la routine, même un filloniste comprendrait l’intérêt d’explorer de nouveaux territoires. Le pire qui puisse arriver en testant le BDSM, c’est d’en rigoler encore dans trente ans. Le mieux ? Découvrir un nouveau conjoint : se rappeler qu’on ne possède jamais personne, que le partenaire du quotidien n’est pas acquis. Le BDSM implique une distance. Une surprise. Voire un doute. Le grand frisson… mais les pieds au chaud.
Alors comment aborder ce fantasme quand on débute absolument ? Quand on voudrait du hard, mais soft ? A mon humble avis : en laissant tomber tout le folklore. Plutôt que cinquante nuances de gris, commençons par les déclinaisons de blanc cassé. Une initiation ne devrait pas nécessiter d’investissement lourd, ni émotionnellement ni matériellement. Si les snobs de service vous font croire qu’un doctorat ET une croix de Saint-André sont nécessaires, n’oubliez pas qu’un décorum artificiel peut au contraire faire retomber la pression. Le costume de policier va mieux aux strip-teaseurs.
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Rihanna : sado-masochisme, censure et... plagiat



Rihanna : sado-masochisme, censure et... plagiat

10 février 2011
Maj: 10 février 2011


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S&M , le tout dernier clip de la chanteuse Rihanna, n'en finit pas de faire parler de lui. Sorti le 1er février, il est censuré dans onze pays asiatiques et, jusqu'à ces jours derniers, n'était diffusé qu'à partir de 19 heures sur la BBC. Laquelle diffuse maintenant une version expurgée, pudiquement renommée Come On .
Dans le même temps, le site Radar online.com (mais il n'est pas le seul) pointe les similitudes qui existent entre ce clip et les photos de David Lachapelle. À gauche le photographe, à droite la chanteuse :
Sexe, censure, citation, plagiat, tout ça fait du bruit et la marque Renault en profite ! Car sa toute dernière pub pour la Clio, elle aussi destinée au marché grand-breton, vient également de se faire censurer aux heures de grande écoute.
On y voit Audrey Hepburn dans Breakfast at Tiffany's ( Diamants sur canapé ) de Blake Edwards, le foutebôleur Thierry Henry, Marlon Brando dans On the Waterfront ( Sur les quais ) d'Elia Kazan (avec la fameuse réplique : « I coulda been a contender. I coulda been somebody, instead of a bum, which is what I am » ), David Bowie interprétant Space Oddity , mais surtout la célèbre Dita Von Teese qui entame un striptize, oh ! choquigne !
Et, accessoirement, une citation du dernier clip de Rihanna. Histoire d'en rajouter une couche. Va Va Voom !
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